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‎DE LA BATUT, Pierre‎

Reference : 44482

(1920)

‎Catinka Heinfetter. Une cause célèbre sous Louis-Philippe. Récit historique. [ Tapuscrit enrichi de très nombreuses corrections autographes. Récit romancé de l'affaire Caumartin - Sirey ]‎

‎1 tapuscrit in-4 en 110 feuillets sous chemise, s.d. (circa 1920-1930 ?)‎


‎Catinka Heinefetter (ou Katinka; 1819-1858) est la soeur de Clara et de Sabine Heinefetter (1809-1872). Les trois femmes furent des cantatrices interprètes de Meyerbeer, de Halévy et d’autres compositeurs en vogue de cette époque. Elles se produisirent surtout à l’Opéra italien de Paris. Catinka Heinfetter défraya la chronique en 1842, lorsque Edouard Caumartin tua Aimé Sirey (fils du célèbre juriste et homme violent) dans l'hôtel de cette dernière ; c'est ce récit qui est l'objet du présent roman. La bisaïeule de l'écrivain bergeracois Pierre de la Batut était une Caumartin (Mélanie Dentu, femme de l'éditeur Gabriel Dentu). Bon état. Nous n'avons trouvé ailleurs aucune trace d'un autre exemplaire de cette pièce.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR480.00 (€480.00 )

‎DE LA BATUT, Pierre‎

Reference : 44481

(1916)

‎[ Lot de 3 Manuscrits et Notes manuscrites dont deux autographes ] I : Les Bras qui s'ouvrent. Un acte en vers ; II : Notes manuscrites pour 3 scénarios : Almaïde d'Entremont - La Nouvelle Espérance - La leçon d'Amour dans un Parc ; III : Le Blé en Herbe. Un acte en Prose.‎

‎[ Lot de 3 Manuscrits et Notes manuscrites dont deux autographes ] I : Les Bras qui s'ouvrent. Un acte en vers, 7 feuillets manuscrits autographes sous chemise, s.d. (circa 1916) ; II : Notes manuscrites autographes pour 3 scénarios : Almaïde d'Entremont - La Nouvelle Espérance - La leçon d'Amour dans un Parc (une vingtaine de notes manuscrites et qq. ff. tapuscrits) ; III : Le Blé en Herbe. Un acte en Prose. Manuscrit de 25 feuillets in-folio (manifestement mis au propre par son épouse, Marguerite Fardet)‎


‎Bon lot de manuscrits de théâtre ou de scénarios par l'écrivain bergeracois Pierre de la Batut. ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR190.00 (€190.00 )

‎DE LA BATUT, Pierre‎

Reference : 44477

(1904)

‎[ Remarquable lot de 10 cahiers manuscrits autographes : Journaux intimes, Poèmes et Notes de romans ] I : Cahier de 70 feuillets contenant : Fragments de Journal (1905). Evocation des cousins Hons-Ollivier, de la Tante Zoé, la danseuse Zambelli. Notes de Voyages Biarritz et pays basque (1906). Lou Revenir. Moeurs et Coutumes du Périgord. Nombreux récit, contes et poèmes dont "A Madame Sarah Bernhardt, pour lui demander un autographe sur une de ses photographies". Bagnères de Luchon. Deux excursions. Au gouffre d'enfer. Au port de Venasque et au pic de Sauvegarde. Portraits : Maurice Donnay. Edmond Rostand. Flers et Caillavet. Octave Mirbeau. Jules Bois. André Rivoire. Jean Richepin. Abel Hermant. Paul Hervieu. Eugène Brieux. Henry Bernstein. Alfred Capus. 1909. L'aéroplanomanie - II : Cahier de 50 feuillets : Notes et arguments de romans (1909-1933) ; III : Cahiers de 50 feuillets dont la moitié manuscrits. Recueil de poésies dont un "A Jean Balde", ou "L'Agenais" (1922-1931) ; IV : Cahiers de 50 feuillets dont une trentaine manuscrits. Recueil de poésies intitulé "Chansons pour ses yeux" (1910-1912) ; V : Cahiers d'environ 60 feuillets "Prose et poésies mêlées". Sur la mariage de ma cousine Andrée. Tsoushima. etc... (1905-1906) ; VI : Cahiers de 50 feuillets manuscrits. Premiers Rêves. Poèmes (1904-1906) ; VII : Cahiers de 50 feuillets manuscrits. Poèmes (1904-1909) ; VIII : Cahier dont 12 ff. sont manuscrits : Voyage aux Pyrénnés (sic) ; IX : Cahiers de 50 feuillets manuscrits. Poèmes 1912-1919 ; X : Cahiers de 50 feuillets manuscrits ayant pour Titre "Jean Dentu" [pseudonyme de Pierre de La Batut ] Carnet de notes de romans.‎

‎10 cahiers d'écoliers dont 1 cartonné et 9 brochés, 1904-1940 : I : Cahier de 70 feuillets contenant : Fragments de Journal (1905). Evocation des cousins Hons-Ollivier, de la Tante Zoé, la danseuse Zambelli. Notes de Voyages Biarritz et pays basque (1906). Lou Revenir. Moeurs et Coutumes du Périgord. Nombreux récit, contes et poèmes dont "A Madame Sarah Bernhardt, pour lui demander un autographe sur une de ses photographies". Bagnères de Luchon. Deux excursions. Au gouffre d'enfer. Au port de Venasque et au pic de Sauvegarde. Portraits : Maurice Donnay. Edmond Rostand. Flers et Caillavet. Octave Mirbeau. Jules Bois. André Rivoire. Jean Richepin. Abel Hermant. Paul Hervieu. Eugène Brieux. Henry Bernstein. Alfred Capus. 1909. L'aéroplanomanie - II : Cahier de 50 feuillets : Notes et arguments de romans (1909-1933) ; III : Cahiers de 50 feuillets dont la moitié manuscrits. Recueil de poésies dont un "A Jean Balde", ou "L'Agenais" (1922-1931) ; IV : Cahiers de 50 feuillets dont une trentaine manuscrits. Recueil de poésies intitulé "Chansons pour ses yeux" (1910-1912) ; V : Cahiers d'environ 60 feuillets "Prose et poésies mêlées". Sur la mariage de ma cousine Andrée. Tsoushima. etc... (1905-1906) ; VI : Cahiers de 50 feuillets manuscrits. Premiers Rêves. Poèmes (1904-1906) ; VII : Cahiers de 50 feuillets manuscrits. Poèmes (1904-1909) ; VIII : Cahier dont 12 ff. sont manuscrits : Voyage aux Pyrénnés (sic) ; IX : Cahiers de 50 feuillets manuscrits. Poèmes 1912-1919 ; X : Cahiers de 50 feuillets manuscrits ayant pour Titre "Jean Dentu" [pseudonyme de Pierre de La Batut ] Carnet de notes de romans.‎


‎Important lot de 10 cahiers (plus de 850 pages) de notes autographes ( dont nous n'avons donné qu'un aperçu très succinct) rédigées par l'écrivain d'origine périgourdine Pierre de La Batut. Prix dut lot, non séparable. ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR1,450.00 (€1,450.00 )

‎DE LA BATUT, Pierre ; [ LECONTE, Georges ]‎

Reference : 44478

(1944)

‎La Fille aux Diables [ Tapuscrit enrichi de très nombreuses corrections autographes. On joint une Lettre signée adressée à l'auteur par Georges Leconte, Président de la Société des gens de Lettres : ] "15 décembre 1944. Monsieur et Cher Confrère. Votre roman "la Fille aux diables" a deux originalités : celle du sujet, celle de la forme. Sujet émouvant : car nos coeurs battent toujours un peu plus vite dès qu'il s'agit des Vosgiens, de leurs calamités, des ressources de leur endurance, de leur fidélité. Vous avez traité votre sujet, je dirais presque, en vitrail, à cause des couleurs chatoyantes et profondes de votre style. Mais il serait plus juste de dire que vous l'avez traité en légende, car nous croyons pénétrer dans une légende dorée"... [ Avec : ] Prospectus NRF pour "La Fille aux diables" : "On sait que, dès les premières heures des hostilités, des villages entiers de la zone frontière furent vidés de leurs habitants, ceux-ci étant envoyés vers les départements de l'intérieur. On put, à ce sujet, parler "d'exil", car, encore qu'ils n'aient pas quitté le sol de France, ces Lorrains et ces Alsaciens brusquement transplantés dans le midi durent s'adapter [ ... ] Pierre de La Batut a symbolisé cetteétrange aventure dans l'attachante histoire de cette Elsa Schwartz et de sa mère Catherine, du bourg de Lokenheim, que le hasard a conduites dans un petit village de la Doirdogne" ‎

‎1 tapuscrit de 127 pp., avec très nombreuses corrections autographes de l'auteur, s.d. (circa 1944) On joint une Lettre signée de Georges Leconte, Président de la Société des gens de Lettres : ] "15 décembre 1944. Monsieur et Cher Confrère. Votre roman "la Fille aux diables" a deux originalités : celle du sujet, celle de la forme. Sujet émouvant : car nos coeurs battent toujours un peu plus vite dès qu'il s'agit des Vosgiens, de leurs calamités, des ressources de leur endurance, de leur fidélité. Vous avez traité votre sujet, je dirais presque, en vitrail, à cause des couleurs chatoyantes et profondes de votre style. Mais il serait plus juste de dire que vous l'avez traité en légende, car nous croyons pénétrer dans une légende dorée"... Avec : ] Prospectus NRF pour "La Fille aux diables" : "On sait que, dès les premières heures des hostilités, des villages entiers de la zone frontière furent vidés de leurs habitants, ceux-ci étant envoyés vers les départements de l'intérieur. On put, à ce sujet, parler "d'exil", car, encore qu'ils n'aient pas quitté le sol de France, ces Lorrains et ces Alsaciens brusquement transplantés dans le midi durent s'adapter [ ... ] Pierre de La Batut a symbolisé cetteétrange aventure dans l'attachante histoire de cette Elsa Schwartz et de sa mère Catherine, du bourg de Lokenheim, que le hasard a conduites dans un petit village de la Doirdogne" ‎


‎Rare exemplaire de ce tapuscrit abondamment corrigé par le romancier bergeracois Pierre de La Batut. "La Fille aux diables" romance l'épreuve des alsaciens de 1939-1940 réfugiés dans le Périgord. Il s'agit d'un des tous meilleurs romans de l'auteur , et l'on songe à ce courrier de Jean Paulhan adressé à l'auteur : "La Fille aux diables m'a intéressé, et j'attendrai impatiemment la deuxième version promise". L'ouvrage fut publié chez Gallimard en 1944.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR550.00 (€550.00 )

‎DE LA BATUT, Pierre ; PAULHAN, Jean ; SUPERVIELLE, Jules ; COPEAU, Jacques ; GARRICK, Yvonne ; ACHARD, Paul ; DAYOT, Armand ; DEKOBRA, Maurice ; ANTOINE, André ; FOLEY, Charles ; SERVAIS, Jean ; BIRABEAU, André ; JOINARD, Achille ; ARMORY ; SARMENT, Jean ; GILLET, Louis ; MAURRAS, Charles‎

Reference : 44475

(1914)

‎[ Lot de courriers d'intérêt littéraire dont nombreuses lettres autographes signées adressées ou relatifs à l'écrivain Pierre de La Batut dont : ] Jean Paulhan : L.S. (non datée) : "Merci de votre lettre et des deux manuscrits. La Fille aux diables m'a intéressé, et j'attendrai impatiemment la deuxième version promise. Pour l'homme d'affaires, vous avouerai-je, si les changements de composition me semblent heureux, que je ne suis pas sans regrtetter le ton de la première version". - Jacques Copeau (21 février 1941 : "Je n'ai pas le souvenir d'avoir jamais eu sous les yeux l'ouvrage dont vous me parlez. [ ...] ) - Jules Supervielle, 2 L.A.S. (à Pierre puis à son fils : ) "24 janvier 1949 : J'ai gardé un excellent souvenir de votre père qui était en effet un de mes bons amis. Mais je n'ai jamais écrit de préface [ ...]) - Achille Joinard, Président de La Rose Blanche, Directeur du Mousquetaire (LAS sur carte de visite, recommandation de Pierre de la Batut au Général Rebillot) - Plusieurs prospectus de pièces de théatre de Pierre de La Batut, un bulletin de déclaration à la SACD - Paul Achard : 2 LAS (... il est convenu que vous me donnez une option d'un an pour céder à une maison de production cinématographique [ ...] les droits d'adaptation de votre roman L'homme d'Affaires) - Yvonne Garrick : 2 LAS (On m'offre un rôle dans la pièce qu'on monte de suite à l'Oeuvre mais il n'y a qu'une scène avec Fresnay, croyez(vous que je doive accepter ? Moreno s'est bien rendu célèbre avec 1 scène !" - Courrier de la Société des Gens de Lettres ("Pourriez-vous joindre au portrait un autographe d'Edouard Dentu) - Armand Dayot (2 L.A.S.) - Plusieurs courriers de Journaux et Maisons d'Edition (NRF, Echo de Paris, J. Dupuis et Cie, Art et Connaissance ) - Jean Servais : 3 LAS (il sollicite auprès de Pierre de La Batut puis auprès de son fils leur accord pour une adaptation cinémétographique du roman "Le Consentement" - André Birabeau : 2 L.S. à Francis de La Batut : "Les héritiers de René Boylseve vienne d'autoriser un musicien et un librettiste à tirer une opérette de "La leçon d'Amour dans un Parc". J'ai obtenu que la comédie que votre père et moi avions faite autrefois [ ...] soit utilisée pour cette adaptation musicale". (on joint une LAS de Gérard Failly exécuteur testamentaire de René Boylesve) - André Antoine : 1 L.S. (13 juillet 1913 : sur une pièce passant au comité de lecture du Théatre National de l'Odéon) - Pierre de La Batut : Contrat sur papier timbré signé avec le directeur du Théâtre de Verdun du Pré Catelan, 18 avril 1914. - Albert Pestour, rédacteur en chef du "Salut National" : "28 janvier 1930 [...] M. de Choiseul a eu peu d'un procès [ ...] j'ai tripoté votre texte au galop, car l'heure pressait [ ...] - Armory, L.S. 1941 - Jean Sarment, 1 L.A.S. et 1 L.S. (1939) - Charles Foley, 1 L.A.S. 1925 - Louis Gillet, 1 L.A.S. (16 août 1934) - Charles Maurras, 1 L.S. à en-tête de l'Action Française ( 5 mars 1938)‎

‎Ensemble de plus de 40 pièces, entre 1914 et 1951 dont : Jean Paulhan : L.S. (non datée) : "Merci de votre lettre et des deux manuscrits. La Fille aux diables m'a intéressé, et j'attendrai impatiemment la deuxième version promise. Pour l'homme d'affaires, vous avouerai-je, si les changements de composition me semblent heureux, que je ne suis pas sans regrtetter le ton de la première version". - Jacques Copeau (21 février 1941 : "Je n'ai pas le souvenir d'avoir jamais eu sous les yeux l'ouvrage dont vous me parlez. [ ...] ) - Jules Supervielle, 2 L.A.S. (à Pierre puis à son fils : ) "24 janvier 1949 : J'ai gardé un excellent souvenir de votre père qui était en effet un de mes bons amis. Mais je n'ai jamais écrit de préface [ ...]) - Achille Joinard, Président de La Rose Blanche, Directeur du Mousquetaire (LAS sur carte de visite, recommandation de Pierre de la Batut au Général Rebillot) - Plusieurs prospectus de pièces de théatre de Pierre de La Batut, un bulletin de déclaration à la SACD - Paul Achard : 2 LAS (... il est convenu que vous me donnez une option d'un an pour céder à une maison de production cinématographique [ ...] les droits d'adaptation de votre roman L'homme d'Affaires) - Yvonne Garrick : 2 LAS (On m'offre un rôle dans la pièce qu'on monte de suite à l'Oeuvre mais il n'y a qu'une scène avec Fresnay, croyez(vous que je doive accepter ? Moreno s'est bien rendu célèbre avec 1 scène !" - Courrier de la Société des Gens de Lettres ("Pourriez-vous joindre au portrait un autographe d'Edouard Dentu) - Armand Dayot (2 L.A.S.) - Plusieurs courriers de Journaux et Maisons d'Edition (NRF, Echo de Paris, J. Dupuis et Cie, Art et Connaissance ) - Jean Servais : 3 LAS (il sollicite auprès de Pierre de La Batut puis auprès de son fils leur accord pour une adaptation cinémétographique du roman "Le Consentement" - André Birabeau : 2 L.S. à Francis de La Batut : "Les héritiers de René Boylseve vienne d'autoriser un musicien et un librettiste à tirer une opérette de "La leçon d'Amour dans un Parc". J'ai obtenu que la comédie que votre père et moi avions faite autrefois [ ...] soit utilisée pour cette adaptation musicale". (on joint une LAS de Gérard Failly exécuteur testamentaire de René Boylesve) - André Antoine : 1 L.S. (13 juillet 1913 : sur une pièce passant au comité de lecture du Théatre National de l'Odéon) - Pierre de La Batut : Contrat sur papier timbré signé avec le directeur du Théâtre de Verdun du Pré Catelan, 18 avril 1914. - Albert Pestour, rédacteur en chef du "Salut National" : "28 janvier 1930 [...] M. de Choiseul a eu peu d'un procès [ ...] j'ai tripoté votre texte au galop, car l'heure pressait [ ...] - Armory, L.S. 1941 - Jean Sarment, 1 L.A.S. et 1 L.S. (1939) - Charles Foley, 1 L.A.S. 1925 - Louis Gillet, 1 L.A.S. (16 août 1934) - Charles Maurras, 1 L.S. à en-tête de l'Action Française ( 5 mars 1938)‎


‎Intéressant lot d'archives familiales réunissant courriers autographes de personnalités littéraires et documents d'intérêt littéraire adressés à Pierre de la Batut (ou relatif à lui et adressés à son fils). On croise dans ces courriers quelques pseudonymes de l'écrivain : Pierre Tantare et Jean Dentu (du nom de sa mère, Jeanne Dentu, fille de l'éditeur Edouard Dentu).‎

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EUR440.00 (€440.00 )

‎DELABORDE (Henri, vicomte) peintre d’histoire et historien d’art. Il fut également en 1855, conservateur du cabinet des estampes de la Bibliothèque impériale (1811-1899) ‎

Reference : 45C25

‎Manuscrit autographe signé intitulé, « LES DUCS D’URBIN - leur influence sur les arts et sur la littérature en Italie ». 73 p. in-folio, montées sur onglet et reliées dans un volume in-folio, demi-basane brune. Il fut l’un des premiers biographes d’Ingres avec Amaury-Duval. (Ingres, sa vie, ses travaux, sa doctrine). Rare.‎

‎Très intéressante étude abondamment corrigée, avec de nombreux repentirs et ajouts autographes en marge, sur les ducs d’Urbin, à propos du livre du grand collectionneur d’art James Dennistoun, (1803-1855) « Memoirs of the Dukes of Urbino » paru en 1851. A la suite de cet important article, consacré d’abord aux ducs de la maison de Montefeltro, puis à la maison Della Rovere, on a relié les méticuleuses notices et notes de lecture de Delaborde sur les princes, les évènements historiques, les artistes…. ‎


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EUR3,850.00 (€3,850.00 )

‎DELACROIX Eugène‎

Reference : 75940

(1823)

‎Lettre autographe inédite à "Julie" (Louise de Pron) : "trompe-moi si tu veux, je te croirai, je veux tant te croire et j'en ai si besoin"‎

‎s.d. (ca 1823), 12x18,2 cm et 10x15,5cm, Six pages sur deux feuillets rempliés.‎


‎Lettre autographe presque totalement inédite du peintre Eugène Delacroix à sa passion de jeunesse, la mystérieuse «Julie», désormais identifiée comme étant Madame de Pron, de son nom de jeune filleLouise du Bois des Cours de La Maisonfort épouse de Louis-Jules Baron Rossignol de Pron et fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine et ami de Chateaubriand. 90 lignes, 6 pages sur deux feuillets rempliés. Quelques biffures et deux annotations de bibliographe au crayon en partie supérieure de la première page («no114»). Cette lettre est l'une des dernières à son amante en main privée, l'ensemble de la correspondance de Delacroix à Madame de Pron étant conservé au Getty Research Institute (Los Angeles). Seules neuf des quatre-vingt-dix lignes de cette lettre inédite furent transcrites dans le Burlington Magazine de septembre 2009, à l'occasion du long article de Michèle Hanoosh, Bertrand et Lorraine Servois dont les recherches révélèrent enfin l'identité de la fameuse destinataire. Sublime lettre d'amour d'Eugène Delacroix âgé de vingt-quatre ans, adressée à son amante Madame de Pron, de douze ans son aînée, qui déchaîna chez lui la plus vive passion. Cet épisode de jeunesse du peintre, alors considéré commel'étoile montante du Romantisme, est longtemps demeuré un mystère dans la biographie de Delacroix, qui prit soin de conserver l'anonymat de son amante grâce à divers pseudonymes: la «Cara», «la dame des Italiens», ou encore «Julie», comme dans cette lettre, en référence au fameux roman épistolaire Julie ou la Nouvelle Héloïse de Rousseau. Pour des raisons évidentes, Delacroix ne signa aucune lettre de son nom dans sa correspondance avec la dame. Grande figure de l'aristocratie légitimiste, la destinataire de cette lettre enfiévrée est Madame de Pron, fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine, ami de Chateaubriand. Sa beauté fut immortalisée en 1818 par Élisabeth Vigée-Lebrun, qui réalisa son portrait au pastel, coiffée à l'orientale. La rencontre de Delacroix et de Madame de Pron eut lieu en avril 1822 lors de la commande du portrait du fils de celle-ci, Adrien, élève au lycée Impérial (actuel lycée Louis-le-Grand). Delacroix avait été commissionné pour le portrait par son ami intime Charles Soulier, amant de Madame de Pron, qui bien malgré lui servit d'entremetteur à Delacroix. En l'absence de Soulier parti en Italie, le peintre et la jeune femme nouèrent une relation amoureuse intense. La commande de portrait devint un prétexte à leurs tendres rendez-vous dans son atelier de la rue de Grès tandis que nulle trace de peinture de l'enfant n'a encore été retrouvée à ce jour. Leur aventure dura à peine plus d'une année, mais fut l'une des plus intenses passions de la vie de l'artiste. Notre missive doit sans doute correspondre aux derniers feux de leur relation, au mois de novembre 1823. Après une de ses visites au terme d'un hiatus de plusieurs mois, Delacroix lui réécrit sous le coup de l'émotion : «Je rentre le cur tout bouleversé, quelle bonne soirée! [...]Quelques fois je me dis: pourquoi l'ai-je revue? Dans la paisible retraite où je vivais, même au milieu des lieux invisibles que je m'étais formé [...] je parvenais à faire taire mon cur». Madame de Pron avait en effet décidé de mettre un terme à leurs relations intimes (voir sa lettre du 10 novembre 1823: «Je veux de l'amitié bien douce [...] je ne veux pas vous tourmenter», (Getty Research Institute). Perdant tout discernement et avec une dévotion aveugle, Delacroix tente de faire renaître leur liaison: «Fais-moi mentir, prouve-moi que ton âme est bien celle de la Julie que j'aie vue autrefois, puisque la mienne a retrouvé ses émotions charmantes et ses inquiétudes». Mais le peintre se heurte à Soulier et au général de Coëtlosquet, eux aussi amants de Madame de Pron. Delacroix avait évité de justesse une brouille définitive avec Soulier, qui avait failli apercevoir une lettre de Madame de Pron dans ses appartements : «J'ai feint d'avoir perdu ma clef [...] J'espère que mon tort envers lui n'influera pas sur ses relations avec... Dieu veuille qu'il l'ignore toujours!» (Journal, 27 octobre 1822, éd. Michèle Hanoosh, vol.1, p.94). Prisonnier de ce carré amoureux, Delacroix se résigne à partager l'affection de son amante, mais il lui en fait l'amer reproche: «Je crains que vous ne puissiez pas aimer parfaitement. Il s'est fait dans vos sentiments une lacune qui vous a été fatale [...] dis-moi que non, dis-le-moi de toutes les manières, trompe-moi si tu veux, je te croirai, je veux tant te croire et j'en ai si besoin». Vouvoiement et invectives familières se confondent dans l'esprit tourmenté du peintre. Ironie du sort, Delacroix séjourna fréquemment chez l'autre amant de Madame de Pron, son cousin le général d'Empire Charles Yves César Cyr du Coëtlosquet, chez qui elle logeait rue Saint-Dominique. Delacroix prendra sa revanche sur ce rival en peignant pour lui en 1826 la fameuse Nature morte aux homards (musée du Louvre), prenant soin d'y glisser de facétieuses références à l'ultra-royalisme de son commanditaire : «J'ai achevé le tableau d'animaux du général [...] Il a déjà donné dans l'il à une provision d'amateurs et je crois que cela sera drôle au Salon [de 1827-1828]» écrit-il dans une lettre à Charles Soulier. Un souvenir de la liaison de Delacroix avec Madame de Pron subsiste dans son tableau en cours, les Scènes du Massacre de Scio, révélation du Salon de 1824, qui placera Delacroix en chef de file du Romantisme et révolutionnera l'histoire de la peinture. En effet, il se procurera par l'entremise de son amante des armes Mameloukes, dont il subsiste une étude (J72) et qui figurent au flanc du spahi chargeant les femmes dans la composition finale. Aussi, un album d'aquarelles de la main de son ami Soulier le représente en train d'orner la chambre de son ancienne amante de décors pompéiens dans le château de Beffes, où il séjournera brièvement en juin 1826. L'ardeur de sa passion pour Madame de Pron est enfin révélée par cette lettre qui ne figure dans aucun essai biographique ni correspondance du peintre. Plus tard, Delacroix se rappellera au bon souvenir de son amante: «Tu diras à Mme de Pron que les Françaises n'ont pas d'égales pour la grâce» (lettre à Soulier, 6juin 1825). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR13,500.00 (€13,500.00 )

‎DELACROIX Eugène‎

Reference : 75941

(1823)

‎Lettre autographe à "Julie" (Louise de Pron) : "Je voudrais circuler avec ton sang dans les veines et aller dans ton cur, y voir si je l'occupe tout entier."‎

‎mercredi 5 novembre [1823], 19,7x29,9cm, une feuille rempliée.‎


‎Lettre autographe datée du peintre Eugène Delacroix à sa passion de jeunesse, la mystérieuse «Julie», désormais identifiée comme étant Madame de Pron, de son nom de jeune fille Louise du Bois des Cours de La Maisonfort épouse de Louis-Jules Baron Rossignol de Pron et fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine et ami de Chateaubriand. 27 lignes sur un feuillet remplié. Deux déchirures marginales à la pliure du feuillet. Discrètes déchirures en partie supérieure. Note au crayon d'un précédent bibliographe en partie supérieure droite («no 11»). Cette lettre demeure l'une des dernières à son amante en main privée, l'ensemble de la correspondance de Delacroix à Madame de Pron étant conservé au J.Paul Getty Research Institute (Los Angeles). Elle fut transcrite uniquement dans le Burlington Magazine de septembre 2009, à l'occasion du long article de Michèle Hanoosh, Bertrand et Lorraine Servois dont les recherches révélèrent enfin l'identité de la fameuse destinataire. «Aime-moi comme je t'aime, comme l'amour veut qu'on aime.» Écrivant dans le feu de la passion, le jeune Eugène laisse libre court à sa verve amoureuse dans cette véritable uvre d'art épistolaire où se mêlent désirs et souvenirs, romantisme et prosaïsme, et d'où semblent déjà sourdre les grands thèmes picturaux du génie Delacroix. En avril 1822, alors qu'il présente au Salon sa première grande toile Dante et Virgile aux Enfers, Delacroix découvre le Paradis grâce à sa rencontre avec Madame de Pron, maîtresse de son ami intime Charles Soulier qui le charge de réaliser le portrait de son fils, Adrien. Nul ne sait si ce portrait qui n'a jamais été retrouvé fut achevé un jour, mais il servit de prétexte aux rencontres secrètes des deux amants dans l'atelier de la rue de Grès. La beauté de Louise avait été immortalisée quelques années plus tôt par le trait délicat d'Élisabeth Vigée-Lebrun, qui réalisa un portrait d'elle coiffée à l'orientale dans une pose de naturelle élégance. Leur aventure dura à peine plus d'une année, mais fut l'une des plus intenses passions de la vie de l'artiste. Il ne fut pourtant pas le seul amant de cette femme étonnante dont le mari alcoolique et violent venait juste d'être interné à la maison Royale de Charenton après avoir été déclaré fou. Seule, Madame de Pron trouva réconfort dans les bras d'un aréopage d'amants, parmi lesquels Soulier, l'ami de Delacroix, et le général de Coëtlosquet qu'elle épousera après l'officialisation de son divorce en 1829. Ces liaisons scandaleuses n'auraient sous aucun prétexte pu être rendue publique; et Delacroix, dans ses lettres et ses cahiers, surnomma donc son amante «Julie» (en référence à La Nouvelle Héloïse), «J.» ou «la Cara». Sa discrétion fut telle que même ses biographes ne purent jusqu'à récemment déceler la mystérieuse identité de la plus brûlante passion de Delacroix. Le futur peintre de harems d'Alger, fut donc lui-même l'un des hommes de l'androcée de Madame de Pron. S'il respecte ses rivaux, dont l'un est un ami intime et l'autre un futur commanditaire pour lequel il peindra plus tard sa surprenante Nature morte au homard, (Musée du Louvre) Delacroix souffre cependant de la polyandrie de sa maîtresse, tandis que lui-même délaissait Émilie Robert, son amante et modèle pour les Scènes du Massacre de Scio. Les lettres de Delacroix portent la marque de cette douloureuse inconstance de «Julie», et de la précarité de cet amour fou pour une aristocrate de haute lignée, mariée, mère, de douze ans son aînée et déjà promise à son noble et riche cousin. Mais peu importe car «L'amour [...] est un tyran: il veut tout, et quand il a tout, il voudrait l'impossible». La beauté des lettres d'amour de l'amant partage avec la perfection des uvres du peintre le même secret; Delacroix en multiplie les esquisses avant de laisser sa plume et son pinceau exprimer sa passion. Ainsi lit-on dans son fameux Journal plusieurs brouillons de ses missives enflammées à «J.». Pourtant, nous n'avons trouvé nulle trace de cette incroyable déclaration éminemment picturale rédigée au retour d'une de leurs rencontres amoureuses et dont les mots et les images jaillissent de la plume du fougueux amant qui continue à croquer en songe sa maîtresse: «rentrant dans ta petite chambre adorée, et où reposent toutes tes grâces dans ce lit que mon amour jaloux ne peut partager». Telle une de ces peintures, cette lettre fait écho à la fascination du peintre pour l'anatomie des corps écorchés, «Je voudrais circuler avec ton sang dans les veines et aller dans ton cur, y voir si je l'occupe tout entier.»; traverse les cauchemars de l'auteur de La mort de Sardanapale, «Me coucher! C'est me séparer de toi une seconde fois, [...] et qui sait ce que m'apportera le vague des songes. Sera-ce ta douce image? Ou ma triste imagination enfantera-t-elle encore des monstres horribles?»; et emporte sur un carré de toile chaque parcelle du corps de son amante: «Pourquoi est-ce que je baise encore mon mouchoir qui t'a touchée tout à l'heure, qui t'a touchée partout.» Une des plus belles lettres de Delacroix, et dernières en main privée, adressée à sa maîtresse «Julie», dont l'identitéest longtemps restée inconnue des biographes du peintre. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎DELACROIX (Eugène). [1798-1863]. ‎

Reference : S634

Jacques Chaminade - Aix les Bains

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‎DE LA FORGE Jacques‎

Reference : 13614

‎ La chanson de la commission ‎

‎DE LA FORGE Jacques (pseudonyme de Charles JACQUINOT) La chanson de la commission Boutade en vers et contre tous précédée d’un prologue épique terminée par épilogue substantiel, mais heureusement très court, et gazouillis de l'auteur, dans les salons du Cercle de Saint-Dizier le jeudi 8 avril 1897. Typographie et lithographie GODDARD Saint - Dizier. In 12 broché, 115x185mm. faux-titre, justification de tirage, frontispice gravé sous serpente,(troubadour) une gravure de l’auteur, sous serpente , 28 pages. Envoi manuscrit autographe à la plume, de l’auteur. Exemplaire n° 148/201, sur papier à la forme avec double frontispice en noir. Très bon état ‎


Charbonnel - Bar le Duc

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‎DELAHACHE Georges (Lucien Aaron dit)‎

Reference : 9285

‎Écrivain, auteur du mémoire "Juifs" publié aux Cahiers de la quinzaine.‎

‎L.A.S. Paris le 14 janvier 1912, à Monsieur Bouat (descendant du Général) et L.A.S. du 25 octobre 1928, à propos d'une cérémonie commémorative d'un écrivain (?). Très bon ‎


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‎DELAPORTE Y.‎

Reference : S98535

(1929)

‎Les manuscrits enluminés de la bibliothèque de Chartres‎

‎Chartres, Société archéologique d'Eure-et-Loir 1929 xii + 190pp. + 24 planches hors-texte en héliotype, signé avec dédicace par l'auteur, imprimé sur papier de luxe, belle reliure cart. moderne (br. orig. conservée et reliée), 25cm., [Contient la description de 300 manuscrits], S98535‎


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‎De La ROCHE (Charles-Ferdinand, Comte)‎

Reference : 182

‎Correspondance avec Charles Cuchetet, ex-commissaire général de la maison de Madame la duchesse de Berry : 23 lettres‎

‎ Graz (alors Autriche-Hongrie) 1879-1886 Formats divers, in-8° et inférieurs (210 x 135 mm à 133 x 102 mm), [43] ff. dont [1] bl. et une enveloppe.‎


‎Une correspondante inédite du comte de la Roche, fils naturel du duc de Berry Ces 23 lettres autographes signées laissent place, après les politesses et voeux de rigueur, à l'actualité : situation politique et culturelle en Europe, notamment en France, en Prusse et en Autriche, Bismack, Russie, Wagner, Haydn, etc., et aux nouvelles fraîches du gotha familial Bourbon dont celles, de son demi-frère Henri, comte de Chambord et de son épouse, d'Alphonse, duc de San Jaime et de son frère Carlos, duc de Madrid, du comte de Bardi et de l'archiduchesse Alice (fils et fille de Louise, soeur du comte du Chambord), du duc della Grazia, etc., ainsi qu'à l'ardent souvenir qui les lie, celui de la mère de ce dernier, Madame, duchesse de Berry qu'ils côtoyèrent tous les deux durant plus de 30 ans. Charles Ferdinand de la Roche (1817-1908), est un fils naturel du duc de Berry, né de sa liaison avec Marie-Sophie de La Roche (1795-1883). Un second enfant (1820-1901), prénommé comme le premier, naîtra aussi du même lit, ce qui leur valurent d'être souvent confondu. Charles Ferdinand Ier qui jouissait d'une grande ressemblance avec son père fut toujours d'une rare discrétion. À la mort de celui-ci, il trouva en la duchesse de Berry une protectrice dévouée pour qui il conserva toujours la plus vive gratitude. Il lui servit, à Brunsee à partir de 1850 et ce jusqu'à la mort de Madame, de Chambellan et de secrétaire 1. Parfaite conservation. ‎

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‎DELAROCHE Paul - [Paris 1797 - 1856] - Peintre français‎

Reference : GF26843

‎Lettre Autographe Signée à Mon cher Monsieur - Paris - sans date -‎

‎ 1 page in8 -‎


‎Il ne désespère pas d'obtenir une grâce même s'il arrive bien tard - "Mme Delaroche ne pouvant aller aux Invalides mardi serait bien heureuse d'entendre la répétition du Requiem demain soir..."- Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

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EUR100.00 (€100.00 )

‎DELARUE-MARDRUS, Lucie (1880-1945)‎

Reference : 8099

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EUR150.00 (€150.00 )

‎DELARUE-MARDRUS Lucie - (Honfleur 1880 - Chateau-Gontier 1945) - écrivain français ‎

Reference : GF17877

‎Poème Autographe Signé "Belle Nuit" - Bel hommage à Musset recopié pour Mr Edouard de La Gandara en avril 1918 - ‎

‎ 24 vers en 6 quatrains sur 1 page in4 - bon état -‎


‎"La blanche fiancée a repliée ses voiles./ Musset! Musset! notre âge a d'autres passions!/ Le danger et l'horreur ont trois dimensions:/ Tout là haut, des canons passent dans les étoiles". - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

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EUR250.00 (€250.00 )

‎DELARUN Jacques (sous la direction de) et al.‎

Reference : 114243

‎Le moyen âge en lumière : manuscrits enluminés des bibliothèques de France.‎

‎ Fayard Fayard, 2002, 397 p., cartonnage éditeur sous jaquette, environ 36x28cm, cartonnage éditeur sous jaquette, bon état.‎


‎ Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

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EUR60.00 (€60.00 )

‎DELATTRE François-Pascal. Préfet de Vaucluse de 1805 à 1810.‎

Reference : 9100

(1806)

‎Lettre signée, invitation à célébrer l'anniversaire de la naissance de l'Empereur : 10 août 1806. On joint 3 autres L.A.S. émanant de la Préfecture de Vaucluse dont une invitation à danser ! Très bon Avignon 1806 1 feuillet in-8°‎


EUR95.00 (€95.00 )

‎DELAVIGNE (Casimir) / DUFEY / FURNE‎

Reference : 189

(1840)

‎Contrat passé entre MM. Delavigne, Dufey et Furne concernant la rupture de leurs engagements mutuels au sujet des Messéniennes et chants populaires de M. Delavigne‎

‎ Paris 1840 ln-8° (241 x 175 mm), [1] f., papier vergé, pièce signée in-fine par Delavigne, Dufey et Furne.‎


‎Exemplaire sur papier vélin avec les figures sur chine agrémenté d'un envoi de l'auteur à la comédienne Suzanne Brocard Par le présent contrat, Casimir Delavigne renonce à la somme de 1000 fr. qu'il devait toucher pour la composition de chaque Méssenienne nouvelle ou chant-populaire à fin de publication dans l'édition illustrée des éditeurs d'après le traité signé entre eux le 23 avril 1839. De son côté, Delavigne récupérait la pleine possession des droits de ces hypothétiques nouveaux écrits que les 2 éditeurs ne pourraient publier dans leur édition illustrée qu'un mois et demi après leur parution. L'édition parut en 1840, l'auteur n'écrivit pas de nouvelles Mésseniennes pas plus que de chants-populaires. On ne sait pas quelle est la raison de cette rupture. Cependant cela est d'autant plus troublant que Delavigne manquait cruellement d'argent à l'époque. Malade depuis déjà longtemps, il venait de subir deux échecs, coup sur coup, au théâtre avec La Popularité et La Fille du Cid. Le public était las de l'auteur. En effet, c'est à la fin de cette période douloureuse de l'automne 1839, qu'il dut vendre sa chère Madeleine avec tant de regrets. « Je n'ai point de fortune », écrivait-il en 1833. À ses ennuis de santé, se sont ajoutés ceux d'argent et, le 9 août 1839, il est contraint d'abandonner « la Madeleine », sa propriété qui fut vendue 90 750 francs. Cela le rendit profondément et durablement triste. ‎

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‎DELBOS Robert‎

Reference : 11419

(1928)

‎Photo dédicacée de Robert Delbos ténor de l'opéra.‎

‎Portrait dédicacé de Robert Delbos, ténor de l'opéra. "A Mademoiselle Geneviève Faillot avec mes meilleurs augures pour sa très jolie voix, Robert Delbos".Vers 1928. Très Bon état. Format in-12° (15x11).‎


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‎Delcor, M.‎

Reference : 15109

‎Essai sur le Midrash d'Habacus. ( Les manuscrits de la mer Morte )‎

‎ Paris: Du Cerf, 1951, Paris Softcover Br. Etat moyen. Grand In 8. 83 p. ‎


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Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

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‎DELEHAYE Hippolyte S.J.‎

Reference : R57579

(1921)

‎Deux Typica Byzantins de l'époque des Paléologues‎

‎Bruxelles, Lamertin/ Hayez 1921 213pp., br.orig., non coupé, 26cm., bel état, [contient les textes grecs des typica du monastère de Notre-Dame-de-Bonne-Espérance & du monastère de Lips (pp.18-139) & l'histoire de ces monastères (en français)], dans la série "Académie royale de Belgique, Classe des lettres et des sciences morales et politiques. Mémoires. In-8" 2e série T.XIII fasc.4, R57579‎


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EUR45.00 (€45.00 )

‎DELETANG-TARDIF Yanette - Poètesse française - (Roubaix 1902 - Paris 1976) -‎

Reference : GF25188

‎Lettre autographe signée "Yanette" à Pierre Béarn - Le 27 octobre? -‎

‎ 1 page in8 - bon état -‎


‎Elle envoie 3000 francs pour le mandat et vote pour Henri de Lescoet - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

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‎DELETANG-TARDIF Yanette - Poètesse française - (Roubaix 1902 - Paris 1976) -‎

Reference : GF25189

‎Lettre autographe signée "Yanette" à Pierre Béarn - Le 1er novembre? - ‎

‎ 1 page in8 - bon état -‎


‎Elle présente la candidature de Lescoet pour le mandat des poètes suite à une demande de dernier - "Lescoet s'est toujours donné beaucoup de mal pour les poètes, et il me semble qu'on peut en tout cas, le proposer" -... Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

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EUR75.00 (€75.00 )

‎DELETANG-TARDIF Yanette - Poètesse française - (Roubaix 1902 - Paris 1976) -‎

Reference : GF25190

‎Lettre autographe signée à Pierre Béarn - sans date - ‎

‎ 1 page in8 - bon état -‎


‎Elle rentre à Paris "après avoir été aux eaux" à Aix-les-bains pour ses rhumatismes - Elle le remercie pour "Couleurs d'usine", "poèmes colorés...ou vous tirez du symbolisme des constructions inattendues et rugueuses" ..- Elle aime particulièrement "l'Apprenti", "d'un Laforguisme plus déchirant encore" et le mouvement de ces poèmes - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

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