Folio. 2010. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 171 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
N° 1 des Cahiers Albert Camus. Broché sous jaquette illustrée. Très bon Paris Gallimard 1971 1 volume in-8°.
édition originale
Paris, Gallimard, cahiers albert Camus 1,1971 in-8 broché, jaquette, 231 pp. TRES BON ETAT.
Gallimard, Paris 1971, 14,5x21,5cm, broché.
Édition originale, un des 106 exemplaires numérotés sur hollande, tirage de tête. Bel exemplaire de cet important texte dans l'oeuvre d'Albert Camus : quoique publié posthumement, il s'agit en effet de son premier roman lequel est considéré comme une première "mouture" de L'Etranger. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Gallimard, Paris 1971, 14,5x21,5cm, broché.
Edition originale, un des 306 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers après 106 Hollande. Agréable exemplaire malgré deux légères insolations en tête et en pied du dos. - Photos sur www.Edition-originale.com -
format moyen, couverture souple.jaquette. 231 pages. Bon Ètat 1971 Gallimard
Paris, Gallimard, (1er mars) 1971. 1 vol. (150 x 220 mm) de 231 p. et [3] f. Broché, non coupé. Édition originale. Un des 106 premiers exemplaires sur vélin de Hollande (n° 17).
Le premier roman d'Albert Camus, resté à l'état d'ébauche, rédigé en Algérie entre 1932 et 1936. Il constitue le premier volume des Cahiers Albert Camus. Neuf, non coupé.
Gallimard. 2010. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 171 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
P., NRF, Gallimard (Cahiers Albert Camus, 1), 1971, in 8° broché, 233 pages ; couverture très légèrement fanée.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
1 volume in-8° broché, couverture à rabats, jaquette illustrée, 231 p. infime état d'usage sinon très bon état d'occasion.
Phone number : 06.31.29.75.65
Paris Gallimard 1971 In-4, broché, couverture imprimée.Edition originale de ce texte publié dans le cadre des Cahiers Albert Camus. Un des 306 exemplaires sur vélin pur fil Lafuma-Navarre. Neuf, non coupé.
Paris Gallimard 1971 In-4, broché, couverture imprimée.Edition originale de ce texte, publiée dans la collection des Cahiers Albert Camus dont elle constitue le premier numéro. Un des 306 exemplaires sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, seul tirage sur grand papier avec 106 exemplaires sur vélin de Hollande. Neuf, non coupé.
EDITIONS FOLIO N°42. 14-02-1972. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 308 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Editions folio. Couverture: composition de Tibor Csernus. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Collection Pourpre sans jaquette Gallimard. 1949. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos fané, Intérieur frais. 255 pages. Les chefs-d'oeuvre de l'époque dans leurs textes intégraux. Présentation parfaite: reliure élégante et solide en simili-cuir pourpre avec titre doré au dos. Dos légèrement abîmé.. . . . Classification Dewey : 843-Littérature populaire
Classification Dewey : 843-Littérature populaire
SUR.. 23 FEVRIER 1961. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en pied abîmée, Intérieur acceptable. 190 pages. Quelques pages sont non coupées. Couverture rempliée.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Folio. 1987. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 278 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
,Paris, Gallimard 1947, 337 pp., 1 vol. in 12 br. Edition du 12 septembre 1947, publiee 4 mois apres l'originale (24 mai 1947). Louis Guilloux, ami de Camus, aura des propos elogieux a l'egard de ce roman : 'Cest un tres grand livre, et qui grandira. Je me rejouis du succes quil obtient mais le vrai succes sera dans la duree, et par lenseignement par la beaute.'
[Belle provenance : René Lalou était professeur d'anglais à Oran, au lycée Lamoricière, face aux appartements de la rue Paixhans où Camus enseigna quelques mois grâce à l'aide d'André Benichou, professeur de philosophie au même lycée Lamoricière. Lalou et Camus auront une relation suivie après la guerre, quand Lalou, conjointement à ses activités professorales (au lycée Lakanal et au lycée Henri-IV), devient un critique littéraire reconnu. ] - CAMUS (Albert)
Reference : 28825
(1947)
Paris, Gallimard, (24 mai) 1947. 1 vol. (115 x 180 mm) de 337 p. et [1] f. Demi-maroquin vert à coins, dos à nerfs sertis de filets à froid, titre doré, date en pied, couvertures et dos conservés, étui bordé (reliure signée de Mercher, 1967). Édition originale. Exemplaire imprimé du service de presse. Envoi signé : « à M. René Lalou avec la gratitude et les sentiments de vive sympathie d’Albert Camus ».
L’après-guerre est marqué pour Camus par une période de notoriété croissante. De L’Étranger aux écrits engagés de Combat, il reste fidèle à ses valeurs, à ses amis, et à ceux à qui il doit beaucoup. La « gratitude » ici évoquée envers René Lalou est la même que celle qu’il évoquera au même moment à ses autres « maîtres » : ses professeurs d’Alger et d’Oran, Louis Germain, Paul Mathieu, Jean Grenier, et René Lalou lui-même, professeur d’anglais en poste à Oran, au lycée Lamoricière. La ville où, à la fin de l’année 1940, Francine et Albert Camus – qui viennent de se marier, à Lyon –, s’installent, au 67 rue d’Arzew. Le couple y restera sans discontinuer jusqu’au 28 mars 1942. Mais aux noces doivent succéder le travail et les besoins d’activité, et d’argent. L’Étranger n’est pas encore paru, et Camus est sans le sou. Grâce à la famille Faure, il fait la rencontre d’André Benichou, professeur de philosophie au même lycée Lamoricière d’Oran. Après le vote par le gouvernement de Vichy des lois antisémites, abrogeant notamment le décret Crémieux et retirant la nationalité française aux Juifs d’Algérie (désormais « Juifs indigènes »), Benichou décide de créer un cours privé avec d’autres professeurs radiés : ce cours, qui deviendra le Cours Descartes après la guerre, accueillait les enfants juifs chassés des écoles publiques. Camus y assure l’enseignement du français – la littérature française du Moyen Âge –, d’abord dans des appartements privés de la rue Etienne, puis au 18 de la rue Paixhans, face au lycée Lamoricière. Pendant cette période, Camus fréquente assidûment les Bénichou, Choucroun, la famille Faure, et le docteur Henri Cohen : alors qu’Oran subit une épidémie de typhus, cette vie et ces événements formeront la « rampe de lancement » de La Peste, qui sera publié six ans plus tard mais dont les premières ébauches seront lues dès le début de l’année 1942 à André Bénichou. Camus en donnera une publication, « Les Exilés dans la peste », dans l’anthologie littéraire publiée en Suisse en 1943, Domaine français, de la revue Messages. Sans aucun doute, Camus aura mis à profit les connaissances de René Lalou, auteur d’une Histoire de la littérature française contemporaine (1922) et d’un Panorama de la littérature anglaise contemporaine (1927), fin connaisseur de Wilde, Conrad, Orwell, Stevenson ou Whitman. Ce double agrégé de lettres et d’anglais aura donné dans les années 1930 plusieurs articles importants sur Nietzsche, (« Ecce homo et Lettres », Quinzaine critique, n°36, 10-25 septembre 1931, p. 76. ; « Œuvres posthumes de Nietzsche », Les Nouvelles littéraires, 19 janvier 1935), à un moment où Camus s’y intéresse et dévore, à Alger, le Gai savoir. Les deux hommes poursuivront une relation d’amitié après la guerre, quand Lalou, parallèlement à ses responsabilités professorales (au lycée Lakanal et au lycée Henri-IV), devient un critique littéraire reconnu. Camus lui écrira longuement en novembre 1949, lorsque ce dernier le questionne sur la question du pacifisme, de ses rapports avec Sartre ou l’engagement : « je suis entré au groupe Combat en 1943 (…) je n’ai jamais touché une arme… Sur Sartre : « Je trouve à Sartre le plus grand et le plus persuasif des talents, mais ses livres n’ont jamais eu la moindre influence sur moi pour la raison fort simple que nos climats sont incompatibles. Du point de vue de l’art, disons seulement que le ciel du Havre n’est pas celui d’Alger (…) Je ne crois pas qu’adhérer au mouvement de Garry Davis soit le seul moyen d’éviter le retour de la peste… ». Cette belle lettre, exposée entre mars et mai 1981 au Centre Pompidou à l’occasion du vingtième anniversaire de la mort de Camus, rendait justice à l’enseignant qui servit de père à l’orphelin de guerre – après l’instituteur Louis Germain : « Mon vrai maître est un des plus beaux écrivains (méconnus) de notre temps, Jean Grenier. Il a été mon professeur, dans des temps reculés, mais, jusqu’à ce jour, je n’ai jamais cessé d’apprendre auprès de lui. » Le texte définitif de La Peste est achevé dans le courant de décembre 1946 ; ce sera ensuite un long travail sur épreuves jusqu’à un premier « bon à composer » de février 1947 et la version définitive, imprimée le 24 mai suivant. Le point final est apposé sans joie : « J’ai l’idée que ce livre est totalement manqué, que j’ai péché par ambition et cet échec m’est très pénible. Je garde ça dans mon tiroir, comme quelque chose d’un peu dégoûtant. » Camus est loin d’imaginer qu’il deviendra un best-seller et un classique populaire, le troisième titre le plus vendu des éditions Gallimard, après Le Petit Prince et L’Étranger. C’est la première fois pour Camus, qui se dit… « déconcerté ». Traduit dans des dizaines de langues, le cycle de « La Révolte » pèsera dans l’attribution du Nobel de littérature, dix ans plus tard. « Ce que l’on apprend au milieu des fléaux, c’est qu’il y a dans les hommes plus à admirer qu’à mépriser » écrit-il dans La Peste. Tout en montrant les capacités humaines de solidarité, de combat, Camus alerte pour ne jamais oublier les leçons des épreuves : « Le bacille de la peste ne meurt ni ne disparaît jamais ». Le service de presse sera fait dans la foulée rue Sébastien-Bottin par Camus. Qui n’oublie personne, et sûrement pas ses amis d’Oran. Bel exemplaire, très bien établi par Mercher en 1967.
Paris Gallimard 1947 In-12, broché, couverture imprimée.Edition originale. Un des 215 exemplaires numérotés sur vélin pur fil. Neuf, non coupé.
Le Rayons d'Or 1950, 280 p., ill. de 12 aquarelles par Edy Legrand, reliure en demi-cuir originale, tranche supérieure dorée.
Ex. no. 1517 sur 3560.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Gallimard (8/1992)
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782070212033
Paris, Gallimard, Paris, Gallimard1948 ; in-12, demi-chagrin grenat, dos lisse, non rogné, couv. et dos. (Lobstein). Tirage de janvier 1948. cet exemplaire a appartenu à Paul Celan (1920 - 1970). La page de garde porte sa signature autographe suivie de la mention : Insbrück, 28 juin 1948. Paul Célan avait quitté la Roumanie en 1947 pour l’Autriche. C’est à Vienne qu’il publiera son premier livre Der Sand aus den Urnen. En Autriche, il fit la connaissance de Erica Lilleg, romancière née à Graz en 1907 (morte en 1988), une liaison amoureuse de plusieurs années. Il se lia aussi, à cette époque, avec le peintre Edgar Jéné (Saarbrücken 1904 - La-Chapelle-Saint-André (Nièvre) 1984). Ce dernier avait quitté l’Allemagne pour des raisons politiques en 1935 pour se fixer à Vienne où il épousera Erica Lilleg. Edgar Jéné a illustré de deux planches le livre de Paul Célan. En 1948 Celan publie à Vienne une monographie sur E. Jéné : Edgar Jené. Der Traum vom Traume. Le volume provient de la bibliothèque de Edgar Jené et Erica Lilleg. Il a été relié postérieurement.
Exemplaire de Paul Celan
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