‎Lettre autographe signée‎

‎Lettre autographe signée datée 25 novembre 1934 En feuille, avec enveloppe. Très bon Paris 1934 ‎

‎L'Ombre Invisible. Poèmes‎

‎ 1923 P., Edition de la Douce France, 1923, in-12, 222pp., avec un envoi autographe de l'auteur à Henriette Willette; rare,bon état.‎

‎Henriette Willette, poètesse française proche des milieux littéraires lesbiens,soeur d'Adolphe Willette. ‎

‎Lettre autographe signée adressée à Jules Claretie. ‎

‎ 1 page un quart in-12, à son adresse imprimée du "65 rue d'Alésia", s.d. A propos de sa pièce Le Sortilège écrite en collaboration avec Gabriel Vicaire: "Elle n'a pas été publiée en librairie. C'est donc une chose à peu près inédite. Elle dormait dans mes cartons d'un sommeil que j'ai peut-être tort d'interrompre (...) Enfin, mon cher Maître, voulez-vous avoir la bonté d'y jeter un coup d'oeil ?". ‎

‎Lettres autographes signées‎

‎Charles LE GOFFIC (1863-1932) poète et romancier breton. Lettre autographe signée, datée de Paris 1930. Il répond à Fernand Laplaud à propos de l'hommage que ce dernier devait rendre à Pierre Loti. En feuille Très bon Paris 1930 ‎

‎Réunion de trois billets autographes signés adressés à Jules Claretie. ‎

‎ 1 demi-page in-12, un carte et une carte de visite (à son adresse imprimée du "14 rue Saint-Marc", s.d.). Une demande de loge, une invitation à dîner et un courrier qu'il transmet. ‎

‎Les paroles d’un croyant de LAMENNAIS frontispice, titre, X 292 pages, 1 feuillet de table Armand Colin 1949 transfert de colle (d’une ancienne couverture) aux angles de la page de faux-titre et de la table des matières. Sinon bon exemplaire.‎

‎texte publié sur le manuscrit autographe avec des variantes,une introduction et un commentaire Thèse complémentaire pour le doctorat ès lettres présentée à la faculté des lettres de l’université de Paris.In 8 broché, faux-titre,un portrait en frontispice,titre,X 292 pages,1 feuillet de table Armand Colin 1949 transfert de colle (d’une ancienne couverture)aux angles de la page de faux-titre et de la table des matières.Sinon bon exemplaire.‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Lucienne Salacrou‎

‎Clermont-Ferrand 19 septembre 1975, 14,7x10,3cm, une carte postale.‎

‎Carte postale autographe signée de Michel Leiris et son épouseLouise Godon (surnommée "Zette") adressée à Lucienne Salacrou, épouse de l'écrivain Armand Salacrou. Treize lignes (10 de la main de Zette et 3 de celle de Michel) rédigées au stylo bille bleu au dos d'une vue en noir et blanc des Absides de Clermont-Ferrand. Un petit accroc en marge haute du recto, sans grande gravité. Michel Leiris a fait la connaissance des époux Salacrou à la galerie Kahnweiler. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Le Point cardinal‎

‎Paris Editions du Sagittaire 1927 In-12 Broché Edition originale ‎

‎Edition originale publiée dans la collection "Les Cahiers nouveaux", dont c'est le trente-cinquième titre. En frontispice, fragment du manuscrit de Leiris. Tirage à 775 exemplaires numérotés. Un des 750 sur vélin de Rives. Très bon 0‎

‎Alberto Giacometti. ‎

‎ Paris : Maeght, 1978. Un volume 21,5x21,8cm cartonné sous jaquette illustrée en couleurs, 211 pages illustrées de 24 planches en couleurs et 131 reproductions en noir et blanc. In-fine biographie et bibliographie détaillées. Bon état. Edition originale. Joint, manuscrit autographe de la main de Michel Leiris, sur feuillet 10x15cm recto-verso, à l'encre. Brouillon de réponses à des questions posées probablement par le critique littéraire André Marissel, suite à la sortie du livre. Leiris évoque sa première rencontre avec Alberto Giacometti, la «rupture» entre les deux, la mort d'une connaissance, Maurice Nadeau et les prix littéraires. ‎

‎Précieux document témoignant du travail d'écriture tout en pattes de mouche et en biffures : "Cher (?)Je reponds tout de suite à vos deux questions, ou tout au moins en (…) vraisemblable.1. il est probable que je suis allé pour la première fois à l'atelier d'Alberto afin de voir les sculptures (dont il était convenu que je publierai dans)Documents. Mais ce qui est certain, c'est que je le connaissais déjà, par Masson et je suis sûr que c'est au 45 rue Blomet que la rencontre à eu lieu. Impossible malheureusement de vous indiquer les dates.2. Il n'y a jamais eu à proprement parler de rupture entre Alberto et moi. J'était en Afrique quand il est devenu surréaliste, ce que je n'étais (…)Cher (André ?)Je pense en effet que la mort de (Walter) a du être pour vous une forte secousse. Moi même qui ne le voyais pour ainsi dire jamais, j'ai été très ému. L'on m'a dit que Louise ne restera pas en France. Pour nous, je souhaite que cela ne soit qu'un faux bruit.Ce matin, j'ai pu avoir Nadeau au téléphone et il est tout à fait d'accord pour publier un extrait de la préface. Etant très amicalement lié avec lui, j'ai jugé qu'il aurait été déplacé de passer par (?) lequel, est au demeurant fort gentil d'avoir songé à s'entremettre. Merci de vos mots toujours si affectueux et croyez à mon amitié.M'ayant lu, vous devez savoir que je n'attache guère d'importance aux prix littéraires. Je (…) pourtant quelque importance au fait de vous faire (à ce que vous sachiez) aussi que je suis heureux (…) que savoir un livre nous a valu un prix. Voilà qui est fait. Avec sincère amitié." ‎

‎Journal (23 avril 1914-26 juillet 1915)‎

‎Vers Malte 1914-1915 [80] cahiers de [2] ff. (205 x 150 mm) - [3] ff. (205 x 150 mm) + [8] cahiers de [2] ff (350 x 210 mm) + [16] ff. (151 x 100 mm) + [11] cahiers de [2] ff. (310 x 205 mm) + [17] ff. de formats divers‎

‎Le journal méticuleusement tenu d'un commissaire de la Marine à bord des cuirassés "Vérité" et "Paris" Le journal inédit tenu par Louis Alexandre Auguste Lelaidier entre le 23 avril et le 9 juin 1914 et du 15 novembre 1914 au 26 juillet 1915, alors qu'il exerçait comme commissaire à bord des cuirassés « Vérité » puis « Paris » dans le cadre du blocus de l'armée austro-hongroise en mer Adriatique. Il relate notamment les suites de l'attaque du « Jean Bart », torpillé par un sous-marin autrichien le 21 décembre 1914. Ces notes, par leur fourmillement de détails, fournissent quantité de données précieuses sur les événements de la Grande Guerre ; mais elles traduisent également toute la confusion qui règne au sein de l'escadre : les déplacements des navires s'apprennent au hasard des conversations ; les nouvelles du front sont contradictoires. Angoissé pour son fils qui combat dans les tranchées, Lelaidier consacre une grande partie de son temps à la « douce et amère occupation de l'enregistrement et analyse de [s]es correspondances familiales » (01/12/ 1914), qu'il copie minutieusement. Cette attente est pour Lelaidier la source d'une grande détresse : « L'idée de cette guerre qui n'en finit pas me lancine plus que d'ordinaire : l'impression que les anglais n'en souffrent pas assez pour qu'ils s'efforcent de l'abréger me domine, et l'horreur que ce peuple de marchands n'en profite au contraire finit par me pénétrer. » Stationné dans le port de La Valette, il parcourt la ville et en donne de scrupuleuses descriptions. Ces déambulations lui donnent l'occasion de fuir ses collègues, qu'il n'estime que peu (« Loizeau et Monge, celui-là un couillon et celui-ci un fourbe et un poseur, le premier tondu de naissance et le second par goût et par application » [26/06/1915]) ; c'est, suppose Lelaidier, la jalousie qui motive leur antipathie : l'apparition du nom du commissaire sur un tableau d'honneur le 27 juin 1915 devient en effet la cause de quelques conflits. Après bien des difficultés (personne n'étant disponible pour le remplacer à bord du « Paris »), Lelaidier obtient, pour des raisons de santé, un repos d'un moisévénement qui marque la fin du journal. Lelaidier apporte à ses notes un soin méticuleux qui force l'admiration : en plus de rendre compte des événements de la journée et de ses impressions, le commissaire consigne les températures, ses lectures, l'heure de son réveil, son alimentation, son traitement médicamenteux, toute douleur ou symptôme de maladie, sa toilette, et encore d'autres détails plus intimes pudiquement encryptés par des lettres grecques L'ensemble comprend également : 8 cahiers de 2 ff. d'analyses de ses correspondances, 16 ff. d'un journal allant du 21 mai 1931 au 31 mai 1931, 17 ff. de formats divers Louis Alexandre Auguste Lelaidier fut décoré de la légion d'honneur en 1918 à Bizerte. ‎

‎"""Le Livre Enchaîné"" ou Livre des Fontaines de Rouen (Manuscrit de la Bibliothèque de Rouen)"‎

‎ Reliure baguette 1998 In-4 (21 x 29,7 cm), reliure baguette, 59 pages, d'après la transcription de Victor Sanson, sans mention d'éditeur, avec des reproductions en couleurs des pages du manuscrit ; très bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎

‎Le Livre des Sonnets. Dix dizains de sonnets choisis.‎

‎ Paris, Alphonse Lemerre, 1874 ; in-12° , demi-maroquin vert à coins, filet doré soulignant mors et coins, dos lisse orné en long de deux rectangles inégaux de 2 listels de basane fauve cernés de filet doré, le grand rectangle est orné en son centre d'un fer floral doré le long, 3 fleurons dorés mosaiqué de basane brune, titre doré sur étiquette de basane fauve, couverture et dos conservés, tête dorée ( B. Roger relieur) ; (4), (XXXV), (III),156pp., (2)ff.Texte encadré d'un filet rouge à chaque page. Les pages 48-49 sont jaunies ( en raison d'un papier ayant séjourné entre les 2 pages), très rares piqûres, la couverture conservée est un peu jaunie, bon exemplaire bien relié.‎

‎Choix effectué parmi les meilleurs sonnets de la poésie française du XVIe au XIXe siècle, Ronsard, Du Bellay, de Baif, Malherbe, Leconte de Lisle, Hérédia, Nerval, Baudelaire, etc..On a joint un sonnet manuscrit (14 vers) , pastiche du célèbre sonnet d'Arvers sur Marie Menessier - Nodier (cf. Sonnet imité de l' italien , p. 59). Ce manuscrit autographe d' 1 page in-8° à l'encre noire " Sur une pauvre petite machine à écrire" , du 20-12-19, est donné à Romain Laveille, par une main anonyme,au crayon, au bas de la feuille. Sur une autre feuille , in-12°, imprimée à l'entête de Hippolyte Savary, Vice-Président de la Haute-Cour, le sonnet est donné à ce dernier à la date du 30 juin 1898. (CO1) ‎

‎Lettre autographe signée à Eugène Lelong - 4 pages in8 + carte photo signée la représentant - En-tête de l'hotel Wellington à Chicago - le 8 mars 1905 -‎

‎ Tendre lettre à son mari - "nos lettres mettent plus de 13 jours avant de nous parvenir"..."La ville de Chicago est très jolie mais il fait très cher vivre ainsi" (sic) - Elle donne ensuite le détail de sa tournée de Chicago à San Francisco en passant par Saint Louis, Indianapolis, Cincinnati, New Orléans, Omaha, et Minneapolis de mars à mai 1905 -‎

‎[En tant que bien culturel de catégorie 8, (décret no 93-124 du 29 janvier 1993), cet article ne peut être vendu sans formalité que dans la Communauté Européenne ]- Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

‎Arden‎

‎Paris Librairie du Luxembourg 1933 In-4 Broché, couv. rempliée Ed. originale ‎

‎Edition originale. Tirage à 285 exemplaires. Un des 45 numérotés sur pur fil Lafuma, second papier, celui-ci portant sur le premier feuillet blanc un envoi autographe signé et daté 1936 «A Monsieur R.-H. Monceaux Qui se rappellerait tous ses rêves pourrait vivre sans travailler Son ami».Dans une lettre datée du 8 mars 1933, André Breton écrit à Gilbert Lely : «Naturellement je serais très heureux que vous placiez ces lignes de moi en tête de "Troïlus" et je vous remercie de tout coeur d'avoir eu cette pensée. J'aime infiniment ces poèmes et tiendrais vivement à publier quelques-uns dans Le Surréalisme». L'auteur de Nadja évoquait le manuscrit de ce qui deviendra Arden, en exergue duquel Lely plaça finalement une phrase d'Eluard et Breton. Très bon exemplaire 0‎

‎Le Rebelle.‎

‎CHEZ L'AUTEUR. 1960. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 15 pages. Manuscrit original écrit à l'encre de stylo plume.. . . . Classification Dewey : 91-Manuscrits‎

‎Envoi de l'auteur. Ecrivain de Latresne (33). Classification Dewey : 91-Manuscrits‎

‎Restauration d’un portrait. ‎

‎Lettre manuscrite a. s. adressée à une dame, 3 pp. écrites à l’encre noire sur double feuille de papier à lettre (11,2/18 cm). « Château de Réveillon, Marne, Madame, Certainement je n’ai pas oublié votre mari et votre famille, qui avait été une des premières à m’encourager dans ma peinture. Je me rappelle votre mère, si charmante et vous-même, sainte jeune fille. L’accident arrivé au portrait de madame votre mère est sans doute très réparable et dans ce cas assez fréquent j’’ai toujours confié les tableaux détériorés à Mr Mary, mon marchand de toiles et de couleurs, qui est un homme soigneux et adroit qui habite 26 rue Chaptal, au rez de chaussée. Vous n’avez qu’à aller le trouver de ma part et il vous fera certainement très bien cette restauration . Si un petit raccord était nécessaire, je vous le ferais volontiers et je reverrais avec plaisir cette œuvre de ma jeunesse. Croyez, Madame, à mon meilleure souvenir. Madeleine Lemaire. » ‎

‎Un délai. ‎

‎Lettre manuscrite a. s., destinataire inconnu, 3 pp. écrites à l’encre noire sur double feuille de papier à lettre (11,4/17,8 cm). « Vendredi, Monsieur, Depuis que j’ai reçu votre visite j’ai beaucoup travaillé et cependant j’ai bien peur de n’avoir pas fini pour dimanche. J’ai mis plusieurs aquarelles contraires et je préfèrerais ne vous les montrer que terminées. Pouvez-vous me donner encore deux ou trois jours ? Je pense avoir fini jeudi prochain. Si vous voulez bien remettre votre visite à ce jour ou au dimanche suivant (si vous n’êtes libre que ce jour-là), je vous en serais très reconnaissante. Si au contraire vous êtes assez aimable pour venir me voir quand même, vous me trouverez toujours, même le jour de Noël, ce qui m’arrangerait encore mieux que le dimanche que vous m’avez fixé parce que cela me donnerait toujours un jour de plus. Si par hasard vous teniez à avoir votre aquarelle pour la fin de l’année, veuillez m’écrire un mot et je m’arrangerai pour en terminer une. Mais je tiens à ce que vous soyez content et je travaille avec le plus grand soin dans ce but. Veuillez donc, Monsieur, excuser ce nouveau retard, qui sera le dernier et croyez à mes sentiments de considération distingués. Madeleine Lemaire. »‎

‎Miniatuur en verluchten van handschriften‎

‎Leuven, Reeckmans s.d. 89pp.met 28 platen (waarvan 1 ingekleefd bidprentje in kleur), 22cm.‎

‎Manuscrits du Chapître et de l'Evêché de Rodez. Manuscrits conservés aux Archives Départementales et à l'Evêché ‎

‎ Rodez Rodez 1985, In-4 broché, 137 pages + 20 planches de reproductions de documents. Très bon état.‎

‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

‎1853 - 1914. Académie française en 1895. L.A.S. ‎

‎Mai 1907 ‎

‎La Vieillesse d'Hélène. Nouveaux contes en marge. ‎

‎ — Paris : Calmann-Lévy (impr. L. Pochy), [1914]. Fort in-12, 181 x 113 : (2 ff.), 283 pp. ; couverture imprimée. – Maroquin rouge, dos à nerfs orné de filets à froid, plats doublés de maroquin bleu marine serti d’un filet doré, tranches dorées, couverture et dos conservés (Marius Michel). ‎

‎Édition originale de ce recueil de contes formant la troisième et dernière série des Contes en marge des vieux livres.Tirage de tête limité à 110 exemplaires, celui-ci étant l’un des 40 sur Japon impérial (n°19). Il est enrichi de deux feuillets manuscrits autographes de l’auteur, montés sur onglets en tout début d’ouvrage, portant cette dédicace : « Pour le bibliophile Louis Barthou. Jules Lemaitre. 21 octobre 1913. » Il s’agit du manuscrit d’un texte intitulé En marge de La Fontaine – Le Cilice, publié dans le Figaro le 31 juillet 1913, qui revient sur un aspect peu connu de la vie du grand fabuliste. Suite à la conversion brutale de son amie Madame de La Sablière, La Fontaine, alors au crépuscule de sa vie se détourne de la sagesse pour assouvir ses penchants libertins. Jules Lemaître explique que pour le protéger de lui-même Madame de La Sablière le menace de s’imposer à elle-même le supplice du cilice afin d’expier ses péchés à lui ! « L’accent de sa voix, l’éclat de ses yeux dans les demi-ténèbres, l’idée qu’elle allait souffrir dans sa tendre chair à cause de lui, tout cela émut tellement La Fontaine, qu’il se mit à pleurer. » Lors de la toilette mortuaire de La Fontaine on découvrit sous son vêtement un cilice, qu’il portait depuis un certain temps déjà !Très bel exemplaire dans une reliure parfaitement établie par Marius Michel.Provenance : de la bibliothèque de Louis Barthou de l’Académie française, avec son ex-libris. Bibliothèque Louis Barthou III, 1321.Bibliographie : Talvart et Place XII, 139, n°44. ‎

‎Le Manuscrit Autographe N° 18 : Lettre à M. de Béthune (Honoré de BALZAC) - Edgar Allan Poë (John ERSKINE) - Riposte à Eulalie (André FONTAINAS) - Entr'acte des 3e et 4e actes de Siegfried. Scènes inédites (GIRAUDOUX) - Le Drame de la Passion (Armand GODOY) - Poèmes inédits colligés par Pierre Louys (José-Maria de HEREDIA) - Avec Derain, Auriant, Canu, Serskine, Lochac, etc...‎

‎ 1928 N° 18 - Troisième année - Novembre / Décembre 1928 - A Paris, Auguste Blaizot & Fils, Libraires-Éditeurs - Revue bimestrielle - In-4, broché - 178 pages‎

‎Bon état - Menus frottements sur la couverture - Bords de la couverture frottés ‎

‎Le Manuscrit Autographe N° 19 : La Fiancée et la tombe, conte fantastique inédit. La dernière heure, conte philosophique inédit (Gustave FLAUBERT) - Nouveaux trophées. La Grèce et la Sicile (José-Maria de HEREDIA) - Routes au soleil, poèmes inédits (John-Antoine NAU) - Côté d'Azur, poème (Théo VARLET) - Lithographie originale réservée aux abonnées (Maurice DENIS) - Avec Royère, Auriant, Calderon, Gandon, Mauclair, etc...‎

‎ 1929 N° 19 - Quatrième année - Janvier / Février 1929 - A Paris, Auguste Blaizot & Fils, Libraires-Éditeurs - Revue bimestrielle - In-4, broché - 100 pages - Avec une planche illustrée (Maurice DENIS) hors texte réservée aux abonnés‎

‎Bon état - Menus frottements sur la couverture - Bords de la couverture frottés - Avec une planche illustrée par Maurice Denis, hors texte, réservée aux abonnés ‎

‎Le Manuscrit Autographe N° 20 : En marge des Nuits (Louis BARTHOU) - Lettre sur le Quiétisme (BOSSUET) - Poésies (Paul BOUJU) - Bouts de papier (Valery LARBAUD) - Journal intime, suite (Pierre LOUYS) - Avec Jean Royère, Chatot, Godoy, Johannès, etc...‎

‎ 1929 N° 20 - Quatrième année - Mars / Avril 1929 - A Paris, Auguste Blaizot & Fils, Libraires-Éditeurs - Revue bimestrielle - In-4, broché - 124 pages‎

‎Bon état - Menus frottements sur la couverture - Bords de la couverture légèrement frottés ‎

‎Le Manuscrit Autographe N° 22 : Autographes musicaux. I. Finale de la IXe symphonie. II. Sonata appassionata, op. 57. 1804. III. Morceau dédié au violoniste français Alexandre-Jean Boucher, 29 avril 1882 IV. Drei Gesunge von Goethe, op. 83 Trocknet nicht (BEETHOVEN) - 9 poèmes des Crépuscules du Matin (Hernan de BENGOECHEA) - Lettre à Jean Royère. La Chanson de Roland (FAGUS) - Cogitation (André GIDE) - Les Nouveaux Trophées, suite (J.-M. de HEREDIA) - Les Méconnus (J.-H. ROSNY Aîné) - Avec Royère, Chantavoine, Guiberteau, Imbert, etc...‎

‎ 1929 N° 22 - Quatrième année - Juillet / Aout 1929 - A Paris, Auguste Blaizot & Fils, Libraires-Éditeurs - Revue bimestrielle - In-4, broché - 111 pages‎

‎Bon état - Menus frottements sur la couverture - Bords de la couverture légèrement frottés - Petite inscription au stylo en haut de la première de couverture ‎