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‎VIVIEN Renée‎

Reference : 79025

(1900)

‎Lettre autographe signée adressée à Natalie Clifford Barney : "Je lirai « Séraphita » pour te retrouver un peu dans ces pages de Balzac." ‎

‎s.l. [Londres] Le 14 mars [1900], 9,9x15,2cm, 8 pages sur 2 doubles feuillets.‎


‎Lettre autographe manuscrite de Renée Vivien signée « Pauline » rédigée à l'encre noire sur deux doubles feuillets de papier à en-tête du 24 Hyde Park Street.Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Très belle et poétique lettre écrite depuis Londres où la jeune Renée goûte à une douce mélancolie: «Aujourd'hui, il n'y a pas eu de soleil, un léger brouillard, une atmosphère obscure et triste. J'en ai été contente, je déteste le printemps quand tu n'es plus là, et le soleil et l'air doux me font mal. J'aime la tristesse du ciel et de la lune qui va bien avec ma pensée.» Malgré un programme des plus chargés («Je suis très lasse ce soir, je reviens de l'Alhambra, où maman m'a mené voir le ballet militaire et entendre les chansons patriotiques. [...] J'ai patiné l'après-midi, le matin, j'ai été voir une de mes amies ici, qui est très gentille quoiqu'ayant trop de religion pour mon goût.»), la jeune femme s'ennuie dans cette ville qu'elle détesteprofondément(«Comment peux-tu être jalouse, toi que j'adore, de Londres, que je hais ? Je suis malheureuse depuis que je suis entrée dans cette ville. Elle est sombre, elle a une mauvaise influence sur mon destin. Elle me porte malheur. Elle finira par me tuer si j'y reste. J'ai peur d'elle, je veux m'en aller, te rejoindre ma chérie, mon printemps, toi, qui es l'être de lumière et de beauté, mon amour, mon bonheur et ma consolation.») et se rassure dans le souvenir de sa bien-aimée à qui elle pense chaque instant: «Tu as raison de sentir mes pensées autour de toi, je jette désespérément mon âme à travers l'espace pour qu'elle te retrouve Ton souvenir est dans toutes mes actions, toutes mes paroles, c'est toi que je vois à travers les choses qui m'environnent.» Natalie est partout, même dans ses lectures: «Je lirai « Séraphita » pour te retrouver un peu dans ces pages de Balzac. Tout ce qui te rappelle, tout ce qui a quelque rapport avec toi, même lointain, m'est cher.» Comme le montre Jean Chalon dans sa biographie de Natalie Clifford Barney (Portrait d'une séductrice), Séraphita est un roman fondateur de la pensée de l'Amazoneet l'un des premiers livres qu'elle acheta à son arrivée en Europe: «Natalie a vainement cherché ce roman philosophique de Balzac dans les librairies de Washington. Elle trouvera ce livre en Europe et poussera le raffinement jusqu'à lire les avatars angéliques de Séraphitus-Séraphita dans cette Norvège qui en constitue le décor.» D'après ce passage souligné dans son exemplaire, on remarque qu'elle en retient davantage le féminisme que le concept d'intersexualité: «Ne sera-ce pas user de vos droits d'homme ? Nous devons toujours vous plaire, vous délasser, être toujours gaies, et n'avoir que les caprices qui vous amusent. Que dois-je faire, mon ami ? Voulez-vous que je chante, que je danse, quand la fatigue m'ôte l'usage de la voix et des jambes ? Messieurs, fussions-nous à l'agonie, nous devons encore vous sourire ! Vous appelez cela, je crois, régner. Les pauvres femmes ! je les plains.» Comme en témoigne une lettre adressée à sa précédente amante Liane de Pougy, elle avait déjà initié celle-ci à ce.tte héro·ïne balzacien.ne: «Tu viendras vers moi, j'irai à toi et nous marierons nos vies. Ce jour-là tu me liras Séraphîta. Elle éveillera nos âmes somnolentes et tu prêteras aux mots qui dorment la beauté de ta voix. Ce sera notre litanie d'amour.» C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette,Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographiqueUne Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon,Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscillent entre déclarations enflammées et douloureuxmea culpa. «Renée Vivien, c'est la fille de Sappho et de Baudelaire, c'est la fleur du mal 1900 avec des fièvres, des envols brisés, des voluptés tristes.» (Jean Chalon,Portrait d'une séductrice) En 1901 survint une importante rupture qui durera presque deux années; Renée, malgré les sollicitations de Natalie et les intermédiaires qu'elle lui envoie pour la reconquérir, résiste. «Les deux amies se revirent, et se fut, en août 1905, le pèlerinage à Lesbos, qui constitua une déception pour Natalie Barney et demeura sans lendemain. [...] Le ressort était définitivement brisé. Les deux anciennes amies cessèrent de se voir dès 1907, et Vivien mourut sans qu'elles se soient revues. » (J.-P. Goujon,Ibid.) - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎VIVIEN Renée‎

Reference : 79028

(1900)

‎Lettre autographe signée adressée à Natalie Clifford Barney : "J'ai laissé mon cur sur tes lèvres, il y frémira quand tu me diras : Je t'aime !"‎

‎s.l. [Londres] Le 18 mars [1900], 9,9x15,2cm, 14 pages sur 3 doubles feuillets et 1 feuillet simple.‎


‎Très longue lettre autographe manuscrite de Renée Vivien signée « Pauline » rédigée à l'encre noire sur trois doubles feuillets de papier à en-tête du 24 Hyde Park Street et un feuillet simple.Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Très belle lettre d'amour expédiée depuis Londres alors que Renée est auprès de sa famille: «Quand je pense qu'un télégramme va banalement et brutalement t'apprendre que je reste encore une semaine à Londres, j'ai envie de pleurer. Et pourtant, il ne faut pas que je pleure, cela m'affaiblirait trop, et j'ai besoin de toutes mes forces et de mon courage.» Cette très difficile séparation est, selon la jeune femme, un mal nécessaire, la promesse d'un avenir radieux: «Si je te fais ce chagrin, mon amie, c'est pour que nous soyons plus heureuses après.[...] Ne m'en veux pas de te faire attendre, je souffre plus que toi ; et si je t'impose, en me l'imposant moi-même, cette souffrance du désappointement, c'est afin de mériter mieux l'amour que tu m'accordes et le bonheur que tu me donnes, par la douleur et par le sacrifice. Je serai ainsi plus digne de toi, et tu m'aimeras mieux pour les larmes que j'ai offertes à notre amour. » Cela ne fait que quelques mois que Renée et Natalie se fréquentent et on peut lire ici l'importance que revêt cette relation pour la Muse aux violettes et son intarissable besoin d'être aimée: «Tu me pardonnes, dis ? Tu me souris toujours ? Je t'en prie, envoie-moi ton pardon, afin que je le sente comme une rosée sur mon front. Dis-moi de loin que tu m'aimes toujours, et je t'entendrai à travers tout l'espace qui nous sépare. [...] Je t'aime à en mourir, enfant chérie qui es le beau sourire blond de ma vie. Tout ce que je te dis et [sic] sincère. Crois-moi. Aime-moi.» Idéalisant cette relation, elle se livre à une superbe litanie: «Te faire souffrir, toi, qui m'as donné la joie rayonnante de mon existence ! Toi, qui m'as fait aimer la vie ! - Toi, qui m'as mis tant de beaux rêves dans l'âme, tant de bonheur et tant de chaleur au cur ! - Toi, qui es ma consolation, mon espérance, mon extase, la merveille et le miracle de ma vie ! - Toi, qui m'as donné l'amour, qui me l'as révélé, qui me l'as fait sentir et comprendre ! - Toi, que j'aime !» Très belle lettre-fleuve empreinte de la dévorante passion de la Muse aux violettes pour son Amazone. C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette,Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographiqueUne Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon,Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscillent entre déclarations enflammées et douloureuxmea culpa. «Renée Vivien, c'est la fille de Sappho et de Baudelaire, c'est la fleur du mal 1900 avec des fièvres, des envols brisés, des voluptés tristes.» (Jean Chalon,Portrait d'une séductrice) En 1901 survint une importante rupture qui durera presque deux années; Renée, malgré les sollicitations de Natalie et les intermédiaires qu'elle lui envoie pour la reconquérir, résiste. «Les deux amies se revirent, et se fut, en août 1905, le pèlerinage à Lesbos, qui constitua une déception pour Natalie Barney et demeura sans lendemain. [...] Le ressort était définitivement brisé. Les deux anciennes amies cessèrent de se voir dès 1907, et Vivien mourut sans qu'elles se soient revues. » (J.-P. Goujon,Ibid.) - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎VIVIEN Renée‎

Reference : 79031

(1900)

‎Lettre autographe signée adressée à Natalie Clifford Barney : "Tu veux entrer dans mon cur ? Mon cur n'est qu'un miroir où tu te mires..."‎

‎s.l. [Londres] Le 20 mars [1900], 9,9x15,2cm, 4 pages sur un double feuillet.‎


‎Très longue lettre autographe manuscrite de Renée Vivien signée « Pauline » rédigée à l'encre noire sur un double feuillet de papier à en-tête du 24 Hyde Park Street.Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Belle lettre d'amour expédiée depuis Londres alors que Renée est auprès de sa famille : «Quelle lente et lourde journée, mon tout petit ! j'en ai tout le poids sur le cur Dieu, que j'ai mal, que je m'ennuie ! Ce matin, j'avais un faible rayon d'espoir, je croyais peut-être te rejoindre bientôt, ou même tout de suite, hélas ! hélas ! hélas ! Il est arrivé ce que je craignais, j'ai dû rester On se serait étonné, on aurait trouvé ça louche, si j'étais partie tout de même.» Cela ne fait que quelques mois que Renée et Natalie se fréquentent et on peut lire ici l'importance que revêt cette relation pour la Muse aux violettes qui n'a de cesse de se flageller: «Ta pauvre lettre, où chaque mot respire la mélancolie et la souffrance, me brise le cur. Je souffre, en la lisant, tout ce que tu as souffert. Pardonne-moi, Natalie, ma bien-aimée ! Tes reproches sont si doux qu'ils me déchirent l'âme plus que toutes les récriminations amères qu'un autre être moins aimant m'aurait criées... J'ai eu tort, cent fois tort, mille fois tort, de rester pourquoi donc ai-je obéi à un fantôme de Devoir, à un spectre de Pitié qui, je ne sais pourquoi, m'obsède et vient m'ôter des heures divines que le Destin pitoyable m'accorde... La réalité, c'est l'Amour, il n'y a que lui, rien n'est en dehors de lui, et, on souffre toujours de l'avoir sacrifié à quelque chose, si sainte soit-elle...» Très belle lettre empreinte de la dévorante passion de la Muse aux violettes pour son Amazone. C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette,Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographiqueUne Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon,Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscillent entre déclarations enflammées et douloureuxmea culpa. «Renée Vivien, c'est la fille de Sappho et de Baudelaire, c'est la fleur du mal 1900 avec des fièvres, des envols brisés, des voluptés tristes.» (Jean Chalon,Portrait d'une séductrice) En 1901 survint une importante rupture qui durera presque deux années; Renée, malgré les sollicitations de Natalie et les intermédiaires qu'elle lui envoie pour la reconquérir, résiste. «Les deux amies se revirent, et se fut, en août 1905, le pèlerinage à Lesbos, qui constitua une déception pour Natalie Barney et demeura sans lendemain. [...] Le ressort était définitivement brisé. Les deux anciennes amies cessèrent de se voir dès 1907, et Vivien mourut sans qu'elles se soient revues. » (J.-P. Goujon,Ibid.) - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎VIVIEN Renée‎

Reference : 79911

(1908)

‎Lettre autographe signée adressée à son éditeur Edward Sansot : "je n'ai pas beaucoup d'amis et me soucie peu de distribuer des volumes au hasard"‎

‎s.l. [Paris] 1908, 13x15cm, 3 pages 1/2 sur un double feuillet.‎


‎Lettre autographe signée de Renée Vivien adressée à son éditeur Edward Sansot, rédigée à l'encre noire sur un double feuillet de papier à en-tête au chiffre de la poétesse et à son adresse du 23 avenue du Bois de Boulogne.Pliures transversales inhérentes à l'envoi, deux infimes déchirures marginales sans manque à l'endroit de la pliure. Intéressante lettre écrite par la Muse aux violettes dans les derniers mois de sa vie :"J'ai reçu avec une très grande joie les volumes desFlambeaux éteints. Remerciez bien de ma part votre soeur d'avoir fait les corrections, et, je vous en prie, amenez-la moi lorsque vous reviendrez Avenue du Bois. Pour les six exemplaires deSillagesdécollés donnez-les - je n'ai pas beaucoup d'amis et me soucie peu de distribuer des volumes au hasard. Maintenant, s'il est trop tard lorsque ma lettre vous parviendra et que les exemplaires me parvinssent quand même, ne soyez pas désolé, - cela m'est indifférent, je vous les ferai envoyer. Mes meilleurs sentiments d'amitié littéraire. Renée Vivien. Je vous envoie en même temps, sept volumes à distribuer au hasard parmi vos amis littéraires." La publication deFlambeaux éteintsmarque la première collaboration entre la poétesse et son nouvel éditeur Edward Sansot. Dans ces dernières années de vie douloureuses, Sansot et et son ami Charles-Brun sont ses deux seuls liens avec le monde littéraire dont les critiques - autrefois très élogieux - ont fini par lui tourner le dos. Il faut dire que Renée Vivien a pris la décision de retirer tous ses livres du commerce et s'enfonce petit à petit dans la solitude et la dépression. Très belle lettre témoignant des dernières années littéraires de Sapho 1900. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎VIVIEN Renée‎

Reference : 79815

(1907)

‎Lettre autographe signée adressée à un poète : "Vous chantez la rose aimée de Psapphâ, qui la comparait aux vierges amoureuses de Mytilène."‎

‎s.l. [Paris] Le 23 juillet (ca. 1907-1908), 11,5x16cm, 2 pages sur un double feuillet.‎


‎Lettre autographe signée de Renée Vivien adressée à un poète, rédigée à l'encre violette sur un double feuillet de papier à en-tête orné d'un liseré de violettes. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. «?Monsieur, Je viens à l'instant de défaire le paquet qui contenait votre délicat volume, où j'ai cueilli de rares fleurs de poésie. Vous chantez la rose aimée de Psapphâ, qui la comparait aux vierges amoureuses de Mytilène. Parmi vos poèmes, je préfère?: "Sa Voix", "Sa Grâce" et "Les Mains et l'Apothéose" [...] Renée Vivien.?» Malgré la précision des titres évoqués, il ne nous a pas été possible d'identifier le poète à qui Vivien envoya cette lettre de remerciement. Ces titres ne sont pas sans évoquer les poèmes de la Muse aux violettes elle-même. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎VIVIEN Renée‎

Reference : 78737

(1900)

‎Poème autographe inédit à Natalie Clifford Barney "A l'absente"‎

‎s.l. 20 mars 1900, 10x15,7cm, 2 pages sur un double feuillet.‎


‎Poème autographe intitulé "A l'absente" et adressé à Natalie Clifford Barney. Deux pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet à en-tête du 24 Hyde Park Street. Ce poème de trois strophes en octosyllabes est à notre connaissance inédit. Il est précédé, sur le premier volet de ce double feuillet, d'un petit message manuscrit : "Voici des vers que j'ai faits, - je dirais plutôt des larmes que j'ai versées - pour toi. Tourne la page, tu les y trouveras, dans toute leur mélancolie." Oui, c'est toi mon rêve suprême Pendant ces longs, ces mornes jours Où je pleure au fond de moi-même L'exil triste de mes amours! [...] N'as-tu pas entendu, ma blonde, Le bruit d'un sanglot qui revient Dans le cur de la nuit profonde? - C'est mon amour qui se souvient. C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette, Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographique Une Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon, Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscillent entre déclarations enflammées et douloureux mea culpa. «Renée Vivien, c'est la fille de Sappho et de Baudelaire, c'est la fleur du mal 1900 avec des fièvres, des envols brisés, des voluptés tristes.» (Jean Chalon, Portrait d'une séductrice) En 1901 survint une importante rupture qui durera presque deux années; Renée, malgré les sollicitations de Natalie et les intermédiaires qu'elle lui envoie pour la reconquérir, résiste. «Les deux amies se revirent, et se fut, en août 1905, le pèlerinage à Lesbos, qui constitua une déception pour Natalie Barney et demeura sans lendemain. [...] Le ressort était définitivement brisé. Les deux anciennes amies cessèrent de se voir dès 1907, et Vivien mourut sans qu'elles se soient revues. » (J.-P. Goujon, Ibid.) - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎VIVIEN Renée & ZUYLEN Hélène de‎

Reference : 79017

(1906)

‎Lettre autographe signée de Renée Vivien et Hélène de Zuylen adressée à Natalie Clifford Barney : "Dis à tes cheveux que je les aime."‎

‎s.l. [Paris] s.d. [ca 1906], 11,5x15,9cm, 4 pages sur un double feuillet.‎


‎Lettre autographe signée "Paul" de Renée Vivien adressée à Natalie Clifford Barney et rédigée à l'encre noire sur un double feuillet à liseré de violettes. La baronne Hélène de Zuylen a adjoint un petit message manuscrit signé à la fin de la lettre : "Paule a raison vous êtes un être charmant et féerique!"Pliures transversales inhérentes à l'envoi. "Cher Tout-Petit, Ton domestique est venu dire que tu nous rejoindrais au théâtre. Mais il n'y a pas de théâtre! Peux-tu dîner avec nous jeudi ou vendredi? Si, dans la soirée de jeudi, tu n'es libre qu'après le dîner, viens nous rejoindre à n'importe quelle heure. Donne-moi un petit coup de téléphone pour me dire ce que tu feras et si je dois te faire chercher et à quelle heure? Dis à tes cheveux que je les aime." C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette,Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographiqueUne Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon,Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscillent entre déclarations enflammées et douloureuxmea culpa. «Renée Vivien, c'est la fille de Sappho et de Baudelaire, c'est la fleur du mal 1900 avec des fièvres, des envols brisés, des voluptés tristes.» (Jean Chalon,Portrait d'une séductrice) En 1901 survint une importante rupture qui durera presque deux années; Renée, malgré les sollicitations de Natalie et les intermédiaires qu'elle lui envoie pour la reconquérir, résiste. «Les deux amies se revirent, et se fut, en août 1905, le pèlerinage à Lesbos, qui constitua une déception pour Natalie Barney et demeura sans lendemain. [...] Le ressort était définitivement brisé. Les deux anciennes amies cessèrent de se voir dès 1907, et Vivien mourut sans qu'elles se soient revues. » (J.-P. Goujon,Ibid.) Précieuse et très rare lettre de Sapho 1900 à l'Amazone. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎V. Lefevre (ed.);‎

Reference : 39085

‎Orientalismes. De l'archeologie au musee Melanges offerts a Jean-Francois Jarrige, ‎

‎Turnhout, Brepols, 2012 Paperback, 454 p., 16 colour ill., 210 x 297 mm. ISBN 9782503544441.‎


‎Jean-Francois Jarrige, membre de l'Institut de France (Academie des Inscriptions et Belles-Lettres) a marque de son empreinte l'archeologie du sous-continent indien, notamment a travers ses fouilles de Mehrgarh et de Nausharo au Baluchistan pakistanais, faisant reculer de plusieurs millenaires le passe de l'Asie du Sud. Mais il a aussi participe a l'histoire des musees francais puisqu'il a dirige pendant vingt-deux ans le musee national des arts asiatiques Guimet, a Paris, dont il a mene la complete renovation. Pour lui rendre hommage, 46 chercheurs (archeologues, conservateurs, universitaires, etc.) se sont associes pour lui dedicacer vingt-quatre articles dont la diversite temoigne des interets varies de Jean-Francois Jarrige et de la richesse des etudes orientalistes actuelles. Languages : French.‎

ERIK TONEN BOOKS - Antwerpen

Phone number : 0032495253566

EUR109.50 (€109.50 )

‎VOGEL Klaus‎

Reference : X71820

(1974)

‎The dated Nepalese manuscripts of the Saddharampundarikasutra‎

‎Göttingen, Vandenhoeck & Ruprecht 1974 pp.199-204 + 1 plate out-of-text, 25cm., in the periodical "Nachrichten der Akademie der Wissenschaften in Göttingen. I. Philologisch-historische Klasse" Jahrgang 1974 Nr.5, softcover, VG, X71820‎


Phone number : +32476917667

EUR10.00 (€10.00 )

‎VOGELS Henr. Jos.‎

Reference : R74514

(1929)

‎Codicum Novi Testamenti Specimina. Paginas 51 ex codicibus manuscriptis et 3 ex libris impressis collegit ac phototypice repraesentatas edidit Henr. Jos. Vogels‎

‎Bonnae [Bonn], Hanstein 1929 13p. + 54 fac-simile plates, 29cm., bound in cart.cover (marbled plates, spine in cloth, original wrappers preserved), small stamp at verso of title page, good condition, [text in Latin]‎


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EUR30.00 (€30.00 )

‎VOGUE (Eugène-Melchior de).‎

Reference : 97436

‎1 lettre et un billet autographes signé à son éditeur. ‎

‎ 1 page in-12 et 1 page in-16 obl. les deux à l'en-tête imprimé de la Chambre des Députés, Ardèche, 23 août 1894 et s.d. "12 avril". En vacances, il promet de transmettre sa contribution à la fin de septembre, et assure : "les obligations du député ne le laissent pas chômer, même et surtout en vacances". Dans le billet, il évoque la réception d'un télégramme en provenance d'Amérique ‎


Vignes Online - Eymoutiers
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Phone number : 05 55 14 44 53

EUR30.00 (€30.00 )

‎VOGUE (Eugène-Melchior de).‎

Reference : 96484

‎Deux billets autographes signés adressés à Jules Claretie. ‎

‎ 1 page et demie in-16 (s.l. "samedi 4") et une carte-lettre (paris, 12 octobre 1891). Les deux billets concernent des demandes de places. ‎


Vignes Online - Eymoutiers
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EUR20.00 (€20.00 )

‎VOGÜÉ Eugène de ‎

Reference : 12033

(1823)

‎Lettre autographe signée‎

‎Lettre autographe signée du député de l'Ardèche, datée du 8 mars (?) 1823. Très belle marque postale de la Chambre des Députés. en feuille Très bon Paris 1823 ‎


‎édition originale‎

EUR35.00 (€35.00 )

‎VOISENON (Claude-Henri de Fusée de).‎

Reference : 15559

(1756)

‎La Plaisanterie de campagne - Comédie en un acte en vers libres.‎

‎, , Ca 1756. Manuscrit in-4 (228 x 193 mm) de (14) ff. autographes à 34 lignes par page montés sur onglet, demi-maroquin bleu à coins, dos à quatre nerfs, titre doré en long, signet, tranches dorées (reliure du XIXe siècle). ‎


‎Manuscrit autographe établi par Claude-Henri de Fusée de Voisenon de La Plaisanterie de campagne comédie créée sous ce titre au Théâtre Italien au mois de juin 1756 mais attribuée à Favart - puis mise en musique par Philidor et représentée en 1769 sous son titre définitif L'Amant déguisé ou le Jardinier supposé.« Cette pièce est imprimée dans le dixième volume du Théâtre de Favart (1772) avec des changements » selon une note manuscrite postérieure - contemporaine de la reliure - rédigée sur la première page : c'est Charles-Simon Favart lui-même qui rendit à Voisenon sa part dans une note reproduite dans ses Mémoires : « On a calomnié l'union intime qui s'établit entre [Favart] et l'abbé de Voisenon ; cette liaison qui formée à l'époque la plus brillante et la plus heureuse de leur vie, dura longtemps encore après la mort de Madame Favart. La jalousie qui se plaît à contester tous les succès, insinua que ceux de M. Favart étaient dus aux talents de M. de Voisenon et que c'était là le motif du bon accueil que l'abbé recevait dans sa famille. Les ouvrages de ces deux aimables écrivains portent un cachet si différent, qu'il est aisé maintenant de reconnaître la vérité. M. Favart qui poussait la probité jusqu'au stoïcisme, éclaircit ses faits par la note suivante (1769) : M. l'abbé de Voisenon, indépendamment des ouvrages qu'il a composés dans tous les genres, a fait encore en société avec M. Favart, le Jardinier supposé et l'Amitié à l'épreuve… Note écrite de la main de M. Favart » (Mémoires et correspondance littéraires, dramatiques et anecdotiques de C.-S. Favart, publiés par A.-P.-C. Favart, 1808, I p. LXX).Il s'agit vraisemblablement d'une ultime copie avant la création de la pièce en 1756 dont une dizaine de vers sont encore biffés et corrigés - signalons parmi les personnages Frontin le Jardinier qui deviendra Mathurin dans les versions suivantes.L'abbé Claude-Henri de Fusée de Voisenon (1708-1775) surnommé Greluchon par Voltaire à cause de sa santé fragile, composa surtout des comédies en vers, un opéra représenté en 1760, des poèmes à sujets bibliques, des romans et des contes dont le ton libertin surprenait chez un abbé. Il réussit cependant à se faire élire à l'Académie française le 4 décembre 1762, pour succéder à Crébillon père. Grâce à Choiseul, il fut un protégé de Mme de Pompadour et en 1771 devint le ministre plénipotentiaire du Prince-évêque de Spire.Remarquable pièce manuscrite intéressant l'histoire littéraire et dramatique du XVIIIe siècle. Petites traces de frottement sur le dos de la reliure. ‎

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Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR2,500.00 (€2,500.00 )

‎VOLLON Alexis - [1865 - 1945] - Peintre français‎

Reference : GF26853

‎Lettre Autographe Signée à Mon cher Maitre (Roll?) - Le 25 aout ? - ‎

‎ 1 page in8 -‎


‎Il le remercie de ses compliments - "J'ai la plus grande admiration pour vous" - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

Galerie Fert - Nyons

(SNCAO)

Phone number : 33 04 75 26 13 80

EUR75.00 (€75.00 )

‎VOLTAIRE‎

Reference : 31720

‎Lettres d'Alsace à sa nièce Madame Denis, publiées d'après les manuscrits originaux, avec des introduction et des notes par G. Jean-Aubry‎

‎Paris, NRF / Gallimard, 1938 - in-8 broché, 284 pages - Exemplaire hors commerce, numéroté et tiré sur vergé, avec dédicace autographe de G. Jean-Aubry - Très bon état malgré dos roussi‎


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Phone number : 33 05 56 81 68 79

EUR25.00 (€25.00 )

‎ Voltaire ‎

Reference : 6245

‎ L'INGENU. Histoire véritable tirée des manuscrits du père Quesnel, 1767‎

‎ Illustrations de Brunelleschi. Numéroté 4370 sur les 3000 tirages sur Vélin. 1948 , 110 pages. Broché. Editions Gibert Jeune / Librairie d'amateurs‎


‎ray T1* ‎

Phone number : 06 12 23 97 16

EUR50.00 (€50.00 )

‎VO-NGOC-DUC - [CHOLON] [ENGINS DE PECHE] [MANUSCRIT] ‎

Reference : 11676

‎Engins de Pêche - Dessinés par le Sieur Vo-Ngo-Duc Ex-Professeur à l'Ecole de Cholon‎

‎Cholon,1888. 1 volume in-4, reliure moderne plein cuir brun, couverture dessinée et manuscrite conservée, 1 feuillet de titre, 3 feuillets manuscrits d'introduction , suivis de 35 planches en couleurs, dessinées à la main, chacune accompagnée d'un texte explicatif manuscrit, très bon état.‎


‎Rarissime manuscrit illustré témoignant de tous les engins de pêche et techniques de pêche, en vigueur en Annam, à la fin du 19e siècle. Ainsi sont évoqués et illustrés en pleine page les engins suivants: Cai Ro Xuoi - Ro - Caidut - Ro Ca - Cai Do - Cai Dang Cai Vit - Cai Lop - Gio Ca - etc.‎

Phone number : 852 95539385

EUR5,000.00 (€5,000.00 )

‎VORONOVA (Tamara) , Andrei STERLIGOV.‎

Reference : 112185

‎Les manuscrits enluminés occidentaux du VIII° au XVI° siècle à la Bibliothèque nationale de Russie de Saint-Pétersbourg.‎

‎ Bournemouth et Saint-Pétersbourg, Parkstone et Aurora, 1996. In-4, 287 pp., cartonnage de l'éditeur, jaquette.‎


‎Excellentes et très nombreuses reproductions en couleurs. Phénoménal ensemble dont la plus grande partie provient de la collection Dubrowsky. Ce diplomate russe acheta ces manuscrits en France, juste après la Révolution de 1789, l'ensemble le plus important provenant du monastère de Saint-Germain-des-Prés. ‎

Jacques Chaminade - Aix les Bains

Phone number : 06 87 10 26 56

EUR25.00 (€25.00 )

‎VOSTELL (Wolf).‎

Reference : AWD-823

‎Carte postale adressée à l'éditeur Raphaël Sorin (Marilyn Monroe) avec coupure de presse espagnole collée au scotch (1993) ‎

‎« El ‘ultra’ Le Pen dice que el arte contemporaneo es una ‘farsa siniestra’. » Salutations en marges. ‎


‎Co-fondateur du groupe Fluxus avec Nam June Paik et George Maciunas en 1962, Wolf Vostell (1932-1998), a été l’un des premiers artistes à expérimenter l’installation, le happening ou l’art vidéo. Réinventeur de la formule Art = Vie, il a pratiqué le décollage, le balayage pictural, la sculpture, le déréglage et le parasitage électroniques, l’encastrement dans le béton, le détournement des grands fleurons de l’industrie et de la consommation. ‎

Actualités - Paris
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Phone number : 00 33 (0)6 72 07 91 06

EUR220.00 (€220.00 )

‎VOULGRE, André‎

Reference : 41218

(1910)

‎4 carnets manuscrits, recueils de pensées et recueils de poésies [ Circa 1910-1913 ; Détail : ] Carnet 1 : Recueil de Poésies Année 1910-1911 ; Carnet 2 : "Lo que ha de ser no puede faltar" ; Carnet 3 : Recueil de Poésies. Terminé le 5 mars 1911 Lycée de Périgueux ; Carnet 4 : "Par ci par là". Lycée de Périgueux ‎

‎4 carnets in-18 br., 1910-1913, 32 ff. par carnet. Rappel du titre complet : 4 carnets manuscrits, recueils de pensées et recueils de poésies [ Circa 1910-1913 ; Détail : ] Carnet 1 : Recueil de Poésies Année 1910-1911 ; Carnet 2 : "Lo que ha de ser no puede faltar" ; Carnet 3 : Recueil de Poésies. Terminé le 5 mars 1911 Lycée de Périgueux ; Carnet 4 : "Par ci par là". Lycée de Périgueux ‎


‎"Le docteur André Voulgre (1896-1971) fit sa carrière et sa fortune à Bordeaux. Mais il resta fidèle à son Périgord natal et, en 1971, il légua à la ville de Mussidan sa maison familiale ainsi que les collections qu’il y avait rassemblées."‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎Vuillafans‎

Reference : 12056

(1678)

‎Rente‎

‎Document manuscrit sur parchemin daté du 21 mars 1678 : Rente annuelle au profit de Claude Mayre d'Ouhans et de Jeanne Petitvisnier sur Jean Palleron de Moustier et Catherine Guignet. en feuille Très bon Vuillafans 1678 ‎


‎édition originale‎

EUR20.00 (€20.00 )

‎VUILLARD Edouard‎

Reference : 74124

(1931)

‎Lettre autographe signée d'Edouard Vuillard adressée à Bolette Natanson‎

‎17 juin 1931, 12,2x16,9cm, 1 page sur 1 feuillet remplié.‎


‎Lettre autographe signée d'Edouard Vuillard adressée à l'architecte et designer Bolette Natanson, rédigée à l'encre bleue sur un papier de deuil : "Ce n'est pas moi qui règle le cadre aussi je trouve juste de le payer son prix". Amie du peintre Edouard Vuillard, Bolette Natanson encadra plusieurs de ses oeuvres. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR700.00 (€700.00 )

‎VUILLARD Edouard & BONNARD Pierre VELAZQUEZ Diego‎

Reference : 80506

(1901)

‎Carte postale autographe signée adressée à Marc Mouclier‎

‎Hauser y Menet, Madrid 26 février 1901, 9x14cm, une carte.‎


‎Carte postale autographe signée d'Edouard Vuillard et Pierre Bonnard adressée à Marc Mouclier. Les deux peintres ont rédigé le message suivant en dessous de la reproduction du Prince Balthazar Carlos à cheval de Velazquez : "Bon souvenir de voyageurs. Bonnard - E. Vuillard"L'adresse et l'identité de Mouclier, à l'instar de toutes les cartes postales de sa correspondances, ont été raturées au crayon. Trace d'onglet au verso, quelques salissures et infime pliure marginale au recto. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎WAELKENS, L. & VAN DEN AUWEELE, D.‎

Reference : R1033

‎La collection de Thérouanne en IX livres à l'abbaye de Saint-Pierre-au-Mont-Blandin: le codex Gandavensis 235‎

‎, Steenbrugge, Sint-Pietersabdij 1980, pp.115-153, extrait de "Sacris Erudiri - Jaarboek voor Godsdienstwetenschappen" XXIV-1980, signé par Van Den Auweele, R1033‎


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