Write to the booksellers-
Type
Any type (3)
Art print (2)
Artists book (13)
Autograph (4)
Book (49959)
Disk (36)
Drawings (15)
Engraving (17)
Magazine (167)
Manuscript (5)
Old papers (32)
Photographs (23)
Postcards (14)
Posters (14)
Print on demand (1)
-
Latest
Last 24h (29)
Last 3 days (47)
Last month (660)
Last week (121)
-
Language
English (18)
French (50271)
German (6)
Italian (2)
Latin (6)
Norwegian (1)
Russian (1)
-
Century
16th (138)
17th (411)
18th (1561)
19th (10344)
20th (24112)
21st (1366)
-
Countries
Belgium (1)
Côte d'Ivoire (5)
France (48108)
Italy (52)
Switzerland (2139)
-
Syndicate
CNE (3)
ILAB (27473)
SLAM (27353)
SNCAO (11)
Collection de A. BEURDELEY
13è vente : Catalogue des estampes modernes (6è partie). Broché Bon Paris Drouot 1921 1 volume in-4°
Édition originale
Collection de la Princesse de X…
Nombreuses planches hors texte, parfois dépliantes. Broché Très bon Paris Galerie Charpentier 1953 1 volume in-4°
édition originale
Collection de Madame DHAINAUT.
Vente à Paris le 19 mai 1924 des tableaux modernes, porcelaines tendres … Broché Très bon Paris Galerie Georges Petit 1924 1 volume in-4°
édition originale
Collection de M. George Haviland
S.n., Paris 1932, 22,5x28cm, broché.
Edition originale de ce catalogue de vente réalisée à l'Hôtel Drouot les 7, 8 et Juin 1932. Laques du Japon des XVIè, XVIIè et XVIIIè, Netsuke en bois et en ivoire, poteries japonaises du XVIè au XVIIIè, bronzes, peintures et paravents... Illustrations. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Collection de M. J. BOUSSAC
Catalogue des dessins et aquarelles composant la collection de M. J. Boussac. Galerie Georges Petit en mai 1926 Broché. Couverture usagée et dos recollé. Bon Paris Galerie Georges Petit 1926 1 volume in-4°
édition originale
Collection de M. Léon MICHEL-LÉVY.
Importante vente de tableaux de l’école française du XVIIIè siècle. Broché. Bon Paris Galerie Georges Petit 1925 1 fort volume in-4°.
édition originale
Collection de Mme R. Blay
Vente à Drouot le 4 juillet 1929 de dessins, aquarelles, gouaches. Ex-libris René Huyghe. Broché Très bon Paris Hôtel Drouot 1929 1 volume in-4°
édition originale
Collection de Monsieur et Madame Roberto Polo
Vingt-six chefs-d'œuvre de la peinture française du XVIIIè siècle. Vente à Paris, le 30 mai 1988. Prix d'adjudication parfois marqués à l'encre et annotations d'un érudit en marges. Cartonnage d'éditeur sous jaquette illustrée. Très bon Paris Ader Picard Tajan 1988 1 volume in-4°
édition originale
Collection de S. E. feu le Prince Alexis Orloff
Catalogue de tableaux anciens, dessins par Tiepolo … Broché. Dos factice. Bon état intérieur. Bon Paris Galerie Georges Petit 1920 1 volume in-8°.
Édition originale
Collection Gabriel COGNACQ
Tableaux anciens, modernes et sculptures. Vente après décès à la Galerie Charpentier en 1952. Broché Très bon Paris Galerie Charpentier 1952 1 volume in-4°
édition originale
Collection Lucien GUIRAUD
Tableaux modernes, Objets d'art et de bel ameublement du XVIIIè siècle. Vente après décès de Madame veuve Lucien Guiraud Broché Très bon Paris Hôtel Drouot 1956 1 volume in-4°
édition originale
Collection Ney, Prince de la Moskowa
Objets d'Art et de très bel ameublement du Premier Empire. Ventes à Paris en 1929. Nombreuses et magnifiques planches hors texte. Exemplaire de René HUYGHE (tampon). Broché Très bon Paris Galerie Georges Petit 1929 1 volume in-4°
édition originale
Collection Robert Polo
Vente à Paris, Hôtel George V le 7 novembre 1991. Cartonnage d'éditeur de toile sous jaquette illustrée. Très bon Paris Ader Tajan 1991 1 volume in-4°
édition originale
[COLLEGE DE PATAPHYSIQUE] Collection les astéronymes : N°3 : Sens unique
Collège de Pataphysique, Paris 1995, 10,5x16cm, broché.
Edition originale, un des 444 exemplaires numérotés sur papier mérodional. Agréable exemplaire du troisième ouvrage de la collection "Les astéronymes" qui en compte six. - Photos sur www.Edition-originale.com -
[COLLEGE DE PATAPHYSIQUE] Les membres du Collège de Pataphysique sont des hélianthes
Collège de Pataphysique, Paris 1975, 15x21cm, agrafé.
Edition originale, un des 300 exemplaires numérotés sur papier culturellement révolutionnaire. Agréable exemplaire malgré des taches de rouille en tête des feuillets. Paroles de Tchang Che-hsi sur une musique de Wang Yu-si. Nous joignons un questionnaire à remplir adressé aux Dignittaires et membres du Collège qui était initialement agrafé à notre exemplaire, ce qui explique les taches de rouille. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Congé de libération
Belle pièce en partie imprimée, délivrée en 1873 à un soldat ayant effectué l'expédition du Mexique (médaillé) et la guerre de 1870-1871. Signé du Général de Division. 16è Division Militaire, Rennes. Très bon Rennes s.n. 1873 in-folio
édition originale
Reference : 5798
Conquerneau
Intéressante vue de la ville avec son port, d'après le dessin de Johanners Peeters. Estampe originale du XVIIè siècle. Très bon état dans un cadre doré moderne. circa 1660 29 x 45
édition originale
[CONSEIL MUNICIPAL DE PARIS] Compte rendu officiel du voyage du Lord-Maire et de la corporation de la cité de Londres à Paris en 1906 et du voyage à Londres du Conseil municipal de paris en 1907
Imprimerie Nationale, Paris 1908, 25x33,5cm, broché sous chemise et étui.
Edition originale. Ouvrage orné de nombreuses illustrations hors-texte dont 1 lithographie originale et 6 dessins originaux de N. Derville reproduits en héliogravure.Iconographie. Etui et chemise défraîchis. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Construction n°16 : Voiture-Phaëton. Imagerie d'Epinal OLIVIER-PINOT
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1890), 29,5 x 40,5 cm, une feuille.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, moyen format, imprimée sur papier fort. Coins manquants, importantes déchirures en marges de droite et inférieure avec manque mais sans atteinte à l'estampe, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Construction n° 42 : Corbeille à ouvrage
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Construction pour enfants n°15 : le Puits de la ferme
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Constructions mécaniques n°49 : Scierie (ce sujet fonctionne au moyen du sable)
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Infimes manques marginaux sans aucune atteinte à la gravure, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Constructions mécaniques n°63, fonctionnant au moyen du sable : les Forgerons
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Constructions n° 31 bis : Meubles & accessoires
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Une petite déchirure restaurée en marge gauche, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Constructions n°31 : Meubles & accessoires
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 39 x 49 cm.
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Une petite déchirure restaurée en marge (2 cm) sans aucune atteinte à la gravure, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -
