Rome s.d. (circa 1961), 22x27,5cm, une page sur un feuillet.
Lettre autographe signée de Balthus adressée à la galerisre Henriette (Gomès). Une page rédigée à l'encre noire à en-tête de l'Académie de France à Rome dont Balthus a été nommé directeur par André Malraux en 1961, 13 lignes. Pliures transversales inhérentes à l'envoi, ldeux petites déchirures en marges gauche et droite de la lettre sans atteinte au texte, traces d'épingle en marge gauche supérieure de la lettre, l'encre de certains mots ayant pâli. "Ma petite Henriette, imossible de me souvenir de l'adresse de Claude Hersent ni de celle de Lefebvre dont je ne trouve plus l'enveloppe. C'est donc à toi que j'envoie le papier ci-joint à remettre au personnage en question. - Quant aux dégats subis par mon tableau, une fois la toile montée, il n'y parait plus. Donc inutile de se lancer dans des correspondances à n'en plus finir. Je t'embrasse. B." "Durant l'été 1952, Balthus trouve un château dans la Nièvre, entre Autun et Avallon qu'il décide de louer et où il s'installe au printemps de l'année suivante. Les moyens lui en sont donnés par ses marchands, Henriette Gomès, Pierre Matisse et avec eux un collectif de collectionneurs, dont Maurice Rheims, Alix de Rotschild et Claude Hersent. Ils lui versent une pension en échange de ses derniers tableaux qu'ils répartissent entre eux. Le château est fort dégradé et Balthus y vit modestement dans un continuel chantier de remise en état. Il a pour lui tenir compagnie, l'aider à s'installer et assurer une présence quand il se rend à Paris la poétesse Léna Leclercq, rencontrée par l'intermédiaire de Giacometti. Cette dernière reste jusqu'au printemps 1955. Entre temps, Balthus a commencé une relation amoureuse avec sa nièce par alliance, Frédérique Tison, fille d'une précédente union de l'épouse de son frère Pierre." (Fondation Balthus) - Photos sur www.Edition-originale.com -
Chassy 4 Janvier 1954, 21x27cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre autographe signée de Balthus adressée à la galerisre Henriette Gomès. 7 lignes, enveloppe jointe. Pliures transversales inhérentes à l'envoi, une petite déchirure en marge gauche de la lettre sans atteinte au texte, l'encre ayant pâli. "Chassy, mardi (le r et le d ayant bavé) Ma petite Henriette, je reçois ce papier mystérieux - si tu trouves un moment pourrais-tu voir de quoi il s'agit ? En toute hâte - Je t'embrasse et André. B." "Durant l'été 1952, Balthus trouve un château dans la Nièvre, entre Autun et Avallon qu'il décide de louer et où il s'installe au printemps de l'année suivante. Les moyens lui en sont donnés par ses marchands, Henriette Gomès, Pierre Matisse et avec eux un collectif de collectionneurs, dont Maurice Rheims, Alix de Rotschild et Claude Hersent. Ils lui versent une pension en échange de ses derniers tableaux qu'ils répartissent entre eux. Le château est fort dégradé et Balthus y vit modestement dans un continuel chantier de remise en état. Il a pour lui tenir compagnie, l'aider à s'installer et assurer une présence quand il se rend à Paris la poétesse Léna Leclercq, rencontrée par l'intermédiaire de Giacometti. Cette dernière reste jusqu'au printemps 1955. Entre temps, Balthus a commencé une relation amoureuse avec sa nièce par alliance, Frédérique Tison, fille d'une précédente union de l'épouse de son frère Pierre." (Fondation Balthus) - Photos sur www.Edition-originale.com -
1950 P., Corti, 1950. In-8 broché, LXXXV-196 pages. Edition Originale ouvrage de ce qui serait le premier Roman ébauché par Balzac non publié à l'epoque . Présentation, Idéologie et technique, et texte du manuscrit conservé à Chantilly.
bon etat RAY T
s.l. [Passy] « mardi matin » [28 décembre 1841], 13,5x21,6cm, une page sur un double feuillet, enveloppe jointe.
Le succès damné d'Honoré Lettre autographe signée d'Honoré de Balzac adressée à Jean-Baptiste Violet d'Epagny, directeur du théâtre de l'Odéon. Une page rédigée à l'encre noire sur un bifeuillet. Est jointe et collée sur la seconde page l'enveloppe qui accompagnait cette lettre, rédigée de la main de Balzac. «Mon cher directeur, aux termes de nos conventions, je suis prêt à lire, j'ai choisi demain mercredi et j'ai dit à votre régisseur les noms des comédiens auxquels je confie notre pièce. J'ai un peu fait votre métier, j'ai conquis madame Dorval qui vous enrichira, je l'amènerai moi-même. Trouvez ici, mon cher d'Épagny, mille amitiés, je vous ai donné les preuves de notre ancienne connaissance en vous choisissant Les Ressources de Quinola, j'attendrai du retour dans nos relations et j'ai droit à bien du zèle.» Les Ressources de Quinola, c'est tout à la fois Les Fourberies de Scapin et Les Noces de Figaro. L'ambition de Balzac à partir des années 1840 et jusqu'à sa mort fut en effet de conquérir une renommée semblable à celle de ses illustres prédécesseurs Molière et Beaumarchais. Espoir aussi vain que tenace, il ne douta pourtant jamais, échec après échec, de l'imminence de son succès. « Le 15 juillet 1841 d'Épagny obtint le privilège de la direction de l'Odéon [...] ainsi que tout directeur de théâtre l'eut fait à sa place, [il] profita des vacances estivales pour organiser sa campagne d'hiver. Il demanda une pièce à Balzac et celui-ci se rendit à ses désirs en choisissant les Ressources de Quinola. [...] On sait quel tapage se fit autour de la pièce de Balzac, avec quelle enfantine naïveté l'auteur voulut organiser une salle composée de la plus haute société parisienne et de l'élite de la colonie étrangère afin de donner aux snobs l'envie de se joindre à une si brillante assemblée. [...] Madame Dorval, plus avisée que l'auteur, refusa, dès la lecture faite par Balzac [...] le rôle qui lui était destiné. Elle fit bien car jamais échec ne fut plus complet. » (L'Amateur d'autographes, mai 1911) Intéressante lettre révélant les dessous de la création des Ressources de Quinola et le système de lecture de l'uvre par l'auteur soumise à l'appréciation des comédiens qui à la suite d'un vote acceptaient ou refusaient la pièce. Provenance : collection Arthur Meyer, puis « AGR » (tampon sur la lettre et l'enveloppe). - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. (ca 1839), 13x8cm, une feuille.
Lettre autographe signée d'Honoré de Balzac adressée à Louis Desnoyers rédigée sur un feuillet de papier blanc à l'encre noire. «?Mon cher monsieur Desnoyers, par extraordinaire, j'assiste aujourd'hui à un dîner diplomatique de bons enfants qui veulent rire et boire, et comme je suis hébété de travail je n'ai pas le courage de me refuser cette débauche; je ne serai donc pas chez moi. Venez dimanche matin de bonne heure. / Tout à vous / de Balzac?» Louis Desnoyers joua un rôle important dans la fondation de la Société des gens de lettres, qui visait à la protection de la propriété littéraire et artistique et la création d'un fonds de solidarité. Honoré de Balzac soutint la création de cette Société dont Desnoyers fut le vice-président. Amusante lettre, témoignage de l'amour de Balzac pour la bonne chère. - Photos sur www.Edition-originale.com -
- Remise de pièces pour Mlle de Banne, P. 14 juin 1777. - Décharge, signé Debanne, cap. au rég. de royal des vaisseaux, 1er oct. 1782. Note de d'Hozier - Lettre et décharge, signé le marquis de Puygiron, 8 nov. 1778 ; décharge, signé Labbé de Labaume, Paris, 8 juil. 1779.
Bon ensemble - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Bon échangeable au mois de Vendémiaire, an 6, contre une action de la Banque. Signature manuscrite ETREUVILLE. 3 bons non découpés. En feuille Bon 1798
1872 1872. 2 pages sur 2 feuillets. Encre noire. Poème autographe signé intitulé La Plainte de Sapho daté du dimanche 17 mars 1872, avec quelques ratures et corrections. Ce beau poème de 8 quatrains, probablement destiné à une revue, ne fut jamais recueilli en volume. Il provient de l'Ancienne collection Daniel Sickles [XIX, 8130]. La Plainte de Sapho Entends mur pleurer ma lyre Caverne sombre où dort lécho Et toi que louragan déchire, O mer, entends gémir Sapho ! Mes longs désirs, mes terreurs vaines Ont le fureur du flot amer Ce feu qui brule dans mes veines Lentendras-tu profonde mer ? Comme toi farouche et sublime, Et me plaignant quand vient le jour, Je sens un orageux abime Dans mon coeur altéré damour. Sous ton azur où tout sefface Je veux chercher un calme abri ; Il me faut ta fraicheur de glace Pour rafraîchir mon sein meurtri. Je décroiserai dans ton ombre Mes bras longtemps martyrisés Menivrant de ton vide sombre Et savourant tes longs baisers Car toi seule éteindras la fièvre Dont le frisson court sur mes dents, Et tu caresseras ma lèvre Pareille à des charbons ardents Prends mer profonde et caressante La poétesse à loeil de feu Qui, pour ravoir sa vie absente Eût souhaité lamour de Dieu. Cache et dérobe au peuple avide La charmeuse au coeur guerrier Qui de la terre ingrate et vide Napporte rien quun noir laurier ! Dimanche 17 mars 1872 -Théodore de Bainville.
Signé par l'auteur
BANVILLE Théodore de (Moulins 1823 - Paris 1891) - écrivain français
Reference : GF15927
1 page in12 - contrecollée sur carton - bon état -
"Je serai chez vous demain samedi 27 janvier à une heure et demi, pour pouvoir être à deux heures chez Régnier avec Lucien et vous".. - Petit manque en marge sans atteite au texte - collé délicatement sur carton à deux angles - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
signé Barante, Directeur général de l’Administration des Contributions indirectes. Une pièce, in-folio, 1 p. 1/2, imprimée et complétée à la main, du dix-neuf octobre 1818.
Auteur de “Histoire des Ducs de Bourgogne”, homme d’État et Académicien, né à Riom dans le Puy de Dôme (1782-1866).
Phone number : 06 60 22 21 35
5 L.A.S. datées de 1849 à 1861 (1 non datée). À propos d'affaires avec monsieur Aubenas. Très bon
Paris Paris, Gallimard, coll. "L'Arpenteur", 2002, 2002 1 vol. broché in-8 étroit, broché, 162 pp. Exemplaire enrichi d'un envoi et d'une carte postale autographes signés adressés à un critique. Très bon état.
Paris Gallimard, coll. "L'Arpenteur" 2000 1 vol. broché in-8 étroit, broché, 159 pp. Exemplaire enrichi d'une lettre autographe signée adressée à un critique (2 pages in-4, datées du 11 janvier 2006). Très bon état.
s.l. 22 Mars 1852, 13,5x20,5cm, une feuille.
Belle lettre autographe datée et signée de Jules Barbey d'Aurevilly adressée à l'historien Jean-Marie Dargaud, 13 lignes à l'encre noire. Pliures inhérentes à la mise sous pli. Jules Barbey d'Aurevilly est tout empreint de tact à l'égard de son ami, il lui témoigne également toute son affection : "Je veux vous épargner, en allant, sous peu de jours, vous voir chez vous, une course longue et peut-être inutile... On ne me voit que le matin et encore les trois premiers jours de la semaine. J'irai donc vous voir." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Belle pièce en partie imprimée, sur parchemin. Signature autographe. Très bon 25 x 35cm.
Importante lettre datée du 21 décembre 1971 à la veille de l'adaptation de son roman Les Gens de Mogador. en feuille Très bon Avignon 1971
édition originale
Importante lettre à en-tête de la Compagnie du Peyrou (Montpellier) datée de 1947 à la veille de la publication de son roman Les Gens de Mogador. Elle fait une tournée théatrale en Algérie; projet de parfum avec Carven … en feuille Très bon Avignon 1947
édition originale
Importante lettre à en-tête de la Compagnie du Peyrou (Montpellier) . Elle signe alors de son nom Renée (Guérin). À propos de théâtre … en feuille Très bon Avignon 1947 ?
édition originale
Poème dactylographié et dédicacé d'Élisabeth Barbier, l'auteur des gens de Mogador. On joint une correspondance avec la maison d'édition Pierre Seghers refusant ces manuscrits … Le poème a été recollé au scotch. en feuille avec enveloppe. moyen Avignon 1942
édition originale
In 4 demie-toile marron muette, faux-titre titre 248 pages, 4 pages de table des matières ;. Illustrations dans le texte et hors texte (sur papier couché) de Paul LEMAGNY. Société française de librairie et d’éducation Pierre BARBOU 21 décembre 1937. Bon exemplaire. Envoi manuscrit autographe de l’auteur .
[Manuscrits de l'auteur] "Nantes, 1801, 2 cahiers brochés : 1°Le Calomniateur. 3ff.-105pp. Dos du cahier en vélin de réemploi, couvertures papier. Titre joliment calligraphié. 2° Le présomptueux. 1f.-71pp.-7ff.(1f. d'""errata"" et 6 bl.). Les couvertures et le titre sont absents pour cette pièce. Nombreuses taches d'encre sur le premier feuillet. Le titre est indiqué dans l'errata. Emile Péhan, Catalogue méthodique de la bibliothèque publique de la ville de Nantes, 1864, Vol. III N°25864. Œuvres de François-Auguste Bar, sous la forme de 7 vol. Manuscrits. Outre des pièces de théâtre et de poésie, on lui doit une traduction en vers, partielle, du Roland Furieux de L'Arioste. Un article d'Evariste Colombel (T.III, 1855) dans la Revue des provinces de l'Ouest nous apprend quelques éléments biographiques sur François-Auguste Bar 1782-1853. Il fut conservateur de la bibliothèque de Nantes de 1812 à 1815 et finit sa carrière administrative comme juge de paix. L'artice de Colombel, bien que faisant l'inventaire des pièces de Bar, ne cite pas les deux pièces que nous proposons. ""Quelle bonne fortune ! - dans cent cinquante ans d'ici- pour un archéologue, un antiquaire, un bibliophile ! - Quoi ! Sept gros volumes, grand in-8, de productions parfaitement inconnues ! [...] Ce qui est curieux, original, rare (c'est le mot est à la mode), - c'est que l'auteur de ces poésies les a, lui-même, laborieusement recopiées, en y prodiguant tous les trésors de sa calligraphie,laquelle, du reste, est irréprochable."" (Evariste Colombel). Sur le style, Colombel souligne le très grand classicisme de Bar. "" Bar est un classique, attardé, au commencement du siècle, sur les rivages de la littérature, vaste océan. Bar a fermé sa porte et son oreille aux bruits nouveaux."""
Lutetiae Parisiorum, prostat apud Ernestum Leroux ,1884, grand in-8 relié demi cuir rouge, dos à nerfs, XXVIII-210pp + 120pp (texte arabe)
Il s‘agit de la traduction latine d’après un exemplaire unique de la BN ,un texte en arabe tiré d’un original hébreu du cantique des cantiques ,«le Cantique des Cantiques, le chant le plus ardent, le plus voluptueux qui ait retenti sous une nuit orientale» L'abbé Jean-Joseph-Léandre Bargès, (1810 - 1896) est un orientaliste français, Bargés est nommé officiellement prêtre et devient professeur d'arabe à Marseille en 1837. puis d’hébreux à l'Académie théologique de Paris , il étudie les érudits médiévaux , publiant des commentaires en arabe de Yaft bin Ali, interprète divers psaumes (1861) et ensuite révise Nasyid al-Anasyid (1884).Barges publie également un traité de Juda ibn Kuraish, sur l'étude de l'hébreu. P1-26
1 page 1/2 in8 - bon état -
"Impossible de mettre la main sur les éditions de poche..Je vais en réclamer à Gallimard (Folio) - Pour N.Y. ce sera plus difficile. J'ai encore 1 exemplaire cartonné, si tu en as besoin. Je pars pour quelques jours...." Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
Reçus de 1741 à 1793. In-12 (120 x 166mm) plein vélin à rabat, 59 pages de reçus signés par différents habitants de la commune et adressés pour la plupart à Isidore Garcin. Nombreuses écritures différentes plus ou moins lisibles. Etat d'usage.
Ce manuscrit est paru dans le journal "L'Aioli" du 17 mai 1891 (N° 14, p.3). Le manuscrit est signé . Sous chemise de protection avec titre imprimé. Très bon