PM-GLN-189-1, Eugène Hugues, Editeur, Paris
Satisfaisant
Relié bon état sous jaquette .Contenu propre . Jaquette légèrement déchirée .127 pages . 2002.PHOTOS SUR DEMANDE
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Victor Hugo, La voix de Guernesey- Victor Hugo à Garibaldi. Bruxelles, chez tous les libraires, 1867. In-16, 16p. Edition originale, sous sa couverture bleue. Si on considère cette plaquette comme l'originale, Meurice considère la véritable édition originale comme étant une plaquette imprimée à Guernesey. Broché, petits manques en haut de la première de couverture. Bel exemplaire. [317]
Couverture d'usage au dos recollé ; intérieur en bon état ; PM-HASP-112, Bibliothèque Larousse
Moyen
ROBERT LAFFONT - collection bouquins fondee par Guy SCHOELLER. 2002. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 970 +1270 + 1135 pages . Quelques planches en noir et blanc dans le tome 3.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
ISBN : 9782221096857 + 9782221096864 + 9782221096871 SOMMAIRE : Han d'Islande- Bug-Jargal- Le dernier jour d'un condamne- Notre-Dame de Paris - Claude Gueux- annexe: le bug jargal du conservateur litteraire - les miserables - L'archipel De La Manche - Les Travailleurs De La Mer - L'homme Qui Rit - Quatrevingt-Treize. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
EDITO SERVICE SA 1970 1970.
Jules Rouff Et Cie Sans date.
Etat correct
Jules Rouff Et Cie Sans date.
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Demi-reliure éditeur verte.
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18 tomes in-8 reliés. Club Français du Livre 1967 | Etat : TBE général. Les coiffes du tome 1 sont frottées (voir photos ) (Ref.: REF101030)
le club français du livre
1910 1910. Ancien carton stéréoscopique vers 1910 celui-ci à la particularité de comporter 2 clichés / photos collées sur le RECTO ET VERSO :. - Recto : 54 MEURTHE-ET-MOSELLE NANCY : Vue depuis les rails de chemin de fer sur le nouveau Boulevard Victor Hugo et le Sacré Coeur. - Verso : Militaria : Garde du 4ème de Chasseurs à pied
Occasion
editions d'art 2002 2002. ouvrage grand format broché 190 pages de 2002 abondamment illustré; vendu 30 euros en librairie. en TRES BON ETAT intérieur propre et frais sans déchirures ni annotations; ouvrage quasi neuf. Victor Hugo a fasciné les hommes de son temps. David dAngers avait fait plusieurs portraits du jeune poète romantique. Rodin qui les connaissait donna au contraire limage du patriarche du Victor Hugo de lexil. En 1883 il réalisa le buste de lécrivain. La légitimité que lui donna lexécution de ce buste lui permit de lemporter sur les autres sculpteurs Dalou en particulier et dobtenir en 1889 la commande du monument destiné à lorigine au Panthéon. Mal à laise avec lallégorie indispensable pour meubler cet espace immense il ne réussit cependant pas à mener à bien son projet : en 1909 le Monument à Victor Hugo aboutit à un marbre érigé au Palais-Royal sous une forme réduite à la seule figure du grand homme. Cet ouvrage retrace la rencontre de deux génies du XIXe siècle. Les photographies dessins gravures présentés ici sont autant de témoignages de limportance du poète dans lœuvre du sculpteur
Très bon état
Paris, A. Lacroix, Verboeckhoven et Cie . Librairie internationale 1864
Bon état Jolie demie reliure avec dos orné ( un nom sur le bas Ch Darrieux) Edition originale (Carteret I . 421) Pas trop de rousseurs. En raison de sa taille, envoi en colis nécessaire . Littérature XIXe Edit Orig Victor Hugo Bio Shakespeare - largeur/hauteur :15,5x23 cm - poid : 1100 g - nombre de pages : 572 p. - langue : Français
A. Lacroix, Verboeckhoven & Cie | Paris 1864 | 14 x 22.8 cm | Relié
Édition originale. Quelques petites rousseurs. Reliure en demi basane aubergine, dos lisse orné de filets dorés et à froid, frises dorées en tête et en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliure de l'époque. Notre exemplaire est enrichi d'un portrait photographique de Victor Hugo (Souvenir du 16 septembre 1862) qu'il a contresigné à l'encre, en guise de frontispice ; ainsi que d'un envoi autographe signé de Victor Hugo ajouté sur un feuillet de papier bleu : "A mon vaillant et cher compagnon d'épreuve C. Berru", Camille Berru (1817-1878), journaliste français, fut rédacteur à l'Indépendance belge, quotidien de Bruxelles dirigé depuis 1856 par le marseillais Léon Bérardi (1817-1897), qui en fit ensuite son secrétaire particulier. Il était très lié à la famille Hugo, non seulement à Victor, mais également à son fils Charles et à Adèle Foucher. Pendant ses séjours à Bruxelles, c'est chez Berru que l'exilé de Guernesey descendait régulièrement, avec sa femme, qui y mourut d'ailleurs d'une congestion cérébrale le 27 août 1868. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s.d. (21 janvier 1840) | 21.20 x 26.70 cm | un feuillet sous cadre
Poème autographe signé «?V. H.?» de Victor Hugo, quatre quatrains à lencre noire sur une page dun feuillet présenté sous encadrement en baguette dacajou. Cachet à froid de la ville de Bath dans la partie inférieure gauche. Plis horizontaux et verticaux, petites rousseurs le long des plis, quelques taches pâles en marge inférieure droite, sans atteinte au texte. Quelques petites traces sombres en marge inférieure droite, lune affectant une seule lettre du mot «?retombe?». Manuscrit original et version antérieure au texte final de lémouvant poème autographe de Victor Hugo, publié sous le titre «?Écrit sur le tombeau dun petit enfant au bord de la mer?» dans son recueil Les Rayons et les ombres (Paris, Delloye, 1840). * Hugo composa ce magnifique éloge funèbre à la mémoire du jeune neveu de son grand ami Auguste Vacquerie, décédé à lâge de quatre ans et dix mois. Le poète avait promis un poème en épitaphe et adressa personnellement le présent manuscrit à Vacquerie?: «?Prenez donc ces vers, si vous en voulez toujours pour la tombe de ce cher petit?» (Lettre à Vacquerie, 21janvier 1840). Comme la justement remarqué Joseph Petrus Christiaan de Boer, «?Il ny a aucune douleur que le poète ait su mieux comprendre et plus délicatement exprimer que limmense tristesse qui remplit le cur des parents à la mort dun de leurs enfants?» (Victor Hugo et lenfant, 1933, p. 48-49). Ce poème inaugure un sublime et macabre ensemble duvres composées à loccasion des drames familiaux qui touchèrent les familles dHugo et de son ami Auguste Vacquerie. Le plus célèbre dentre eux sera «?Demain dès laube...?» écrit après la noyade de sa fille adorée Léopoldine aux côtés de Charles, frère dAuguste Vacquerie, le 4 septembre 1843, peu de temps après leur mariage. Hugo compose ces vers pour Charles-Émile Lefèvre, jeune enfant de la sur de Vacquerie, qui séteint inopinément le 6 novembre 1839. Le 21 janvier 1840, Hugo envoie à Vacquerie le présent manuscrit, où figure une variation par rapport à la version définitive parue le 16 mai de la même année chez Delloye?: «Vieux lierre, frais gazon, herbe, roseaux, corolles ; Eglise où l'esprit voit le Dieu qu'il rêve ailleurs ; mouches qui murmurez d'ineffables paroles A l'oreille du pâtre assoupi dans les fleurs ; Vents, flots, hymne orageux, chur sans fin, voix sans nombre ; Bois qui faites songer le passant sérieux ; fruits qui tombez de l'arbre impénétrable et sombre ; Étoiles qui tombez du ciel mystérieux ; oiseaux aux cris joyeux, vague aux rumeurs[plaintes dans le poème publié]profondes ; froid lézard des vieux murs dans les pierres tapi ; plaines qui répandez vos souffles sur les ondes ; Mer où la perle éclot, terre où germe l'épi ; Nature d'où tout sort, nature où tout retombe, feuilles, nids, doux rameaux que l'air n'ose effleurer, Ne faites pas de bruit autour de cette tombe ; Laissez l'enfant dormir et la mère pleurer.» Le poète avait accompagné le manuscrit dune touchante lettre?: «?Voici enfin, mon poëte, ce que je vous ai fait stupidement attendre si longtemps. [...] Prenez donc ces vers, si vous en voulez toujours pour la tombe de ce cher petit [...] Du reste je ne me crois pas quitte pour si peu envers cet ange. Jai commencé pour lui quelque chose de plus long que je déposerai un de ces jours aux pieds de la pauvre mère?» (uvres complètes de Victor Hugo, Correspondance I, Albin Michel, 1947, vol. 41, p. 141). On ne sait quelle autre uvre sera adressée à Marie Arsène Lefèvre, la «?pauvre mère?», qui perdra en moins de quatre ans son mari et ses deux fils. Hugo composera également deux poèmes en souvenir de Paul-Léon Lefèvre, le frère jumeau de Charles-Émile, qui le suivra dans la tombe trois ans plus tard à lâge de sept ans (Contemplations, Liv. III, XIV et XV). Limmense douleur qui affecta Hugo et Vacquerie, accablés de deuils, ne fera que rapprocher leurs «?curs liés au morne piédestal?» (Contemplations, Liv. V, I, «?À Aug. V.?»). Collaborant dès l
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Reliure demi-maroquin bordeaux à coins. Dos à nerfs orné de fleurons dorés. Tête dorée. Couverture conservée. Catalogue des librairies de 13 pp. in fine.
Paris Adolphe Guyot, Urbain Canel 1834 91 pp. In-8. Reliés. Très bel état. 1 volume. ÉDITION ORIGINALE.
Editions Hatier 1950 1950. Victor Hugo - Œuvres Poétiques Choisies (Tome 1) / Les Classiques Hatier 1950
Bon état
Editions Hatier 1951 1951. Victor Hugo - Œuvres Poétiques Choisies Tome II / Les Classiques Hatier 1951
Hauteville House 11 et 13 mai 1856 | 14 x 21.50 cm | une feuille
Lettre autographe signée de Victor Hugo datée du 13 mai 1856 à la suited'une lettre inédite de Madame Victor Hugo à Madame David d'Angersdatée du 11 mai. 4 pages sur un feuillet remplié à filigrane "Barbet Smith Street Guernesey". Publiée dans Correspondance de Victor Hugo, Paris, année 1856, p. 246 Dans cette lettreimprégnée des apparitions et spectres qui hantent lesContemplationsrécemment publiées, Victor Hugo s'adresse à la veuve de son grand ami le sculpteur David d'Angers, fervent républicain et artiste particulièrement admiré des romantiques. En pleine crise mystique, Hugo parle à l'ombre du sculpteur à qui il dédia de sublimes poèmes dansLes feuilles d'automneainsi queLes rayons et les ombres et réclame auprès de sa veuve son portrait favori, un buste en marbre jadis sculpté par David d'Angers. Après l'expulsion des proscrits de l'île de Jersey,VictorHugo fait l'achat d'Hauteville House grâce au succès desContemplationset apprend avec tristesse la disparition d'un ami cher.Il écrit à la veuve du sculpteur sur le même feuillet que sa femme Adèle, également liée avec la famille de David d'Angers, créateur d'un médaillon à son effigie : «Vous êtes la veuve de notregrand David d'Angers, et vous êtes sa digne veuve comme vous avez été sa digne femme». Le sculpteur de renom s'était déjà lié au premier salon romantique de Nodier à l'Arsenal et fréquentait presque quotidiennement Hugo à la fin des années 1820 dans l'ambiance bonapartiste et bon enfant de la rue Notre-Dame des Champs, en compagnie des frères Devéria, Sainte-Beuve, Balzac, Nanteuil et Delacroix. En 1828, l'écrivain avait posé avec bonheur dans l'atelier de David d'Angers rue de Fleurus, pour un médaillon puis un buste qui avaient été suivis de deux sublimes poèmes célébrant le talent du sculpteur dansLes Feuilles d'Automne etLes rayons et les ombres.De tous ses portraits pourtant nombreux, il chérissait plus que tout autre son buste de marbre signé David d'Angers et n'hésite pas à le réclamer à sa veuve : «Avant peu, peut-être, madame, ma famille vous demandera de lui rendre ce buste qui est ma figure, ce qui est peu de chose, mais qui est un chef-d'uvre de David, ce qui est tout. C'est lui encore plus que moi, et c'est pour cela que nous voulons l'avoir parmi nous». De ces séances de pose avec le sculpteur naquirent de fructueuses conversations esthétiques et politiques où s'était affirmée leur aversion commune pour la peine de mort. Ils assistèrent au ferrement des galériens qui rejoignaient Toulon depuis Paris, décrit par Hugo dans deux chapitres duDernier jour d'un condamné. Victime de l'exil comme Hugo, David d'Angers était rentré à Paris avant de rejoindre le monde des morts: «Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde, comme je vois sa grande vie dans l'histoire sévère de notre temps». La «grande vie» de David d'Angers fut consacrée à façonner les effigies des hommes illustres, par un subtil équilibre de ressemblance et d'idéalisation. Le sculpteur prend finalement place dans le panthéon personnel de Victor Hugo, lui qui avait orné le fronton du véritable Panthéon des grands hommes où repose aujourd'hui l'écrivain: «David est aujourd'hui une figure de mémoire, une renommée de marbre, un habitant du piédestal après en avoir été l'ouvrier. Aujourd'hui, la mort a sacré l'homme et le statuaire est statue. L'ombre qu'il jette sur vous, madame, donne à votre vie la forme de la gloire». C'était en effet à l'ombre des grands hommes qu'Hugo vécut son exil à Jersey, loin du tumulte de la capitale et dans le silence ponctué par les embruns frappant les carreaux. Hugo s'était plongé dans l'occulte et parlait aux disparus :«David est une des ombres auxquelles je parle le plus souvent, ombre moi-même», déclare-t-il, rappelant le poème final desContemplations, «Ce que dit la bouche d'ombre», dicté au poète grâce au procédé spirite des «tables tournantes». Alors au sommet de
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"1978. Paris Cahier de l'art mineur n°13 Limage 1978 - Broché 19 cm x 19 5 cm 58 pages (non paginé) - Catalogue raisonné des gravures de Victor Hugo introduction d'Alfred Caron bibliographie- Bon état"