Manuscrit autographe sur papier bleu à son chiffre couronné, s.d. [ca. 1900]. [10 ff.] in 12, cousus.
Le ballet comprend 2 tableaux et une apothéose, joués par trois personnages principaux : Le Prince Avril qui règne sur le pays du Crépuscule, la Princesse Aurore, reine du Printemps et vestale des fleurs, et le magicien Kildare astrologue du prince. – Ier tableau : fête d’hiver dans le palais du prince. Le prince s’ennuie dans le paysage de neige, malgré la fête qu’il contemple tristement. Le maître des cérémonies offre une couronne de rubis et un manteau de pierreries à celle qui « saura faire venir entre les lèvres du prince le plus léger des sourires ». Des danseuses sacrées viennent alors de tout le pays, et dansent une à une devant lui. « Avril regarde les premières avec froideur, les secondes avec dégoût ». Il finit par se lever en colère et jette à terre la couronne, et le ballet est dispersé. Mais « une petite danseuse revient et d’un geste caressant lui noue ses bras autour du cou. Avril ne la regarde même pas. » Elle s’enfuit mais un lys est tombé de sa ceinture. Il reste seul et s’endort sur les marches de son trône. Paraît alors Kildare qui comprend le désir d’Avril. Il soulève une tapisserie derrière laquelle une femme apparaît « tenant dans ses mains toutes les fleurs et dans son regard toutes les joies » Emerveillé, Avril, réveillé, s’agenouille et fait comprendre à Kildare que seule la vision qu’il vient d’avoir lui rendra son sourire. Kildare fait alors apparaître une chimère ailée sur laquelle s’élance Avril, et ils s’envolent. – IIe tableau : Jardin sacré de la princesse Aurore Aurore se promène parmi les fleurs qui font un ballet autour d’elle. « Sa beauté l’a couronnée vestale dans la cité des fleurs. » 4 gardiens empêchent l’entrée du jardin « aux héros de légende et amoureux de rêve qui ont l’audace de vouloir pénétrer ». Avril s’est à demi caché, veut s’avancer mais recule devant la présence des gardiens. Une fleur se penche alors vers lui et murmure à son oreille. « Doucement la fleur ouvre ses pétales et laisse la place vide au fond de sa corolle, le prince s’y enferme. » Aurore s’approche et veut arroser la fleur de poudre d’or. Avril caché embrasse ses mains à la surprise d’Aurore. Elle ouvre la fleur, voit Avril et le cache dans les plis de sa robe à l’abri des gardiens. Avril lui fait la cour, Aurore, séduite, demande à des pavots de danser autour des gardiens qui tombent endormis, et toutes les fleurs font un arc de triomphe à Avril et Aurore. – Apothéose : décor du premier tableau mais fleuri et ensoleillé Le pays du crépuscule s’éclaire à l’approche de la princesse Aurore. « Tout est en printemps, en joie, Avril sourit », le couple enlacé, radieux est couronné de diadèmes comme des rayons de soleil, et entouré de fleurs. Écrit pour mettre en valeur la beauté de la Princesse Aurore/Liane, il ne semble pas que ce ballet ait été joué.
Manuscrit autographe sur beau papier vergé, composé de feuillets in 4° pliés en deux et retenus par un ruban de moire verte, s.d. [1898-1900 ?]. [26 ff.].
Liane de Pougy y a recopié quatre poèmes : Ibn el Farid « La bédouine » traduit par Ferdinand de Martino ; de Jean Lorrain « Mélusine » et « Conseil : Jeune, aujourd’hui ! Vieille, demain !... » ; de Maeterlinck « Chanson : Et s’il revenait un jour… » ; de Verhaeren « Agonie de moine », tous datés des années 1895-1897. Suivent « Quelques pensées de Liane de Pougy », ainsi qu’un poème « Paroles pour une doumka de l’Ukraine » dans deux versions présentant de nombreuses variantes.
Paris 13 et 29 juin 1821 in-4 (21,1 x 16,9 cm) adresses, marques postales
3 pp., plus 2 pp. de la main d'Henriette Lorimier et 1 p. d'Henriette Boulard.Correspondance familiale, en partie consacrée à la situation en Grèce. La première lettre concerne une demande en mariage effectuée par un capitaine qui souhaiterait épouser Cornélie, fille d'Antoine Boulard. Pouqueville estime qu'il faut "du temps pour se décider", compte tenu du jeune âge de sa nièce et des contraintes que cela supposerait pour elle. Puis il évoque les deux autres enfants d'Antoine, "Zaza" (Henriette Boulard) et "Hugues Bel" (Hugues Boulard), qui vont grandir et dont il faudra s'occuper. Dans la seconde lettre, Pouqueville donne des nouvelles de son frère Hugues, consul à Patras: "Avant hier j'ai reçu de ses nouvelles sous la date du 17 mai, il ne restait plus que quatre maisons dans la ville de Patras, qui comptait il y a deux mois plus de seize mille habitants. Plus de deux mille personnes doivent la vie à notre frère, qui depuis deux mois a vécu au milieu des flammes, du sang et du carnage, enfin il a sauvé le consulat de France. Ce pauvre Barrick et tous nos négociants sont ruinés […]. Je sais qu'il doit avoir maintenant près de lui la corvette du Roi la Flore, ainsi cela me tranquillise beaucoup. Du reste les choses étaient loin d'être finies, les insurgés s'organisaient, Patras était bloqué par terre et par mer, les vivres y étaient rares, on n'y mangeait que du biscuit, la farine s'y trouvait difficilement. Ce qui se passe de ce côté est incroyable, on tue les hommes comme des mouches et il serait difficile de dire qui des Turcs ou des Grecs seront vainqueurs, car on ne se fait aucun quartier de part ni d'autre, c'est une guerre d'extermination". Pouqueville demande à son correspondant de conserver les lettres de Hugues qu'il lui a fait parvenir, car elles lui serviront pour une seconde édition de son Voyage dans la Grèce. Il lui demande aussi de recevoir ses amis qui effectueront un voyage sur les bords de Loire, parmi lesquels Didot l'aîné
1818 1 page in-8, s.l.n.d.[vers 1880] (feuillet déchiré en marge gauche sans atteinte au texte). Mot de remerciement après la parution de Césette en feuilleton dans le quotidien Le Temps : "Je ne serai seulement heureux mais bien fier d'être présenté par vous aux lecteurs du Temps". On joint une carte de visite autographe signée également en rapport avec la présentation de Césette
Le Comte de Pouvourvile est d'accord pour écrire sur Claude FARRÈRE. en feuille Très bon Paris 1933
édition originale
2 pages in4 - enveloppe avec timbre découpé - bon état -
Belle et triste lettre: il est en poste à Oued-zem, "petite ville , de création colonisatrice", ou il s'ennuie et ou il fait froid - Il avait pensé trouver un climat de confiance mais "d'autres manoeuvrent pour détériorer la présence des français de bonne volonté" - Il lui aurait fallu Paris: "Paris et le combat fraternel - Paris et le travail créateur, Paris et l'amour de l'écriture" - Ici, il n'en a pas le gout - Il vit seul; sa femme est en France; il a 47 ans; il lui reste une année de contrat - Il voudrait rentrer - "Tout n'est pas rose en France...Mais n'est il pas temps de se retrouver au coude à coude" - Auteur d'un ouvrage sur la Poèsie Concentrationnaire - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
1 page 1/2 in4 - bon état -
Belle lettre sur la gestation de son ouvrage sur la poèsie concentrationnaire paru en 1975 chez Seghers: Il revit depuis qu'il a été nommé à Casablanca - Il a retrouvé son médecin et suit son traitement - Il a "besoin de rattraper ces vingt années perdues" - Un recueil de poèsie va sortir - Il a deux romans en chantier, fréquente les "Amitiés littéraires et poètiques", "bel exemple de fraternité agissante" - Il souhaiterait présenter dans une conférence, "les poètes de la déportation, les poètes assassinés" pour "prouver que lorsque les bêtes nazies avaient anéanti les corps...il demeurait cette chose essentielle, la pensée et son expression majeure, le verbe" - Pour ce projet, il n'a malheuresement pas grand chose... - Auteur d'un ouvrage sur la Poèsie Concentrationnaire - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
Frankfurt am Main, Vittorio Klostermann 1974 xxxii + 570pp., 30cm., copy from the library of the Belgian medievalist Raymond Macken with his signature, in the series "Kataloge der Stadt- und Universitätsbibliothek Frankfurt am Main. Band 3: Die Handschriften der Stadt- und Universitätsbibliothek Frankfurt am Main" vol.2, blind softcover (with vague ink traces), softcover, good condition, R75233
In 12 broché,poèmes.Edition du Temps Présent 1914.Bel envoi manuscrit de Frédéric MISTRAL sur la page de faux-
Belle lettre par laquelle Jules Jean-Baptiste François de Chardebœuf, comte de Pradel accorde un secours à un abbé (monsieur de Barras). en feuilles Bon Paris Jules Jean-Baptiste François de Chardebœuf 1817
édition originale
1 L.A.S. de 2 pages, datée d'Abbeville, le 7 avril 1888, contrecollée sur papier fort avec commentaires manuscrits : [ Lettre adressée à un confrère, il lui transmets l'adresse de M. Dergny à Grandcourt par Londinière, et s'inquiète de son état de santé : ] "J'espère qu'un peu de repos, de ce repos si dur aux gens de lettres, et la bonne saison qui arrive un peu tardivement cette année vous remettront prochainement poète et historien devant votre table" [ ... ]
Né à Abbeville, l'écrivain et historien régional Ernest Prarond (1821-1909) écrivit notamment avec Charles Baudelaire, qu'il avait rencontré lors de ses études à Paris, de 1839 à 1846.
1 page in8 - (on y joint une invitation à diner chez Mario Prax) - bon état -
Il a pu apprécier la qualité des couteaux de son correspondant à la fois comme gourmand ("les carapaces de homard rougissent d'être pénétrées par ces fines lames") et comme auteur dramatique("acteur de mélo") - "Ayant voulu examiner de trop prés votre marque 'le dé à jouer' je me suis coupé le doigt jusqu'à l'os"..."d'ou je conclue..qu'en bonne coutellerie comme en bonne politique, il faut se mettre du coté du manche"...- Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
PRESIDENTIAL AND OTHER AMERICAN MANUSCRIPTS FROM THE Dr. ROBERT SMALL TRUST.
Reference : 1326600
New York, Sotheby's, 3 avril 2008, in-4, bradel toile verte éd. ornée d'une vignette contrecollée sur le plat sup. 224 pp., nombreuses ill. et fac-similés, index. (GA17C)
Catalogue d'exposition, 111 pièces présentées. Texte en anglais.
Lettre de 3 pp. in-8°, datée du juin 1949, à l'entête de La maison de la Bonne Presse, 5 rue Bayard Paris, et de La Croix du Dimanche , Rédaction, 22 Cours Albert-1er Paris.
L'auteur , qui a signé sa lettre du monogramme "E.D." , répond à un lecteur ( M. Raguenet de Saint Albin , de St Cyr en Val, Loiret), qui a envoyé un ensemble de remarques à la Rédaction de la Croix du dimanche. Sont évoqués : le capital, sa source : le travail , l'entreprise et sa place , le rédacteur écrit et souligne " l'entreprise a pris une personnalité et une valeur qui lui sont propres et qui n'ont aucun rapport de grandeur avec les capitaux apportés à l'origine . Or dans sa forme actuelle.. généralement .. capitaliste- l'entreprise revient en toute proprité au capital et aucunement à ceux qui par leur intellignece crétarice, leurs efforts de tous ordres, l'ont cependant faite ce qu'elle est." Suit un long développement sur la rémunération du travail. " Q'est-ce qu'une juste rémunération? "... Puis " vous faites intervenir dans votre lettre " le paradoxe des vendanges". Le seigneur , je crois et cela d'après les exégètes, n'a pas donné dans son Evangile, de solution technique au salaire, ni approuvé au crotiqué le salariat. Il a donné des principes dont les chrétiens, maitres et ouvriers doivent s'inspirer..." et il répond enfin sur le communisme : le devoir des chrétiens est d'établir "une doctrine sociale chrétienne" sous peine de voir "d'indéfinis moratoires contre nous, pour ou contre la vérité , pour ou contre Dieu".Très belle lettre, dense, du rédacteur en chef (?) de la Croix du Dimanche, sur le capital, le travail, l'entreprise, le salariat, le rôle social des chrétiens, en réponse à la lettre d'un lecteur du journal (quelques ratures). ( Cl Gr) Absente du 21 mars au 13 avril inclus, je ne pourrai pas traiter vos commandes durant cette période. Merci pour votre compréhension et votre patience. Cordialement.
Paris, 1886-1890, ca 14 cm x 9 cm, Lettres: 10 et 11 lignes/ cartes: 14, 16 et 17 lignes, écriture mal lisible, bon état.
Edmond de Préssensé: Sénateur français, protestant, philanthrope, mari de Mme de Préssensé, écrivain.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Citta del Vaticano, Biblioteca Apostolica Vaticana 1964 107pp.+ plates out-of-text, in the series "Studi e Testi" vol.230, 25cm., VG
Cagnes-sur-Mer 1959 In-8 En feuilles
Edition originale de ce poème édité à l'occasion de la manifestation à Cagnes-sur-Mer en 1959. Titre et signature en fac-similé du manuscrit de Prévert en couverture, avec un dessin de Picasso, colombe de la paix. Texte typographié, titré Cagnes sur Mer. Plaquette de 8 page de papier vergé ordinaire, avec petites fentes et rousseurs, mais rare. Assez bon 0
[CHAGALL (Marc), IZIS (Bidermanas).] - PREVERT (Jacques).
Reference : 75856
(1965)
Monte-CArlo André Sauret 1965 1 vol. relié in-4, toile éditeur rouge, jaquette illustrée et rhodoïd, 171 pp. Superbe recueil consacré au cirque. Édition originale du texte de Prévert et premier tirage des 76 photographies en noir et blanc d'Izis imprimées en héliogravure. L'ouvrage comprend également 4 compositions originales de Marc Chagall reproduites en couleurs (un frontispice, une sur double page et 2 à pleine page répétées sur la jaquette). Exemplaire enrichi d'une lettre autographe signé du photographe Izis adressée à Raymond Queneau (1 p. in-8, Paris, "18 juillet") : "Depuis bientôt 10 ans je travaille à un album Cirque. J'ai attendu pour vous en parler d'avoir la certitude de pouvoir le réaliser tel que je le vois, et au format voulu. Monsieur Sauret (l'éditeur de Regards sur Paris) est d'accord sur le tout et nous souhaitons ardemment vous montrer la maquette. Aurai-je le plaisir de vous voir ?". En parfaite condition.
1 vol. in-8 cartonnage à l'italienne, avec 19 ff. calligraphiés, s.d.
Charmant manuscrit calligraphié à l'aquarelle reprenant le poème de Prévert. De la bibliothèque d'Odet Reboul (1920-2018) qui fut notamment le réalisateur du "Pauvre Matelot", film de marionnettes d'après le texte de Jean Cocteau.
1 page et demie in-12 sur papier deuil (adresse imprimée du 49, rue vineuse, "22 juin") et 1 page in-8 "Christiania", 28 août). Il se donne un délai pour transmettre une réponse définitive mais assure : "personne, j'en prends l'engagement, ne sera nommé à la place qu'on a réservée". Dans la seconde lettre, il le remercie de sa contribution. On joint : un carte-lettre autographe signée (Paris, 15 avril 1913) concernant une pièce dont il parlera dans la Revue de Paris ; une carte de visite autographe (mot de remerciement).
Manuscrit de 25 feuillets autographes (17,7x22,5 cm et 11,8x18,5 cm) d'une écriture bien lisible, à l'encre, recto seul, signé d'Anatole Prevost-Paradol, daté du 03 octobre 1862 - bon état -
Anatole Prevost-Paradol (1829-1870) est le fils de Léon Halévy et le demi-frère cadet de Ludovic Halévy. Après de brillantes études à l’Ecole normale, il se distingue très tôt comme journaliste politique et critique littéraire au Journal des débats dès 1856. Libéral, il s'oppose d'abord au Second Empire. A 36 ans, il est élu à l'Académie française. Cette rapide ascension dans la carrière littéraire se verra brutalement interrompue par une suite de déceptions liées à son engagement politique. Il met fin à ses jours en juillet 1870, à Washington où il est vient d’être nommé ambassadeur.
Manuscrit de 9 feuillets autographes (17,7x22,5 cm et 11,8x18,5 cm) d'une écriture bien lisible à l'encre, recto seul, signé d'Anatole Prevost-Paradol, daté du 2 mai 1966 - bon état -
Anatole Prevost-Paradol (1829-1870) est le fils de Léon Halévy et le demi-frère cadet de Ludovic Halévy. Après de brillantes études à l’Ecole normale, il se distingue très tôt comme journaliste politique et critique littéraire au Journal des débats dès 1856. Libéral, il s'oppose d'abord au Second Empire. A 36 ans, il est élu à l'Académie française. Cette rapide ascension dans la carrière littéraire se verra brutalement interrompue par une suite de déceptions liées à son engagement politique. Il met fin à ses jours en juillet 1870, à Washington où il est vient d’être nommé ambassadeur.
PREVOST-PARADOL (Anatole) - (Jean-Baptiste Lacordaire) - (Comte de Falloux) -
Reference : 31110
manuscrit de 12 feuillets autographes (17,7x22,5 cm) d'une écriture bien lisible, à l'encre, recto seul, signé d'Anatole Prévost-Paradol, daté du 29 septembre 1864 - bon état -
Anatole Prévost-Paradol (1829-1870) est le fils de Léon Halévy et le demi-frère cadet de Ludovic Halévy. Après de brillantes études à l’Ecole normale, il se distingue très tôt comme journaliste politique et critique littéraire au Journal des débats dès 1856. Libéral, il s'oppose d'abord au Second Empire. A 36 ans, il est élu à l'Académie française. Cette rapide ascension dans la carrière littéraire se verra brutalement interrompue par une suite de déceptions liées à son engagement politique. Il met fin à ses jours en juillet 1870, à Washington où il est vient d’être nommé ambassadeur.
Reconnaissance en assemblée de magistrats à la cour de Revin d’un acte de donation du Prince de CHIMAY en faveur de Marie Magdeleine d’Egmont fille du Prince de GAURE sa future, des terres de FUMAY et de REVIN et d’u revenu annuel de 6000 florins si des enfants naissaient de leur mariage. Manuscrit sur peau de vélin 440x340mm daté 1613 Quatre sceaux ( Il semble en manquer un quatrième)