Valence, 25 juin 1812 in-4, 1 page recto-verso. en feuille.
Acte passé devant l'inspecteur aux revues de l'Armée d'Aragon, Alexandre Lalance (1771-1822), établissant en faveur de Pierre-Nicolas Delachesnaye, propriétaire parisien, une procuration pour régir une ferme de la commune d'Elbeuf-en-Bray (Seine-Inférieure) appartenant au général baron Louis-François-Félix de Musnier (1766-1837), servant alors dans la région de Valence, à la suite du siège de cette ville (décembre 1811 - janvier 1812). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, s.n, vers 1740, in-4, [250x170 mm], 1 ff, 82 pp, [5] ff. bl, pp. 82-138 et pp. 140-344, [1] ff. bl,18 pl. depl, demi-basane blonde à coins, tranches jaspées, Intéressant et beau recueil manuscrit des mémoires de l'Académie des sciences exclusivement consacrés à la mécanique, compilant les travaux publiés depuis l'établissement de cette société, en 1666, jusqu'en 1706. L'Académie royale des Sciences, fondée en 1666 par Colbert, décida la publication des mémoires données en son sein : la première publication parut en 1701 et la dernière en 1793, au moment de sa suppression sous la Terreur. L'ensemble forme 164 volumes. Ce volume manuscrit regroupe les tout premiers mémoires de l'Académie concernant la mécanique, la plupart composés par Varignon. Cette copie manuscrite est très vraisemblablement de la main d'un scientifique averti. D'une petite écriture nette et très lisible, elle contient quelques schémas dans le texte et surtout elle est accompagnée de 18 planches repliées dont deux seulement sont gravées, toutes les autres étant dessinées à la plume. Les figures reproduites montrent l'aisance et la connaissance du copieur. Les seuls renseignements connus concernant ce dernier sont ses initiales, C.Q.F.F.V. , données à la fin du volume. Cette copie forme un premier tome, mais il n'est pas sûr que l'entreprise ait été poursuivie. Détail des mémoires recopiés : 1668 : Comparaison des différentes forces de l'homme et des Machines. 1671 : De la résistance des Corps Solides. 1674 : Du mouvement des Corps et de sa Communication. 1674 : De la Communication Du Mouvement. 1675 : Du Choc Oblique. 1685 : Sur les Moïens d'arretter et de lâcher aisément les Cables sur lesquels on tire. (Perrault) 1691 : Sur une Machine dans laquelle il ne peut y avoir d'Equilibre (Varignon) 1692 : Des espaces parcourus par les Corps (Varignon) 1693 : Sur la force du Coin (Varignon) 1700 : Sur les forces Centrifuges (Marquis de l'Hospital) 30 janvier 1700 : Manière Générale de déterminer les forces, les vitesses, les espaces et les tems, une seule de ces quatre choses étant donnée dans toutes sortes de mouvements rectilignes variés à discrétion. (Varignon) 13 novembre 1700 : Des forces centrales ou des pesanteurs nécessaires aux Planètes pour leur faire décrire les Orbes qu'on leur a supposé jusqu'icy (Varignon) 1702 : De la Résistance des Solides en Général, pour tout ce qu'on peut faire d'hypothèses touchant la force et la ténacité des fibres du corps à rompre ; et en particulier pour les hypothèses de Galilée et de M.Mariotte. (Varignon) 1702 : De la Résistance des Cilindres creux et Solides (Parent) 1702 : De la figure ou Curvité des fusées des horloges a ressort. (Varignon) 30 juin 1703 : Sur les Courbes de la chute des corps. (Varignon) 1703 : Sur les courbes décrites par des forces centrales. (Varignon) 1703 : Sur les forces et les machines en général. 1703 : Sur les frottements. (Amontons) 1703 : Sur la Route que tiennent plusieurs corps liés entre eux par des cordes, et tirés sur un plan horizontal. 1703 : Démonstration Générale du centre de Balancement ou d'oscillation tirée de la nature du levier. 14 juillet 1703 : Du frottement d'une Corde autour d'un Cilindre immobile. ( Sauveur) 1704 : Démonstration du Principe de M.Huygens, touchant le centre de Balancement, et l'identité de ce Centre avec celui de la percussion. Lettre du 3 avril 1704. (Bernouilli) 1704 : Nouvelle Statique avec frottements et sans frottements ou Règles pour calculer les frottements des Machines dans l'état de l'Equilibre. (Parent) 1704 : Manière de discerner les Vitesses des corps mûs en lignes courbes... (Varignon) 1705 : Du mouvement des Planètes sur les Orbes. (Varignon) 1705 : Véritable hypothèse de la Résistance des solides , avec la Démonstration de la Courbure des Corps (Carré) 11 juillet 1705 : Sur la Réfraction des Balles de Mousquet dans l'eau, et sur la Couverture rigide
Bon [250x170 mm], 1 ff., 82 pp.,
[MANUSCRIT] - [NANTES - COSNIER DE LA BOTTINIERE (Nicolas, Gilles)]
Reference : 585719
(1800)
Nantes, 5 mai 1800. 1 ff. manuscrit in-folio, 40x53cm., recto-verso, document signé et certifié véritable le 15 floréal an 8 de la République.
Mr Cosnier de la Bottinière aurait fait partie des émigrés (et des Chouans) ayant débarqué le 7 Juillet 1795 à Quiberon et battus (lettre de Mathurin Louis Rousseau). Puis il aurait participé au combat du 25 septembre 1795 de Martigné-Ferchaud, pour enlever les fers des forges de Martigné. Toutes ces tentatives ayant échoué. Dans l'ouvrage de Alfred Genoux intitulé "La révolution au pays de Châteaubriant", il est mentionné Mathurin Louis Rousseau (propriétaire du parc Saint-Michel de Châteaubriant, commissaire chargé de la réquisition des bois pour la marine dans la forêt castelbriantaise) et son ami Lerouge (directeur des forges de Martigné), 2 noms que l'on retrouve dans les acquéreurs de cette succession. Armoirie des Cosnier de la Bottinière: D'argent à la fasce d'azur, chargée d'une colombe d'or, tenant dans son bec un rameau d'olivier de mesme, accompagnée de 3 étoiles de gueules.Noms des différents acquéreurs: Donation Marion - Pierre Joseph Fercoq - Louis Charles Drâle - Joseph Cornullier - François de Heugne - Mathurin. Louis Rousseau - Jean Baptiste François Lerouge - Mr de Fer - François Ferrand - Pierre François Huard - François rousseau Guillard et Renaud. Petites déchirures sans manque, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
1840 Copie manuscrite, ou mise au propre ? vers 1840, de la traduction du célèbre roman philosophique de Samuel Johnson par une main anonyme. Volume in -12 de 1 feuillet de titre, 1 feuillet blanc et 224 pages, d'une écriture fine et très lisible sans aucune rature, à l'encre brune. Reliure en plein veau brun époque, filet doré et large guirlande à froid encadrant les plats, dos plats orné de filets dorés cernés de flets à froid et de fleurons à froid avec petit point central doré, titre doré "Histoire de Rasselas", coupes guillochées, tranches dorées.
Ni les traductions de Mme Belot (1760), ou celle de Donnant, sous le titre : La Vallée heureuse, ou le Prince mécontent de son sort, par Johnson (1803), ou de Gosselin (1822), ni celle de Mme de Fresne en 1832, ne correspondent à la présente traduction, qui présente quelques maladresses. Il s'agit vraisemblablement de la mise au propre d'une traduction inédite, par une main anonyme. Le conte de Jonhson eut du succès dès sa parution et tout au long du 19e siècle, il est légitime de penser que plusieurs traductions anonymes aient circulé. Reliure frottée aux coins et coupes, coins émoussés, début de fente sur 3 cm à la charnière supérieure, manque à la coiffe supérieure. Exemplaire resté agréable. (Reu-Bur) Je suis absente du 14 au 19 juillet. Vos commande seront enregistrées, mais nous ne pourrons pas y répondre avant le 20. Merci de votre compréhension et de votre patience.
Pontoise, Sté Historique, 1900 & 1901. Deux volumes in-4, 62 & 210 pp., sans le carton de 4 pages destiné à remplacer les pages 17 à 20 du premier fascicule du Cartulaire de S. Leu. Annotations manuscrites de l'abbé Robert Merlette. Broché, bon état général.
Le prieuré de Saint-Leu-d'Esserent se trouve dans le sud de l'actuel département de l'Oise, dans le diocèse de Beauvais, aux frontières de l'Ile-de-France, à quatorze kilomètres de Senlis. Fondé en 1081, par le comte Hugues de Dammartin et l'évêque Guy de Beauvais, ce prieuré est une ancienne dépendance de l'abbaye de Cluny, dont il subsiste l'ancienne église. Cette église est actuellement l'église paroissiale de la commune. Chanoine, Eugène Müller (1834-1918), était membre de la Société des antiquaires de France, et du Comité archéologique de Senlis (en 1896).
MANUSCRIT original Joseph BERARD,Commissaire de Marine a Toulon,chargé de l’Inspection maritime au ministére de la Marine
Reference : 20801
IN Folio broché,10 Avril 1817,52 pages manuscrites numerotées,a 2 colonnes ,ratures et corrections,mouillures et taches sur quelques feuillets,lisible
Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Richard Episcopatus Aurelianensis Scripsit PE Richard Episcopatus Aurelianensis 1824. In-Folio relié plein cuir vert, plats estampés à froid avec double encadrement doré. Reliure armoriée au centre des deux plats, blason d' Archevéque (10 glands) non identifié, tranches dorées, roulette dorée intérieure. Manuscrit de 16 feuillets plus page de titre. Reliure de Alphonse GATINEAU, libraire de l'Evéché à Orléans. Bel état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
S.l., s.d. (vers 1910) in-8, [25] ff. n. ch., avec des collettes pour les notes aux ff. 6, 8, 10, 14, 15, 17, 19, et 24, écriture épaisse, régulière et lisible, broché.
Copie d'articles parus dans le "Mémorial de la Mayenne", des 27 décembre 1843 et 3 janvier 1844 et réunis dans un tiré-à-part (Laval, Godbert, 1844, 22 pages). Le copiste a indiqué sur la couverture la raison d'un tel travail : "N'espérant pas pouvoir retrouver cette brochure, je l'ai copiée sur un exemplaire qu'on m'a prêté". De fait, l'imprimé lui-même n'est signalé au CCF qu'à la BnF, à Lyon et au Mans. Il n'est attribué dans les catalogues de ces trois dépôts, mais il n'est pas extravagant de penser que son auteur est Guillaume-François d'Ozouville (1794-1859), qui milita inlassablement pour l'érection d'un évêché dont le territoire, détaché de celui du Mans, couvrirait le département de la Mayenne : l'existence d'un évêché antique (IVe ou Ve siècle) dans la cité gallo-romaine des Aulerques Diablintes (Noviodunum, devenue actuellement la commune de Jublains, qui conserve de fait les plus importants vestiges romains de l'Ouest) alimentait les raisons pragmatiques par ailleurs alléguées. Si l'existence de cet évêché semble un mythe, l'érection de celui de Laval en 1855 fut le fruit de ses efforts persévérants. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., 1859 in-16, [7] ff. n. ch., couvertes d'une écriture très fine et lisible (environ 30 lignes par page), 3 ff. vierges, en feuilles.
Petit journal de campagne du chef de bataillon Isidore Paris (né en 1818), du 101e Régiment d'infanterie, puis du 1er Régiment de voltigeurs de la Garde impériale, du 22 avril au 18 juin 1859, soit la première phase de la campagne d'Italie. Rédigé d'une écriture très fine, presque sans biffure ni rature, il commence par le départ du petit port de Stora (Algérie, près de Philippeville) pour Marseille, puis Toulon, et enfin Gênes (29 avril). Suivent les étapes de Gênes à Novi, puis à Castel Nuovo [Bormida], et Noghera. Il s'étend sur le combat de Montebello (20-21 mai). Mais, le 26 mai, il apprend son transfert au 1er Régiment de voltigeurs de la Garde, et quitte donc son unité pour rejoindre Alexandrie, où son nouveau régiment était stationné. Il le rate de peu, le retrouve à Verceil, participe au franchissement du Tessin et à la bataille de Turbigo (3 & 4 juin). Le 5 juin, comme il est dit, "nous apprenons les résultats de la bataille de Magenta, l'ennemi a été battu sur tous les points". Après quelques jours passés dans le bivouac même de Magenta, l'unité se dirige vers Milan, où elle entre le 9 juin. Elle en repart le 12, après avoir assisté au Te Deum solennel devant Napoléon III et Victor-Emmanuel II.Le carnet se termine par le passage de l'Adda, et l'arrivée à Brescia. Il n'y a rien sur la fin de la campagne (bataille de Solférino et armistice de Villafranca).On joint :I. Deux états de service in-folio d'Isidore Paris, qui, rappelé à l'activité en septembre 1870, termina sa carrière militaire comme général de brigade au titre de l'armée auxiliaire) : un sans date et probablement privé ; un officiel délivré par le Ministère de la Guerre le 9 septembre 1874.II. Un ensemble de correspondances passives du commandant, puis colonel Paris, toutes à caractère privé :1. Lettre du 30 août 1857, de Sétif. - 2. Du 19 mars 1859. - 3. Du 4 septembre 1863. - 4. Du 21 février 1864, de Rome. - 5. Du 8 septembre 1864, de Rome. - 6. Du 11 novembre 1864, de Paris. - 7. Du 22 novembre 1864, de Paris. - 8. Du 11 janvier 1865, de Brest. - 9-10. Deux billets de 1873. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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S.l., s.d. petit in-4, 167 pp., couvertes d'une écriture fine, soigneusement calligraphiée et très lisible (environ 30 lignes par page),, avec quelques rayures et biffures, [13] ff. vierges, vélin souple à lacets, dos lisse muet orné d'un filet noir en long, encadrement de double filet noir sur les plats, titre poussé à l'encre noire sur le plat supérieur (reliure moderne).
Très intéressante étude manuscrite rédigée au début du XIXe siècle, soigneusement calligraphiée, et abondamment détaillée (les notes sont souvent particulièrement soignées). Elle dépasse largement les opérations de l'année 1796 avec Bonaparte comme général en chef, et commence en fait en 1792 avec l'occupation de la Savoie et du Comté de Nice.Après une introduction intitulée Considérations géographiques sur les Alpes et l'Apennin (pp. 1-5), elle se divise en quatre parties :1. Depuis la formation de l'armée jusqu'aux affaires de Toulon (pp. 7-41), c'est-à-dire en fait à compter de la nomination du général de Montesquiou comme commandant de l'Armée du midi juste après le 10 août 1792 jusqu'à la prise de Toulon.2. Depuis la prise de Toulon jusqu'à celle de Saorgio [Saorge] (pp. 43-61), jusqu'à l'occupation du Col de Tende, position stratégique de premier ordre.3. Depuis l'occupation des Cols de Tende et Fénestre jusqu'à la reprise de Savone (pp. 63-120).4. Depuis le mois de nivôse an IV [janvier 1796] jusqu'à la paix avec le Roi de Sardaigne (pp. 123-167), en fait jusqu'à l'occupation de Tortone et l'armistice de Cherasco, signé le 28 avril 1796. Cette dernière partie seulement couvre le début de la carrière de Bonaparte comme général en chef de l'Armée d'Italie (nomination le 2 mars ; prise de commandement le 27 mars).D'après les manuscrit du SHD, l'auteur de ce texte est le chef de bataillon du Génie Pierre-François Paulinier de Fontenille (1775-1841), qui finit sa carrière militaire comme lieutenant-colonel au corps royal du Génie, avant de se reconvertir dans une brève carrière politique (il fut député de l'Hérault de 1815 à 1816, siégeant dans la majorité de la Chambre introuvable). Son jeune frère Antoine-Adolphe (1778-1812) périt à la suite des blessures reçues à la bataille de la Moskowa (il était capitaine d'artillerie). Le Service historique de la Défense, Archives de l'Armée de terre, ne possède pas moins de trois exemplaires de ce manuscrits, référencés sous les numéros 413 (du legs du général Roguet), 741 et 1649. C'est à leur catalogue que nous reprenons l'attribution à Paulinier de Fontenille. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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[Paris], s.d. (1825) in-folio, [4] pp. n. ch. sur papier réglé, écriture moyenne et lisible (environ 35 lignes par page), en feuille, un rebord ébarbé, avec perte de quelques lettres.
En semi-disgrâce depuis sa participation à l'épisode des Cent-Jours, le général Auguste Pétiet (1784-1858) avait été "placardisé" comme directeur des Archives historiques au Dépôt de la Guerre, fonctions qu'il assuma de 1823 à 1830. C'est à ce titre qu'il communique son avis sur un projet du baron d'Audebert de Férussac (1786-1836) de créer un bureau de statistique militaire.On joint, sur le même sujet : [PAULINIER DE FONTENILLES :] Notes sur le projet d'établissement d'un bureau de statistique militaire au Dépôt général de la Guerre : [6] pp. n. ch., datées du 12 mai 1825.Pierre-François-Antoine Pualinier de Fontenilles (1775-1841), alors lieutenant-colonel du Génie, était membre de la commission pour la formation d'un bureau de statistique militaire. Il fut député de l'Hérault de 1815 à 1816, siégeant dans la majorité de la Chambre introuvable ; ses opinions ultra ne font pas de doute.Les deux opinants tombent d'accord sur la nécessité de créer ce bureau, mais forment chacun des critiques plus ou moins fortes sur les moyens d'exécution et d'organisation proposés. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., s.d. (1749) in-4, [36] ff. n. ch. (y compris le titre), couverts d'une écriture régulière et soignée (environ 15/20 lignes par page), texte entièrement réglé, maroquin vieux-rouge, dos à nerfs cloisonné et orné de semis d'étoiles, et de fleurs de lis, pièce de titre verte, encadrement de triple filet doré sur les plats avec fleurs de lis en écoinçon, tranches dorées (reliure de l'époque).
La date donnée ici est celle retenue par la Bibliothèque de l'Arsenal, ce qui en ferait un mémoire composé après la fin des fonctions officielles de Philippe, ce qui est au demeurant cohérent avec le libellé du titre.Il s'agit essentiellement d'un travail historique, relatant les évolutions du Trésor royal depuis Philippe le Bel jusqu'au règne de Louis XV. Une seconde partie (à partir du f. 26) est formée par une chronologie recensant les Gardes du Trésor et les Trésoriers de 1356 à 1731.Jean-Antoine Philippe (mort en 1766), premier commis de Jean Pâris de Montmartel, fut commis aux exercices de garde du Trésor royal de 1726 à 1730. Il ne faut pas le confondre avec un de ses fils, Jean-Antoine-Gabriel (mort en 1769).Il semble avoir existé pas mal de copies de ce travail, si l'on en croit les exemplaires signalés par les dépôts publics. La Cour des Comptes possède par exemple une copie de ce mémoire effectuée en 1814 (cote 601 PHI) ; la Mazarine en signale également un exemplaire du XVIIIe siècle (Ms 2771) ; quant à la Bibliothèque de l'Arsenal, elle répertorie deux exemplaires du même texte (Ms-5299, qui avait appartenu à Victor Luzarches ; Français 14063).Cf. Claeys (Thierry) : Dictionnaire biographique des financiers en France au XVIIIe siècle, II, 724-726.Bel exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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1890 1 Bruxelles, 1884 à 1890. Textes en français et en anglais. In-12, reliure noire, ornée de ferrures plat supérieur, plat arrière clouté, tranches dorées.
Carnet de poésie enrichi de 19 illustrations techniques variées, gravure en couleur à la poupée, mine de plomb, encre noire et couleurs, représentant des scènes animalières, maritimes, de paysages et florales. Minimes traces d'un fermoir manquant.
Paris avril 1866 in-8 cartonnage gris, titre ms. sur le 1er plat
1 f. bl., 7 ff. de texte, 1 figure dessinée à l'encre et au crayon.Non cité dans David Starr Jordan, The General of Fishes (qui recense pourtant de nombreuses études de Thominot). La BNF ne possède aucun ouvrage de Thominot.Le dessin original signé d'Alexandre Thominot est légendé: "Cantharus longipinnis, Thomin. Canthar. macroptère, Thomin. premièrement."Le genre Cantharus longipinnis semble ne pas avoir été retenu par les classifications modernes, qui ne connaissent que le Macroptère (Cantharus macropteris)
Cannes, 1923, 1 1 feuillet manuscrit ;
Lettre du docteur Paul Pouzet de Privas, adressée au célèbre géologue Pierre Termier.
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Privas, 1813, 1 feuillets libres sous enveloppe. 4 pages manuscrites ;
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S.l., (1815) in-8 et in-4, 3 feuillets distincts.
- Mesdames de Forbin... à Monsieur le comte de Neipperg en le décorant d'une fleur de lys.Neipperg fut chargé de tout faire pour empêcher l'impératrice de rejoindre Napoléon exilé à l'île d'Elbe.- A Son Altesse Royale Monsieur le comte d'Artois, en lui présentant un exemplaire des cérémonies instituées par le Roi René. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l.n.d. (vers 1840) in-folio, [21] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne et relativement lisible (environ 30 lignes par page), biffures et ratures, en feuilles.
Conformément à un projet qu'il poursuivit avec une certaine constance, Barbot du Plessis examine en détail la possibilité d'éditer un contre-périodique politique : "Depuis longtemps, je fais sentir la nécessité d'un journal qui puisse devenir l'antidote du journalisme", d'où le titre un peu mystérieux de ce mémoire.Après des considérations très générales sur les dispositions de l'esprit envers les textes périodiques, l'auteur aborde quelques éléments concrets : nom ("Cet ouvrage périodique s'appelleroit L'Arc-en-ciel, et l'on en voit aisément la raison"), périodicité, contenu ("L"ouvrage se composeroit de nouvelles, d'annonces et analyses, de discours ou variétés" - ce qui, entre nous soit dit, correspond rigoureusement au programme de tous les journaux de l'époque -), déontologie ("Sur l'article des nouvelles, il faudroit être extrêmement sévère, ne publier que celles qui seroient à la fois certaines et importantes à connoître ..."). Tout est de cet ordre : des banalités solennellement énoncées, avec un grand air de nouveauté proclamée, qui esbaudit quand même un peu ... - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., s.d. (1847) in-folio, titre, 57 pp., couvertes d'une écriture régulière, fine, lisible (environ 30 lignes par page), avec des biffures et ratures, en feuilles, cousu.
Ce long texte forme une traduction en français des débats engagés le 5 mars 1847 à la Chambre des Lords autour de la seconde lecture du Custody of offenders bill. Le texte anglais qui a servi de base est celui donné par le Times du lendemain, 6 mars 1847 ; les ratures et biffures correspondent aux hésitations du traducteur pour rendre certaines expressions. Le début du texte original est le suivant : I beg now to move that this Bill be read a second time. The object of the Bill is not one of any considerable importance. Its scope is confined to little more than assimilating the law with respect to Irish offenders, to the law as it now exists in Great Britain. Et le traducteur le suit phrase à phrase.L'essentiel de l'intervention est donc constitué par l'intervention du comte Grey, avec les questions et interruptions ordinaires dans les débats de la Chambre. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.L., 1842. Manuscrit in-folio, rel. demi-basane verte, dos lisse orné de roulettes dorées, 283 pp. Index. 36 tableaux généal. à pleine page, nombreux tableaux dans le texte. Additions manuscrites.
Le rédacteur indique dans l'introduction que le nom Roubaud viendrait du nom Roubaudy, originaire de Turin, en Piémont, et s'installa en Provence, notamment à Grasse. Les généalogies des différentes branches commencent au milieu du XVIIe s. Chaque couple fait l'objet d'un chapitre assez détaillé et indique les enfants et les alliés le cas échéant. Les sources sont indiquées assez souvent. Bon état. - Frais de port : -France 9,7 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
[Manuscrit - père Pasquier Quesnel], La Constitution Unigenitus de notre S.P. le pape Clément XI du 8 septembre 1713 qui condamne le livre des Réflexions morales du Père Quesnel sur le nouveau Testament - 1727. [S.l., s.n., 1727]. Petit in-8, 37-202p. Exceptionnel manuscrit écrit en 4 couleurs, l'or pour les paroles divines, le rouge pour la bulle qui « a tout mis à feu et à sang dans l'Eglise », le noir pour les remarques car « cette constitution ne peut produire dans le cour d'un vrai chrétien que de tristes réflexions sur l'affligeant état de l'Eglise » et le bleu pour les passages des pères et des conciles. Notons d'ailleurs que Bossuet, gallican, y apparait en bleu. Il faut dire que la bulle à unifier les gallicans et les jansénistes. L'auteur est probablement Jean-Baptiste Goy (1666-1738), sculpteur devenu ecclésiastique, attaché un temps à la paroisse Saint Roch, notoirement janséniste. En effet, il serait le coauteur de la nouvelle édition de La Vérité rendue sensible à tout le monde contre les défenseurs de la constitution Unigenitus, ouvrage de l'abbé Dusausoy (d'Harcourt, Normandie, décédé en 1727). Notre manuscrit reprend la première partie de cet ouvrage en y ajoutant les « textes sacrés » à l'encre d'or. Curieusement, il existe la mention d'un ouvrage imprimé qui porte le même titre (voir Catalogue des Livres Imprimez de la bibliothèque du Roy - Théologie. Paris, Imprimerie Royale, 1742. Tome second, n°2047, p.120) sans que n'ayons pu en identifier un exemplaire. Ex-libris tampon sur le titre et la première page de texte (dans le texte.) de G.Roguet. Reliure pleine basane janséniste de l'époque, titre doré effacé (constitution), mors supérieur en grande partie fendue, coins usés. Rare curiosité.
Phone number : +33 6 30 94 80 72
s.l s.e. s.d Manuscrit de 215 pp., dont 188 pages sont utilisées, demi chagrin.
Joseph Roman éminent archéologue, ayant participé dans sa vie à toutes les sociétés savantes de France, nous donne ici son écriture de jeune homme, de son cours dont il trace toutes les figures. Ce manuscrit émouvant se termine malheureusement sur un titre: "Index de tous les termes contenus dans ce volume", qui n'est donc pas terminé.
[France, Orne], c. 1857-1858, in-4, 97 pp, Demi-chagrin rouge à coins de l'époque, dos à faux-nerfs et fleuronné, tête dorée, Manuscrit non signé, rédigé d'une écriture soignée. Son auteur, le docteur Victor Ragaine (1814-1883), médecin chargé des épidémies dans l'arrondissement de Mortagne dans l'Orne, fournit ici le résultat des observations réalisées au cours de l'épidémie de variole qui sévit de septembre 1857 à janvier 1858 dans les communes de Saint-Jouin et de Coulmier. Ses conclusions portent sur l'efficacité de la vaccination. Ce manuscrit a fait l'objet d'une publication dans le Journal de médecine, de chirurgie et de pharmacologie (1861, 19e année, volume 32, pp. 531 et suiv.). Ragaine trace l'histoire de cette épidémie, depuis son importation à Saint-Jouin par le "patient zéro" Théophile Séguré, journalier de Chaillois ; il en suit le cours et démontre son mode de contagion. Il dresse un tableau statistique des individus ayant contracté la maladie en spécifiant leur âge, leur sexe, leur profession et leur classe sociale (aisé, peu aisé, indigent) ; il dresse un état des malades ayant été vaccinés ou non et, le cas échéant, la date de leur décès. La conclusion de son étude le pousse à préconiser la vaccination et la revaccination : "Puisqu'il parait constant que la vertu préservatrice de la vaccine est temporaire, l'avantage de la revaccination est donc incontestable et dans ce cas chaque médecin doit la considérer comme un véritable bienfait, il importe qu'il fasse tous ses efforts pour en propager la pratique" (p. 97). Victor Ragaine, fut membre du Conseil général de l'Orne de 1874 jusqu'à son décès. Il publia plusieurs travaux sur des épidémies, notamment une Relation d'une épidémie d'angines couenneuses (Paris, Baillière, 1879) et un Mémoire sur une épidémie de fièvres typhoi?des observées a? Moulins-la-Marche pendant les années 1855 et 1856 (Paris, Germer-Baille?re, 1858). Il fut nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1863. Petits frottements au dos et aux coins. Couverture rigide
Bon 97 pp.
[MANUSCRIT, RAMBERSVILLERS] - BLEMUR (Jacqueline-Brouette de) -
Reference : 201306284
, s.d. (vers 1800); in-4, 145 pp., reliure demi-toile . MANUSCRIT -COPIE conforme du manuscrit appartenant aux religieuses Bénédictines du St Sacrement de Rambervillers à l'usage de la Mère de St Joachim. Cet abrégé de la vie de la vénérable Mere Benoiste est copié sur l'imprimé qui se trouve à Paris Chez Louis Billaineau second pillier de la grande salle du palais, au grand César. Tome second des éloges de plusieurs personnes illustres en piété, de l'ordre de ST Benoist , décédées en ces derniers siècles (de 1679 )ABREGE DE LA VIE DE LA VÉNÉRABLE MÈRE BENOISTE éloges de plusieurs personnes illustrés en piété de l'Ordre de S. Benois décédées en ces derniers siècles) - EXEMPLAIRE ayant appartenu a L'ABBÉ Clle PITANCE Vicaire de la cathédrale de St. Dié (Vosges) état : coins bien usagés dos usures tomaison refaite. texte bon état -.
MANUSCRIT -COPIE conforme du manuscrit appartenant aux religieuses Bénédictines du St Sacrement de Rambervillers à l'usage de la Mère de St Joachim. Cet abrégé de la vie de la vénérable Mere Benoiste est copié sur l'imprimé qui se trouve à Paris Chez Louis Billaineau second pillier de la grande salle du palais, au grand César. Tome second des éloges de plusieurs personnes illustres en piété, de l'ordre de ST Benoist , décédées en ces derniers siècles (de 1679 )ABREGE DE LA VIE DE LA VÉNÉRABLE MÈRE BENOISTE éloges de plusieurs personnes illustrés en piété de l'Ordre de S. Benois décédées en ces derniers siècles) - EXEMPLAIRE ayant appartenu a L'ABBÉ Clle PITANCE Vicaire de la cathédrale de St. Dié (Vosges) état : coins bien usagés dos usures tomaison refaite. texte bon état -.