La Difference, coll. « Orphée », n° 194 1994 Coll. “Orphée”. N194 In-16 broché,126 pp. Bilingue. Traduction en regard.Choix, traduction du Néerlandais et présentation par Danielle Losman.
Très bon état d’occasion
PLON. 1933. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 175 Pages - Un tampon et une petite étiquette de librairie contre collée sur la page de garde. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie
Plon 1933, in-8 broché, 175 p. (très bon exemplaire) Sur bon papier. Première édition de ce recueil de poèmes du célèbre historien d'art et conservateur du château de Versailles, avec un envoi au poète Gérard-Yves Le Dantec.
PARIS, Lib. Plon - 1929 - In-8 - Broché - 30 pages - Bon exemplaire
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Plon, 1929, gr. in-8°, 32 pp, broché, 2e plat de couv. lég. défraîchi, bon état
Par Pierre de Nolhac (1859-1936), qui fut pendant des années conservateur du Musée de Versailles. — "... Le fronton du temple, cette frise où sont sculptés les dieux, c'est le Testament d'un Latin, chant héroïque, péan triomphal, adieu reconnaissant aux beautés du monde, aux trésors de la tradition et du savoir, au génie antique et aux lumières chrétiennes. Lorsque la malade eut – pour quelques jours – abattu ses forces, obscurci son regard, le poète n'accepta point de quitter le monde radieux où il avait vécu dans les joies de l'intelligence, de l'amitié et de la gloire sans avoir fait entendre son chant du cygne. Grâce à Dieu, il lui sera donné d'en écouter longtemps l'écho, et de le reprendre à la saison nouvelle. Je voudrais que ce large et magnifique poème, vous en eussiez la lecture, comme le poète me fit la grâce de l'entendre... Le poète chante l'honneur du sang français dont il est né ; il salue son Auvergne originelle, et la splendeur de la mer latine, telle qu'elle apparut à ses vingt ans. aux rives de la terre sacrée où respirent encore les dieux. « Par ses mille chemins où chante la Sirène », les héros s'élancèrent à la découverte du monde, à la conquête d'Ilion ou de la Toison d'Or. « Des mythes lumineux du matin et du soir » ils firent apparaitre des personnes divines. Mais « au groupe sublime » de l'Olympe « a manqué la Bonté ». II était réservé au vrai Dieu d'en apporter le mystère de salut au monde. La Méditerranée porta les apôtres de la Foi chrétienne comme les héros d'Homère ; elle entendit alors sur ses rives retentir le cri d'agonie du vieux monde : « Le grand Pan est mort ! » Une Rome nouvelle s'élève à l'empire du monde, pour régner, cette fois, dans la Paix, sur des âmes. Aux frontières assiégées des Barbares, « c'est la Gaule qui veille au salut de l'Empire ». La Gaule conquise sut conquérir à son tour les trésors de la sagesse de Rome, « participer à l'âme commune » et s'enrichir ainsi de sa défaite. Aussi le fils des Arvernes, unissant dans cet hommage pieux sa raison et son coeur, renouvelle « son serment de jeunesse à la Rome éternelle ». Mais, s'il salue l'Eglise catholique qui sait rassembler pour son œuvre de paix et d'amour « les maîtres de beauté, les savants et les saints », l'humaniste chrétien demande la permission d'exprimer un suprême regret, un adieu reconnaissant à la sagesse et à la beauté antiques Sa « journée » finira, plus douce et consolée, si c'est à l'ombre de l'Acropole qu'il relit l'Evangile. Les nouveaux barbares, acharnés à cette œuvre de mort, réussiront peutêtre un jour à briser la tradition qui a fait si longtemps la grandeur spirituelle de la France. Ce jour-là pour faire comprendre et sentir à nos enfants déshérités ce que fut la culture classique et de quelle flamme elle éclairait les esprits, il restera, du moins la ressource de leur faite apprendre par cœur le Testament d'un Latin. Puissent les siècles conserver longtemps ce précieux message." (Jean Des Cognets, L'Ouest-Eclair, 16 sept 1929) — "Les dieux latins, ils ont inspiré, on le sait, l'œuvre entière de M. Pierre de Nolhac ; sur ses poèmes surtout, leur clair sourire plane avec le plus de persuasive douceur. “Le Testament d'un Latin” exposait harmonieusement comment l'âme gauloise a reçu l'empreinte de la civilisation méditerranéenne ; il a suscité jusqu'à cinq traductions italiennes." (Le Figaro) — "... Cette inspiration qui résume son oeuvre et son âme, Pierre de Nolhac vient de l'exprimer avec ampleur dans un grave et sobre poème : “Le Testament d'un Latin”. Ce chant d'une épopée, historique et intérieure, déroule l'aventure de l'âme gauloise fécondée par l'âme latine..." (Maurice Levaillant, Le Figaro) — "M. de Nolhac m'apparaît, en effet, comme un des plus authentiques représentants de la tradition du vers doré, de la sentence enchâssée dans un écrin sans défaut. La perfection est ici atteinte sans effort ni recherche, de par la grâce modérée du Celto-Latin retrempé aux sources originelles." (Yves-Gérard Le Dantec, Revue des Deux Mondes)
Plon, 1929, gr. in-8°, 32 pp, broché, bon état, envoi a.s.
Par Pierre de Nolhac (1859-1936), qui fut pendant des années conservateur du Musee de Versailles. — "... Le fronton du temple, cette frise où sont sculptés les dieux, c'est le Testament d'un Latin, chant héroïque, péan triomphal, adieu reconnaissant aux beautés du monde, aux trésors de la tradition et du savoir, au génie antique et aux lumières chrétiennes. Lorsque la malade eut – pour quelques jours – abattu ses forces, obscurci son regard, le poète n'accepta point de quitter le monde radieux où il avait vécu dans les joies de l'intelligence, de l'amitié et de la gloire sans avoir fait entendre son chant du cygne. Grâce à Dieu, il lui sera donné d'en écouter longtemps l'écho, et de le reprendre à la saison nouvelle. Je voudrais que ce large et magnifique poème, vous en eussiez la lecture, comme le poète me fit la grâce de l'entendre... Le poète chante l'honneur du sang français dont il est né ; il salue son Auvergne originelle, et la splendeur de la mer latine, telle qu'elle apparut à ses vingt ans. aux rives de la terre sacrée où respirent encore les dieux. « Par ses mille chemins où chante la Sirène », les héros s'élancèrent à la découverte du monde, à la conquête d'Ilion ou de.la Toison d'Or. « Des mythes lumineux du matin et du soir » ils firent apparaitre des personnes divines. Mais « au groupe sublime » de l'Olympe « a manqué la Bonté ». II était réservé au vrai Dieu d'en apporter le mystère de salut au monde. La Méditerranée porta les apôtres de la Foi chrétienne comme les héros d'Homère ; elle entendit alors sur ses rives retentir le cri d'agonie du vieux monde : « Le grand Pan est mort ! » Une Rome nouvelle s'élève à l'empire du monde, pour régner, cette fois, dans la Paix, sur des âmes. Aux frontières assiégées des Barbares, « c'est la Gaule qui veille au salut de l'Empire ». La Gaule conquise sut conquérir à son tour les trésors de la sagesse de Rome, « participer à l'âme commune » et s'enrichir ainsi de sa défaite. Aussi le fils des Arvernes, unissant dans cet hommage pieux sa raison et son coeur, renouvelle « son serment de jeunesse à la Rome éternelle ». Mais, s'il salue l'Eglise catholique qui sait rassembler pour son œuvre de paix et d'amour « les maîtres de beauté, les savants et les saints », l'humaniste chrétien demande la permission d'exprimer un suprême regret, un adieu reconnaissant à la sagesse et à la beauté antiques Sa « journée » finira, plus douce et consolée, si c'est à l'ombre de l'Acropole qu'il relit l'Evangile. Les nouveaux barbares, acharnés à cette œuvre de mort, réussiront peutêtre un jour à briser la tradition qui a fait si longtemps la grandeur spirituelle de la France. Ce jour-là pour faire comprendre et sentir à nos enfants déshérités ce que fut la culture classique et de quelle flamme elle éclairait les esprits, il restera, du moins la ressource de leur faite apprendre par cœur le Testament d'un Latin. Puissent les siècles conserver longtemps ce précieux message." (Jean Des Cognets, L'Ouest-Eclair, 16 sept 1929) — "Les dieux latins, ils ont inspiré, on le sait, l'œuvre entière de M. Pierre de Nolhac ; sur ses poèmes surtout, leur clair sourire plane avec le plus de persuasive douceur. “Le Testament d'un Latin” exposait harmonieusement comment l'âme gauloise a reçu l'empreinte de la civilisation méditerranéenne ; il a suscité jusqu'à cinq traductions italiennes." (Le Figaro) — "... Cette inspiration qui résume son oeuvre et son âme, Pierre de Nolhac vient de l'exprimer avec ampleur dans un grave et sobre poème : “Le Testament d'un Latin”. Ce chant d'une épopée, historique et intérieure, déroule l'aventure de l'âme gauloise fécondée par l'âme latine..." (Maurice Levaillant, Le Figaro) — "M. de Nolhac m'apparaît, en effet, comme un des plus authentiques représentants de la tradition du vers doré, de la sentence enchâssée dans un écrin sans défaut. La perfection est ici atteinte sans effort ni recherche, de par la grâce modérée du Celto-Latin retrempé aux sources originelles." (Yves-Gérard Le Dantec, Revue des Deux Mondes)
1929 Paris, Plon, 1929, in 8° broché, 33 pages ; couverture imprimée.
Exemplaire enrichi d'un bel envoi autographe signé sur la première garde. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
1929 Paris, Editions du Raisin, 1928, grand in 8° broché, 19 pages ; couverture rempliée imprimée.
Edition Originale, tirée à 400 exemplaires numérotés ; le notre, qui porte le n°304, est enrichi d'un envoi autographe signé sur le faux-titre. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris, Les Editions du Raisin, 1928 ; plaquette grand in-8°, brochée, couverture rempliée crème imprimée en noir et rouge; 18pp.,1p.nch.; très petites piqûres au faux-titre,sinon très bon exemplaire.Tirage total à 400 exemplaires numérotés sur beau papier vergé, cleui-ci N° 160.
Envoi autographe signé de l'auteur et un mot rayé. ( GrMD)
1928 Aux éditions du Raisin 1928 -, Paris, 1 volume. In-8 broché,18 pp. Couverture beige rempliée avec titre en rouge. Intérieur propre sauf pages de garde jaunies,. EDITION ORIGINALE limitée à 400 exemplaires numérotés (n°344).Articles de presse et texte Virgile chez Petrarque - Revue des deux mondes 1/10/1930 joint.
Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
P. Plon, 1929 ; petit in-8, broché. 31 pp.-2 ff. Très bon état, non coupé, bandeau d'édition conservé.
Edition originale. Avec un envoi autographe de l'auteur à Mlle Marie-Louise Cottin, et une lettre autographe signée à cette dernière (7 janvier 1928), in-12, enveloppe conservées.Marie-Louise Cottin est née le 12 mai 1889 et morte le 29 juin 1965 à Sens. Pendant près de 50 ans, Mlle Cottin s'est consacrée au Trésor de la cathédrale de Sens, d'abord sous la conduite du Chanoine Chartraire, puis en collaboration avec la Direction des Monuments Historiques. Le trésor renferme des collections de tissus anciens : étoffes coptes, persanes, byzantines (suaires de saint Siviard, sainte Colombe et saint Loup) et des vêtements liturgiques du XIIe et XIIIe siècle. Mlle Cottin participa à l'inventaire de ces collection, aquarelliste talentueuse, elle restitue à des tissus devenus illisibles leurs dessins et leurs couleurs. Elle les nettoie et les dispose dans des sous-verres, y ajoutant parfois la restitution aquarellée. (Notes extraites d'une notice du Musée de Sens). P. de Nolhac la remercie pour ses voeux et les cartes qu'elle lui à envoyées.
CALMANN-LEVY 1904,IN 12 Broché,mention fictive 3e edition sur la couverture ,232p.sur papier fort,Bon état
Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
P , Lapina , 1923 , grand in8 1/2 chagrin bleu nuit à coins , tête dorée , 161pp , couvertures conservées . Un des exemplaires hors commerce avec envoi de l' éditeur . Langue: Français
Paris, Lapina, collection "Les Livres Célèbres", 1923, 1 plein maroquin, dos à nerfs, orné, tête dorée, couverture illustrée par Paul Emile Colin conservée. in-8 de 161-(4) pages, bois originaux en couleurs de Paul-Emile Colin, exemplaire numéroté sur papier de Rives B.F.K., spécialement fabriqué pour cette collection ;
La présente édition, entièrement remaniée par l'auteur, doit être regardée comme un texte définitif.
Phone number : 06 80 15 77 01
Paris, Editions Lapina 1923, 230x160mm, 161pages, broché. Non rogné, non coupé. Couverture rempliée. Exemplaire sur papier de Rive B. F. K. numéroté 724/1300. Très bel exemplaire.
illustré, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
GARNIER FRERES. 1925. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 195 pages.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Poésies Classification Dewey : 841-Poésie
1904 Paris, Calmann-Lévy, sans date (1904), in 12 broché, 232 pages ; mention [fictive] de 3e dition sur la couverture.
Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé sur le faux-titre. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris, Lapina, impr. Presses de la maison Alpina, coll. « Les Livres Célébres, 1 » 1923 In-8 23 x 16,5 cm. Reliure demi-basane fauve à coins, filets dorés, couvertures et dos conservés, dos lisse orné de petits fers à froid et de filets dorés, 161 pp., frontispice, bandeaux, culs-de-lampe, 7 bois en couleurs dans le texte. Bon exemplaire élégamment relié.
édition entièrement remaniée par l’auteur, et tirée à 1300 exemplaires justifiés. Celui-ci, N° 1194 des 1253 exemplaires sur papier de Rives B.F.K. Très bon état d’occasion
Paris, Champion, 1923 in-8, XI-100 pp., frontispice, broché.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
P;, Emile-Paul, 1920 ; in-8, broché. 26 pp. Rousseurs sur la couverture. Intérieur frais.
Edition originale, tirée sur un beau papier d'Arches vergé et filigrané au nom de Nolhac et Versailles (l'auteur avait été conservateur du musée du château de 1892 à 1920). Avec un bel et touchant envoi autographe à "Mademoiselle Jeanne Cottin et mon cher Henri" (sa future belle-fille que son fils Henri, peintre, épousa le 20 décembre 1920). On joint un feuillet manuscrit de la main de P. de Nolhac comportant au recto et au verso deux sonnets correspondant aux pages 4 et 5 du recueil, avec quelques variantes par rapport au texte imprimé.
Paris, Librairie Plon, éditions d’histoire et d’art, 1933, in-8°, portrait de Voltaire en frontispice + 228 p. + 2 ff., cachet rouge Nicolas-Alexandre Blanc, sur p. de garde. reliure en maroquin bleu, dos richement orné or, coins arondis, encadrement or sur les plats, pages de gardes papier dominoté marbré, couverture devant de la brochure originale conservée. Très bel exemplaire.
Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Paris, Garnier Frères, 1925, in-8°, 200 p., non rogné, Un des 100 exemplaires sur Lafuma, n° 46. brochure originale rempliée.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Paris, Plon, Nourrit et cie. 1889 xl + 179pp., édition originale, 19cm., br.orig., imprimé sur papier de luxe, bon état, peu commun, Y88178
Milano, Casa d’Aldo senza data, ca. 1906, 235x165mm, 38pagine, in brossura.
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de 2003 à 2016. Quelques annotations tres legeres au crayon