Jaromil JIRES - [Bratislava 1935 - Prague 2001] - Réalisateur et scénariste tchéque -
Reference : 35129
1 page in12 - (carte) - trés bon état -
Il ne peut remplir son "joli désir" car Jaroslav Kucera est mort "depuis trois ans" - Cette perte est "grave pour le cinéma tchèque" - Et il lui manque personnellement beaucoup - Il a tourné avec lui "Le premier Cri" en 1963, "la Romance" en 1965, ...- Sa lettre l'a trouvé par hasard et il apprécie son amour pour Jaroslav qui est aussi le sien professionnellement -
Beau manuscrit dédicacé à Jean Reboul, signé et daté 8 janvier 1848. Broché Bon Nîmes 1848 3 feuillets 30 x 20 cm
Jaume Camprodon / Rosa Ferrer / Josefa Arnall / Milada Studnickov / Yarza Luaces / Gabriel Roura
Reference : 67921
Barcelona, M. Moleiro Editor, 1997 Facsimile Edition. Bound in deep red leather, richly embossed in gold, housed in a matching slipcase with gold motifs. Folio (49 35 cm). 252 pages, with 705 miniatures illuminated in gold, in full colour. **** NUMBERED COPY NO. 707 OF A LIMITED FACSIMILE EDITION OF 987 COPIES, ISSUED WITH A CERTIFICATE OF AUTHENTICITY.**** Accompanied by a commentary volume, hardcover with dust jacket, 407 pages, profusely illustrated in colour (170 illustrations). Size: 38 27 cm. Language: Spanish. Condition: Fine. ISBN 9788488526359.
The Martyrology of Usuard is a copy of the work completed by Usuard in 860, later updated to include additional saints. Usuard himself was a monk at Saint-Germain-des-Pr s in Paris between 841 and 847, and his journey through Spain in 858 was decisive for the inclusion of many Spanish saints in his text. This remarkable manuscript holds a key place in the history of Central-European painting. Its illuminations reveal strong links with major artistic centres across Europe at the turn of the 14th and 15th centuries, placing it firmly within the sphere of international courtly art while remaining rooted in the Bohemian tradition of book illumination a true high point in that tradition's long evolution. Before reaching the city of Gerona, the Martyrology had an eventful journey. Originating in Prague, at the court of King Wenceslas IV of Bohemia, it later travelled through Austria, Hungary, and Moravia. It was subsequently found in Rome and Naples, and may even have been housed for a time in Stockholm and Madrid. In 1673, it arrived at the monastery of Poblet in Catalonia, and later was taken to Gerona, where it was first safeguarded in the monastery of Cadins and is now preserved in the Museu Dioces , where it remains to this day. A masterpiece of the International Gothic from the famous Wenceslas workshop in Prague: the agonizing martyrdoms of the saints in incredible 700 beautiful miniature medallions.
[Jaurès] - Louis SOULE - [1880 - ,] - Historien français - spécialiste de Jaurès
Reference : 33710
1 page in4 - trés bon état - Louis Soulé - 1 place Matabiau - Toulouse -
Il trouve sa lettre à son retour de Madrid - Il s'est occupé de rechercher le contenu de la conférence de Jaurès qui l'interesse - Mais elle n'a pas été publié dans La Dépêche, juste un compte rendu à la date du 13 février 1914 - "Impossible d'en avoir un exemplaire" - Il ont été liquidés - Du côté de Midi Socialiste, il est inutile de chercher car "son organisation intérieure est loin de nous autoriser à espèrer d'utiles recherches" - Il va essayer chez les militants toulousains qui auraient pu conserver ce numéro -Sa documentation personnelle est trés abondante, "surtout sur la période antérieure à la notoriété de Jaurès" - Qu'il n'hésite pas à y puiser à pleines mains - Rare -
[Jaurès] - Louis SOULE - [1880 - ,] - Historien français - spécialiste de Jaurès
Reference : 33711
1 page in4 - trés bon état - Louis Soulé - 1 place Matabiau - Toulouse -
Sa documentation personnelle sur Jaurès s'arrête à 1898 - Dès qu'il aura une minute, il la compulsera pour en extraire "les articles que Jaurès a publié jusqu'à cette époque dans la Dépêche de Toulouse" dont il a tous les nos interessants - Jaurès n'a jamais collaboré avec Midi Socialiste car il avait une dette de reconnaissance envers la Dépêche contre laquelle ce journal a été créé - Sa collaboration était hebdomadaire - Il possède la première édition des "Pages choisies" mais pas sa "Vie de Jaurès"- Puisqu'il lui offre, il ne fait aucune difficulté à l'accepter -
JAVELET Robert Camarade curé (tome II de mon curé chez les p GII) in 8 broché, couverture illustrée, faux-titre, frontispice, titre, 319 pages, illustrations en noir à pleine page de Louis BERNARD. Envoi manuscrit autographe de l’auteur. Imprimerie coopérative Epinal 1957. Bon exemplaire
Lettre signée du Préfet du Rhône adressée au Président du Conseil de Salubrité. Lyon le 22 avril 1847. En feuille Très bon Lyon 1847 1 volume in-4°
, Brepols - Harvey Miller, 2007 Hardcover. 367 p., 165 x 240 mm, Languages: French, Latin, Including an index. Fine copy. ISBN 9782503527420.
Autant que sa legende, qui traverse, hante ou fascine plusieurs histoires, l?oeuvre d?Abu al-Walid Muhammad Ibn Ru?d (1126-1198) est d?une singuliere richesse. Juridique, medicale, theologique ou philosophique, sous forme de traites ou de commentaires, elle est batie d?emblee sur divers pans, en verite peu etanches, et sans doute, pour certains, opiniatrement repris par leur auteur. Elle est en outre solidaire de son legs et de sa propagation, puisque son sort, comme on sait, sera de circuler aussi bien en hebreu qu?en latin entre differentes aires geographiques et culturelles : souvent mutilee, deformee, mais sauvee aussi, tantot forte de sa clarte exegetique, ouverte a un destin de manuel, tantot honnie, ou assumee, pour la puissance de scandale ou la radicalite qu?on y decelait. L?objet du colloque fut d?etudier certains elements cruciaux de cette pensee coherente, mais dynamique, multiforme et accidentee, et de retracer quelques etapes de la Rezeptionsgeschichte de l?oeuvre du Commentateur chez les docteurs juifs et latins.
Turnhout, Brepols, 2012 Paperback, 450 p., 20 b/w ill. + 6 colour ill., 156 x 234 mm. ISBN 9782503540801.
La fondation d'une Chambre des comptes a Lille par Philippe le Hardi en 1386 fut l?un des outils principaux d'integration des Pays-Bas meridionaux a l'Etat bourguignon naissant. Dans le cadre d'un Etat princier bipolaire largement tourne vers le royaume l'institution s'inspira des usages flamands, artesiens et monarchiques, et s'insera dans un reseau de Chambres regroupant Paris, Dijon, Lille et bientot Bruxelles. Tout en controlant plus de 200 comptes, elle traitait une information puisee dans son reseau de correspondants et ses archives, parvenant a elargir son perimetre d'intervention jusqu'au controle des comptes des officiers centraux des finances ducales. La Chambre sut egalement etablir son autorite sur le domaine et les monnaies, et gagna le statut de cour de justice reconnue par le Parlement. Gardienne de l'autorite des ducs, elle ne cessa de rappeler le droit tout en exaltant la puissance de la grace princiere, meme si elle ne put cependant jamais s'assurer le controle reel de l'administration financiere. Languages: French.
Turnhout, Brepols, 2011 Paperback, XVIII+224 p., 210 x 297 mm. Volume 4 ISBN 9782503534688.
Ce premier volume consacre aux bibles hebraiques conservees a la Bibliotheque nationale de France presente trente-deux manuscrits : dix-sept ont ete produits dans la peninsule iberique, sept dans l?aire ashkenaze, et un en Italie. La diversite de ces provenances favorise la comparaison des modes de fabrication, de copie et d?illustration des bibles hebraiques en Europe occidentale, durant le Moyen age. En effet, ces techniques ont ete influencees par le contact avec les cultures arabe et chretienne. Dans les bibles iberiques, des listes massoretiques sont copiees en debut et en fin de volume, quelquefois aussi a la fin du Pentateuque et moins souvent, a la fin des prophetes. Dans quelques bibles luxueuses, deux pages enluminees, formant une meme unite visuelle, representent les instruments du Temple. Certaines de ces bibles comportent egalement des vignettes enluminees destinees a indiquer les pericopes dans le Pentateuque, ou des grotesques et des figures zoomorphiques dans les marges de certaines pages. Mais l?element le plus original et le plus caracteristique des bibles hebraiques medievales est la decoration en forme de micrographie, presente dans toutes les aires geographiques. Certains textes accompagnent parfois celui de la Bible ; ils illustrent les differentes modalites de son etude et de son utilisation : grammaire et massore, traductions, commentaires, calendriers et listes liturgiques. Ces textes ont ete copies en meme temps que celui de la Bible ou ajoutes par des possesseurs successifs. Signalons uniquement deux des plus belles bibles decrites dans ce volume : Hebreu 15, copie a Lisbonne peu avant l?expulsion des juifs du Portugal, en 1496, et Hebreu 21, copie a Tudele (Navarre) par Josue ibn Gaon de Soria, pour Abraham de Leria, en 1301 ou 1302. Les abondantes annotations marginales trouvees dans les marges et les feuillets de garde de ces bibles, et de quelques autres, nous aident a retracer leur histoire ; ils sont de precieux temoins de la culture hebraique medievale. Languages : French, Hebrew.
Turnhout, Brepols, 2010 Hardback, 296 p., 103 b/w ill. + 6 colour ill., 30,5 x 44cm ISBN 9782503513645.
Du milieu du VIIIe s. a 1536, date de la dissolution des monasteres anglais par Henry VIII, diverses eglises d?Europe occidentale (principalement de Benedictins et de chanoines) eurent coutume de solliciter des prieres pour un/des membre(s) defunt(s) de leur communaute au moyen de brefs ou de rouleaux mortuaires, transmis par des brevigeruli (ou porte-rouleaux). Les brefs mortuaires, reduits souvent a des languettes de parchemin, ecrits en nombre, etaient laisses aux eglises visitees. Quant aux rouleaux mortuaires, ils etaient constitues d?un nombre variable de feuilles de parchemin (le tout pouvant atteindre 30 m de long) ; chacun d?entre eux debutait par un faire-part de deces (ou encyclique) ; a tour de role, les eglises visitees par le porte-rouleau apposaient un accuse de reception (ou titre) ; frequemment, ils etaient opisthographes, c?est a dire ecrits sur les deux faces. L?encyclique peut etre precedee, a partir du XIIIe s., d?une peinture ou de dessins (souvent d?excellente qualite) et suivie, a compter du XIVe s., d?une liste des confraternites conclues par l?eglise expeditrice (sorte de liste-programme pour le porte-rouleau). Si la plupart des brefs mortuaires ont disparu en raison de leur petite taille, les rouleaux des morts ont eux-memes beaucoup souffert au cours des ages, nombre d?entre eux ayant meme ete depeces pour servir de feuilles de garde a des mss. Au total, on ne conserve (en original, par des copies ou des editions anciennes) qu?environ 450 pieces, alors que certainement des milliers ont circule. Les plus anciens originaux connus sont des fragments de la seconde moitie du Xe s. Plusieurs criteres ont prevalu pour le choix des quelque 110 planches presentees. Tout d?abord, bien sur, un critere paleographique, car l?ensemble des ecritures est date et localise avec precision, ou du moins datable avec une fourchette chronologique etroite. On trouvera dans ce volume des ecritures livresques, des mentions avec lettres enclavees (a rapprocher de celles des pages-titres des mss. ou des inscriptions lapidaires) comme des ecritures cursives ou personnelles ; les pieces retenues ont les origines les plus diverses, francaises, anglaises, belges, hollandaises, allemandes, etc. Ensuite, un critere historique : une copie du debut du XIXe s. temoigne de la mise en circulation de rouleaux mortuaires par l?abbaye de Ripoll, malheureusement incendiee peu apres ; ou encore un titre de Noyon montre l?aprete des luttes intercommunautaires a propos des reliques. Egalement, un interet documentaire, comme la charte scellee, tenant lieu de ? rotulus ? , de l?abbesse de Pielenhofen (Baviere ; 1435). Ou encore, un interet artistique avec la reproduction des magnifiques dessins ornant le debut du rouleau de Lucy de Vere, prieure de Castle Hedingham (Essex ; vers 1230) ou prepares pour le rouleau de John Islip, abbe de Westminster (vers 1532). Dans bien des cas, les itineraires peuvent etre etablis avec une grande precision : une carte retrace celui d?un rouleau mortuaire expedie en 1406 par Saint-Bavon de Gand qui, en 20 mois, recueillit plus de 800 titres d?Amsterdam au nord a Barcelone au sud. Enfin, sont reproduits divers brefs mortuaires, documents a peu pres ignores jusqu?alors. Languages : French, Latin.
1 page in8 - trés bon état -
Si sa bonne étoile veut qu'il puisse aller au théatre mercredi, il devrait trouver la loge aisément avec "les deux fauteuils de balcon" qu'il lui envoie -
1 page in8 - enveloppe - trés bon état -
Candidat à la Commission des Auteurs dramatiques, il serait heureux d'obtenir son suffrage -
1 page in12 - trés bon état -
"J'ai disparu dans le travail le plus... profond!" - Le théatre l'attend à Paris - "Souhaite moi bonne chance" - Il demande de reproduire un article -
1 page in8 - trés bon état -
"pas de nouveaux ennuis, c'est bien assez des anciens" - Il a tant à faire qu'il ne sait plus ou donner de la tête -
1 page in8 - trés bon état -
Il demande de lui adresser deux ou trois exemplaires de son journal: "numéro du mercredi 1er février" qui rend compte de la conférence de Mr Jean Aicard -
1 page in4 - enveloppe - trés bon état -
Il avait d'abord en effet penser à lui : "Guy m'a dit qu'au début, vous avez fait des coquetteries" - Il en a l'habitude - Mais, entre temps le travail a été donné à Bouchor (?) et il n'a plus eu qu'à le laisser maitre de la distribution et du décor - "Il avait une autre idée en tête, voilà tout" - Ils se retrouveront un de ces jours -
15 mai 1829 | 18.5 x 24 cm | Deux pages sur une feuillet
Lettre autographe signée de Jean-Auguste-Dominique Ingres à Charles Paillet avec son adresse et titre autographes "commissaire expert honoraire des Musées Royaux", tampons postaux. Traces de plis inhérents à l'envoi. Une déchirure marginale restaurée, sans atteinte au texte. Exceptionnel manuscrit dans lequel Ingres donne les descriptions et les consignes d'exposition de ses deux tableaux inspirés de la vie de l'Arétin : "L'Arétin et lenvoyé de Charles Quint" et LArétin chez le Tintoret". * Le peintre avait exécuté ces deux tableaux d'histoire en 1815 et présentés au Salon de 1824 à Paris - choisissant des épisodes de la romanesque et scandaleuse vie de l'Arétin : "Par le choix de ce sujet, Ingres affirme lindépendance du créateur face aux puissants. Il témoigne également du grand succès dans la première moitié du XIXe siècle des représentations dépisodes de la vie des peintres ou des écrivains du passé, illustrés sur un mode anecdotique." (Musée des Beaux-Arts de Lyon). Cette lettre fait rérérence à l'apparition des toiles en 1829 dans une « Exposition au profit de la caisse ouverte pour l'extinction de la mendicité » à la galerie Lebrun, fondée par le défunt mari d'Elizabeth Vigée-Lebrun.Les descriptions données par Ingres dans cette lettre seront publiées dans le catalogue de l'exposition (Explication des ouvrages de peinture et sculpture [...], Coniam, 1829, p. 20-21). Ingres les adresse au respecté marchand de tableaux Charles Paillet - tout en précisant sa qualité d'expert du musée du Louvre dans son adresse au verso de la missive. Les oeuvres sont aujourdhui conservées en collection privée (L'Arétin et l'Envoyé de Charles Quint a été récemment vendu par la Stair Sainty Gallery). Ingres revisitera le sujet de ces toiles et en exécuta une autre version en 1848 aujourd'hui au Musée des Beaux-Arts de Lyon. Intéressante missive, qui nous apprend qu'Ingres fut l'auteur des descriptions de ses propres oeuvres, lors de leur exposition en 1829. Monsieur j'ai l'honneur de vous envoyer les notices de mes 2 tableaux sur Pierre Arétin. ces 2 tableaux moralement liés par le sujet ne peuvent être exposés qu'ensemble, cependant un seul tableau peut les séparer. J'ai l'honneur de vous prier monsieur de les exposer dans la travée en face de celui du Philippe V. Je vous les apporterai moi-même lorsque j'irai le 24 retirer ceux qui ne doivent plus figurer à l'exposition. J'ai l'honneur de vous saluer avec une parfaite considération Ingres Sujet du premier tableau sur Pierre Arétin surnommé le fléau des princes. Charles 5 à son retour d'Afrique lui envoya pour l'engager à se taire une chaîne d'or de la valeur de 100 ducats: «voilà dit le Satyrique un bien petit don pour une si grande sottise». Sujet du II Tableau L'émulation dégénérée en jalousie avait brouillé le Tintoret et le Titien. LArétin intime ami du dernier prit son parti et se déchaîna contre le Tintoret. Celui cy le rencontrant un jour près de sa maison le pria d'entrer sous prétexte de lui faire son portrait. A peine le fléau des princes fut il assis que le peintre vint à lui, le pistolet à la main. « Eh, Jacques s'écria le poète épouvanté que voulez-vous donc faire ? prendre votre mesure, répondit gravement le Tintoret et après l'avoir mesuré, il ajouta du même ton : « vous avez 2 de mes pistolets et demie de haut » et le renvoya...» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. d. [jeudi 9] | 13.50 x 20.80 cm | une feuille
Lettre autographe signée du peintre Jean-Auguste-Dominique Ingres.24 lignes sur un feuillet. Discrètes traces de plis horizontaux. Le peintre chef de file de l'école néo-classique recommande son élève Albert Magimel (1799-1877) pour une commande publique de deux tableaux, probablement à la ville de Tours : "Cher ami, Il m'est venu une idée pour placer le tableau de M. Magimel, sans déranger l'ordre suivi.Ne pouvez-vous pas, pour figurer cet artiste au budget de la ville pour une commande de deux mille f. par exemple par laquelle somme il s'engage à vous faire deux tableaux au lieu d'un seul, vous faisant de suite ce tableau qui est fait en donnant quittance de la moitié de la somme. Vous aurez alors deux tableaux pour un [...]je vous jette ce projet, peut-être impraticable pour vous à votre bienveillante volonté, sans y attacher que l'intérêt que je porte à un ami". Peintre d'histoire, portraitiste, Albert Magimel fur l'élève et proche collaborateur d'Ingres dont il publia un catalogue raisonné de l'oeuvre peinte. Belle signature d'Ingres en partie inférieure du feuillet. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Pantelleria 22 Juin 1923 | 21 x 27 cm | deux pages sur un feuillet
Lettre autographe datée et signée de Jean-Baptiste Charcot dit le Commandant Charcot à en-tête du Pourquoi pas ? , 56 lignes écrites à l'encre bleue sur une page recto-verso, adressée à son ami Raymond Hovasse. Pliures inhérentes à l'envoi, l'encre de la lettre a pâli. Les conditions climatiques ont prolongé une croisière en Méditerranée qui ne devait durer initialement que 4 jours : "Mais comme la caractérisation de cette croisière depuis que nous avons quitté la Provence est le coup de vent qui dure trois jours, puis 1 jour de calme et de nouveau 3 jours de vent, nous travaillons 1 jour et tachons de nous abriter qq. part pendant les 3 mauvais. Et cela peut durer longtemps ainsi." L'explorateur trouve tout de même quelque intérêt à cette navigation perturbée et rendue difficile par les conditions climatiques : "Par ailleurs notre tournée n'a pas manqué de charme, l'Orient en a toujours mais ce sale temps l'a empêché probablement d'être aussi fructueuse qu'elle aurait pu l'être, le temps parce qu'il va falloir songer au retour." Ce voyage aura permis à Jean-Baptiste Charcot de mieux faire connaissance de son ami et de sa famille : "J'ai été tout particulièrement enchanté d'avoir l'honneur et le plaisir d'être présenté à votre femme et de connaître vos gosses et d'entrer ainsi un peu dans votre vie familiale, j'ai été également très heureux de vous avoir pendant qq heures à bord de nouveau..." qu'il souhaite encore faire naviguer si les divinités marines lui sont toujours favorables : "... si le bateau reste jeune... si tous les maîtres de la mer me permettent de continuer." A son retour à Paris, le navigateur lui promet d'intercéder en sa faveur et gage que sa démarche sera couronnée de succès : "... je serais bien étonné si je n'obtenais pas satisfaction..." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Jean Baptiste Gaspard ROUX de ROCHELLE - [Lons-le-Saulnier 1762 - 1849] - Géographe, écrivain et ambassadeur français
Reference : GF29779
1 page in4 - bon état -
Il précise à Firmin Didot les prix de son livre "la Byzanciade" (parue en 1822 chez Firmin Didot) : 4 fr pour le libraire; 5 fr pour le particulier; 6 fr 20 pour les départements -
[Jean-Baptiste Le Marinier, Chevalier de CANY, Commandeur de l’Ordre de Malte (1645-1689)]
Reference : 3205
(1688)
Circa 1688 Manuscrit composé de 15 cahiers assemblés par des lacets et reliés entre eux par une cordelette de lin (177 feuillets in-folio (230 x 355 mm). Calligraphie très lisible, écrite à l’encre noire et à l’encre rouge, réglé au crayon en marge. Quelques déchirures, manques dans les premiers feuillets. Manuscrit très fortement raturé et surchargé. Composition - Avant-propos, 6ff.- Suivi de : « Formulaire de la profession reguliere des Chevaliers de Malte » (à l’encre rouge) 1ff.- Suivi de : « Oraisons que le prestre dit avant la profession ». En latin aux encres rouges et noires, 2ff.- Suivi de : « La forme de Donner l’ordre de Chevalerie, Les oraisons finies, le prestre commence la messe et sarreste avant levangil alors celui quy se dispose a recevoir l’habit se leve de devant l’autel, et va se mettre a genoux devant le chevalier quy la luy doit donner : pour en recevoir premierement lordre de chevalerie lequel luy dit (…), 4ff.- Suivi de : « Troisieme section contenant les paroles qui se prononcent en faisant les vœux », 1page. - suivi de : « Quatrième section contenant la forme de donner la croix et l’habit régulier de l’ordre et les oraisons quiserecitent pour conclusion de la cérémonie » 2 ff.- Suivi de : « Oraison après profession » (à genoux devant l’autel), 3ff.- Suivi de : « Reflexions dun Chevalier de Malte Religieux de l’ordre militaire des hospitaliers de Saint [Jean] de jerusalem. Sur la grandeur et les devoirs de son Etat ». 326 pages numérotées, dont les 4 derniers blancs. Le dernier marqué au verso d’une autre écriture : « Recu Ch de Malthe dan langue de provence le premier 7 bre 1572. »Défauts : Saut de pagination entre la dernière page de table marquée 293 à la partie commençant par : « réflexion d’un chevalier » paginée 303.
I – Historique de l’ordre de malte L’Ordre de chevalerie le plus ancien au monde : il fut créé en 1048. L’ordre dont le symbole est la croix blanche à huit pointes se donnera pour but la défense militaire des malades et des pèlerins lors des croisades. Sa double vocation militaire et hospitalière se verra confirmée au fil des siècles par la refonte en une seule entité des anciennes confréries de l’ordre des Templiers et des Antonins. Basé dans l’ile de Malte l’Ordre souverain militaire et hospitalier de Saint Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte eut au cours des XVIe et XVIIe siècles un rôle essentiel dans la lutte contre les Turques.Parallèlement à cette activité guerrière l’institution prit en charge les malades et lépreux qui bénéficièrent de l’expérience acquise par l’ordre des Antonins. En lutte constante contre les galères turques, l’ordre devint une puissance incontournable du bassin méditerranéen. À la fin du XVIIe siècle, le relâchement des moeurs et un certain laissé aller rendirent nécessaire une nouvelle mise au point des droits et devoirs de l’ordre. II – Texte de Jean Baptiste le Marinier de CanyC’est ce qu’entreprend en 1688 le commandeur Jean Baptiste le Marinier de Cany dans un travail intitulé « Réflexions d’un chevalier de Malte, Religieux de l’Ordre militaire des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem sur la grandeur de son état ». Ce texte, encore inédit de nos jours connaît deux versions, une italienne, une française. Le chercheur Luigi Michele de Palma a publié un article en 2019 « Jean-Baptiste Le Marinier de Cany un maestro della spiritualita giovannita » Edizioni La Villa, une analyse de la structure de ce texte fondamental concernant non seulement l’éthique et l’histoire de l’ordre mais aussi sur le rituel de l’adoubement des chevaliers. Son travail s’appuit sur l’analyse d’un manuscrit conservé à la Bibliothèque de La Valette (Libr.1416), celui ci, comprenant cinq parties, au lieu de trois dans notre exemplaire. Notre manuscrit offre en comparaison d’intéressantes variantes. Ainsi, dans la seconde partie, chaque section est précédée des phrases prononcées par le chevalier lors de sa réception ainsi que la description minutieuse de chacun des moments clefs de la cérémonie. Ces instants forts, sont dans notre manuscrit l’occasion d’en expliquer la symbolique rejoignant en cela l’exemplaire décrit par Luigi Michele de Palma de la bibliothèque de Malte. Par exemple : folio 190, « le profes donne lespée au recevant avec son fourreau en la main lui disant. (un mot rayé) à cette fin que mainteniez tout ce que vous avez promis prenez cette espée au nom du Pere, du Fils, et du Saint esprit. Ainsisoitil. »___ Des sentiments que doit inspirer un Chevalier de la manière dont on lui présente lépée »L’intégralité du déroulé de la cérémonie est également reportée en début d’ouvrage sous un titre écrit en rouge (la forme de donner l’ordre de chevalerie (…) Cette section est apparemment absente de l’exemplaire décrit par Luigi Michele de Palma. Carmen Depasquale, responsable du département français de la faculté des arts de l’université de Malte, auteur d’une thèse de doctorat en 2000 intitulé « La vie intellectuelle et culturelle des chevaliers de Malte au XVIIIe siècle », donne une description des exemplaires connus de ce texte, tous inédits, deux textes en français NLM.libr 1416 ; NLM.libr 324) Ainsi que deux versions italiennes, l’un : NLM.libr250 est comme notre exemplaire est composé des deux premières parties, l’autre : NLM.libr558 comporte les parties 3 à 5 et la table des matières. III – Remarques sur la nature de ce document Les nombreux remords, biffures, réécritures de texte sont parfois d’une importance considérable. Ils indiquent que notre manuscrit est un exemplaire de premier jet ou du moins dans un stade d’élaboration d’un texte définitif, comprenant d’amples extensions marginales possiblement intégrées au texte dans une version ultérieure. Ceci laisse à penser que ce manuscrit est vraisemblablement autographe. Une date en marge de 1688 indique par ailleurs que la rédaction de celui-ci est antérieure avec la date généralement donnée de 1689 à la version conservée à la Bibliothèque de La Valette. Les remords, salissures, taches, lignes raturées et ajouts inter-textuels ne laissent aucun doutent la nature originale de ce manuscrit. Un manuscrit du plus vif intérêt probablement autographe de Jean Baptiste le Marinier, Chevalier de Cany, qui eut un impact majeur sur l’ordre militaire des chevaliers de Saint Jean de Jérusalem, dans lequel se trouve minutieusement décrit le déroulé de l’adoubement des membres de l’ordre.
Jean-Baptiste SAINT-MARTIN - [1840 - 1926] - Homme politique français, directeur de l'Ecole des Beaux Arts d'Avignon
Reference : GF28820
2 pages in8 - En tête des l'Ecole Municipale des Beaux Arts d'Avignon -
Il lui adresse "Mlle Clairon, Sainte Vierge", une nouvelle établie sur un fait vrai - Il la croit "amusante et assez réussie" - Il avait envoyé, il y a deux ans un "article trés documenté sur un célébre bandit de Provence, Gaspard de Besse" - Il n'a pas du convenir - S'il vient à Avignon, il sera le bienvenu à l'Ecole des Beaux Arts dont il est "le directeur" ou chez lui, "à la montagne des Angles"...
Jean-Berbard MARY-LAFON - [1810 - 1884] - Homme de lettres français
Reference : 33490
1 page in12 - bon état -
Il doit ajourner leur déjeuner à cause d'une mauvaise nouvelle sur la santé de sa belle-mère qui l'oblige à partir "au plus vite" - "Peut être abuserais-je de votre obligeance pour me rendre le service........ de présenter à Mr Deslandes le manuscrit égaré de ma comédie" -
Jean BERTHEROY (Berthe-Corinne Le Barillier dite - Bordeaux 1868 - Cannes 1927) - Ecrivain français
Reference : GF21562
2 pages in12 - bon état -
Elle voudrait profiter d'un séjour à Montmorency pour lui faire une visite -