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‎DE GIRARDIN née GAY (Delphine)‎

Reference : 212

‎Dévouement des soeurs de Sainte Camille dans la peste de Barcelonne‎

‎S. l. (1821 ?) Un cahier (210 x 164 mm) de 16 ff. (14 pp. manuscrites à l'encre brune) avec ligatures de cordelette, couverture manuscrite avec titre et auteur sur le plat supérieur (travail de l'époque)‎


‎Un poème de jeunesse de Delphine Gay En 14 pages rédigées en alexandrins, l'auteur salue le courage de deux soeurs parties pour Barcelone afin d'y consoler les malades de la peste. Ce poème fut présenté au concours de poésie et d'éloquence organisé par l'Académie en Française en 1822, portant sur le thème « Le dévouement des médecins français et des soeurs de Sainte-Camille dans la peste de Barcelone ». Il obtint une mention à part mais on lui refusa le premier prix, les soeurs étant l'objet principal du poème au détriment des médecins. « Si l'auteur du n°103, en ne traitant qu'une partie du sujet, n'avait donné pour excuse et son sexe et son jeune âge, l'Académie, à la perfection et au charme de plusieurs passages, aurait pu croire que la pièce était l'ouvrage d'un talent exercé dans les secrets du style et de la poésie [...] En se restreignant à l'éloge des Soeurs de Sainte-Camille, l'Auteur se plaçait en quelque sorte hors du concours, et dés-lors l'Académie, qui a jugé l'ouvrage digne d'une mention honorable, a cru juste de lui assigner un rang distinct et séparé de celui des autres mentions. » (séance de l'Académie française du 24 Août 1822) Ce manuscrit présente des différences avec le texte présenté au concours : les premiers vers qui assoient la légitimité de la poétesse inspirée par la vierge, un éloge des médecins, un court passage évoquant le passé de la France, ainsi que quelques vers de conclusion sont absents du manuscrit. Il semblerait donc qu'il s'agisse d'une version antérieure : les quelques ajouts destinés à rappeler le thème du courage des médecins n'auraient pas suffi à convaincre le jury. Cette théorie, cependant, soulève un problème : la poétesse n'eut 19 ans qu'en 1823, un an après le concours Élevée au sein des plus prestigieux cercles littéraires, Delphine Gay (1804-1855) publia sous divers pseudonymes des poèmes, nouvelles, romans, pièces de théâtre et articles de journaux. Théophile Gautier, Honoré de Balzac, Victor Hugo, ou encore George Sand fréquentèrent son salon. Là, sont des malheureux courbés devant l'autel Qui souillent leur encens de leur venin mortel : C'en est fait, et déjà leur vie est moissonnée Mais ils tiennent encore l'offrande empoisonnée Et l'encens de leurs mains tout prêt à s'échapper Fume encore pour le dieu qui vient de les frapper. Quelques corrections. ‎

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Phone number : +336 72 05 01 03

EUR500.00 (€500.00 )

‎DE GRANDMAISON Louis (publ.)‎

Reference : G77695

(1896)

‎Inventaire sommaire de la collection de dom Poirier conservée à la Bibliothèque Nationale sous les nos. 20.800-20.852 du fonds français‎

‎Tours, 1896 15pp., signé avec dédicace par l'auteur, 24cm., sur papier de luxe, reliure cart. (plats marbrés, titre doré au dos, traces d'une étiquette enlevée du premier plat), extrait du "Bulletin de la Société de l'Histoire de Paris et de l'Ile-de-France" t.23 (1896), bon état, rare, G77695‎


Phone number : +32476917667

EUR30.00 (€30.00 )

‎DE HARDUIJN, Justus;‎

Reference : 19019

‎ROOSE-MOND ( 1613 ),‎

‎, Antwerpen, De Sikkel, 1942, Gebonden, geillustreerd karton, oblongformaat : 175 x 120mm., 106pp.‎


‎Fac-simile-druk bezorgd door Dr. O. Dambre. Een van de 300 genummerde exemplaren op Arches. In goede staat.‎

ERIK TONEN BOOKS - Antwerpen

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EUR20.00 (€20.00 )

‎DEHARME Lise‎

Reference : 63989

(1963)

‎Deux lettres autographes manuscrites de Lise Deharme à Guy Dupré‎

‎1963 et s.d., 15x10,5cm et 13,5x21cm, une carte et un feuillet remplié.‎


‎Lettres autographes signées de Lise Deharme adressées à Guy Dupré, 9 lignes au stylo rouge sur une carte postale et 17 lignes à l'encre bleue sur deux pages sur un feuillet remplié. Pliure inhérente à la mise sous pli. Ensemble témoignant de l'amitié unissant Lise Deharme, figure du surréalisme, et Guy Dupré, alors éditeur chez Plon : «Si je vous écris que j'ai pleuré en lisant votre article, j'aurais l'air de commettre une de ces exagérations parisiennes chères à ces amis de nos amis» - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR150.00 (€150.00 )

‎DEHAYE (Pierre)‎

Reference : VLE-231

‎Jalons. Poèmes‎

‎P., Dehay, 1992, in-8, 413 pages. Edition originale en tirage de tête sur papier Ingres, un des 65 exemplaires numérotés (n°12) enrichi d'un bel envoi autographe de l'auteur ainsi que d'un poème manuscrit inédit broché‎


‎Recueil de Pierre Dehaye (Saint-Pol-sur-Mer, 1921-2008), écrivain et haut fonctionnaire, élu membre de l'Académie des Beaux-Arts en 1975‎

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Phone number : 33 01 48 24 50 43

EUR80.00 (€80.00 )

‎DEHAYE (Pierre)‎

Reference : 16047

(1979)

ISBN : 2-226-00847-0

‎Naître est une longue patience - Notes et maximes. ‎

‎Paris, Albin Michel, 1979 1 volume 14,6 x 22,5cm Broché. 1feuillet, 189p., 4 feuillets. Plats jaunis en marges; bon état intérieur. ‎


‎Recueil de "maximes, d'aphorismes et de notules" du haut-fonctionnaire Pierre DEHAYE, alors Directeur de l'Hôtel de la Monnaie, président d'honneur du conseil d'administration de l'Institut français de restauration des oeuvres d'art (1921-2008). Exemplaire avec dédicace manuscrite de l'auteur et enrichi d'une lettre manuscrite de 1984, faisant allusion à une mise à pied. ‎

Librairie Paroles - Avignon

Phone number : 06 09 18 58 78

EUR8.00 (€8.00 )

‎Dehenne (Albert)‎

Reference : 6372

(1780)

‎Manuscrit de Médecine. ‎

‎Lille 1780-1796 Un volume in-folio plein velin, fermeture à lacets, non paginé, environ 400 pages. Ce recueil contient : - des notes, essais et remarques médicales : Injections faites dans le corps des animaux vivans, effets sensibles des astringens, essai sur la génération de la chaleur des animaux, Sur l'électricité, Pendule à secondes portatif, Réflexions sur les fluxions de poitrine, Sur la Pierre de la vessie, Traité pratique sur la Goutte, Remède très particulier pour guérir les maladies vénériennes et scorbutiques, Méthode nouvelle et facile d'administration du vif-argent; - des extraits de journaux (articles concernant des paralytiques, extraits de revues scientifiques,...) et d'ouvrages de médecine: Le Médecin des Dames, Paris, 1771, Traité de l'emmenologie, Freind, Paris, 1738, Traité des maladies qu'il est dangereux de guérir, Raymond, Avignon, 1757, Essai sur la manière de perfectionner l'espèce humaine, Vandermonde, Paris, 1756, Dissertation sur l'usage de la Cigüe, trad. Storck, Paris, 1760, Manuscrits de Mr le Médecin Prevost, Doyen du Collège de Lille, Amusemens des Eaux de Spa, Limbourg, 1763, Manuscrit de Remèdes, L'onanisme, Tissot, 3e ed., Dissertation sur la Goutte, Paris, 1738, Manuscrit de Mr Pajot (sur les teintures)Manuscrit Traité des Maladies, Petit, Paris, 1772; - ainsi que des pensées, fables, discours, dictons et conseils (pour faire fortune). ‎


‎Docteur de la Faculté de Montpellier, médecin à Lille, Albert Dehenne fut l'auteur de nombreuses publications (Note sur l'opération de la Cataracte, Sur les effets du Bézoard minéral, ou encore: Détail d'une maladie épidémique qui a régné à Seclin en 1756, rédigée avec le Docteur De Cyssau, dont Dehenne sera l'exécuteur testamentaire). Il fut condamné en janvier 1778 par le tribunal de Lille à retirer de la vente sa panacée baptisée l'Esculape, dont la promotion était interdite. En 1760, il "vint à bout de ressusciter à Paris le domestique d'un Seigneur [...]: M. Dehenne ayant été appelé, le fit descendre dans la grande cour de la maison, & lui fit jetter plusieurs seaux d'eau à travers le corps; ce qui rappella cet asphyxique à la vie" (in: Avis au peuple, sur les asphyxies ou morts apparentes et subites, Joseph-Jacques Gardane, Paris, Ruault, 1774). La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. ‎

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Phone number : 02 31 86 36 38

EUR2,450.00 (€2,450.00 )

‎D. Eichberger, A.-M. Legare, W. Husken (eds.);‎

Reference : 35094

‎Women at the Burgundian Court: Presence and Influence. Femmes a la Cour de Bourgogne: Presence et Influence,‎

‎Turnhout, Brepols, 2011 Hardback, XXI+182 p., 39 b/w ill. + 26 colour ill., 178 x 254 mm. ISBN 9782503522883.‎


‎This collection of essays charts the role of women at the Burgundian court by analysing the ways in which medieval women, such as Isabella of Portugal, Margaret of York, Mary of Burgundy, Margaret of Austria made an impact through their physical, moral and spiritual presence at court. During the absence of the prince these well-educated and internationally experienced spouses, mothers and aunts were put in charge of the courtly household or were in some cases appointed regent of the Netherlandish territories for a limited period of time. The youngest generation of women represented by the sisters and consorts of Charles V and Ferdinand I - now forming part of the extended family network - continued this tradition and took it to Germany, Spain, France and Portugal. The court developed into a kind of 'gender laboratory', in which women actively negotiated their position of power, thus consolidating their influence in politics, diplomacy, education and art. Languages: French, English.‎

ERIK TONEN BOOKS - Antwerpen

Phone number : 0032495253566

EUR89.00 (€89.00 )

‎DEJEAN, Albert ; Collectif‎

Reference : 49802

(1900)

‎Recueil manuscrit de partitions musicales [ Plus de 130 morceaux chantés ] Chanson arabe (Godard) ; O Gué Landériloulette ; Coupe du Roi de Thulé (Diaz) ; Ici bas (T. Dejean) ; Envoi de Fleurs (Delmet) ; La Sauge (Le Jongleur) ; Les Armaillis (Koebi) ; L'Omnibus funéraire ; L'Amour (Holmès) ; Miseremini (Steenmann) ; O Salutaris (Albert Dejean) ; ça fait peur aux oiseaux [ etc. etc... ]‎

‎1 vol. in-12 format à l'italienne cartonnage percaline, s.d. [ circa 1900-1920 ] 417 pp. manuscrite et 3 ff. de tables. Rappel du titre complet : Recueil manuscrit de partitions musicales [ Plus de 130 morceaux chantés ] Chanson arabe (Godard) ; O Gué Landériloulette ; Coupe du Roi de Thulé (Diaz) ; Ici bas (T. Dejean) ; Envoi de Fleurs (Delmet) ; La Sauge (Le Jongleur) ; Les Armaillis (Koebi) ; L'Omnibus funéraire ; L'Amour (Holmès) ; Miseremini (Steenmann) ; O Salutaris (Albert Dejean) ; ça fait peur aux oiseaux [ etc. etc... ]‎


‎Intéressant manuscrit musical bordelais, précédé de deux petits billets manuscrits de l'auteur : "A Mademoiselle Monique Ch..., Bordeaux. Je suis très heureux, ma chère Monique, de vous laisser "In Memoriam" le Cher Cahier Rouge, comme nous l'appelions, jadis, rue d'Eysines où nous l'avons si souvent feuilleté, vos tantes et moi, et où il nous a fait passer de si agréables moments !... Bien que presque tous les morceaux qui le composent soient écrits pour voix d'homme, et en dehors de quatre ou cinq qui ne devraient pas y figurer, j'espère que vous en trouverez un certain nombre capables de vous intéresser et qu'il m'eut été si doux de vous entendre "Interpréter", suivant la locution aujourd'hui consacrée !! [ ... ] Etat très satisfaisant (usures sur couv., des ressauts parfois forts).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR360.00 (€360.00 )

‎Dekeyzer, B‎

Reference : 021158

(2005)

ISBN : 9789042915626

‎Manuscripts in Transition: Recycling Manuscripts, Texts and Images (Corpus of Illuminated Manuscripts )‎

‎ 2005 Peeters Hardcover Fine ‎


‎Manuscripts in Transition: Recycling Manuscripts, Texts and Images (Corpus of Illuminated Manuscripts) Hardcover, red linen binding with dustwrapper,310 x 235 mm, 571 pp, illustrated, fine condition‎

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(CLAM, )

Phone number : +32(0)496 80 81 92

EUR99.00 (€99.00 )

‎DEKOBRA, Maurice Tessier:‎

Reference : 70712aaf

‎4 documents autographes du célèbre journaliste et écrivain français.‎


‎Une carte postale et 3 lettres écrites par le romancier Maurice Dekobra (1885 - 1973). Il fut pendant 18 ans journaliste et voyagea dans toutes les parties du monde. Il publia de nombreux romans dont beaucoup ont obtenu un grand succès populaire. Nos documents sont des autographes et textes uniques de l'auteur. 1. Carte postale à Maurice d'Hartoy, directeur de la Revue des deux mondes, 1925 (ill: photo d'une ruelle d'Annecy). 2. Lettre à Hartoy, longue réponse de Dekobra sur une enquête de la Revue des deux mondes concernant "l'avenir de l'intelligence", 1926 (in-4to). 3. Lettre de remerciement à un ami, il espère le revoir à la rue du Caire, 1925 (double feuille in-8vo). 4. Lettre dactylographiée, signature manuscrite, papier à ses nom et adresse à Paris, annotation manuscrite: "Confidentielle", lettre intéressante au sujet d'un manuscrit d'une jeune femme, "manuscrit qui m'a paru assez intéressant mais qui contient des audaces de style qui, je vous l'avouerai, m'ont un peu surpris", 1928 (2 ff. in-4to). Image disp.‎

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(SLACES, NVVA)

Phone number : 41 (0)26 3223808

CHF800.00 (€818.80 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎DE LA BATUT, Pierre‎

Reference : 44482

(1920)

‎Catinka Heinfetter. Une cause célèbre sous Louis-Philippe. Récit historique. [ Tapuscrit enrichi de très nombreuses corrections autographes. Récit romancé de l'affaire Caumartin - Sirey ]‎

‎1 tapuscrit in-4 en 110 feuillets sous chemise, s.d. (circa 1920-1930 ?)‎


‎Catinka Heinefetter (ou Katinka; 1819-1858) est la soeur de Clara et de Sabine Heinefetter (1809-1872). Les trois femmes furent des cantatrices interprètes de Meyerbeer, de Halévy et d’autres compositeurs en vogue de cette époque. Elles se produisirent surtout à l’Opéra italien de Paris. Catinka Heinfetter défraya la chronique en 1842, lorsque Edouard Caumartin tua Aimé Sirey (fils du célèbre juriste et homme violent) dans l'hôtel de cette dernière ; c'est ce récit qui est l'objet du présent roman. La bisaïeule de l'écrivain bergeracois Pierre de la Batut était une Caumartin (Mélanie Dentu, femme de l'éditeur Gabriel Dentu). Bon état. Nous n'avons trouvé ailleurs aucune trace d'un autre exemplaire de cette pièce.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR480.00 (€480.00 )

‎DE LA BATUT, Pierre‎

Reference : 44481

(1916)

‎[ Lot de 3 Manuscrits et Notes manuscrites dont deux autographes ] I : Les Bras qui s'ouvrent. Un acte en vers ; II : Notes manuscrites pour 3 scénarios : Almaïde d'Entremont - La Nouvelle Espérance - La leçon d'Amour dans un Parc ; III : Le Blé en Herbe. Un acte en Prose.‎

‎[ Lot de 3 Manuscrits et Notes manuscrites dont deux autographes ] I : Les Bras qui s'ouvrent. Un acte en vers, 7 feuillets manuscrits autographes sous chemise, s.d. (circa 1916) ; II : Notes manuscrites autographes pour 3 scénarios : Almaïde d'Entremont - La Nouvelle Espérance - La leçon d'Amour dans un Parc (une vingtaine de notes manuscrites et qq. ff. tapuscrits) ; III : Le Blé en Herbe. Un acte en Prose. Manuscrit de 25 feuillets in-folio (manifestement mis au propre par son épouse, Marguerite Fardet)‎


‎Bon lot de manuscrits de théâtre ou de scénarios par l'écrivain bergeracois Pierre de la Batut. ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR190.00 (€190.00 )

‎DE LA BATUT, Pierre‎

Reference : 44477

(1904)

‎[ Remarquable lot de 10 cahiers manuscrits autographes : Journaux intimes, Poèmes et Notes de romans ] I : Cahier de 70 feuillets contenant : Fragments de Journal (1905). Evocation des cousins Hons-Ollivier, de la Tante Zoé, la danseuse Zambelli. Notes de Voyages Biarritz et pays basque (1906). Lou Revenir. Moeurs et Coutumes du Périgord. Nombreux récit, contes et poèmes dont "A Madame Sarah Bernhardt, pour lui demander un autographe sur une de ses photographies". Bagnères de Luchon. Deux excursions. Au gouffre d'enfer. Au port de Venasque et au pic de Sauvegarde. Portraits : Maurice Donnay. Edmond Rostand. Flers et Caillavet. Octave Mirbeau. Jules Bois. André Rivoire. Jean Richepin. Abel Hermant. Paul Hervieu. Eugène Brieux. Henry Bernstein. Alfred Capus. 1909. L'aéroplanomanie - II : Cahier de 50 feuillets : Notes et arguments de romans (1909-1933) ; III : Cahiers de 50 feuillets dont la moitié manuscrits. Recueil de poésies dont un "A Jean Balde", ou "L'Agenais" (1922-1931) ; IV : Cahiers de 50 feuillets dont une trentaine manuscrits. Recueil de poésies intitulé "Chansons pour ses yeux" (1910-1912) ; V : Cahiers d'environ 60 feuillets "Prose et poésies mêlées". Sur la mariage de ma cousine Andrée. Tsoushima. etc... (1905-1906) ; VI : Cahiers de 50 feuillets manuscrits. Premiers Rêves. Poèmes (1904-1906) ; VII : Cahiers de 50 feuillets manuscrits. Poèmes (1904-1909) ; VIII : Cahier dont 12 ff. sont manuscrits : Voyage aux Pyrénnés (sic) ; IX : Cahiers de 50 feuillets manuscrits. Poèmes 1912-1919 ; X : Cahiers de 50 feuillets manuscrits ayant pour Titre "Jean Dentu" [pseudonyme de Pierre de La Batut ] Carnet de notes de romans.‎

‎10 cahiers d'écoliers dont 1 cartonné et 9 brochés, 1904-1940 : I : Cahier de 70 feuillets contenant : Fragments de Journal (1905). Evocation des cousins Hons-Ollivier, de la Tante Zoé, la danseuse Zambelli. Notes de Voyages Biarritz et pays basque (1906). Lou Revenir. Moeurs et Coutumes du Périgord. Nombreux récit, contes et poèmes dont "A Madame Sarah Bernhardt, pour lui demander un autographe sur une de ses photographies". Bagnères de Luchon. Deux excursions. Au gouffre d'enfer. Au port de Venasque et au pic de Sauvegarde. Portraits : Maurice Donnay. Edmond Rostand. Flers et Caillavet. Octave Mirbeau. Jules Bois. André Rivoire. Jean Richepin. Abel Hermant. Paul Hervieu. Eugène Brieux. Henry Bernstein. Alfred Capus. 1909. L'aéroplanomanie - II : Cahier de 50 feuillets : Notes et arguments de romans (1909-1933) ; III : Cahiers de 50 feuillets dont la moitié manuscrits. Recueil de poésies dont un "A Jean Balde", ou "L'Agenais" (1922-1931) ; IV : Cahiers de 50 feuillets dont une trentaine manuscrits. Recueil de poésies intitulé "Chansons pour ses yeux" (1910-1912) ; V : Cahiers d'environ 60 feuillets "Prose et poésies mêlées". Sur la mariage de ma cousine Andrée. Tsoushima. etc... (1905-1906) ; VI : Cahiers de 50 feuillets manuscrits. Premiers Rêves. Poèmes (1904-1906) ; VII : Cahiers de 50 feuillets manuscrits. Poèmes (1904-1909) ; VIII : Cahier dont 12 ff. sont manuscrits : Voyage aux Pyrénnés (sic) ; IX : Cahiers de 50 feuillets manuscrits. Poèmes 1912-1919 ; X : Cahiers de 50 feuillets manuscrits ayant pour Titre "Jean Dentu" [pseudonyme de Pierre de La Batut ] Carnet de notes de romans.‎


‎Important lot de 10 cahiers (plus de 850 pages) de notes autographes ( dont nous n'avons donné qu'un aperçu très succinct) rédigées par l'écrivain d'origine périgourdine Pierre de La Batut. Prix dut lot, non séparable. ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR1,450.00 (€1,450.00 )

‎DE LA BATUT, Pierre ; [ LECONTE, Georges ]‎

Reference : 44478

(1944)

‎La Fille aux Diables [ Tapuscrit enrichi de très nombreuses corrections autographes. On joint une Lettre signée adressée à l'auteur par Georges Leconte, Président de la Société des gens de Lettres : ] "15 décembre 1944. Monsieur et Cher Confrère. Votre roman "la Fille aux diables" a deux originalités : celle du sujet, celle de la forme. Sujet émouvant : car nos coeurs battent toujours un peu plus vite dès qu'il s'agit des Vosgiens, de leurs calamités, des ressources de leur endurance, de leur fidélité. Vous avez traité votre sujet, je dirais presque, en vitrail, à cause des couleurs chatoyantes et profondes de votre style. Mais il serait plus juste de dire que vous l'avez traité en légende, car nous croyons pénétrer dans une légende dorée"... [ Avec : ] Prospectus NRF pour "La Fille aux diables" : "On sait que, dès les premières heures des hostilités, des villages entiers de la zone frontière furent vidés de leurs habitants, ceux-ci étant envoyés vers les départements de l'intérieur. On put, à ce sujet, parler "d'exil", car, encore qu'ils n'aient pas quitté le sol de France, ces Lorrains et ces Alsaciens brusquement transplantés dans le midi durent s'adapter [ ... ] Pierre de La Batut a symbolisé cetteétrange aventure dans l'attachante histoire de cette Elsa Schwartz et de sa mère Catherine, du bourg de Lokenheim, que le hasard a conduites dans un petit village de la Doirdogne" ‎

‎1 tapuscrit de 127 pp., avec très nombreuses corrections autographes de l'auteur, s.d. (circa 1944) On joint une Lettre signée de Georges Leconte, Président de la Société des gens de Lettres : ] "15 décembre 1944. Monsieur et Cher Confrère. Votre roman "la Fille aux diables" a deux originalités : celle du sujet, celle de la forme. Sujet émouvant : car nos coeurs battent toujours un peu plus vite dès qu'il s'agit des Vosgiens, de leurs calamités, des ressources de leur endurance, de leur fidélité. Vous avez traité votre sujet, je dirais presque, en vitrail, à cause des couleurs chatoyantes et profondes de votre style. Mais il serait plus juste de dire que vous l'avez traité en légende, car nous croyons pénétrer dans une légende dorée"... Avec : ] Prospectus NRF pour "La Fille aux diables" : "On sait que, dès les premières heures des hostilités, des villages entiers de la zone frontière furent vidés de leurs habitants, ceux-ci étant envoyés vers les départements de l'intérieur. On put, à ce sujet, parler "d'exil", car, encore qu'ils n'aient pas quitté le sol de France, ces Lorrains et ces Alsaciens brusquement transplantés dans le midi durent s'adapter [ ... ] Pierre de La Batut a symbolisé cetteétrange aventure dans l'attachante histoire de cette Elsa Schwartz et de sa mère Catherine, du bourg de Lokenheim, que le hasard a conduites dans un petit village de la Doirdogne" ‎


‎Rare exemplaire de ce tapuscrit abondamment corrigé par le romancier bergeracois Pierre de La Batut. "La Fille aux diables" romance l'épreuve des alsaciens de 1939-1940 réfugiés dans le Périgord. Il s'agit d'un des tous meilleurs romans de l'auteur , et l'on songe à ce courrier de Jean Paulhan adressé à l'auteur : "La Fille aux diables m'a intéressé, et j'attendrai impatiemment la deuxième version promise". L'ouvrage fut publié chez Gallimard en 1944.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR550.00 (€550.00 )

‎DE LA BATUT, Pierre ; PAULHAN, Jean ; SUPERVIELLE, Jules ; COPEAU, Jacques ; GARRICK, Yvonne ; ACHARD, Paul ; DAYOT, Armand ; DEKOBRA, Maurice ; ANTOINE, André ; FOLEY, Charles ; SERVAIS, Jean ; BIRABEAU, André ; JOINARD, Achille ; ARMORY ; SARMENT, Jean ; GILLET, Louis ; MAURRAS, Charles‎

Reference : 44475

(1914)

‎[ Lot de courriers d'intérêt littéraire dont nombreuses lettres autographes signées adressées ou relatifs à l'écrivain Pierre de La Batut dont : ] Jean Paulhan : L.S. (non datée) : "Merci de votre lettre et des deux manuscrits. La Fille aux diables m'a intéressé, et j'attendrai impatiemment la deuxième version promise. Pour l'homme d'affaires, vous avouerai-je, si les changements de composition me semblent heureux, que je ne suis pas sans regrtetter le ton de la première version". - Jacques Copeau (21 février 1941 : "Je n'ai pas le souvenir d'avoir jamais eu sous les yeux l'ouvrage dont vous me parlez. [ ...] ) - Jules Supervielle, 2 L.A.S. (à Pierre puis à son fils : ) "24 janvier 1949 : J'ai gardé un excellent souvenir de votre père qui était en effet un de mes bons amis. Mais je n'ai jamais écrit de préface [ ...]) - Achille Joinard, Président de La Rose Blanche, Directeur du Mousquetaire (LAS sur carte de visite, recommandation de Pierre de la Batut au Général Rebillot) - Plusieurs prospectus de pièces de théatre de Pierre de La Batut, un bulletin de déclaration à la SACD - Paul Achard : 2 LAS (... il est convenu que vous me donnez une option d'un an pour céder à une maison de production cinématographique [ ...] les droits d'adaptation de votre roman L'homme d'Affaires) - Yvonne Garrick : 2 LAS (On m'offre un rôle dans la pièce qu'on monte de suite à l'Oeuvre mais il n'y a qu'une scène avec Fresnay, croyez(vous que je doive accepter ? Moreno s'est bien rendu célèbre avec 1 scène !" - Courrier de la Société des Gens de Lettres ("Pourriez-vous joindre au portrait un autographe d'Edouard Dentu) - Armand Dayot (2 L.A.S.) - Plusieurs courriers de Journaux et Maisons d'Edition (NRF, Echo de Paris, J. Dupuis et Cie, Art et Connaissance ) - Jean Servais : 3 LAS (il sollicite auprès de Pierre de La Batut puis auprès de son fils leur accord pour une adaptation cinémétographique du roman "Le Consentement" - André Birabeau : 2 L.S. à Francis de La Batut : "Les héritiers de René Boylseve vienne d'autoriser un musicien et un librettiste à tirer une opérette de "La leçon d'Amour dans un Parc". J'ai obtenu que la comédie que votre père et moi avions faite autrefois [ ...] soit utilisée pour cette adaptation musicale". (on joint une LAS de Gérard Failly exécuteur testamentaire de René Boylesve) - André Antoine : 1 L.S. (13 juillet 1913 : sur une pièce passant au comité de lecture du Théatre National de l'Odéon) - Pierre de La Batut : Contrat sur papier timbré signé avec le directeur du Théâtre de Verdun du Pré Catelan, 18 avril 1914. - Albert Pestour, rédacteur en chef du "Salut National" : "28 janvier 1930 [...] M. de Choiseul a eu peu d'un procès [ ...] j'ai tripoté votre texte au galop, car l'heure pressait [ ...] - Armory, L.S. 1941 - Jean Sarment, 1 L.A.S. et 1 L.S. (1939) - Charles Foley, 1 L.A.S. 1925 - Louis Gillet, 1 L.A.S. (16 août 1934) - Charles Maurras, 1 L.S. à en-tête de l'Action Française ( 5 mars 1938)‎

‎Ensemble de plus de 40 pièces, entre 1914 et 1951 dont : Jean Paulhan : L.S. (non datée) : "Merci de votre lettre et des deux manuscrits. La Fille aux diables m'a intéressé, et j'attendrai impatiemment la deuxième version promise. Pour l'homme d'affaires, vous avouerai-je, si les changements de composition me semblent heureux, que je ne suis pas sans regrtetter le ton de la première version". - Jacques Copeau (21 février 1941 : "Je n'ai pas le souvenir d'avoir jamais eu sous les yeux l'ouvrage dont vous me parlez. [ ...] ) - Jules Supervielle, 2 L.A.S. (à Pierre puis à son fils : ) "24 janvier 1949 : J'ai gardé un excellent souvenir de votre père qui était en effet un de mes bons amis. Mais je n'ai jamais écrit de préface [ ...]) - Achille Joinard, Président de La Rose Blanche, Directeur du Mousquetaire (LAS sur carte de visite, recommandation de Pierre de la Batut au Général Rebillot) - Plusieurs prospectus de pièces de théatre de Pierre de La Batut, un bulletin de déclaration à la SACD - Paul Achard : 2 LAS (... il est convenu que vous me donnez une option d'un an pour céder à une maison de production cinématographique [ ...] les droits d'adaptation de votre roman L'homme d'Affaires) - Yvonne Garrick : 2 LAS (On m'offre un rôle dans la pièce qu'on monte de suite à l'Oeuvre mais il n'y a qu'une scène avec Fresnay, croyez(vous que je doive accepter ? Moreno s'est bien rendu célèbre avec 1 scène !" - Courrier de la Société des Gens de Lettres ("Pourriez-vous joindre au portrait un autographe d'Edouard Dentu) - Armand Dayot (2 L.A.S.) - Plusieurs courriers de Journaux et Maisons d'Edition (NRF, Echo de Paris, J. Dupuis et Cie, Art et Connaissance ) - Jean Servais : 3 LAS (il sollicite auprès de Pierre de La Batut puis auprès de son fils leur accord pour une adaptation cinémétographique du roman "Le Consentement" - André Birabeau : 2 L.S. à Francis de La Batut : "Les héritiers de René Boylseve vienne d'autoriser un musicien et un librettiste à tirer une opérette de "La leçon d'Amour dans un Parc". J'ai obtenu que la comédie que votre père et moi avions faite autrefois [ ...] soit utilisée pour cette adaptation musicale". (on joint une LAS de Gérard Failly exécuteur testamentaire de René Boylesve) - André Antoine : 1 L.S. (13 juillet 1913 : sur une pièce passant au comité de lecture du Théatre National de l'Odéon) - Pierre de La Batut : Contrat sur papier timbré signé avec le directeur du Théâtre de Verdun du Pré Catelan, 18 avril 1914. - Albert Pestour, rédacteur en chef du "Salut National" : "28 janvier 1930 [...] M. de Choiseul a eu peu d'un procès [ ...] j'ai tripoté votre texte au galop, car l'heure pressait [ ...] - Armory, L.S. 1941 - Jean Sarment, 1 L.A.S. et 1 L.S. (1939) - Charles Foley, 1 L.A.S. 1925 - Louis Gillet, 1 L.A.S. (16 août 1934) - Charles Maurras, 1 L.S. à en-tête de l'Action Française ( 5 mars 1938)‎


‎Intéressant lot d'archives familiales réunissant courriers autographes de personnalités littéraires et documents d'intérêt littéraire adressés à Pierre de la Batut (ou relatif à lui et adressés à son fils). On croise dans ces courriers quelques pseudonymes de l'écrivain : Pierre Tantare et Jean Dentu (du nom de sa mère, Jeanne Dentu, fille de l'éditeur Edouard Dentu).‎

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‎DELABORDE (Henri, vicomte) peintre d’histoire et historien d’art. Il fut également en 1855, conservateur du cabinet des estampes de la Bibliothèque impériale (1811-1899) ‎

Reference : 45C25

‎Manuscrit autographe signé intitulé, « LES DUCS D’URBIN - leur influence sur les arts et sur la littérature en Italie ». 73 p. in-folio, montées sur onglet et reliées dans un volume in-folio, demi-basane brune. Il fut l’un des premiers biographes d’Ingres avec Amaury-Duval. (Ingres, sa vie, ses travaux, sa doctrine). Rare.‎

‎Très intéressante étude abondamment corrigée, avec de nombreux repentirs et ajouts autographes en marge, sur les ducs d’Urbin, à propos du livre du grand collectionneur d’art James Dennistoun, (1803-1855) « Memoirs of the Dukes of Urbino » paru en 1851. A la suite de cet important article, consacré d’abord aux ducs de la maison de Montefeltro, puis à la maison Della Rovere, on a relié les méticuleuses notices et notes de lecture de Delaborde sur les princes, les évènements historiques, les artistes…. ‎


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‎DELACROIX Eugène‎

Reference : 75940

(1823)

‎Lettre d'amour autographe inédite à "Julie" (Louise de Pron) : "trompe-moi si tu veux, je te croirai, je veux tant te croire et j'en ai si besoin"‎

‎s.d. (ca 1823), 12x18,2 cm et 10x15,5cm, Six pages sur deux feuillets rempliés.‎


‎Lettre autographe presque totalement inédite du peintre Eugène Delacroix à sa passion de jeunesse, la mystérieuse «Julie», désormais identifiée comme étant Madame de Pron, de son nom de jeune filleLouise du Bois des Cours de La Maisonfort épouse de Louis-Jules Baron Rossignol de Pron et fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine et ami de Chateaubriand. 90 lignes, 6 pages sur deux feuillets rempliés. Quelques biffures et deux annotations de bibliographe au crayon en partie supérieure de la première page («no114»). Cette lettre est l'une des dernières à son amante en main privée, l'ensemble de la correspondance de Delacroix à Madame de Pron étant conservé au Getty Research Institute (Los Angeles). Seules neuf des quatre-vingt-dix lignes de cette lettre inédite furent transcrites dans le Burlington Magazine de septembre 2009, à l'occasion du long article de Michèle Hanoosh, Bertrand et Lorraine Servois dont les recherches révélèrent enfin l'identité de la fameuse destinataire. Sublime lettre d'amour d'Eugène Delacroix âgé de vingt-quatre ans, adressée à son amante Madame de Pron, de douze ans son aînée, qui déchaîna chez lui la plus vive passion. Cet épisode de jeunesse du peintre, alors considéré commel'étoile montante du Romantisme, est longtemps demeuré un mystère dans la biographie de Delacroix, qui prit soin de conserver l'anonymat de son amante grâce à divers pseudonymes: la «Cara», «la dame des Italiens», ou encore «Julie», comme dans cette lettre, en référence au fameux roman épistolaire Julie ou la Nouvelle Héloïse de Rousseau. Pour des raisons évidentes, Delacroix ne signa aucune lettre de son nom dans sa correspondance avec la dame. Grande figure de l'aristocratie légitimiste, la destinataire de cette lettre enfiévrée est Madame de Pron, fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine, ami de Chateaubriand. Sa beauté fut immortalisée en 1818 par Élisabeth Vigée-Lebrun, qui réalisa son portrait au pastel, coiffée à l'orientale. La rencontre de Delacroix et de Madame de Pron eut lieu en avril 1822 lors de la commande du portrait du fils de celle-ci, Adrien, élève au lycée Impérial (actuel lycée Louis-le-Grand). Delacroix avait été commissionné pour le portrait par son ami intime Charles Soulier, amant de Madame de Pron, qui bien malgré lui servit d'entremetteur à Delacroix. En l'absence de Soulier parti en Italie, le peintre et la jeune femme nouèrent une relation amoureuse intense. La commande de portrait devint un prétexte à leurs tendres rendez-vous dans son atelier de la rue de Grès tandis que nulle trace de peinture de l'enfant n'a encore été retrouvée à ce jour. Leur aventure dura à peine plus d'une année, mais fut l'une des plus intenses passions de la vie de l'artiste. Notre missive doit sans doute correspondre aux derniers feux de leur relation, au mois de novembre 1823. Après une de ses visites au terme d'un hiatus de plusieurs mois, Delacroix lui réécrit sous le coup de l'émotion : «Je rentre le cur tout bouleversé, quelle bonne soirée! [...]Quelques fois je me dis: pourquoi l'ai-je revue? Dans la paisible retraite où je vivais, même au milieu des lieux invisibles que je m'étais formé [...] je parvenais à faire taire mon cur». Madame de Pron avait en effet décidé de mettre un terme à leurs relations intimes (voir sa lettre du 10 novembre 1823: «Je veux de l'amitié bien douce [...] je ne veux pas vous tourmenter», (Getty Research Institute). Perdant tout discernement et avec une dévotion aveugle, Delacroix tente de faire renaître leur liaison: «Fais-moi mentir, prouve-moi que ton âme est bien celle de la Julie que j'aie vue autrefois, puisque la mienne a retrouvé ses émotions charmantes et ses inquiétudes». Mais le peintre se heurte à Soulier et au général de Coëtlosquet, eux aussi amants de Madame de Pron. Delacroix avait évité de justesse une brouille définitive avec Soulier, qui avait failli apercevoir une lettre de Madame de Pron dans ses appartements : «J'ai feint d'avoir perdu ma clef [...] J'espère que mon tort envers lui n'influera pas sur ses relations avec... Dieu veuille qu'il l'ignore toujours!» (Journal, 27 octobre 1822, éd. Michèle Hanoosh, vol.1, p.94). Prisonnier de ce carré amoureux, Delacroix se résigne à partager l'affection de son amante, mais il lui en fait l'amer reproche: «Je crains que vous ne puissiez pas aimer parfaitement. Il s'est fait dans vos sentiments une lacune qui vous a été fatale [...] dis-moi que non, dis-le-moi de toutes les manières, trompe-moi si tu veux, je te croirai, je veux tant te croire et j'en ai si besoin». Vouvoiement et invectives familières se confondent dans l'esprit tourmenté du peintre. Ironie du sort, Delacroix séjourna fréquemment chez l'autre amant de Madame de Pron, son cousin le général d'Empire Charles Yves César Cyr du Coëtlosquet, chez qui elle logeait rue Saint-Dominique. Delacroix prendra sa revanche sur ce rival en peignant pour lui en 1826 la fameuse Nature morte aux homards (musée du Louvre), prenant soin d'y glisser de facétieuses références à l'ultra-royalisme de son commanditaire : «J'ai achevé le tableau d'animaux du général [...] Il a déjà donné dans l'il à une provision d'amateurs et je crois que cela sera drôle au Salon [de 1827-1828]» écrit-il dans une lettre à Charles Soulier. Un souvenir de la liaison de Delacroix avec Madame de Pron subsiste dans son tableau en cours, les Scènes du Massacre de Scio, révélation du Salon de 1824, qui placera Delacroix en chef de file du Romantisme et révolutionnera l'histoire de la peinture. En effet, il se procurera par l'entremise de son amante des armes Mameloukes, dont il subsiste une étude (J72) et qui figurent au flanc du spahi chargeant les femmes dans la composition finale. Aussi, un album d'aquarelles de la main de son ami Soulier le représente en train d'orner la chambre de son ancienne amante de décors pompéiens dans le château de Beffes, où il séjournera brièvement en juin 1826. L'ardeur de sa passion pour Madame de Pron est enfin révélée par cette lettre qui ne figure dans aucun essai biographique ni correspondance du peintre. Plus tard, Delacroix se rappellera au bon souvenir de son amante: «Tu diras à Mme de Pron que les Françaises n'ont pas d'égales pour la grâce» (lettre à Soulier, 6juin 1825). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎DELACROIX Eugène‎

Reference : 75941

(1823)

‎Lettre d'amour autographe à "Julie" (Louise de Pron) : "Je voudrais circuler avec ton sang dans les veines et aller dans ton cur, y voir si je l'occupe tout entier."‎

‎mercredi 5 novembre [1823], 19,7x29,9cm, une feuille rempliée.‎


‎Lettre autographe datée du peintre Eugène Delacroix à sa passion de jeunesse, la mystérieuse «Julie», désormais identifiée comme étant Madame de Pron, de son nom de jeune fille Louise du Bois des Cours de La Maisonfort épouse de Louis-Jules Baron Rossignol de Pron et fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine et ami de Chateaubriand. 27 lignes sur un feuillet remplié. Deux déchirures marginales à la pliure du feuillet. Discrètes déchirures en partie supérieure. Note au crayon d'un précédent bibliographe en partie supérieure droite («no 11»). Cette lettre demeure l'une des dernières à son amante en main privée, l'ensemble de la correspondance de Delacroix à Madame de Pron étant conservé au J.Paul Getty Research Institute (Los Angeles). Elle fut transcrite uniquement dans le Burlington Magazine de septembre 2009, à l'occasion du long article de Michèle Hanoosh, Bertrand et Lorraine Servois dont les recherches révélèrent enfin l'identité de la fameuse destinataire. «Aime-moi comme je t'aime, comme l'amour veut qu'on aime.» Écrivant dans le feu de la passion, le jeune Eugène laisse libre court à sa verve amoureuse dans cette véritable uvre d'art épistolaire où se mêlent désirs et souvenirs, romantisme et prosaïsme, et d'où semblent déjà sourdre les grands thèmes picturaux du génie Delacroix. En avril 1822, alors qu'il présente au Salon sa première grande toile Dante et Virgile aux Enfers, Delacroix découvre le Paradis grâce à sa rencontre avec Madame de Pron, maîtresse de son ami intime Charles Soulier qui le charge de réaliser le portrait de son fils, Adrien. Nul ne sait si ce portrait qui n'a jamais été retrouvé fut achevé un jour, mais il servit de prétexte aux rencontres secrètes des deux amants dans l'atelier de la rue de Grès. La beauté de Louise avait été immortalisée quelques années plus tôt par le trait délicat d'Élisabeth Vigée-Lebrun, qui réalisa un portrait d'elle coiffée à l'orientale dans une pose de naturelle élégance. Leur aventure dura à peine plus d'une année, mais fut l'une des plus intenses passions de la vie de l'artiste. Il ne fut pourtant pas le seul amant de cette femme étonnante dont le mari alcoolique et violent venait juste d'être interné à la maison Royale de Charenton après avoir été déclaré fou. Seule, Madame de Pron trouva réconfort dans les bras d'un aréopage d'amants, parmi lesquels Soulier, l'ami de Delacroix, et le général de Coëtlosquet qu'elle épousera après l'officialisation de son divorce en 1829. Ces liaisons scandaleuses n'auraient sous aucun prétexte pu être rendue publique; et Delacroix, dans ses lettres et ses cahiers, surnomma donc son amante «Julie» (en référence à La Nouvelle Héloïse), «J.» ou «la Cara». Sa discrétion fut telle que même ses biographes ne purent jusqu'à récemment déceler la mystérieuse identité de la plus brûlante passion de Delacroix. Le futur peintre de harems d'Alger, fut donc lui-même l'un des hommes de l'androcée de Madame de Pron. S'il respecte ses rivaux, dont l'un est un ami intime et l'autre un futur commanditaire pour lequel il peindra plus tard sa surprenante Nature morte au homard, (Musée du Louvre) Delacroix souffre cependant de la polyandrie de sa maîtresse, tandis que lui-même délaissait Émilie Robert, son amante et modèle pour les Scènes du Massacre de Scio. Les lettres de Delacroix portent la marque de cette douloureuse inconstance de «Julie», et de la précarité de cet amour fou pour une aristocrate de haute lignée, mariée, mère, de douze ans son aînée et déjà promise à son noble et riche cousin. Mais peu importe car «L'amour [...] est un tyran: il veut tout, et quand il a tout, il voudrait l'impossible». La beauté des lettres d'amour de l'amant partage avec la perfection des uvres du peintre le même secret; Delacroix en multiplie les esquisses avant de laisser sa plume et son pinceau exprimer sa passion. Ainsi lit-on dans son fameux Journal plusieurs brouillons de ses missives enflammées à «J.». Pourtant, nous n'avons trouvé nulle trace de cette incroyable déclaration éminemment picturale rédigée au retour d'une de leurs rencontres amoureuses et dont les mots et les images jaillissent de la plume du fougueux amant qui continue à croquer en songe sa maîtresse: «rentrant dans ta petite chambre adorée, et où reposent toutes tes grâces dans ce lit que mon amour jaloux ne peut partager». Telle une de ces peintures, cette lettre fait écho à la fascination du peintre pour l'anatomie des corps écorchés, «Je voudrais circuler avec ton sang dans les veines et aller dans ton cur, y voir si je l'occupe tout entier.»; traverse les cauchemars de l'auteur de La mort de Sardanapale, «Me coucher! C'est me séparer de toi une seconde fois, [...] et qui sait ce que m'apportera le vague des songes. Sera-ce ta douce image? Ou ma triste imagination enfantera-t-elle encore des monstres horribles?»; et emporte sur un carré de toile chaque parcelle du corps de son amante: «Pourquoi est-ce que je baise encore mon mouchoir qui t'a touchée tout à l'heure, qui t'a touchée partout.» Une des plus belles lettres de Delacroix, et dernières en main privée, adressée à sa maîtresse «Julie», dont l'identitéest longtemps restée inconnue des biographes du peintre. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR8,500.00 (€8,500.00 )

‎DELACROIX (Eugène). [1798-1863]. ‎

Reference : S634

Jacques Chaminade - Aix les Bains

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EUR500.00 (€500.00 )

‎DE LA FORGE Jacques‎

Reference : 13614

‎ La chanson de la commission ‎

‎DE LA FORGE Jacques (pseudonyme de Charles JACQUINOT) La chanson de la commission Boutade en vers et contre tous précédée d’un prologue épique terminée par épilogue substantiel, mais heureusement très court, et gazouillis de l'auteur, dans les salons du Cercle de Saint-Dizier le jeudi 8 avril 1897. Typographie et lithographie GODDARD Saint - Dizier. In 12 broché, 115x185mm. faux-titre, justification de tirage, frontispice gravé sous serpente,(troubadour) une gravure de l’auteur, sous serpente , 28 pages. Envoi manuscrit autographe à la plume, de l’auteur. Exemplaire n° 148/201, sur papier à la forme avec double frontispice en noir. Très bon état ‎


Charbonnel - Bar le Duc

Phone number : 03 29 79 40 63

EUR25.00 (€25.00 )

‎DELAHACHE Georges (Lucien Aaron dit)‎

Reference : 9285

‎Écrivain, auteur du mémoire "Juifs" publié aux Cahiers de la quinzaine.‎

‎L.A.S. Paris le 14 janvier 1912, à Monsieur Bouat (descendant du Général) et L.A.S. du 25 octobre 1928, à propos d'une cérémonie commémorative d'un écrivain (?). Très bon ‎


EUR50.00 (€50.00 )

‎DELAPORTE Y.‎

Reference : S98535

(1929)

‎Les manuscrits enluminés de la bibliothèque de Chartres‎

‎Chartres, Société archéologique d'Eure-et-Loir 1929 xii + 190pp. + 24 planches hors-texte en héliotype, signé avec dédicace par l'auteur, imprimé sur papier de luxe, belle reliure cart. moderne (br. orig. conservée et reliée), 25cm., [Contient la description de 300 manuscrits], S98535‎


Phone number : +32476917667

EUR90.00 (€90.00 )

‎De La ROCHE (Charles-Ferdinand, Comte)‎

Reference : 182

‎Correspondance avec Charles Cuchetet, ex-commissaire général de la maison de Madame la duchesse de Berry : 23 lettres‎

‎ Graz (alors Autriche-Hongrie) 1879-1886 Formats divers, in-8° et inférieurs (210 x 135 mm à 133 x 102 mm), [43] ff. dont [1] bl. et une enveloppe.‎


‎Une correspondante inédite du comte de la Roche, fils naturel du duc de Berry Ces 23 lettres autographes signées laissent place, après les politesses et voeux de rigueur, à l'actualité : situation politique et culturelle en Europe, notamment en France, en Prusse et en Autriche, Bismack, Russie, Wagner, Haydn, etc., et aux nouvelles fraîches du gotha familial Bourbon dont celles, de son demi-frère Henri, comte de Chambord et de son épouse, d'Alphonse, duc de San Jaime et de son frère Carlos, duc de Madrid, du comte de Bardi et de l'archiduchesse Alice (fils et fille de Louise, soeur du comte du Chambord), du duc della Grazia, etc., ainsi qu'à l'ardent souvenir qui les lie, celui de la mère de ce dernier, Madame, duchesse de Berry qu'ils côtoyèrent tous les deux durant plus de 30 ans. Charles Ferdinand de la Roche (1817-1908), est un fils naturel du duc de Berry, né de sa liaison avec Marie-Sophie de La Roche (1795-1883). Un second enfant (1820-1901), prénommé comme le premier, naîtra aussi du même lit, ce qui leur valurent d'être souvent confondu. Charles Ferdinand Ier qui jouissait d'une grande ressemblance avec son père fut toujours d'une rare discrétion. À la mort de celui-ci, il trouva en la duchesse de Berry une protectrice dévouée pour qui il conserva toujours la plus vive gratitude. Il lui servit, à Brunsee à partir de 1850 et ce jusqu'à la mort de Madame, de Chambellan et de secrétaire 1. Parfaite conservation. ‎

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