A Paris chez Billois 1811. Petit in-12 VIII 207pp. Pleine basane havane mouchetée, dos lisse orné de filets et motifs dorés, pièce de titre noire, tranches marbrées, rel époque. Orné d'un beau portrait de l'auteur en frontispice. 1 mors fendillé sur 2,5 cm, auréole claire ancienne sur le frontispice.
Joli exemplaire dans une reliure décorative, bien complet du portrait.
Couverture rigide. Reliure demi-basane d'époque. 8,5 x 14 cm. 215 pages.
Livre. Nouvelle édition. Chez Mme J. Buynand née Bruyset, libraire (Collection : Portrait de Fénelon en frontispice), Lyon, 1811.
Paris Louis Janet sd v 1840. In-18 XXVII 260pp. Cartonnage éditeur pleine moire émeraude, dos lisse entièrement orné en long d'une large frise dorée, large dentelle dorée dans 1 encadrement de filets dorés sur les plats, tranches dorées. Orné d'une vignette sur le titre, 4 gravures hors texte. Quelques petites rousseurs, sans son étui.
Cet élégant almanach propose un choix de textes du célèbre prélat.
Couverture souple. Broché. 151 pages. Quelques passages soulignés au crayon. Petit manque au dos.
Livre. Texte collationné sur l'édition de 1687 avec une introduction et des notes pédagogiques et explicatives à l'usage des institutrices et des instituteurs par Charles Defodon. Librairie Hachette, 1889.
Actes Sud, collection Un endroit où aller, 2006. Petit mais fort volume in-8 broché (531 pages), couverture à rabats.
Editions de Minuit 1947 1 vol. broché in-12, broché, 214 pp. Deuxième édition (ce roman avait d'abord paru aux Editions littéraires de Monaco en mars 1944). Pas de grand papier. - Vignes, 52. Couverture défraîchie, sinon bon état, non coupé.
Pastel sur papier teinté, signé en bas à droite, 53 x 41,5 cm. (1930).
Antonio ou Antoine Ferracci (Bonifacio en 1890 -1984) est un peintre de l'école française. Elève de Luc-Olivier Merson (1846-1920), de Fernand Cormon (1845-1924), il débute aux Salon des Artistes Français en 1920. L'artiste est connu pour ses portraits et ses scènes de genre. Son nom est répertorié dans le dictionnaire des artistes de l'école de Montmartre. Une femme à la chevelure noire est assise de profile, presque nue sur un piédestal, des bijoux ornent ses oreilles et sa poitrine, des ballerines rouges à ses pieds délicats. Deux serpents noirs et gris s'enroulent autour de ses bras tendus. Elle sourit, fière de dompter les deux bêtes sauvages. Ce dessin montre également l'émancipation de la femme. Déchirures marginales.
Pastel sur papier teinté, signé et daté en bas à droite, 53 x 41,5 cm. 1930.
Antonio ou Antoine Ferracci (Bonifacio en 1890 -1984) est un peintre de l'école française. Elève de Luc-Olivier Merson (1846-1920), de Fernand Cormon (1845-1924), il débute aux Salon des Artistes Français en 1920. L'artiste est connu pour ses portraits et ses scènes de genre. Son nom est répertorié dans le dictionnaire des artistes de l'école de Montmartre. Une garçonne nue, une fleur rouge dans ses cheveux noirs, une mouche au coin de l'oeil révélant la passion, se détend dans un nuage de volupté. Déchirures marginales.
Genève Poésie Vivante, 1973. Petit in-8 broché, couverture décorée. Illustrations in-texte en noir.
Edition originale au tirage limité à 100 exemplaires numérotés (93). Exemplaire agrémenté d'un long envoi autographe signé de l'une des collaboratrices à l'ouvrage.
Seuil, 2007. In-8 broché de 475 pages, couverture illustrée. Bords très légèrement jauni, pour le reste en très belle condition.
"Qui peut croire que le menu traditionnel d'une brasserie (lapin en gibelotte, tripes, gratin dauphinois, etc.) remonte à la Renaissance, où il constituait alors le quotidien des pauvres ? Ce que l'on considère comme la bonne cuisine bourgeoise est en réalité, à ses origines, la cuisine du pauvre. Les goûts changent : de populaires, certains plats deviennent raffinés, tandis que d'autres disparaissent des cartes et des cuisines. D'autres encore, telle la poule au pot, entrent dans la légende. Madeleine Ferrières propose ici, à partir de sources culinaires inédites, une généalogie des racines de la cuisine française. Elle restitue une culture de table pour partie oubliée et bien souvent négligée. De recette en recette, on suit ainsi les évolutions de la table du pauvre, bien plus riche et plus festive qu'on l'imagine trop souvent. Au-delà d'une simple histoire des habitudes alimentaires, c'est une analyse - toute de saveurs et d'odeurs - de notre cuisine nationale qui est menée. Une invitation à repenser et à revisiter notre patrimoine culinaire. »
Paris, Didier et Cie, 1873. In-12, demi-reliure.
[7997]
, Paris, Didier et Co, Libraires- editeurs, 1860., Relie en toile, piece titre avec quatre petit nerfs, 115 + 180mm, 393pp.
Bon etat. Nouvelle edition. Notice sur La vie de L.J. Feugere, Table des matieres.
Paris Calmann Lévy 1885. In-16 broché 170pp. Titre imprimé en rouge et noir. Tiré à 50 exemplaires numérotés sur papier du Japon. Manque de papier en tête et au bas du dos, petites coupures en bordure des plats de la couverture, intérieur en bon état et complet. Vicaire II, colonne 500. Titre paru dans la "Collection Calmann Lévy". (4851)
Couverture souple. Broché. 288 pages. Couverture défraîchie.
Livre. Editions Radot, 1927.
Couverture souple. Broché. 288 pages. Couverture légèrement défraîchie.
Livre. Editions Radot, 1927.
Couverture souple. Broché. 288 pages. Couverture défraîchie.
Livre. Editions Radot, 1927.
Fiami, 2011. In-4 broché, couverture couleurs. En très belle condition.
En 40 pages couleurs, Marie Curie joue les protagonistes, à travers 6 grandes étapes de l’histoire de la chimie, de découvertes qui ont changé le monde et rencontre des femmes, célèbres ou anonymes, qui ont lutté pour obtenir le droit d’apprendre.
Paris, Carré, 1892. In-12, 307 pp. Demi-toile crème, nombreux tampons de l'O.R.T.F., Radio-France.
Rare ouvrage.
Perrin, 2002, gr. in-8°, 382 pp, biblio, cadre chronologique, index, broché, couv. illustrée, bon état
Sur plus d'un siècle, du règne de Louis XVI à la veille de la Grande Guerre, la mémoire féminine s'est attachée aux ruptures et aux mutations sociales de ces temps de révolutions. Exclues de l'action, réduites à l'observation ou à l'influence mondaine, des dames de cour ou de la haute société ont tenté de décrire mais aussi d'expliquer leurs expériences successives, de comprendre l'enchaînement historique. A partir de leurs souvenirs et de leurs lettres, l'auteur brosse la fresque d'une histoire de France vue par les femmes. La première génération est politique, et juge le passé comme responsable du présent : les inconsciences de l'Ancien Régime engendrent une Révolution, la Révolution le despotisme, mais également la renaissance sociale et la fusion impériales ; l'émigration provoque la longue division du royalisme, et d'abord l'illusion mortelle de la Contre-Révolution. Malgré le rejet commun d'une Révolution devenue sanglante et spoliatrice, la plupart d'entre elles ont été imprégnées de la culture et des valeurs des Lumières : liberté, mérite, utilité, et ce patriotisme qui voit aussi dans l'unité nationale la sauvegarde d'une élite adaptée à son temps, faisant du préjugé de naissance un réalisme politique. 1848 est une coupure majeure, avec la menace d'une révolution sociale, la révélation des utopies socialistes qui ont nourri déjà l'expression de nouveaux féminismes, ouvriers et intellectuels : les temps, désormais, ne cesseront plus d'être «révolutionnaires». Dans une bonne société de plus en plus amalgamée, la religion devient le critère politique essentiel, facteur espéré de stabilité hiérarchique, mais menant souvent, aussi, à l'indifférence politique. Croissante depuis le début du XIXe siècle, l'étroitesse défensive de l'éducation des filles contraste non seulement avec la liberté féminine du temps des Lumières, mais avec l'aspiration à une émancipation qui serait une nouvelle adaptation, non à la politique, mais à une société en pleine modernisation. Fondée sur la culture volontaire et l'adoption mondaine de la littérature et des arts, cette conquête de la liberté personnelle entraîne la prédominance spontanée de l'autobiographie, et la description de la société à travers elle. — "« Le goût passionné de l'étude doit tenir quelque chose de celui de la liberté », affirme Victorine de Chastenay dans ses Mémoires. De bonne noblesse bourguignonne, surdouée (elle lit dès l'âge de 10 ans Plutarque et Racine), libérale, observatrice directe de la Révolution, elle est imprégnée de la culture et des valeurs des Lumières. Voici l'une des dames de la cour ou de la haute société que Suzanne Fiette suit au fil de ses mémoires pour nous brosser le tableau, sur plus d'un siècle, d'une histoire de France vue par les femmes. Pour les femmes, note l'auteur, écrire est une façon de s'affirmer dans l'espace public et de participer au grand débat, ouvert depuis le début du XIXe siècle, sur l'éducation des femmes. Exclues de l'action, cantonnées dans le domaine privé ou limitées à l'influence mondaine, « nos dames » ne donnent qu'un tableau partiel de leur temps, en passant par l'autobiographie. Elles semblent plus attentives à leur milieu qu'au sens des événements et leurs témoignages tombent volontiers dans l'anecdote. Seule Mme de Staël exprime cet engagement politique et cette lucidité analytique de l'écrivain qui font d'elle le champion de l'émancipation féminine. Des salonnières de l'Ancien Régime (Julie de Lespinasse, Elisabeth Vigée-Lebrun) aux femmes de lettres de la fin du XIXe siècle (Gyp, Elisabeth de Gramont), toutes, cependant, témoignent de la liberté d'esprit des élites cultivées qui permet le rapprochement des classes et qui ouvre la voie à l'égalité des sexes. À travers le prisme de la mémoire féminine, Suzanne Fiette présente ainsi le processus de fusion de la noblesse avec la bouigeoisie, déjà étudié dans la Noblesse française des Lumières à la Belle Époque (Perrin, 1997). Se plaindra-t-on de l'abondance des documents cités ? Cet ouvrage constitue une mine pour l'histoire des mentalités." (Regina Bollhalder Mayer, Revue des Deux Mondes, 2003)
Paris, Figuière, collection "Petits livres d'heures", sans date, vers 1910. In-16. Broché. Couverture à rabats illustrée d'une lithographie contrecollée. 33 pages. Trois illustrations en couleurs à l'intérieur, sous serpentes. Très bon état. Envoi en tarif "lettre"
Paris, Ed. de la Différence, 1977. 1 vol. (314 x 378) de 233 p. Pleine toile bleue nuit d’éditeur ornée au 1er plat d’un médaillon central, jaquette rouge ornée d’éditeur. Belle condition.
Illustré de photographies de Richard Overstreet, et de dessins de Leonor Fini.
Lausanne, La Guilde du livre, 1972. Imposant volume in-4, cartonnage couleurs, dos de toile noire avec titre blanc. Abondante iconographie en noir et en couleurs, les reproductions en couleurs étant contrecollées.
Un bien bel album sur l'artiste surréaliste, ici en 3e édition.
Genève, Lambert Monet, 1970. Grand in-8, pleine toile titrée, dos de percaline muet. Illustré d'un portrait photographique de l'artiste et de reproductions en couleurs. En belle condition.
Lausanne, La Guilde du livre, 1976. Grand in-4, cartonnage couleurs, dos de toile titré. Infime frottement à la toile, coins inférieurs très légèrement tassés. Illsutré d'innombrables reproductions en noir et en couleurs, ces dernières pour la plupart contrecollées.
Biobibliographie en fin de volume.
Lausanne, La Guilde du livre, sans date. Grand et fort volume in-4 (30,5 x 30,5 cm.), demi-toile noire. Illustré de quelques photographies et de très nombreuses reproductions en noir et en couleurs, ces dernières contrecollées. Petit accroc avec manque au dos.
Un bien bel album sur l'artiste surréaliste, ici en 2e édition.