Previous 1 ... 168 169 170 171 ... 214 257 300 343 ... 346 Next Exact page number ? OK

‎HOUDELOT Robert‎

Reference : 1920

‎Les cantiques de Roméo. ‎

‎in 12 broché,faux-titre,titre,92 pages,édition Eugène Figuière à l’enseigne des deux figuiers collection les anthologies du XXème siècle.Sans date envoi manuscrit tirage sur alfa limité à 20 exemplaires(n°9) ‎


Charbonnel - Bar le Duc

Phone number : 03 29 79 40 63

EUR80.00 (€80.00 )

‎HOUSSAYE Arsène‎

Reference : 16893

‎Lettre Autographe Signée d'Arsène Houssaye.‎

‎Lettre Autographe Signée d'Arsène Houssaye à en-tête de la Revue de Paris (l'Artiste), dont il fut directeur à partir de 1843. Lettre adressée à Bocage (1799-1862), acteur, puis directeur du Théâtre de l'Odéon.1 page format in-8°(21x14) sous chemise biographique. Très bon état.-De l'ancienne collection A. Baron, assureur, puis syndic-liquidateur à Bourges.Arsène Houssaye, de son vrai nom Arsène Housset, né le 28 mars 1815 à Bruyères-et-Montbérault, mort le 26 février 1896 à Paris est un homme de lettres français. Il est également connu sous le pseudonyme d'Alfred Mousse. Il a dirigé le quotidien populaire La Presse. Baudelaire lui a dédié les poèmes en prose du Spleen de Paris. En 1848, il participe au mouvement réformateur qui précède la révolution. De 1849 à 1856, il est nommé administrateur général de la Comédie-Française, où il fait entrer les pièces de Victor Hugo, d'Alexandre Dumas père, d'Alfred de Musset de François Ponsard ou de Léon Gozlan.‎


Phone number : 09 67 04 07 48

EUR144.00 (€144.00 )

‎HOUSSAYE (Arsène)‎

Reference : 16740

‎Poème autographe signé : "À Victor Hugo"‎

‎ S.l. [Paris], 26 février 1882. 1 p. sur 1 f. in-4 (déchirures marginales, petites rousseurs) ‎


‎Poème autographe signé sous le pseudonyme d'Octave de Parisis et dédié à Victor Hugo "celui qui a quatre fois vingt ans" et dont leur auteur précise qu'il a été écrit chez le poète. L'auteur est Arsène Houssaye qui a choisi le nom d'un des personnages de son roman Les Grandes Dames (Dentu, 1874) pour le signer. Il envoie ce poème à Philippe Javel, imprimeur à Arbois mais surtout rédacteur de l'Écho (mal orthographié par Houssaye en Échos) du Jura dans lequel il lui demande de les publier ses vers. Long poème de 18 vers à la gloire du poète qui est à cette époque rentré de l'exil, élu au Sénat et dont la réputation littéraire n'est plus à faire. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve. ‎

Phone number : 09 78 81 38 22

EUR180.00 (€180.00 )

‎HOUSSAYE Henri‎

Reference : 4739

‎Carte postale photo signée. ‎


EUR15.00 (€15.00 )

‎HOUSSAYE, Henry‎

Reference : 54142

(1945)

‎France. Tragédie en Cinq Actes [ Tapuscrit inédit signé par l'auteur ]‎

‎1 tapuscrit d'époque, Henry Houssaye, 24 Place Malesherbes, Paris 17e, s.d. [ circa 1945 ], 30-53-42-32 pp.‎


‎Fils du directeur de l'agence Havas Charles Houssaye, Henri Houssaye (1912-1970) fit partie du conseil de rédaction de la revue La Nouvelle Saison, avec Barjavel ou Jean-Louis Barrault. En 1945, il publia un roman "Lolita" deux ans avant Vladimir Nabokov. Dans le tapuscrit manifestement inédit de cette pièce de théâtre en cinq actes, Henry Houssaye évoque la résistance et les "partisans" en Normandie, chaque acte évoquant une année, de 1940 à 1944. Le tapuscrit est signé et corrigé en de rares endroits. Etat satisfaisant (brochage de toile goudronné très modeste, bon état par ailleurs)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR650.00 (€650.00 )

‎HOUSSAYE (Henry).‎

Reference : 50916

(1867)

‎Histoire d'Apelles. Etudes sur l'art grec.‎

‎Paris Didier 1867 1 vol. broché in-8, broché, 448 + (26) pp. Edition originale du premier livre de l'auteur, monographie consacrée au peintre grec du IVème siècle, ornée d'une gravure en frontispice représentant sa Kypris Anadiomène. Exemplaire enrichi d'un envoi et d'une belle lettre autographe signée de l'auteur. Couverture légèrement défraîchie. Rousseurs éparses. Bon état.‎


Vignes Online - Eymoutiers
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 55 14 44 53

EUR150.00 (€150.00 )

‎HOUVILLE Gérard d’‎

Reference : 4740

EUR50.00 (€50.00 )

‎HOUVILLE (Gérard d’, pseudonyme de Marie de Régnier). ‎

Reference : AWD-872

‎Les Arbres. ‎

‎Manuscrit autographe intégral d’un superbe texte rédigé en prose, titré au début et signé à la fin, 12 ff. inscrits au recto à l’encre noire, arrachés d’un bloc d’un cahier et paginés en haut à droite (18/23,2 cm). « Les Arbres. J’ai sur ma table un petit livre qui s’appelle ‘Aimons les arbres’. C’est un recueil de morceaux choisis à l’usage de la jeunesse des enfants que Monsieur Louis Piérard a publié avec une fort belle préface de Verhaeren. Ce livre est destiné à apprendre aux enfants à aimer et admirer la nature, à chérir, à respecter les plantes, les fleurs et les arbres. Or combien de grandes personnes XX ! à combien d’impitoyables coupeurs de futaies ne pourrait-on pas l’adresser ! Je doute cependant qu’il intéresse ceux-là qui n’aiment pas déjà les ombrages, les frondaisons mouvantes et profondes, les feuillages amis ; ce livre ne les convertira pas tous et sera peut-être repoussé par eux, cependant que tous ceux-là qui n’auraient pas eu besoin de lui pour comprendre la beauté des chênes, des châtaigniers, des ormeaux ou des sycomores liront et reliront avec le plus vif plaisir les pages de vers ou de prose sur lesquelles semble se balancer l’ombre imaginaire et changeante d’un bienveillant rameau. Nous trouvons dans ce petit livre tour à tour de belles phrases nourries et rythmée de M. Barrès, des stances pompeuses et mélancoliques de M. Moréas, le beau sonnet de J. M. de Heredia ‘Le Dieu Hêtre’ et des vers de Vigny, de Verhaeren, d’Hugo, de Mikhaël, de Verlaine et de Lamartine, du vieux et cher Ronsard, de Du Bellay, de Signoret et d’Henri de Régnier sans oublier ce murmurant et triste long poème de Dierx ‘Les Filaos’. Nous y trouvons des fragments de prose de Jules Renard et de Lamartine, de Chateaubriand et de Ch. Maurras, de Michelet et de Maeterlinck, de Mme de Sévigné et de Colette Willy, de Taine et de Marcel Boulanger, de P. Loti et de J. L. Vaudoyer. On le voit ce petit bouquin est d’un éclectisme qui ne le rend que plus varié et plus agréable à lire. Je regrette néanmoins qu’à côté du Faune mort de Gilbert de Voisins on n’ait pas ajouté la description du grand cèdre que l’on trouve dans son dernier roman, ce ‘Bar de la Fourche’ si farouchement, si simplement horrible et beau. Je regrette aussi que l’on n’ait pas cité quelques pages d’Henri de Régnier sur Versailles à l’automne ‘la Semaine des arbres’ et enfin que Monsieur Piérard, duquel nous lisons au cours de ce volume, des lignes touchantes ou utiles n’ait pas eu l’idée de nous donner la triple description de la forêt de Fontainebleau faite par Taine dans le cours de sa correspondance, par Flaubert dans l’Éducation sentimentale, par Goncourt dans Manette Salomon. Enfin, puisque nous trouvons quelques pages de XXX, pourquoi ne pas nous offrir aussi cette étonnante description de l’allée de chênes de Cedric de Motherwood dont Walter Scott au commencement d’Ivanhoé étend la splendeur sombre, mystérieuse et touffue, et sous l’épaisseur secrète et verdoyante de laquelle les songes adolescents ont si souvent erré ? Et il doit y avoir encore bien d’autres descriptions végétales et forestières que je ne connais pas ou desquelles en cet instant je ne me souviens pas. Elles pourraient composer un second volume de cette anthologie, et on pourrait peut-être plus tard en faire une nouvelle et grande édition, illustrée par des reproductions de tous ces tableaux célèbres dont les personnage s sont des arbres plus ou moins illustres, toujours beaux. Dans notre mémoire fidèle ne gardons-nous pas avec le souvenir de nos amitiés les plus chers, celui des beaux paysages, des fleurs délicieuses, des nobles arbres que nous avons vus, admirés, aimés ? Le foisonnement des hauts peupliers bordant un canal monotone ne s’est-il pas mêlé à quelque douce ou mélancolique rêverie, ou à quelque causerie lente et mesurée comme cette eau longée d’un pas égal ? Quand nous retrouvons au fond de nous cette heure lointaine, la couleur du ciel et son reflet dans le canal étroit et la silhouette des peupliers et leur bruissant murmure y sont liés indissociablement. Aussi, tout au long de notre vie, le souvenir des êtres, des évènements, heureux, familiers ou tristes est pour toujours étroitement mêlé à celui des lieux où nous avons passé ou vécu, des jardins et des demeures que nous avons habitées, des sites que nous avons traversés et qui nous ont ému autant que certains visages vivants ou que certains tableaux immortels. Quand nous songeons à nos voyages, ne repensons-nous pas autant qu’aux monuments, aux palais, aux statues, aux fresques, aux trésors divers des villes et des musées, à certains aspects de la nature qui se sont alors pour toujours imprimés en nous ? Grandes landes bretonnes Hauts pins maritimes, dressant sur le ciel et sur la mer votre stature robuste à la cime élargie, vous êtes pour toujours dans ma mémoire et vous marquez les étapes de mes rêves unis et fleuris d’enfant comme vous marquiez celles de la longue promenade à travers les landes bretonnes… Beaux bois de Douarnenez, si profonds et si verts, descendez-vous toujours de branches en branches jusqu’à la baie courbe harmonieuse de la mer paisible ? Vallées de Penmarc’h, a-t-on respecté vos séculaires ombrages sous lesquels s’abritait le granit gris des croix ? Au fond du plus lointain de mes souvenances enfantines, quelques vieux arbres étendent leurs rameaux divers : c’était dans le grand jardin d’une vieille maison quelconque louée pour l’été. Ces trois arbres m’enivraient. Il y avait d’abord un sophora dont les branches retombaient jusqu’à terre, formant ainsi une sorte de tonnelle naturelle sous laquelle je passais de longs moments comme dans une petite maison verte, une cabane sauvage, et où l’on imaginait sans efforts les plus belles aventures. L’autre était un catalpa : ses larges feuilles me plaisaient et surtout son tronc sonore ; le troisième était un sycomore admirable, dont la robe d’automne fut vraiment royale et dont je ramassais les feuilles tombées pour faire des bouquets éclatants. Un immense chêne de la forêt de Marly, si vénérable, si noueux, au tronc colossal et couvert de mousse, et sous lequel on nous mena quelque fois goûter, partage avec ces arbres mes premières prédilections. A chaque fois que je relis ou me répète cette phrase des ‘Caprices de Marianne’ : ‘ A dieu les longs soupers à l’ombre des forêts…’ je pense au chêne de la forêt de Marly, à la mousse veloutée, aux flancs enflés du panier rempli de choses succulentes, à tout ce qui paraît meilleur, plus étonnant et plus savoureux parce que l’on est petit. Et je pense à vous chaque fois que ma pensée vagabonde à travers mes anciens voyages, citronniers de Capri luisants et parfumés, oliviers de Tivoli qui cachez dans vos tenues des sylvains tourmentés et de souples dryades, et à mes cyprès séculaires de la villa d’Este et du jardin Giusti, aigus comme des dagues noires, à vous cyprès des cimetières turcs, cyprès d’Eyoub et de Scutari, effilés comme de longs pinceaux, prêts à tracer des épitaphes. Je pense aux ‘chênes vivants’ de la Nouvelle Orléans, aux chevelures des longues mousses s’emmêlant aux lianes et aux branches dans ses humides forêts, à vous platanes démesurés qui dans Brousse la sainte abritez les mosquées turbes, à vous grands camélias du cimetière anglais de XX, qui effeuillez sur les tombes vos fleurs blanches et framboisées et qui mêlez ainsi toujours dans votre longue offrande funéraire les couleurs des fruits et du lait. Je revois le pin solitaire qui domine un vieux mur romain qui s’écroule de son orgueil tenace ; je revois les rouvres admirables de la villa Lante, qui sont groupés à l’entrée du parc comme les arbres des tableaux de Watteau. Bouleaux d’argent qui frémissez dans les clairières d’un bois dont je ne sais plus le lieu, charmes au nom charmant, tilleuls aux graines ailées, robustes châtaigniers de France, vous vous mêlez dans mes songes aux feuillages des pays étrangers et vous composez ainsi une forêt profonde, imaginaire et variée qui hantent au lieu de biches, d’écureuils et de petits lapins, des rêves et des souvenirs sans nombre. Tous les printemps de Paris sont marqués par la floraison du magnolia des Champs-Élysées et des petits arbres de Judée, avenue du Bois ; et il y a aussi le marronnier du vingt mars, mais je lui préfère celui, si vieux, qui abrite aux Tuileries un banc près du premier bassin ; j’aime aussi les arbres de la terrasse au bord de l’eau lorsqu’ils reverdissent : les premières feuilles sont si pâles, si pâles sur leurs troncs si noirs ! D’ailleurs j’aime les arbres de Paris, les vieux beaux arbres qui longent par endroits la Seine près du Louvre, autant que les maigres peupliers de banlieue du côté de Boulogne-Billancourt. A Venise, une glycine qui penche, une branche qui dépasse un mur, prend aussi encore plus que dans n’importe quelle ville, cet aspect à la fois chétif et précieux, évocateur des frères heureux et robustes vivant dans les bois, les prés et les forêts. Oui j’aime aussi les arbres des villes ; ils ne me font pas oublier certes, les vieux hêtres de ce bois sacré de la Sainte Beaune, ni les ormeaux auxquels se suspend la vigne italienne, ni ces beaux arbres dont la forme et la stature dessinées sur quelque soleil couchant au hasard d’une promenade dans la campagne, revivent en nous avec leur dessin exact, noir ou pourpre, ben que nous n’ayons pas même eu le temps de reconnaître leur espèce et de leur donner un nom. Mais il y a à Paris des arbres qu’on aime parce qu’on les a toujours vus, parce qu’ils ont des airs d’exilés. N’aimez-vous pas le vieux cèdre du Jardin des Plantes ? Il me fait penser à pareils qui vivent dans une abbaye très aimée comme des moines verts et gris ; celui du jardin des Plantes est toujours rempli de pigeons ; leurs plumes et leurs duvets volent dans les branches qu’emplit un roucoulement innombrable… et l’on pense que Chateaubriand La sénilité robuste du vieux cèdre s’accommode d’abriter ces tendresses ailées… et l’on songe que Chateaubriand s’est peut-être assis sur ce banc à côté d’Hortense Allart, et qu’ils ont écouté à l’ombre des mêmes branches, d’autres ramiers. Tous les automnes, nous allons, n’est-ce pas à Versailles en pèlerinage, voir les arbres en habits de cour ? C’est une journée éblouissante, une journée à laquelle d’avance, nous pensons, car nous sommes de ceux-là qui aiment les arbres. Au début de l’anthologie dont je vous parlais plus haut, on lit ceci, signé de M. Barrès : ‘ L’humanité s’est beaucoup privée en ne croyant pas les plantes susceptibles d’affection. Il fallait nous faire à leur endroit l’illusion que nous nous nous sommes composée sur les bêtes…’ Et il rapporte ensuite l’anecdote de Xerxès, chargeant un bel arbre de bracelets et de colliers… Combien M. Barrès a raison ! Il faut non seulement aimer les arbres, mais croire qu’ils nous aiment. Je crois cela depuis que je suis enfant. Je sais que je suis aimée par les fleurs autant que je les aime. Elles se fanent moins vite dans mes mains ou à ma ceinture qu’au corsage de mes amies ; mes bouquets ne veulent pas mourir. Et je garde longuement des fleurs qui, chez une autre, étant l’objet des mêmes soins, prolongeraient moins leur vie. Quand j’étais petite je nouais mes bras autour du tronc des arbres qui me plaisaient et j’appuyais ma joue sur la rude écorce, m’imaginant que j’entendais battre leur cœur. Oui je veux croire qu’entre les êtres et les plantes, l’humanité et les choses, il y a un secret échange de tendresse ou d’hostilité inexprimée, de même qu’il peut aussi y avoir de l’hostilité. Aimons les arbres ; et souhaitons que plus tard, sur nos tombeaux muets, nos tombeaux immobiles, s’éternise, protectrice et mouvante, l’ombre d’un arbre, rempli d’oiseaux. Gérard d’Houville. » Bon état général.‎


Actualités - Paris
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 00 33 (0)6 72 07 91 06

EUR3,000.00 (€3,000.00 )

‎Hovhannes Sandghkavanetsi; Tat'jana Alekseevna Izmajlova; Babken Levoni Ch'ugaszyan; Mashtots'i Anvan Hin Dzeragreri Institut Matenadaran.‎

Reference : 22428

‎Miniature arménienne : Hovhannes Sandoughkavanetsi‎

‎ Erevan : Institut Matenadaran.Sovetakan Grog, 1986.Matenadaran Institut M. Machtotz des manuscrits anciens près le Conseil des Ministres de la RSS d'Arménie.IN FOLIO reliure éditeur,jacquette illustrée,158 p. : ill. ; 34 cm. [compilation, introduction, et commentaires, Tatiana Izmailova ; rédacteur, B.L. Tchoukaszian].texte en français en partie,bon etat,ex dono manuscrit page de garde. ‎


Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR35.00 (€35.00 )

‎Hozier (Charles d'), Meurgey de Tupigny (Jacques) dréssé par Charles d'Hozier en éxecution de l'édit de novembre 1696 et publié d'après le manuscrit de la bibliothèque nationale avec une introduction et des notes par)‎

Reference : 3798

(1965)

‎Armorial de la généralité de Paris. ‎

‎ 1965 1965 S E, Macon, 1965. 4 volumes in-4 brochés, XLVIII-629+233 pages. Exemplaire non coupé, bel état. ‎


‎ La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. La librairie sera fermée du lundi 8 avril au lundi 22 avril inclus, les commandes seront traitées dès notre retour le mardi 23 avril.‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 02 31 86 36 38

EUR180.00 (€180.00 )

‎HOZIER DE SERIGNY (Antoine-Marie d')‎

Reference : 572102

(1820)

‎2 documents manuscrits: Relevé des souscriptions et Etat des souscriptions à l'Armorial Général de France.‎

‎ P., oct. 1820 et 1821. 2 placards in-folio manuscrits de 4 ff chacun et 3 pièces in-4, imprimées. ‎


‎Etat des souscriptions, 232 noms cités (Octobre 1820), [et] Relevé au 8 octobre 1821, 228 noms cités, à l’Armorial général de France (noms et qualités des souscripteurs, nombre d’exemplaires retenus, sommes à percevoir), 2 prospectus de l'Imprimerie Royale Page légèrement effrangée, écriture très lisible, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : +33 (0)3 25 71 67 98

EUR100.00 (€100.00 )

‎HUBAC (Pierre)‎

Reference : AUB-7465

(1949)

‎Les barbaresques. Histoires d'outre-mer. Illustré (16 planches). Envoi manuscrit de l'auteur.‎

‎Ed. Berger-Levrault 1949. Bel exemplaire broché, non coupé, in-8 carré, XVI + 258 pages + planches.‎


CHF45.00 (€46.06 )

‎HUGAU, Claude - Présenté par Françoise de Valence‎

Reference : 47707

‎Le Voyage extraordinaire d'un Capitaine de Dragons chez Hyder Ali Khan. 1769 - 1772‎

‎ Editions Maisonneuve & Larose - 2001 - In-8, broché couverture illustrée - 158 pages - Cahier d'illustrations en couleurs hors texte en milieu d'ouvrage‎


‎Bon état malgré quelques frottements sur la couv. - Coins et "coiffes" frottés ‎

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR10.00 (€10.00 )

‎Hugh WEISS - [Philadelphie 1925 - Paris 2007] - Peintre américain‎

Reference : GF27162

‎Lettre Autographe Signée du peintre Hugh Weiss à Georges Boudaille - Le 12 mai 1972 - ‎

‎ 1 page in4 - bon état -‎


‎Il a été trés touché par ses "gentils" mots concernant [sa] toile aux "Réalités nouvelles"- Il espère être à "la hauteur du jugement de l'histoire de l'art" -... Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

Galerie Fert - Nyons

(SNCAO)

Phone number : 33 04 75 26 13 80

EUR100.00 (€100.00 )

‎[Hugo] - Charles YRIARTE - [Paris 1832 - 1898] - Journaliste et dessinateur français‎

Reference : 34246

‎Lettre manuscrite Signée à "Monsieur le Secrétaire général" - Paris le 2 janvier 1863 -‎

‎ 1464 1 page in8 - bon état malgré deux petites fentes - En tête du Monde Illustré -‎


‎"Mr Charles Yriarte chargée de la partie artistique du Journal se rend à Bruxelles pour assister à la représentation des Misérables" - Il demande un laisser passer aller retour - Lettre signée par le directeur du Monde illustré (?) et par le directeur artistique Charles Yriarte - [Les Misérables de Victor Hugo furent adapté par Charles Hugo et représentés en première mondiale à Bruxelles au Théatre des Galeries Saint Hubert] - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

Galerie Fert - Nyons

(SNCAO)

Phone number : 33 04 75 26 13 80

EUR150.00 (€150.00 )

‎HUGO] QUEFFELEC (Henri).‎

Reference : 85431

‎Tapuscrit signé sur Victor Hugo. ‎

‎ 2 p. in-4 avec corrections à l'encre bleue. Il s'agit du tapuscrit d'un article paru dans Le Figaro Littéraire du 23 février 1952, à l'occasion du cent cinquantenaire de Hugo. "Qu'il y ait chez lui du fatras, de la naïveté, de scientisme, bien sûr. Que celui qui n'a jamais péché... Pour moi, j'aime un poète qui sait juger la Commune avec déjà le bon sens amer d'un Bernanos (qui disposait, lui, du recul nécessaire), ou qui lance, aux obsèques de Balzac, son égal en génie, un grand cri de confiance en l'immortalité de l'âme"...‎


Vignes Online - Eymoutiers
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 55 14 44 53

EUR30.00 (€30.00 )

‎HUGO Victor ‎

Reference : 129032

(1935)

Librairie et Cætera - Belin-Beliet

Phone number : +33 (0) 5 56 88 08 45

EUR4.50 (€4.50 )

‎HUGO Victor:‎

Reference : 16144

(1883)

‎Le roi s'amuse.‎

‎Paris, Société de publications périodiques, 1883. Grand in-4, en feuilles sous chemise de percaline grise, titre doré au dos et au premier plat, reproduction de la signature de Victor Hugo en noir au premier plat, ses initiales au dos. ‎


‎Illustré de 27 planches hors-texte, fac-simile du manuscrit de Victor Hugo, et de compositions de J.-P- Laurens, Henri Meyer, Emile Bayard, Lavastre, John Sargent, A. Marie, Rubé et Chaperon et Olivier Merson. Chacune des planches est protégées par une serpente avec légende imprimée (sauf les pl. 3, 6, 11, 13, 17, 21, 23, 25 à 27). Luxueuse édition publiée pour le cinquantenaire de la création de la pièce. Tiré à 201 exemplaires, le nôtre est un des 50 sur Japon imprimé pour le petit-fils de Victor Hugo, Georges Hugo. C'est lui, fils de Charles Hugo, et orphelin de père à 3 ans, qui sera élevé par son grand-père. De cette expérience, Victor Hugo écrira d'ailleurs le livre L'art d'être grand-père. Il a ensuite appartenu au fils de Georges: François Hugo (1899-1982) qui fut orfèvre. C'est donc ce dernier qui fit l'envoi autographe, au faux-titre, à un Alix Le [illisible] notre ange gardien, et il signa François Victor Hugo. On y trouve, outre le texte du drame, la préface de 1832, le discours de Victor Hugo devant le Tribunal de commerce en 1832, le procès de la pièce et des notes et variantes. Chemise fatiguée. Vicaire, IV, 276. ‎

Phone number : +4122 310 20 50

CHF1,000.00 (€1,023.50 )

‎HUGO Victor‎

Reference : 83318

(1871)

‎Lettre autographe signée adressée à Léon Richer : "Vous avez raison de compter sur moi pour affirmer l'avenir de la femme." ‎

‎Mardi 7 novembre [1871], 13,3x20,8cm, 2 pages sur un feuillet double.‎


‎| « Pour qu'enfin justice soit rendue à la femme» | «Mardi 7 novembre [1871] Monsieur, on m'a demandé d'urgence mon intervention pour les condamnés à mort. L'accomplissement de ce devoir a retardé ma réponse à votre excellente lettre. Vous avez raison de compter sur moi pour affirmer l'avenir de la femme. Dès 1849, dans l'Assemblée nationale, je faisais éclater de rire la majorité réactionnaire en déclarant que le droit de l'homme avait pour corollaires le droit de la femme et le droit de l'enfant. En 1853, à Jersey, dans l'exil, j'ai fait la même déclaration sur la tombe d'une proscrite, Louise Julien, mais cette fois on n'a pas ri, on a pleuré. Cet effort pour qu'enfin justice soit rendue à la femme, je l'ai renouvelé dans les Misérables, je l'ai renouvelé dans le Congrès de Lausanne, et je viens de le renouveler encore dans ma lettre au Rappel que vous voulez bien me citer. J'ajoute que tout mon théâtre tend à la dignification de la femme. Mon plaidoyer pour la femme est, vous le voyez, ancien et persévérant, et n'a pas eu de solution de continuité. L'équilibre entre le droit de l'homme et le droit de la femme est une des conditions de la stabilité sociale. Cet équilibre se fera. Vous avez donc bien fait de vous mettre sous la protection de ce mot suprême : l'Avenir. Je suis, Monsieur, avec ceux qui comme vous veulent le progrès, rien que le progrès, tout le progrès. Je vous serre la main. Victor Hugo » Lettre autographe signée de Victor Hugo adressée à Léon Richer, deux pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet de papier à lettre bordé de noir. Pliures transversales inhérentes à la mise sous pli. Une déchirure centrale sans manque à la jonction des deux feuillets. Cette lettre a été retranscrite dans les uvres complètes de Victor Hugo (Ollendorff, 1905). Le manuscrit est présenté dans une chemise en demi maroquin bleu, plats de papier coquille, étui bordé de maroquin bleu, ensemble signé A. T. Boichot. *** Superbe et importante lettre, profondément humaniste, syncrétique des combats de Victor Hugo contre la peine de mort et pour le progrès social et féminin adressée à Léon Richer, l'un des premiers hommes militants féministes, qualifié par Hubertine Auclert de « père du féminisme » puis considéré par Simone de Beauvoir comme son « véritable fondateur ». HUGO L'ABOLITIONNISTE Si cette lettre se concentre essentiellement sur la question de la défense des droits de femmes, c'est par la peine de mort qu'elle commence : « on m'a demandé d'urgence mon intervention pour les condamnés à mort. L'accomplissement de ce devoir a retardé ma réponse à votre excellente lettre. » En ce lendemain de la Commune, les pages d'octobre 1871 des Choses vues sont effectivement constellées de noms de personnalités auxquelles le « poète national » apporta son soutien, notamment à Gustave Maroteau, poète et fondateur du Père Duchesne, « condamné à mort pour fait de presse ! » (Choses vues, 3 octobre 1871), puis à « Louise Michel en prison à Versailles et en danger de condamnation à mort » (ibid., 5 octobre 1871). Les « interventions » éparses menées par Hugo au fil des mois aboutiront finalement à une éloquente tribune à la tête du Rappel du 1er novembre 1871 (« je viens de le renouveler encore dans ma lettre au Rappel que vous voulez bien me citer ») dans laquelle il appellera - avec toute l'éloquence qui lui est propre et à grand renfort d'exemples historiques - à l'amnistie des communards. Il s'agit de l'un de ses plus importants combats politiques. LE FÉMINISME EST UN HUMANISME Un des autres grands engagements d'Hugo concerne l'émancipation féminine et la lutte pour l'égalité entre les sexes : dans un Second Empire patriarcal, il fut l'une des rares voix masculines à s'insurger contre l'état d'infériorité où le Code civil plaçait les femmes. C'est d'ailleurs ce qu'il réaffirme dans la lettre que nous proposons et dans laquelle il dresse un véritable bilan de sa carrière littéraire et politique, s'érigeant d'emblée au rang de spécialiste : « Vous avez raison de compter sur moi pour affirmer l'avenir de la femme. [...] L'équilibre entre le droit de l'homme et le droit de la femme est une des conditions de la stabilité sociale. » Concernant la place des femmes dans son uvre, il évoque notamment le théâtre : « J'ajoute que tout mon théâtre tend à la dignification de la femme. » Il est vrai que les héroïnes occupent une place centrale et déterminante dans les pièces du dramaturge. Incarnant des rôles relativement caricaturaux dans les drames de la période romantique (jeune agnelle pure victime du désir des hommes ou encore femme mariée délaissée) elle deviendra, dans le théâtre de l'exil « la femme violentée par les lois sociales [...], la femme pauvre » (O. Bara) COSETTE FEMME DE LETTRES La « femme pauvre », c'est justement l'un des piliers de l'arc narratif des Misérables que Victor Hugo évoque également dans notre lettre : « Cet effort pour qu'enfin justice soit rendue à la femme, je l'ai renouvelé dans les Misérables [...] » Cosette, l'héroïne de cette grande fresque réaliste et sociale, fut d'ailleurs créée d'après une courageuse figure féminine, elle aussi orpheline : Louise Julien, une proscrite décédée de la phtisie à l'âge de trente-six ans. « En 1853, à Jersey, dans l'exil, j'ai fait la même déclaration sur la tombe d'une proscrite, Louise Julien, mais cette fois on n'a pas ri, on a pleuré. » Notre lettre est à notre connaissance l'unique document qui établisse un lien direct entre Cosette et cette quarante-huitarde au funeste destin dont Victor Hugo prononça l'oraison funèbre : « Ce n'est pas une femme que je vénère dans Louise Julien, c'est la femme ; la femme de nos jours, la femme digne de devenir citoyenne ; la femme telle que nous la voyons autour de nous, dans tout son dévouement, dans toute sa douceur, dans tout son sacrifice, dans toute sa majesté ! Amis, dans les temps futurs, dans cette belle, et paisible, et tendre, et fraternelle république sociale de l'avenir, le rôle de la femme sera grand ; mais quel magnifique prélude à ce rôle que de tels martyres si vaillamment endurés ! » (Actes et Paroles, II Pendant l'exil) Ce long discours, immédiatement relayé par la presse anglaise, est à mettre en perspective avec Les Châtiments premier recueil de l'exil, achevé très peu de temps auparavant et contenant trois superbes poèmes dédiés aux républicaines : « Pauline Roland », « Les Martyres » et « Aux femmes ». L'été 1853 et plus précisément le constat du courage des proscrites face à la misère, à la violence et au désintérêt du gouvernement pour leur condition, marque donc le premier élan réel de Victor Hugo vers le féminisme aussi bien à travers ses uvres que sur le terrain politique. Vingt ans plus tard, l'évocation de Louise Julien dans notre lettre réaffirme cet engagement inconditionnel. L'AVENIR POUR ÉGIDE Cette missive à Léon Richer s'achève prophétiquement : « L'équilibre entre le droit de l'homme et le droit de la femme est une des conditions de la stabilité sociale. Cet équilibre se fera. Vous avez donc bien fait de vous mettre sous la protection de ce mot suprême : l'Avenir. » Au moment de la rédaction de cette lettre, la revue créée par Richer, le Droit des femmes, venait en effet de renaître sous le titre L'Avenir des femmes. Dès 1872, elle lance une pétition pour les droits civils des femmes, soutenue par plusieurs personnalités notamment Victor Hugo qui adresse à Léon Richer une seconde lettre de soutien : « Je m'associe du fond du cur à votre utile manifestation. Depuis quarante ans, je plaide la grande cause sociale à laquelle vous vous dévouez noblement. » (8 juin 1872) Notre lettre, bien moins connue, mais tout aussi importante que celle-ci dont elle est le pendant, témoigne des prémices de la collaboration entre Victor Hugo et Léon Richer pour la lutte en faveur des droits et de l'émancipation des femmes ; elle illustre un moment essentiel de l'histoire du féminisme. LÉON RICHER : LE DROIT DES FEMMES Issu d'un milieu modeste et ayant précocement perdu son père, Léon Richer dut subvenir aux besoins de sa mère et de sa sur et, dans une société patriarcale à l'extrême, « il eut l'occasion d'apprécier les injustices du Code à l'égard de la femme, et de constater, à peu près quotidiennement, les infamies qui, à l'abri des lois, se commettent légalement contre ces éternelles mineures ; sa conscience alors en était révoltée » (R. Viviani, Cinquante-ans de féminisme : 1870-1920, 1921). Cette prise de conscience le mena à fonder, en 1869, l'hebdomadaire le Droit des femmes visant à réformer les droits légaux féminins. L'année suivante, il créa aux côtés de Maria Deraismes l'Association pour le droit des femmes dont il prit la présidence, aucune femme n'étant alors autorisée à fonder ni à diriger une association. Maria Deraismes quittera l'Association en 1882, lancera la Ligue Française pour le Droit des Femmes et nommera comme président honoraire... Victor Hugo. Très belle lettre et émouvant témoignage des combats humanistes menés avec vigueur par l'un des écrivains les plus engagés de l'histoire littéraire française : « Je suis, Monsieur, avec ceux qui comme vous veulent le progrès, rien que le progrès, tout le progrès. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR18,000.00 (€18,000.00 )

‎HUGO (Victor).‎

Reference : 88968

(1861)

‎Lettre autographe signée adressée à un confrère.‎

‎ 1861 1 page in-8 à l'encre noire, s.l., 6 mai [1872]. Marques de pliure avec petite fente en pied de la lettre. Sur l’état de l’édition après la guerre franco-prussienne."Je crois qu’il faut attendre un peu, la librairie est bien malade, les éditeurs sont presque introuvables en ce moment ; j’ai pourtant votre lettre bien présente à l’esprit, je vous assure, et je ne laisserai pas échapper l’occasion, mais il faut qu’elle se présente. Vous savez à quel point j’apprécie votre noble intelligence. Croyez à ma vive cordialité / Victor Hugo."‎


Vignes Online - Eymoutiers
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 55 14 44 53

EUR1,000.00 (€1,000.00 )

‎HUGO Victor‎

Reference : 76814

(1840)

‎Lettre autographe signée adressée à Zoé du Vidal de Montferrier‎

‎s.l. 1er août [1840], 13,4x21,4cm, une page sur un double feuillet.‎


‎Lettre autographe signée de Victor Hugo adressée à Zoé du Vidal de Montferrier, épouse du Pierre-Alexandre Louis, médecin de la famille Hugo. Une page rédigée à l'encre noire sur un double feuillet de papier bleu clair portant le cachet à froid de la ville de Bath. Pliures transversales inhérentes à l'envoi, un infime manque angulaire et deux déchirures au niveau de la pliure du second feuillet, sans gravité. Nous n'avons pas trouvé trace de cette lettre annonçant la nomination de M. Bazin au poste de "professeur titulaire" dans la correspondance de Victor Hugo. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR1,200.00 (€1,200.00 )

‎HUGO Victor -‎

Reference : 4712

‎Oeuvres Romanesques, Dramatiques Et Poétiques, Volume 28, Poésies Et Essais XII, Océan (suite), Vers Dictés Par Les Tables Tournantes de Jersey, Éditions Edito-Service, Genève, 1964-1970‎

‎ 12,5x20,5 cm, 355 pages, état neuf, plein cuir bistre, tabac foncé, dos avec pièces de titre et entre nerfs dorés, tranchefile et signet, plats enluminés, portrait en frontispice, Collection distribuée par le Cercle du Bibliophile, imprimé en Suisse, dessins et gravures à pleine page de Jean-Adolphe Beaucé, Célestin Nanteuil et Lancelot, provenant de l'Édition J. Hetzel, Paris, 1855, ouvrage réalisé d'après les maquettes de Gilbert Gilliéron,‎


‎Sous le titre hugolien Océan, ont été rassemblés à la Bibliothèque Nationale des fragments de textes subsistants après le classement des reliquats rattachés aux oeuvres achevées. Vingt recueils manuscrits sont publiés ici dans leur quasi intégralité. Dès 1846, Victor Hugo a été le premier à recommander que tout ce qu'il avait écrit soit légué, à sa mort, à la postérité. Les Tables Tournantes de Jersey sont célèbres ; quelques très courts et très rares extraits des procès-verbaux des séances ont été publiés. Il n en fallait pas davantage pour exciter la curiosité. Pour bibliophile, fin lettré, lecteur passionné. ‎

Librairie Marco Polo - Saint Ismier

Phone number : 04 76 52 56 20

EUR20.00 (€20.00 )

‎HUGO (Victor) poète et écrivain français. (1802-1885) ‎

Reference : 76C28

‎Lettre autographe signée de jeunesse, lettre qui semble inédite et qui ne figure pas dans la correspondance. Elle est présentée dans un encadrement élégant. Légères traces apparentes d’un pliage ancien. 22 décembre 1833. 1 pp. gd. in-4. ‎

‎1833 est l’année de la création de « Lucrèce Borgia » et c’est aussi l’année du début de sa liaison amoureuse avec Juliette Drouet. Jolie lettre à propos d’un article à faire insérer dans un journal. « J’ignore s’il y a quelques conditions pécuniaires attachées à l’insertion des articles nécrologiques dans votre utile recueil. Si cela était, soyez assez bon pour me faire savoir qu’elles sont celles qui faudrait remplir pour l’insertion de l’article ci-joint, il y sera fait droit sur le champ. Dans le cas où l’insertion serait due par une simple obligeance, permettez-moi de vous recommander la note ci-incluse et de profiter de cette occasion pour vous remercier d’avoir bien voulu m’envoyer votre journal jusqu’à ce jour… ».‎


Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 45 66 48 65

EUR780.00 (€780.00 )

‎HUGO (Victor) poète et écrivain français. (1802-1885) ‎

Reference : 75C28

‎Pièce autographe sous forme de reçu, entièrement de la main de Hugo et signé par l’éditeur Duriez pour accord. Paris, 25 août 1844. 1 p. in-8 oblong.‎

‎« Je reconnais avoir reçu de M. Victor Hugo aujourd'hui 25 août 1844 les lettres intitulées Spire, Heidelberg, Fribourg, et Brisgau et Bâle, formant la moitié de son nouveau manuscrit en exécution du traité qui résulte de notre lettre à lui écrite au sujet de l'édition de Rhin augmentée d'un volume et de sa réponse acceptée par nous. ». « Le Rhin. Lettres à un ami » est un ouvrage de Victor Hugo qui parut en 1842. Le poète entreprit ce voyage le long du Rhin, en compagnie de Juliette Drouet, vers cette région rhénane, région si chère aux romantiques. Il y rassemble sous la forme de lettres probablement imaginaires, le pittoresque des paysages qu’il découvre, ses impressions, il y décrit les visites de monuments, et rapporte des histoires fantastiques tirées de légendes ou contes folkloriques, qu’il a entendus, et qui l’ont séduit. Il faut savoir qu’en octobre 1838, Victor Hugo céda pour dix ans à partir de janvier 1839, la propriété de son œuvre jusqu'ici publiée, c'est-à-dire 22 volumes auxquels s’ajoutèrent deux ouvrages inédits, le tout accompagné d'un droit d'option pour les livres futurs, à la Société « Duriez et Cie », société reconstituée après la faillite de Henry-Louis Delloye (1786-1846), lui-même fondateur précédemment en 1836, d’une société ayant pour but, l’exploitation des œuvres de plusieurs écrivains, dont Hugo, Chateaubriand, Balzac, celui-ci l’engageant à fournir six volumes nouveaux par an, et cela, pendant dix ans, engagement pour lequel Balzac reçu en contrepartie une avance de 50 000 frs. et le partage des bénéfices en moitié. Cette société reconstituée, dont Duriez était devenu le gérant, avait comme associés, toujours le libraire et éditeur Delloye, le marchand de papier Charles Cornuau, les fabricants de papiers, Blanchet frères, et Kléber, des papeteries de Rives, les banquiers Gaillard et Rampin, banquiers à Grenoble et Paris. En échange, Victor Hugo devait recevoir une somme de 300 000 francs sur lesquels il ne percevra à la signature qu’un montant de 180 000 francs au comptant, le solde couvrant quatre annuités successives payables à partir de 1840, qui furent d’ailleurs repoussées d’un an. ‎


Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 45 66 48 65

EUR850.00 (€850.00 )

‎HUGUES Clovis‎

Reference : 4869

EUR100.00 (€100.00 )
Previous 1 ... 168 169 170 171 ... 214 257 300 343 ... 346 Next Exact page number ? OK
Get it on Google Play Get it on AppStore
Manuscripts
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !