Masson. 1975. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 263p.. . . . Classification Dewey : 306.9-La mort
Préface de Claude VEIL. Puisque Socrate est homme, Socrates est mortel. Socrate le sait et il sait conduire sa vie jusqu'à sa mort. Classification Dewey : 306.9-La mort
Masson. 1975. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 263 pages. Illustré de photos en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 306.9-La mort
Préface de Claude Veil. La préparation à la mort. La lutte contre la mort. Le mort. Classification Dewey : 306.9-La mort
P., Masson, 1975. in-8°,, XVI-263 pages, -, annexes, 2 index, broche, couv.
Bel exemplaire. [SC-4]
"L'Arche éditeur. 1951. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos fané, Intérieur bon état. 188 pages. Couverture fanée. Mors légèrement frottés. Collection ""L'homme devvant les mystères"".. . . . Classification Dewey : 306.9-La mort"
Classification Dewey : 306.9-La mort
LA RENAISSANCE DU LIVRE. non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Intérieur frais. 247 pages.. . . . Classification Dewey : 306.9-La mort
Opinions de MM. Gabriel Delanne, Professeur Charles richet, Camille Flammarion, Mme Curie, marucie Maeterlinck, Conan Doyle, Prof Branly, Dr Geley, R. P. Mainage... Classification Dewey : 306.9-La mort
André J. F. Heymans, éditeur, 1996. 17 x 20, 204 pp., broché, bon état.
Flammarion Au Fil de l'Histoire Flammarion, Coll. Au Fil de l'Histoire, 2008, 422 p., broché, bon état.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
,Paris, Fayard 1975, 276 pp., 1 vol. in 8 br. illustrations hors-texte
Une étude sans précédent sur les 'haras' nazis et leur projet de création d'une race pure.
Revue de 144 pages, format 170 x 240 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, publiée en 1998, bon état
Dossier : "Enquête sur les origines du Christianisme" :les révélations des Manuscrits de la Mer Morte
Phone number : 04 74 33 45 19
Porrentruy, éd des Portes de France s.d. (vers 1945). Bel exemplaire broché, couverture ornée d'éd., in-12, 122 pages avec bois.
Paris, Imprimé pour Edwin Tross (par Firmin Didot Frères), 1856, in-8 ; cartonnage percaline de l’éditeur vert foncé, grands décors à froid sur les plats, titre doré au dos, entre deux fleurons décoratifs dorés et au plat ; (96) pp.
Bordures tirées des Heures de Simon Vostre.Imprimé sur beau vergé de Hollande. Très bel exemplaire avec juste une petite usure à la coiffe supérieure.
Phone number : 06 60 22 21 35
1856 un volume, reliure demi-vélin blanc grand in-octavo (half binding white vellum in-octavo), dos muet (spine without title), dos long (spine without raised band), papier peigné aux plats (cover with painting paper), toutes tranches lisses (all smooth edges) jaspées (all marbled edges), couverture illustrée conservée (cover illustrated of the preserved paperback edition), Bel exemplaire, tel que paru, sur papier vergé. Texte encadré des gravures sur bois en noir (engraving woods in black) reproduisant les dessins d' Hans Holbein ayant pour théme la danse des morts (Très belle impression de Firmin Didot), 48 feuillets non paginés, 1856 Paris Edwin Tross Editeur,
1ère Edition...superbe....en trés bon état (as new condition).
Paris Edwin Tross 1856 in-8 pleine percale un volume, reliure pleine percaline vert-foncé grand in-octavo Editeur (binding full percale in-octavo Editor)(22,6 x 14,2 cm), dos long (spine without raised band), titre frappé "or" verticalement au centre du dos avec des fers spéciaux "or" de part et d'autre du titre, plats ornés à froid (plaques spéciales Editeur) d'un cadre central ovale à froid dans un encadrement à triple filets à froid avec coins en enchevêtrement, titre frappé "or" au milieu du cadre ovale à froid, au centre du 1er plat, toutes tranches lisses (all smooth edges), Bel exemplaire, tel que paru, sur papier vergé. Texte en vieux françois et Latin encadré des gravures sur bois en noir (engraving woods in black) reproduisant les dessins d' Hans Holbein ayant pour théme la danse des morts (Très belle impression de Firmin Didot), 48 feuillets non paginés, 1856 Paris Edwin Tross Editeur,
1ère Edition.....trés rare en cartonnage editeur....superbe....en trés bon état (as new condition). en trés bon état
Edwin Tross Paris 1856 In-8 ( 220 X 145 mm ) de 48 feuillets non chiffrés, demi-maroquin tabac, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés, tête dorée. Très belle impression de Firmin Didot sur papier vergé. Texte encadré des gravures sur bois reproduisant les dessins d'HOLBEIN ayant pour thème la danse macabre. Très bel exemplaire agréablement relié.
Cerf. Avril 2005. In-8. Broché. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 104 pages.. . . . Classification Dewey : 306.9-La mort
Classification Dewey : 306.9-La mort
Honoré ou Honorat de Castellan, en réalité Duchastel dit Castellanus dit Castellan (1511-1569), docteur en médecine en 1544 à Montpellier, conseiller et médecin ordinaire des rois Henri II, François II et Charles IX (peut-être aussi premier médecin de ces trois rois), premier médecin de la reine Catherine de Médicis, oncle des médecins André et Richard du Laurens et beau-frère du médecin Louis Laurens (1511-1574) qui avait épousé sa soeur, mort de maladie au siège de Saint Jean d'Angély comme son ami Jean Chapelain. Il était natif de Barbentane (Bouches-du-Rhône).
Reference : 013769
Honoré ou Honorat de Castellan, en réalité Duchastel dit Castellanus dit Castellan (1511-1569), docteur en médecine en 1544 à Montpellier, conseiller et médecin ordinaire des rois Henri II, François II et Charles IX (peut-être aussi premier médecin de ces trois rois), premier médecin de la reine Catherine de Médicis, oncle des médecins André et Richard du Laurens et beau-frère du médecin Louis Laurens (1511-1574) qui avait épousé sa soeur, mort de maladie au siège de Saint Jean d'Angély comme son ami Jean Chapelain. Il était natif de Barbentane (Bouches-du-Rhône). P.S., 15 janvier 1557, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Quittance pour le paiement de sa rente. Celle-ci fut payée par François de Vigny, receveur des finances de la ville de Paris, l'ancêtre d'Alfred de Vigny qui fut anobli. On trouve aussi sa trace comme premier médecin des trois rois, notamment dans l'Histoire administrative de Beaucaire publiée par Alexandre Eyssette. Il semble que ce soit l'origine de cette information sur laquelle nous avons quelque doute. [279-2]
Phone number : +33 6 30 94 80 72
Paris, Albanel, 1868. In-8, IX, 425 pp. broché.
Se termine par un précieux " catalogue des sigles ou abbréviations des inscriptions chrétiennes ". Rousseurs.
DOMAT, 1953. 3 volumes in-8 brochés (19 x 12 cm), 458-259 et 576 pages.- 960g.- Couvertures en couleurs, en bel état de fraîcheur.
BUCHET CHASTEL. 2009. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 119 pages. . . . Classification Dewey : 306.9-La mort
Classification Dewey : 306.9-La mort
Paris, Desclée de Brouwer, 1998. in-8°, 207 pages, -, broche, couverture illustree plast.
Tres bel exemplaire [CA29-3]
DESCLEE DE BROUWER. 1994. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 229 pages - illustration en couleurs sur le 1er plat .. . . . Classification Dewey : 306.9-La mort
Classification Dewey : 306.9-La mort
1989 in-8 broché - 1989 - 310p - Ed. Presses de la cité
Bon état
Hubert de Larmandie (1893-1920), licencié en droit et lettres, croix de guerre, inspecteur des finances, mort à seulement 26 ans. Il était le fils de Léonce de Larmandie.
Reference : 012507
Hubert de Larmandie (1893-1920), licencié en droit et lettres, croix de guerre, inspecteur des finances, mort à seulement 26 ans. Il était le fils de Léonce de Larmandie. L.A.S., 2 novembre 1917, 2p in-4. A l'écrivain Lucien Descaves (1861-1949). Belle lettre dans laquelle il annonce son départ pour la Dordogne, pour rejoindre son père à qui il donnera sa lettre. Il lui annonce aussi sa réception au concours de l'Inspection des Finances. [248]
Hubert de Larmandie (1893-1920), licencié en droit et lettres, croix de guerre, inspecteur des finances, mort à seulement 26 ans. Il était le fils de Léonce de Larmandie.
Reference : 012508
Hubert de Larmandie (1893-1920), licencié en droit et lettres, croix de guerre, inspecteur des finances, mort à seulement 26 ans. Il était le fils de Léonce de Larmandie. C.A., sd, 6 lignes. A l'écrivain Lucien Descaves (1861-1949) et son épouse. Il leur indique où doit se trouver leur fils, probablement pendant la guerre 14-18 : « en avant de Chevreux, au pied de la butte de Craonne ». [248]
[C'est l'un des rares exemplaires que le poète ait eu entre les mains et qui fut diffusé à Guernesey. L'inscription latine ici retranscrite est celle qui ornait la porte de la salle à manger d'Hauteville-House : « la vie est un exil ». C'est la première publication uniquement consacrée aux dessins de Victor Hugo : elle comprend douze planches hors texte d'aquatintes réalisées par Paul Chenay et dix vignettes gravées sur bois par Gérard, reproduites dans le texte de Théophile Gautier.Exemplaire Hennet de Kesler, l'un des proches ami d'Hugo à Guernesey : il sera hébergé à Hauteville-House pendant depuis l'exil de Jersey, en 1866, jusqu'à sa mort en 1870.] - [HUGO] GAUTIER (Théophile)
Reference : 29300
(1863)
Paris, Castel, 1862. 1 vol. (265 x 340 mm) de 27 p. et [13] illustrations. Percaline marron, décor à encadrement, filets à froid dorés sur les plats, grands fers dorés gravés d’après les dessins de Victor Hugo sur les plats, dos orné, tête dorée (Ch. Magnier). Édition originale. Ex-dono autographe en tête : " EXILIUM VITA EST / VICTOR HUGO /HAUTEVILLE HOUSE 1863 ".
C’est l’un des rares exemplaires que le poète ait eu entre les mains et qui fut diffusé à Guernesey. L’inscription latine ici retranscrite est celle qui ornait la porte de la salle à manger d’Hauteville-House : « la vie est un exil ». Il s’agit de la première publication uniquement consacrée aux dessins de Victor Hugo : elle comprend 12 planches hors texte d’aquatintes réalisées par Paul Chenay et 10 vignettes gravées sur bois par Gérard, reproduites dans le texte de Théophile Gautier. Hugo dédie ce livre « au rocher d’hospitalité et de liberté, à ce coin de vieille terre normande où vit le noble petit peuple de la mer, à l’île de Guernesey, sévère et douce, mon asile actuel, mon tombeau probable », après avoir donné son accord à l’éditeur Castel de reproduire « ses espèces d’essais de dessins » au seul motif que le produit de cette publication ira à sa fondation des dîners des enfants pauvres à Guernesey « que je voudrais accroître et surtout propager ». La composition fut longue et compliquée – le projet date de l’année précédente –, mais l’ouvrage, à la fois livre et album, peut enfin paraître en fin d’année, quelques mois après Les Misérables : le feuilleton du Journal de la librairie annonce sa mise en vente chez son éditeur-imprimeur Castel, en avant-première, du 10 au 13 décembre. Paul Chenay offrit trois exemplaires de l’ouvrage au poète exilé et il se peut que cet exemplaire soit l’un de ces trois. L’un d’eux se retrouve dans la collection de Louis Barthou et le nôtre, après l’inscription latine portée en tête par Victor Hugo, a ensuite été offert à Hennet de Kesler, qui l’offrit à son tour, avec un « Hommage Manuscrit » signé en fin, au révérend Edmond Curey, pasteur de l’Église anglicane de Guernesey. En regard est contrecollé l’article original de la critique de l’ouvrage, paru tel quel dans la gazette de Guernesey. Hennet de Kesler fut arrêté à Paris en juin 1849 pour sa participation à l’Affaire du 13, celle du Conservatoire des arts et métiers. Directeur du journal La Révolution en décembre 1851, il rédigea, signa et afficha un appel à la résistance et tint la barricade du Petit-Carreau. Kesler avait échangé avec Hugo sa première poignée de main le 3 décembre au matin, avant d’être arrêté le lendemain : la « commission de révision de Paris » prend à son encontre une mesure immédiate d’éloignement, ainsi motivée : « Socialiste exalté. Affilié aux sociétés secrètes. Excitation à la révolte. Disait après son arrestation qu’il se félicitait de ce qu’il lui arrivait. » Il se réfugia à Londres, puis s’installa à Jersey en mai 1854 et entra dans l’intimité de la famille Hugo. Il collabore au journal L’Homme dirigé par Ribeyrolles et fit partie des trente-six proscrits qui signèrent, le 17 octobre 1855, la protes¬tation contre l’expulsion, rédigée par Victor Hugo, du colonel Louis Pianciani, Philippe Thomas et de Ribeyrolles. Cette signature lui valut, comme à tous les autres, l’expulsion de l’île. Il suivit alors la famille Hugo à Guernesey et l’écrivain l’hébergera à Hauteville House à partir du 14 décembre 1866. La fraternité commencée sur les barricades se continua dans l’exil et se poursuivit jusqu’à la mort d’Hennett de Kesler, le 6 avril 1870. Le 7 avril, Victor Hugo prononça sur la tombe de Kesler ces paroles : « Le lendemain du guet-apens de 1851, le 3 décembre, au point du jour, une barricade se dressa dans le faubourg Saint-Antoine, barricade mémorable où tomba un représentant du peuple. Cette barricade, les soldats crurent la renverser, le coup d’État crut la détruire ; le coup d’État et ses soldats se trompaient. Démolie à Paris, elle fut refaite par l’exil. La barricade Baudin reparut immédiatement, non plus en France, mais hors de France ; elle reparut, bâtie, non plus avec des pavés, mais avec des principes (…). Elle est haute comme la vérité, solide comme l’honneur, mitraillée comme la raison ; et l’on continue d’y mourir. Après Baudin, — car, oui, c’est la même barricade ! — Pauline Roland y est morte, Ribeyrolles y est mort, Charras y est mort, Xavier Durieu y est mort, Kesler vient d’y mourir. (…) Adieu, mon vieux compagnon. Tu vas aller où sont les esprits lumineux qui ont éclairé et qui ont vécu, où sont les penseurs, les martyrs, les apôtres, les prophètes, les précurseurs, les libérateurs (…) et tu leur diras à tous que tout est bien, et qu’en France une intrépide légion combat plus ardemment que jamais, et que, hors de France, nous, les sacrifiés volontaires, nous, la poignée des proscrits survivants, nous tenons toujours, et que nous sommes là, résolus à ne jamais nous rendre, debout sur cette grande brèche qu’on appelle l’exil, avec nos convictions et avec leurs fantômes ! » (Actes et paroles) L’exemplaire Paul Chenay, conservé à la Maison Victor Hugo (2015.0.31), est truffé de quatre dessins originaux et plusieurs dizaines de documents manuscrits autour de la publication, tandis que l’exemplaire Barthou contient le manuscrit de la préface de Gautier. L’exemplaire conservé à la Bibliothèque nationale contient quant à lui la longue lettre à l’éditeur Jean-Pierre Stanislas Castel. Plusieurs autres échanges au même sont connus, Hugo reprochant le manque de sens commercial de l’éditeur : il lui écrit par exemple le 29 décembre voir « dans les journaux que l’Album a paru avant-hier seulement, huit jours après la publication de ma lettre. Si vous attendiez de cette lettre quelque effet, il eût fallu ne la mettre dans les journaux que la veille de l’apparition de l’Album. Huit jours après, l’effet sur lequel vous sembliez compter est absolument perdu. Ceci, joint au déplorable retard de la publication, nuira, je le crains, grandement au succès immédiat. Vous vous rappelez que j’avais recommandé (inutilement, par malheur), pour la vente du jour de l’an et des étrennes, que l’Album parût avant le 1er novembre (…). Je désire que toutes ces inexpériences qui ont présidé à votre publication ne vous portent pas à préjudice. Le succès se retrouverait plus tard, je l’espère, mais l’effet actuel n’est pas moins compromis. Voyez, je vous prie… dans mes observations une preuve de vif intérêt que je prends à votre succès et croyez-moi votre bien cordialement affectionné… Veillez aux envois nécessaires. Priez M. Chenay de vous remettre une lettre de moi où je lui donne des adresses et des indications utiles et importantes. Je mettrai mardi tous les envois à votre intelligente sollicitude… » Précieux exemplaire de remarquable provenance. Le seul exemplaire, à notre connaissance, à comporter un mot autographe de Victor Hugo depuis le lieu de son exil. Rousseurs éparses ; quelques restaurations au cartonnage. Maurice Clouard, Notes sur les dessins de Victor Hugo accompagnées de lettres inédites, in Revue d’Histoire littéraire de la France, 5e Année, n° 3 (1898), pp. 341-364.