The Hague, Martinus Nijhoff 1933 xv + 373pp., 25cm., publisher's hardcover in blue cloth with gilt lettering, small ex-libris stamp on title page, text is clean and bright, good condition, Introduction in English and text edition in Latin, F119877
Rotterdam, Typis Regneri Leers, MDCXCIII., 1693, pt. in-8vo, portrait gravé en frontispice + titre gravé + 6 ff. + 537 p. (+ 1 p.) + 11 ff., gardes avec ex-libris manuscr. de la famille Gibollet (Charles-Victor e.a.), Ex-Libris gravé Dr. L. Schnyder avec devise ça ira, reliure en cuir originale. Dos à quatre nerfs, coiffes et charnières touchées.
Phone number : 41 (0)26 3223808
"ERASMUS, DESIDERIUS ROTERODAMUS. - PROFUSELY ILLUSTRATED BY HANS HOLBEIN.
Reference : 49945
(1676)
Basel, Genethianis, 1676. 8vo. Contemp. full vellum. 2 small nicks to vellum at fronthinge. Engraved title-page and printed title-page. (70),336,(12) pp. The printed titlepage with engraved vignette. 2 full-page engravings (portrait of Erasmus by Holbein and Erasmus' Memorial Stone). With 78 textengravings by Hans Holbein (engraved by Casper Merian), some of which are tipped in and folded, some printed in the text. Lacks the 2 portraits of Holbein the Elder and Holbein the Younger. Some leaves in the middle with faint browning in lower part. 2 of the tipped-in engravings with a bit of repair. Printed on good paper.
These are the most famous illustrations of The Praise of Folly.First edition of ""ThePraise of Folly"" with Hans Holbein's illustrations. The work is considered one of the most notable works of the Renaissance and played an important role in the beginnings of the Protestant Reformation. Its role stem from the foundation of critique which the essay laid against the practices of the Church and its political allies.Graesse II:495. - Brunet II:1037.
Antwerpen, De Sikkel (voor de Seven Sinjoren) 1936 187 + [iv] pp., beperkte en genummerde oplage: dit is nr.114/450, 20cm., 2 stempeltjes, goede staat, T55685
Antwerpen, De Sikkel (voor de Seven Sinjoren) 1939 155 + [iii] pp., beperkte en genummerde oplage van 450 exemplaren: dit is nr.434/450, 20cm., 2 stempeltjes, goede staat, T94169
Antwerpen, De Sikkel 1939 159pp., 21cm., gebrocheerd, beperkte en genummerde oplage: dit is nr.38/450, grotendeels onopengesneden, enkele roestplekjes op bladsneden, goede staat, T85270
Chicago, 1965 xxxiv + 662pp., 25cm., publisher's hardcover, dustwrapper, good condition, [Erasmus' Colloquies in a new English translation by Craig Thompson], weight: 1.5kg., T120151
Leuven, Peeters 2006 Volledig in 3 delen: [viii + 168] + 196 + 162pp., 24cm., blauwlinnen uitgeversbanden met titel in goudpdruk, in blauwlinnen uitgeverscassette, zeer goede staat, Uitgave in opdracht van Stichting Erasmusfestival 's-Hertogenbosch en de stad Leuven, [bevat deel I: facsimile-uitgave van de Lof der Zotheid, II: vertaalde, geannoteerde en ingeleide tekst, III: werk van Torfs: "op Erasmiaanse wijze worden hedendaagse zotheden beschouwd, verguisd, geprezenen zonodig gefileerd"], gewicht: 2kg., T100340
Berlin und Leipzig, Bey Georg Jacob Decker, 1781. 8°. 6 Bl., S. 13-238, 1 S. Nachricht für den Buchbinder. Mit einem gestochenen Porträt des Erasmus nach Holbein, einer Titelvignette und 6 gefalteten Tafeln mit 34 kleinen Darstellungen alle von D. Chodowiecki. Halblederband um 1920 mit goldgeprägtem Rückentitel und schwarzgeprägter Rückenverzierung auf 5 Bünden.
Rümann 239. - Engelmann 369-374 und 377-378. - Erste Ausgabe mit den Kupfern Chodowieckis. - Eine seiner "besonders sensiblen" (Lanckoronska - Oehler II, 114) Arbeiten. - Vollkommen unbeschnittenes und ungeöffnetes Exemplar (Blattgrösse 12,5 x 19 cm).auf festem Büttenpapier, wie vom Drucker!. Einband an den Kanten leicht berieben.
München bei Georg Müller 1918. Klein-8°. 3 Bl., 207 S. Originalhalbleder mit Rückenschild und Rückenvergoldung.
"Die Bücherei der Abtei Thelem. Herausgegeben von Otto Julius Bierbaum. Zwölfter Band." - Faksimile der Ausgabe Berlin und Leipzig, Georg Jacob Decker, 1781. - Kleines Buchhandlungsetikett auf dem hinteren Innedeckel. - Schönes Exemplar.
Londres et Paris, Barbou, 1765, in-8, Front, [2]-XIII-[1]-214 pp, Basane marbrée de l'époque, dos lisse et fleuronné, pièce de titre grenat, tranches dorées, L'Éloge de la folie d'Érasme, a été rédigée en 1509 en latin : dans cette satire, qui n'épargne ni les théologiens, ni les savants ni les courtisans, le "prince des humanistes" dénonce le comportement de ses contemporains et annonce les thèses protestantes. La présente édition a été procurée par Anne-Gabriel Meusnier de Querlon (1702-1780). Elle est illustrée d'un frontispice représentant la folie reine du monde ("La Pazzia Regina del Mondo") gravé par Gravelot d'après de Longueil. Coiffes arasées, accroc à un coin, les autres émoussés, une charnière fendue. Pages jaunies, petites rousseurs en tête de volume. Couverture rigide
Bon Front., [2]-XIII-[1]-214 pp.
Amst., Utrecht, APA, Holland Univ. Press, 2006.
12,483 p. Cl. 23 cm (Diss., Nijmegen)
Lugd. Batavorum (Leiden), Ex Officina Elzeviriana 1636, 130x75mm, reliure veau de l’époque avec titre, auteur, fleurons, encadrements et filets dorés au dos à quatre nerfs, usures aux coiffes, autrement bon état. Tranches marbrées.
titre gravé, 11 ff - 672 + 44 pages, bandeaux, lettrines, culs-de-lampe, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Paris, Maurice Robert 1967, 233x165mm, reliure d'éditeur. Imitation d’une reliure du XVIe siècle avec décors à la roulette, auteur au dos en noir. Fac-similé de l’édition Froeben à Bàle, 1515, illustré par Holbein, d’après un exemplaire avec des annotations d’Erasme. Bel exemplaire.
Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Précieux volume conservé dans son élégante et intéressante reliure parisienne strictement de l’époque, très proche des reliures alors réalisées pour le bibliophile de la Renaissance Marcus Fugger (1529-1597). Paris, Jean Longis, 1553. In-8 de (8), 191 ff. Les gardes et les contreplats sont couvertes d’annotations manuscrites anciennes. Veau blond, double encadrement de trois filets à froid avec petits fleurons dorés aux angles, fleuron central argenté, dos à nerfs orné de filets à froid et d’un petit fer répété, mors et coiffes restaurés. Reliure parisienne de l’époque de belle facture proche de celles réalisées pour Marcus Fugger. 166 x 102 mm.
Edition originale de la traduction française établie par Etienne de la Planche, des trois derniers livres des Apophtegmes. Les cinq premiers livres avaient déjà été traduits en français par Antoine Macault. Brunet, II, 1040 ; Bibliotheca Belgica, E392. Dédiée à Jean Brinon, seigneur de Villennes, conseiller au Parlement de Paris, elle fut partagée entre Jean Longis et ses confrères parisiens Vincent Sertenas et Etienne Groulleau. Érasme publia les « Apophtegmes » pour l’éducation des Hommes d’État. Il veut ici « célébrer l’art d’être spirituel. Il le fait en traduisant et en commentant Plutarque. La scène est presque toujours la même : on pose inopinément une question à un général ou à un homme politique de Sparte. D'autres seraient pris au dépourvu. Les Spartiates, jamais. Ils répondent avec finesse, subtilité, élégance, qualités bien notées dans les marges du recueil. Parfois, avec une certaine rosserie. Le contenu de leurs réponses n'est pas la chose la plus importante. Homme du nord, Érasme aime autant que Castiglione et les grands Italiens le plaisir des bons mots. Si on l'oublie, on réduit le sens de sa culture comique. » (Daniel Ménager). « Signe évident de succès, le recueil latin de plus de 3 000 dits mémorables qu'Érasme publia à partir de 1531 sous le titre d'Apophthegmatum opus, fut réimprimé quelque soixante-dix fois en l'espace d'un demi siècle. Et comme s'il ne suffisait pas de pourvoir aux besoins intellectuels d'un public plus ou moins érudit, voici que rapidement se mirent à fleurir des traductions à l'intention de lecteurs pour qui, apparemment, la connaissance du latin n'allait plus de soi. Ainsi, s'il faudra attendre 1672 pour voir sortir des presses une édition néerlandaise, il en parut une anglaise en 1542, une italienne en 1546 et une espagnole en 1549. Non point que les Français, quant à eux, ne s'y soient pas intéressés : dès 1536, Antoine Macault s'attaqua non pas à une traduction, qui relève de l'imitatio, mais à une translation, qui appartient à l'inventio, des cinq premiers livres ; ce labeur, Etienne de Laplanche allait le compléter dix-sept ans plus tard. Qui plus est, dans les années qui suivirent, Guillaume Haudent et Gabriel Pot devaient même prétendre y trouver matière à en tirer des poésies ! Dès lors, le nombre de compatriotes qui se sont attachés à transposer le recueil d'Érasme, aussi bien que la rapidité avec laquelle ils se sont mis au travail ont de quoi nous intriguer, au point que l'on peut se demander si, au-delà d'un désir fort louable de vulgarisation, et d'une aspiration bien compréhensible, sur les brisées d'un si illustre maître, à la gloire littéraire, d'autres ambitions plus ou moins explicitement énoncées ne se laissent pas discerner. C'est à la lecture de ces exemples que l'on se rend compte à quel point, dès le milieu du XVIe siècle, le français s'est suffisamment démarqué du latin pour pouvoir se prétendre à son tour langue littéraire à part entière. Tant s'en faut, en effet, que Rabelais ait été le seul à se livrer à la truculence verbale : Macault et Etienne de Laplanche prouvent qu'elle est en réalité le fait de toute leur époque. Pour quelque raison que ce soit, mièvrerie esthétique, pruderie intellectuelle, austérité morale ou tyrannie dogmatique, les siècles suivants, à commencer par le XVIIe, allaient se charger de canaliser, voire de brider cette énergie créatrice qui, du coup, fait précisément l'originalité du XVIe. Faut-il le regretter? Il est vrai que de la sorte, le français a perdu en spontanéité ce qu'il a gagné en longévité, au point qu'à presque quatre siècles de distance, les pièces de Corneille se lisent encore sans trop de difficulté. Et si, dès cette époque, se sont mises à fleurir des Belles Infidèles qui se sont épanouies en genre littéraire à part entière, simultanément surgit le débat de fond entre l'école et la rue. » Louis Lobbes. Etienne de Laplanche, avocat au parlement de Paris au XVIe siècle, s’est immortalisé par la traduction qu’il a donnée des cinq premiers livres des Annales de Tacite et des trois derniers livres des Apophtegmes d’Érasme. Précieux volume conservé dans son élégante et intéressante reliure parisienne strictement de l’époque, très proche des reliures alors réalisées pour le bibliophile de la Renaissance Marcus Fugger (1529-1597).
Groningen, P. Noordhoff N.V., 1959.
129 p.; 16 plates. Stiff wrappers. 24 cm
Westview Press 1979 in8. 1979. Broché.
Bon état d'ensemble cependant choc en haut du dos couverture défraîchie intérieur propre