1788 broché (paperback) in-octavo, fausse couverture blanche muette (titre manuscrit à l'encre brune en haut de la 1ère de couverture), tranches non rognées (edges no smooth), sans illustration (no illustration) excepté une gravure "corbeille de fruits" gravée sur bois en noir en bas de la page de titre + une trés belle vignette front de chapitre gravée sur bois en noir en haut de la page 3, 40 pages, 1788 Paris : Brunet éditeur,
Nouvelle Edition.......................en bon état (very good condition).
Paris, E. Dentu [Imprimerie Paul Dupont], 1879 in-12, [3] ff. n. ch., 276 pp., un f. n. ch. de table, broché. Rousseurs.
Édition originale publiée à l'initiative de la veuve de l'auteur, Noémi Crémieux, en mémoire de son mari, avocat et principal instigateur de la Commune de Marseille, qui avait été exécuté le 30 novembre 1871. Le recueil comprend les récits de prison (Impressions d'un condamné à mort), treize poèmes (Rimes de prison, regroupant quatre pièces,et Avant les mauvais jours, regroupant 9 pièces) et une pièce de théâtre en cinq actes et en vers, Le Neuf Thermidor, quasiment achevée, à laquelle sont ajoutées deux scènes écrites par Clovis Hugues en respectant les indications laissées par Crémieux. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
J. Verbeeck éditeur, Bruxelles, 1971. In-4, broché sous couverture illustrée, 68 pp. Béjart, par Marcel Cröes - Offrande chorégraphique - Ni fleurs, ni couronnes - Actus tragicus - Les Vainqueurs - Sonate - Bakhti - Erotica - Nomos Alpha - Serait-ce la mort? - L'Oiseau de feu - Le Sacre du Printemps ...
Nombreuses illustrations en noir et blanc, d'après les photographies de Robert Kayaert. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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Polonia, Varsovie, 1963, 189 p., illustrations, cartonné toile grise, jaquette défraîchie.
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michel lévy frères. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 486 à 562. Premier plat désolidarisé.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre
Classification Dewey : 792-Théâtre
BRAY ET RETAUX. 1876. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos plié, Intérieur frais. 318 pages.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre
Classification Dewey : 792-Théâtre
Barba Paris, Barba, 1797, An V. In-8 relié demi-percaline bleue, 64 pages. Comédie en trois actes en prose représentée sur plusieurs Théâtre de Société et au Théâtre de Molière, an V. Bon état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Santiago de Chile, 1965 45pp., 32cm., texte en français, Thèse de doctorat (Tesis para optar al titulo de profesora de Frances, Universidad Catolica de Chile), reliure cart. rouge d'éditeur avec titre doré, cachet au verso de la p.d.t., texte en typoscript, texte frais et en bon état, T112849
Paris, Gallimard, 1957. In-8 broché, couv. ill. en noir et blanc, 250 pp., XVI pl. en nb hors-texte, bibliogr.
Préface de Jean Filliozat. Le théâtre d'ombres est-il l'ancêtre du théâtre ? Ce livre pose le problème pour l'Asie du Sud-Est, et, s'il ne le résoud pas, il montre au moins que le wajang est, comme tout théâtre, le miroir d'une civilisation. Couv. un peu défraîchie, bon ex. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Gallimard, 1957. In-8 broché, couv. ill. en noir et blanc, 250 pp., XVI pl. en nb hors-texte, bibliogr.
Préface de Jean Filliozat. Le théâtre d'ombres est-il l'ancêtre du théâtre ? Ce livre pose le problème pour l'Asie du Sud-Est, et, s'il ne le résoud pas, il montre au moins que le wajang est, comme tout théâtre, le miroir d'une civilisation. Couv. défraîchie, frottée, bon ex. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Gallimard L'Espèce Humaine Broché 1957 In-8 broché, 16 planches hors-textes, envoi de l'auteur, couverture légèrement salie, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, Gallimard (L'espèce humaine, n° 14), 1957. In-8, broché.
[6112]
adaptation française par D. Jon Grossman - Edition hors commerce imprimée à l'intention des amis de la librairie Tschann, 1982 - un volume broché (12x16,5 cm), 42 pages - édition bilingue - tirage à 1000 exemplaires tous numérotés - bon état -
Orbe, Bernard Campiche 2006, 215x120mm, 309pages, broché. Couverture illustrée à rabats. Bel exemplaire.
photos n/b, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Zurich - Genève, Anne Cuneo - Roger Cuneo 2003, 240x170mm, 109pages, broché. Couverture à rabats. Exemplaire sur papier Modigliani numéroté 96/300. Bel exemplaire.
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Vevey, Le Cadratin, 2003. 170 X 240 mm. broché, couverture rempliée ornée. 109 pp. Belle impression en deux couleurs. Edition tirée à 300 ex. num. sur papier Modigliani.
Phone number : 41 021 964 60 10
Couverture souple 1ère Édition F.A. Parisod 1974 La Chaux de Cossonay 20x15,5 cm
Couverture souple d'éditeur illustrée en couleurs, texte sur une longue page dépliante. Peu courant. Bel état.
Bernard Campiche, collection Théâtre en camPoche, 2005. Fort volume in-12 broché (430 pages), couverture photographique. Tout beau tout neuf.
Contient: Naissance d'Hamlet - Ophélie des bas quartiers - Les enfants de Saxo - Benno Besson et Hamlet - Le fratricide puni (traduction inédite).
Bernard Campiche, collection CampImages, 2006. Grand in-4, cartonnage titré sous jaquette photographique. Flambant neuf, bien complet du DVD inséré en fin de volume.
"Au départ, il y a Shakespeare. Et sa pièce Hamlet. Dans la quatre cent quatrième année après sa création à Londres, Anne Cuneo l'a utilisée comme base pour sa propre interprétation, Naissance d'Hamlet, une fantaisie. Où il est constamment question de comment la pièce fut écrite. Jusque-là, la Compagnie du Clédar avait toujours cherché, pour chacun de ses spectacles, le cadre approprié, le cadre idéal. Cette fois, elle ne s'est pas contentée de chercher un lieu et de le trouver : le Clédar a construit son propre théâtre. Les séjours à Londres pour visiter le Théâtre du Globe de Shakespeare font tout autant partie intégrante de la mise en scène que les vingt représentations à guichets fermés du Sentier. C'est là, à la Vallée de Joux, que le Clédar s'est construit son propre théâtre du Globe, son monde théâtral, son théâtre du monde - son monde. Ainsi, l'architecture fait partie de la mise en scène autant que de la représentation. Et la spirale continue à tourner : Anne Cuneo écrit le scénario d'un film sur la création de la pièce qu'elle a écrite. Elle réalise elle-même le film. Et voilà que la langue est devenue image. On pourrait aussi parler de dynamique de groupe. Car voilà la photographe Anne-Lise Vullioud qui, en photographiant la mise en scène, rend également compte de la naissance du film sur la mise en scène de la pièce d'Anne Cuneo. Nous avons une pièce, une mise en scène, des représentations, un espace, un film, des photos. Et maintenant nous avons un livre / DVD. Nous avons tout. Que vouloir de plus ?" Peter K. Wehrli, préface.
ENAULT GABRIEL LIBRAIRIE. 1929. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 122 pages - EX DONO.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre
Classification Dewey : 792-Théâtre
Conversations et rencontres avec Alfred Simon. Format moyen, couverture souple.229 pages; très bon état 2000 la renaissance du livre
1978-1979
Bel ensemble de 7 lettres autographes, un télégramme et un bref mot manuscrit du comédien et metteur en scène Alain Cuny (1908-1994), à la comédienne Laurence Bourdil née en 1943. À travers les sept lettres se dessine une relation tourmentée, entre amour et amitié.C’est après un passage aux Beaux-arts et le début d’une carrière de décorateur qu’Alain Cuny se tournant vers le théâtre, devient élève de Charles Dullin. En 1939, la guerre interrompt le projet presque signé d’un engagement à la Comédie française ; cet épisode restera le grand regret de sa vie !Née en décembre 1943, Laurence Bourdil est la fille de la poétesse spécialiste de chants Berbères Taos Amrouche (1913-1976) et du peintre André Bourdil (1911-1982). Elle se fit un nom au théâtre où elle brilla notamment aux côtés de Peter Brook et de Patrice Chéreau.L’échange épistolaire situé entre le 17 juillet 1978 et septembre 1979, dévoile l’amitié tumultueuse qui les liait. - L.A.S., 2 pages 210 x 297, datée du lundi 17 juillet 78.Dans cette lettre Alain Cuny parle beaucoup de son médiocre état de santé, qui freine considérablement ses ambitions professionnelles : « Je suis retenu à Paris pour le déménagement de la rue de B. et par les quelques soins réparant les contusions dues à l’intubation imprécautionneuse des anesthesistes, et je n’en finis pas ; le terme de juillet m’est présenté et les camionneurs ne m’ont pas encore fixé la date où ils viendront ensuite je partirai pour Saint-Malo où je mettrai en vente l’appartement qui m’y appartient ; enfin, le déplacement prévu à Rome, au cours duquel je voulais m’arrêter à Saint-Michel est annulé ; c’est à dire que je refuse le peu qui m’est offert dans un film auquel je n’avais accepté de participer que de principe et avant d’avoir pris connaissance du scénario. Je ne vais presque sûrement pas venir à Saint-Michel ; moins que les péripéties extérieures contraires, contrariantes, c’est cet état de faiblesse, pratiquement immobilisant qui me fait renoncer et ne me rompre qu’à l’inévitable. »Il fait ensuite allusion à un autre projet : "En ce qui concerne « L’Annonce », croyant bien faire, j’ai envoyé à l’homme qui m’avait avec empressement (C’est le directeur de la 2ème chaine) garanti l’appui pécuniaire de la Télévision – indispensable au producteur cinématographique – une longue lettre accompagnée de deux cadeaux, l’un pour lui, l’autre pour sa femme. J’ai, il y a plus de trois semaines déposé le tout entre les mains de sa secrétaire : pas de réponse. Ma lettre était confiante, sans « savoir-faire »".Le film L’Annonce faite à Marie, adaptation de la pièce éponyme de Paul Claudel, fruit d’une coproduction franco-canadienne, sortit sur les écrans le 18 décembre 1991.- L.A.S., 1 page 211 x 147, datée du 17 janvier 79.Brève lettre dans laquelle Alain Cuny invite son amie à prendre part à un événement en honneur de Julien Gracq : « Je prends les devants afin de vous informer sans tarder – et il faudrait que vous ne tardiez pas vous-même à donner votre réponse – d’un souhait que Julien Gracq et moi formons, de vous entendre dire, en ma compagnie, à Beaubourg, le 28 mars, à 20h30, des textes de lui. » Initialement annoncée aux côtés d’Alain Cuny, Laurence Bourdil sera finalement remplacée par l’actrice Nelly Borgeaud.- L.A.S., 1 page 210 x 270, datée du 10 février 79.Lettre dans laquelle Alain Cuny prévoit des séances de travail avec Laurence Bourdil en vue de la lecture consacrée à Julien Gracq : « Vous aurez vu Gracq, il vous aura remis ses livres. J’ai lu ces jours-ci quelques fragments contenus dans la livraison des « poètes d’aujourd’hui » : aucune littérature ne paraît supérieure ni aussi généreuse et vivifiante, je suis transporté. Vendredi 16, nous pourrions également nous voir et travailler, ce n’est que le soir que je partirai pour Toulon. »On notera la touche d’humour en post-scriptum : « Pour vous amuser : Marie Cornelie Falcon (1812-1897) cantatrice lyrique française la plus célèbre de tous les temps après cinq ans de succès triomphaux perd brusquement, inexplicablement sa voix ; elle épouse alors et vit près de lui jusqu’à quatre vingt cinq ans Monsieur Malançon ! »- L.A.S, 1 page 210 x 150, non datée (avant mars 79).Très belle lettre dans laquelle Alain Cuny regrette de n’avoir pas pris plus soin de son amie lors d’une réception : « Il est extraordinaire de constater que plus le feu prend moins il vous consumme (sic). Chaque instant qui passe me fait m’accuser de ne pas l’avoir employé à vous parler. Je ne pensais pas du tout que vous aviez été heureuse de cette soirée et je ne voyais ni avant, ni pendant, ni après être rentré que je puisse vous procurer le moindre bien nécessaire, je veux dire à vous dans votre être, car au théâtre vous m’avez dit et redit quelle existence j’avais à vos yeux. » L’attention de Laurence Bourdil à son égard semble le toucher et perturber quelque peu : « Je ne me reconnais pas le droit de posséder le magnifique tableau que tout de suite vous êtes venue déposer dans ma Thébaïde, je le garderais quelques temps je voudrais me dire que Chéreau monte un nouveau spectacle avec vous. Je suis affligé de n’être pas près de vous, de votre violente confiance, un meilleur miroir. »- L.A., 1 page 177 x 136, datée du mois de mars 79.Lapidaire missive probablement envoyées après le 29 mars, date de la lecture au Centre Beaubourg à laquelle aurait dû participer Laurence Bourdil. Alain Cuny est visiblement très contrarié : « Permettez-moi de vous rapporter ces disques et ce tableau : ils n’ont pas leur place chez moi. Les circonstances ont démontré que nous appartenions à des mondes différents et étanches. C’est bien souvent comme cela entre nous tous : si bien que le travail heureux d’une équipe n’est dû la plupart du temps qu’au filtrage supporté temporairement des divergences et intolérances de la nature profonde de chacun. »- L.A.S., 1 page 280 x 216, datée du mois de septembre 79.C’est l’heure de la réconciliation et peut-être même des excuses : « Ma petite Laurence, Vous avez bien fait de m’envoyer cette lettre, tardive dites-vous, et pourtant si pressante, bonne pour vous et bonne pour moi. Je me suis reproché d’avoir été parfois – intolérant, provoquant votre peine ; je pensais à vous cependant tout en maintenant ma résolution de me tenir autant que faire se peut à toutes distances physiques, mentales, échotières possibles, du milieu théâtral. Mais toutes mes facultés de remerciements vous disent merci d’avoir rompu le silence avec cet élan que connaissent ceux que vous aimez. »- L.A.S., 1 page 257 x 180, datée du mois du 16 septembre.Cette brève lettre, rédigée d’une main nerveuse, sonne comme une véritable lettre de rupture entre les deux amis : « Je lis votre lettre, je lis un peu Massignon ; un peu Hoceïn Mansur Hallâj ; je mange jusqueza quatre calissons par jour, ou par repas ! je suis un inqualifiable goinfre ; c’est comme ça ! J’essaye, longanimement, de me faire une raison. Mon souhait pour vous, sera une absence de souhait de chouette, d’intercesseur, de de de, prières et de cierges : vous n’avez qu’à avancer toute seule. Alain. » Affiche librairie, Steinlen, Publicité
1919 .P., Crès, 1919-1921, 6 vol. in-8°, , pleine reliure cartonnage , pièces de titre maroquin rouge, titres dorés, .couvertures conservées Ex. num. sur vélin de Rives.
bon état un