Balland. 1989. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 430 pages.. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine
"Par l'auteur de ""L'enfant en héritage"" - Traduit de l'américain par France Delville. Classification Dewey : 810-Littérature américaine"
LE PATRE. 1991. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 218 pages augmentees de quelques illustrations en noir et blanc hors texte -annotations à l'encre sur les contreplats sans consequence sur la lecture - leger manque en coiffe en pied de la pa89 à 92 n alterant pas la lecture - lettrines -. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
ASSOCIATION LE PATRIARCHE. NON DATE. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 218 pages. Quelques illustrations en noir et blanc,dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Illustrations de Manolo Sirera. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Leuven, Peeters 1987 xx + 146pp.+ 70 plates out of text, hardcover (editor's green cloth with gilt lettering), 25cm., in the series "Orientalia Lovaniensia Analecta" volume 20, fine condition, ISBN 978-90-6831-066-5, X80296
, Bai/Groninger Museum, 2010 Gebonden, beige linnen hardcover met witte opdruk, 12.7x20.6 cm., 200x250mm, 128 pp., geillustreerd in z/w, nederlandstalige editie. ISBN 9789085864820.
Deze bloemlezing met gedichten van Ovidius, Dante, Shelley, Keats en Tennyson verschijnt naar aanleiding van de tentoonstelling "J.W. Waterhouse (1849-1917). Betoverd door vrouwen" in het Groninger Museum. Het idee voor deze bundel ontstond vanuit de gedachte dat de literatuur in de negentiende-eeuwse kunst een belangrijke plaats inneemt als inspiratiebron voor kunstenaars van verschillende disciplines. De Britse schilder John William Waterhouse is hiervan een bijzonder en belangrijk voorbeeld. Hij baseerde de voorstellingen van zijn schilderijen veelvuldig op literatuur uit de Klassieke Oudheid en de romantische Engelse literatuuur, maar veroorloofde zich daarin ook veel vrijheid zonder de inhoud van de mythen en gedichten aan te tasten. Hierin stond hij niet alleen. Vele kunstenaars gingen hem voor wanneer we kijken naar de inspiratie die uitging van de geschriften van Ovidius en Dante Alighieri. Wat betreft de romantische Britse literatuur kon Waterhouse zich herkennen in schilders van de Engelse Pre-Raphaelite Brotherhood die hem voorgingen en zich onder meer lieten leiden door de gedichten van Shelley, Keats en Tennyson.
E.P. Dutton and Co/J.M. Dent & sons. 1932. In-12. Cartonné. Etat passable, Couv. défraîchie, Dos fané, Papier jauni. 256 pages. Tâches en plats. Coins frottés. Quelques rousseurs. Texte en anglais.. . . . Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
New York, Simon and Schuster, 1989 24 x 16,5 cm, 494 pp Very good condition
Second part of Shelley Winters' biography, yellow hard cover, dust-jacket, with black & white illustrations.
Editions des Femmes, 1984. In-12 broché, couverture illustrée, accompagné d'un bloc-notes "Féminaire", réunis sous coffret cartonné. Bande de lancement conservée. Menus défauts à l'étui, le livre est à l'état de neuf.
"Mary Shelley est la fille d'une féministe célèbre - Mary Wollstonecraft - et d'un philosophe réputé - William Godwin -; elle est aussi la femme du plus romantique des poètes anglais - Percy B. Shelley - qui l'enlève en 1814, pour l'entraîner dans un périple non moins romantique jusqu'en Italie. Si l'on mentionne ici les familiers de Mary Shelley, ce n'est pas pour lui attribuer une identité dérivée des seuls noms de son père et de son mari, mais pour évoquer une configuration littéraire qui ne pouvait que marquer sa production romanesque. Avec Frankenstein, Mary Shelley avait inventé un créateur, une créature et un mode de création monstrueux, dans la tradition du roman noir dont il est un des sommets. Mathilda est encore un roman de l'inhumain, où les passions elles-mêmes sont "gothiques" : elles réclament l'ombre de la nuit pour éclore, la tempête pour être châtiées et la tristesse d'une lande déserte pour être expiées. Comment lire aujourd'hui ce roman romantique ? Comme le conte ironique des regrets de l'auteur pour avoir laissé ce qu'elle aime en Angleterre ? Comme l'écran a une angoisse plus profonde de celle qui fut l'unique enfant d'une femme morte en couche, et mère elle-même plusieurs fois d'enfants disparus peu après leur naissance ? Ou comme l'expression, peut-être, des thèmes désespérés que lui assignait la fréquentation des romantiques ?"