S.n., s.l. [Paris] avril 1984, 24x30,5cm, une feuille.
Photographie originale. Tirage gélatino-argentique d'époque en noir et blanc.Epreuve d'artiste signée au verso. Portrait du philosophe Michel Foucault. En 1983 débute pour Bruno de Monès une collaboration régulière avec Le Magazine littéraire qui va perdurer jusqu'au milieu des années quatre-vingt-dix. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. [Paris] avril 1984, 24x30,5cm, une feuille.
Photographie originale. Tirage gélatino-argentique d'époque en noir et blanc.Epreuve d'artiste signée au verso. Portrait du philosophe Michel Foucault. En 1983 débute pour Bruno de Monès une collaboration régulière avec Le Magazine littéraire qui va perdurer jusqu'au milieu des années quatre-vingt-dix. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. [Paris] avril 1984, 24x30,5cm, une feuille.
Photographie originale. Tirage gélatino-argentique d'époque en noir et blanc.Epreuve d'artiste signée au verso. Portrait du philosophe Michel Foucault. En 1983 débute pour Bruno de Monès une collaboration régulière avec Le Magazine littéraire qui va perdurer jusqu'au milieu des années quatre-vingt-dix. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Par l'auteur, s.l. 1983, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille.
Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Petite déchirure sur le bord supérieur. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Par l'auteur, s.l. 1981, 21,5x24 cm sur papier Ilford , une feuille.
Ensemble de 8 portraits de petites dimensions de Michel Foucault par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Par l'auteur, s.l. 1981, 14,5x24 cm sur papier Ilford , une feuille.
Ensemble de 6 portraits de Michel Foucault de plain pied par Marc Trivier de petites dimensions. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Foucault, Michel (Édition établie sous la dir. de F. Ewald et al.)
Reference : 38477
(2018)
ISBN : 9782021401134
Hautes Études / Gallimard / Le Seuil Couverture souple Paris 2018
Très bon Grand in-8. 335 pages. Signature d'un ancien propriétaire en page de garde. Coll. "Cours de Michel Foucault avant le Collège de France".
Foucault, Michel (Édition établie sous la dir. de F. Ewald et al.)
Reference : 38740
(2013)
Hautes Études / Gallimard / Le Seuil Couverture souple Paris 2013
Très bon Grand in-8. 349 pages. Coll. "Cours de Michel Foucault au Collège de France".
Prague, Fr. Gerzabeck, 1797. Bound in very fine contemp. full red morocco (gift-binding). Richly gilt spine. Titlelabel with gilt lettering. Gilt inner borders. Gilt borders on covers. Edges on covers gilt. All edges gilt. A paperlable on pasted on lower part of spine. Stamp on foot of title-page. 111,(1) pp., 1 folded engraved plate. Clean and fine, printed on good paper.
Belin-Leprieur, Paris. Non daté. In-16. Relié. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Mouillures. 361 pages. Gravures en noir et blanc en frontispice et en page de titre. Dos manquant. Bords des plats frottés. Annotations d'époque au dos du 1er plat et en page de garde. Frontispice et page de titre se détachant légèrement. Quelques légères taches dans le texte. Dernière page abîmée, sans altération de la lecture, et détachée.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Ouvrage du milieu du XIXe siècle. Par l'auteur de la 'Juive convertie'. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
P., Belin-Le Prieur, 1857, 3ème éd., in-12, basane flammée, dos lisse ornée en long d'un décor doré, pièce de titre rouge, motif à répétition formant encadrement sur les plats, tr. jaspées, VIII-328 pp. (CN8)
Illustré d'un frontispice et de trois gravures hors-texte. Fiche du deuxième prix d'Histoire et Géographie au Collège d'Évreux, août 1845. Dos légèrement frotté avec petit manque de cuir.
PRESSES FONDAT.NAT.SCIENCES PO
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782724639551
Publiés et annotés par F. Baudry. Très importants mémoires : Foucault (1643-1721) fut intendant sous Louis XIV durant 32 années; principalement à Caen.(2ff de faux-titre et titre), CLXXVII pp d'introduction et 590 pp. Cartonnage d'éditeur légèrement frotté. Bon Paris Imprimerie Impériale 1862 1 fort volume in-4°
Paris, Imprimerie Impériale, 1862. "22 x 29, 590 pp., reliure d'édition carton, non coupé, état moyen (couverture défraîchie; rousseurs, surtout en début et en fin de volume)."
Paris, Flammarion, 1922, in-12 plein reliure souple veau rouge, dos orné, 205 pp. Bon état.
Les Éditions Logiques In-8 Couverture souple Outremont 2006
Très bon 269 pages.
s.l.n.d. Fin XIXe. 2 vol. in-8° (195 x 235 mm et 195 x 255 mm) de : I. 25 croquis encadrés (parfois titrés, annotés voir en couleur) ; II. 16 croquis encadrés (parfois titrés, annotés voire en couleur). Cartonnage d'époque avec renfort de craft au dos, étiquette de titrage manuscrit sur l'un d'eux. Ensemble contenu dans une chemise cartonnée avec dos entoillé maintenue avec des cordelettes.
Ensemble de deux carnets abondamment illustrés dus à R. Foucault, élève en deuxième année dhistoire de lart, constituant un intéressant exemple dart comparé tel quenseigné en France à la fin du 19e siècle. Le premier carnet contient une vingtaine de dessins, la plupart en couleur et légendés, représentant des monuments et des ornements de différentes périodes: Antiquité, Moyen- ge et Temps Modernes. Foucault sattarde sur lart byzantin, grec, romain, ogival, egyptien, arabe, chinois, hindou et japonais. Lélève dessine des croquis du Sphinx, dun chapiteau campaniforme, du Parthénon, des ornements de lordre ionique et corinthien mais aussi lArc de Titus, des chapiteaux mauresques, un portail d'église à Arles, la galerie dun cloître, des cathédrales Le second cahier est la suite du premier et comporte une quinzaine de croquis, la plupart en couleur et légendés. Foucault dessine des croquis dart ogival, notamment des détails de châteaux-forts du XII et XIIIe siècle, mais aussi des décorations de cadre. Sensuit lart italien avec larchitecture du Palazzo Vecchio de Florence et la Renaissance française avec des détails du bâtiment du Louvre et un panneau François Ier. Puis vient le XVIIe siècle avec l'Église des Invalides et un cartouche de la Porte de la vieille Sorbonne. Un des croquis le plus impressionnant de par ses détails et sa finesse est celui dune cheminée daprès Jean Lepautre servant dexemple à larchitecture du siècle de Louis XIV. Lélève représente également le profil dune théière en argent, une barrière de jardin vue de face, un fauteuil sous différents angles et le dessus dune grille en fer forgé. Ces dessins sont, pour la plupart, accompagnés d'explications sur la période artistique étudiée et dexemples darchitecture, de peinture et de sculpture à travers le monde montrant louverture, déjà à lépoque, à lart en dehors de lEurope. Beau travail exécuté avec soin. 2 vol. 8vo of : I. 25 framed sketches ; II. 16 framed sketches. Contemp. cardboard with craft reinforcement on the back, handwritten titling label on one of them. Set of two abundantly illustrated notebooks by R. Foucault, a second year art history student, constituting an interesting example of comparative art as taught in France at the end of the 19th century. The first notebook contains about twenty drawings, mostly in color and captioned, representing monuments and ornaments from different periods: Antiquity, the Middle Ages and Modern Times. Foucault focuses on Byzantine, Greek, Roman, Ogival, Egyptian, Arabic, Chinese, Hindu and Japanese art. He drew sketches of the Sphinx, a campaniform capital, the Parthenon, ornaments of the Ionic and Corinthian order, but also the Arch of Titus, Moorish capitals, a church portal in Arles, the gallery of a cloister, cathedrals... The second notebook is the continuation of the first one and contains about fifteen sketches, most of them in color and with captions. Foucault draws sketches of ogival art, notably details of 12th and 13th century castles, but also frame decorations. Italian art follows with the architecture of the Palazzo Vecchio in Florence and the French Renaissance with details of the Louvre building and a panel of Francis I. Then comes the seventeenth century with the Church of the Invalids and a cartouche of the Door of the Old Sorbonne. One of the most impressive sketches for its details and finesse is that of a fireplace after Jean Lepautre serving as an example of the architecture of the century of Louis XIV. Foucault also represents the profile of a silver teapot, a garden fence seen from the front, an armchair from different angles and the top of a wrought iron gate. These drawings are, for the most part, accompanied by explanations of the artistic period studied and examples of architecture, painting and sculpture from around the world showing the openness, already at the time, to art outside Europe. Beautiful work executed with care.
P., Hatier, 1979, in-12, 80 pp. (DE8)
Collection Profil d'une oeuvre, n° 217 - Sciences humaines.
Foucault, sur - Musée des Arts et Métiers - Musée National des Techniques - Jacques Foiret - Bruno Jacomy - Jacques Payen
Reference : 67274
(1990)
Musée des Arts et Métiers - Musée National des Techniques Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1990 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur, illustrée petit In-4 1 vol. - 31 pages
nombreuses illustrations en noir et blanc, quelques planches en couleurs Contents, Chapitres : Introduction - Galilée, précurseur de la physique expérimentale - Les premières expériences de Foucault - Le pendule et la rotation de la Terre - Léon Foucault au Musée National des Techniques - Eléments de bibliographie couverture à peine jaunie, sinon tres bon état
François L. Schwarz - Doisneau, Frederic, Goursat, Roubier, Pougnet, Brihat, Ciccione, Foucault
Reference : 93971
(1964)
New York, 1964, in-8, 108pp, en feuilles reliure spirale, Très bel exemplaire! Il s'agit d'un agenda publicitaire de la société François L. Schwarz inc. active dans l'industrie alimentaire américaine. Cet exemplaire est consacré à "What's in a Name" Superbement illustré de photographies par Doisneau, Frederic, Goursat, Roubier, Pougnet, Brihat, Ciccione, Foucault, etc. 108pp
Publication du Musée du Désert des Cévennes, 1935, 294 p., avec une carte dépliante, broché, bon état.
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Lettres réunies, présentées et annotées par Ghyslaine Guertin et John P.L. Roberts Broché sous couverture illustrée Très bon Paris Bourgois 1992 1 volume in-8°
édition originale
Penguin Books UK (3/2021)
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9780241389584
J. DE GIGORD. 1965. In-8. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 262 pages.. . . . Classification Dewey : 370-Education
Classification Dewey : 370-Education