, Bruxelles / Paris, Weckesser , ungebunden 4? (29*21 cm), 2 Bll., LXXXV S., 66 S. m. Schmuckinitiale, im Zweifarbendruck, m. Inhalts- u. Abbildungsverzeichnis, 3 Bll., 10 farb. Faksimile-Tafeln m. Goldauflage der Jean le Tavernier zugeschriebenen Miniaturen aus dem Manuscrit de Bruxelles [KBR, 10308], 32 SW-Tafeln ("Planches Documentaires").
Abbildungen der Miniaturen aus Handschriften anderer Provenienz, alles ungebunden u. unbeschnitten in 3 Mappen
1 page in-folio - bon état -
On y trouve les signatures de Serge Lifar, Max Bozzoni, Renault, Lycette Darsonval, Bardin, Lafon, Bourgeois, Guillot, Blareau , Oudart ...- Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
Vers 1863, 1 volume in-4 de 200x290 mm environ, demi-chagrin bleu marine, dos à 5 nerfs portant titres dorés, gardes marbrées. Copie manuscrite d'après le manuscrit original de M. de Valous (87 p.) suivie de la copie manuscrite des notes de M. de Valous sur son ouvrage (19 p.). Bon état.
VALOUS Vital de, Jean-Vital : 2 mars 1825 à Fleurieux-sur-l'Arbresle (Rhône) - 17 décembre 1883 à Fleurieux-sur-l'Arbresle. Avocat, sous-bibliothécaire (1860) puis bibliothécaire adjoint (1869) au Palais des Arts, retiré en 1881. Atteint de surdité totale à 20 ans.En 1863, suite à la parution des Origines des familles consulaires : beaucoup de familles nobles, ou prétendues telles, ne supportèrent pas de voir étaler leur origine toute marchande, et condamnèrent la brochure au bûcher, lélevant du même coup au rang de rareté bibliophilique ! (cf site Ville de Fleurieux). Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
En-tête de la Ligue Fédéraliste Française (Aix-en-Provence). Il invite son "Cher ami" à participer au développement du nouveau mouvement fédéraliste. Belle signature. 22 mai 19(19) 1 l.A.S.
Paris, Les Belles Lettres 1977 xii + 185pp., reliure cart.d'éditeur, bel état, dans la série "Bibliothèque de la Faculté de Philosophie et Lettres de l'Université de Liège" fasc.215
Wien, Mechitharisten-Buchdruckerei 1895 xvii + 1164pp. + 7 plates out of text (of which 2 in colour), 31cm., bound in firm and intact modern bordeaux cloth, in the series "Haupt-Catalog der Armenischen Handschriften herausgegeben von der Wiener Mechitharisten-Congregation. Band I: Die Armenische Handschriften in Österreich" part 2, text is clean and bright, good condition, weight: 4kg., X111533
Lettre Autographe Signée de Fernand Datte datée de 1972 adressée à Yvonnes Astruc. Sujet : demande du Trio à Cordes, Datte, Wiéner et Brizard de la garde républicaine, de recevoir les conseils du maitre Enesco.1 pages papier à en tête manuscrite et signée. Très bon état. Format in-8°(13x21).
Lettre manuscrite a. s. adressée à Émile Berr, s. d., 1 p. (15,7/9,8 cm). « Cher Monsieur, Je vous renvoie les épreuves de Baptiste Bonnet ; j’ai fait à l’en-tête deux ou trois petits ajouts, il ne m’a pas paru utile d’en dire plus long. Voyez du reste, et faites à votre idée. Je vous remercie de n’avoir pas oublié sur les marches ce joli tableau d’un noël paysan. Alph. Daudet. »
Les œuvres de Baptiste Bonnet, auteur provençal, furent traduites en français par Daudet.
s.l. s.d., 10x6cm, une carte.
Carte autographe signée d'Alphonse Daudet, 7 lignes à l'encre noire, rature de la main de l'auteur. Billet d'éloge adressé à Jean Jullien, dramaturge précurseur des révolutions théâtrales du XXe siècle, à propos de l'une de ses pièces dont Daudet souligne l'esthétique naturaliste: «quels admirables actes d'une émouvante et large poésie d'observation[...]nous pleurions dans cette avant-scène à faire pitié». - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., S.l. 5 Mai 1889, 10,5x6cm, une feuille + une enveloppe.
Carte de visite autographe signée d'Alphonse Daudet, 13 lignes écrites à l'encre bleue, adressée au journaliste et librettiste Philippe Gille lui adressant ses remerciements et ses félicitations pour une récente représentation. Enveloppe jointe. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d (circa 1880), une feuille.
Lettre manuscrite à l'encre sur papierVergé, 11 lignes à l'écriture serrée, sans date ni adresse. Une indication ancienne indique que la lettre était adressée à Émile Zola, information qui ne peut être vérifiée. La lettre offre un aperçu des liens étroits qui unissent le groupe littéraire auquel appartient Alphonse Daudet. Si l'identité du destinataire n'est pas vérifiée, Daudet s'adresse à un membre du Groupe des Cinq dont la mention est clairement identifiable : «J'ai envie de lui écrire un mot pour lui proposer de venir avec nous cinq». L'évocation de «notre dîner» renvoie certainement aux fameux dîners des «auteurs sifflés» constitués par Tourguéniev, Zola, Flaubert, Goncourt et Daudet. Le ton de la lettre explicite les relations parfois tendues avec les personnes à l'extérieur du cercle: «J'ai un remords/ Charpentier. - il avait une si drôle de tête l'autre soir [...] Ils sont embêtés, humiliés, d'un susceptible». Les soirées du groupe semblent relativement fermées, ce que laisse supposer ces lignes : «Goncourt ne sera peut-être pas ravi mais il est trop bien élevé pour le laisser voir. Qu'en pensez-vous?» - Photos sur www.Edition-originale.com -
1889 1889. 1 feuillet, recto. Encre noire, un onglet au verso. EMOUVANT MANUSCRIT AUTOGRAPHE SIGNÉ, extrait d'un chapitre de l'Histoire de mes livres: Le Petit Chose, publié en 1889 dansTrente ans de Paris. Daudet évoque les sources autobiographiques du chapitre III de la première partie, Il est mort ! Priez pour lui,dans lequel Le Petit Chose, rentré très en retard de l'école, apprend la maladie puis la mort de son frère ainé : "Lisez le chapitre intitulé "il est mort priez pour lui"une page de ma vie absolument vraie. C'est bien ainsi que la mort de mon frère ainé nous fut apprise, et j'ai encore dans les oreilles le cri du pauvre père devinant que son fils venait de mourir ; si navrant, si poignant, ce premier grand cri de douleur humaine tout près de moi, que tout la nuit, pleurant, me désespérant, je me surprenais d'répéter "il est mort !" l'intonation paternelle. Par là s'est révélée l'existence de mon double, de l'implacable témoin, qui au milieu de notre deuil avait retenu comme au théâtre la justesse d'un cri de l'essayait sur mes lèvres désolées. Alphonse Daudet. " On retrouve, dans le texte imprimé, une definition plus précise cette notion de double : "Cétait comme un regard intérieur, impassible et fixe, un double inerte et froid qui dans les plus violentes bordées du Petit Chose observait tout, prenait des notes et disait le lendemain" ; Daudet regrette d'ailleurs "en relisant [son]livre, de ny rien trouver de ces aveux, surtout dans la première partie où le personnage de Daniel Eyssette me ressemble tellement". Rare document.
Signé par l'auteur
Paris, Charpentier et Fasquelle (imprimerie Draeger), 1897; in-12, bradel demi- percaline vert kaki, pièce de titre rouge, fleuron doré, initiales de H. David en queue, couverture illustrée en couleurs conservée (Zaugg) ; [4] ff. les deux premiers blancs, 155 pp., [2] ff. le dernier blanc et 56 illustrations y compris la couverture dont 20 hors-texte.
Edition originale de ce bel ouvrage illustré en chromotypographie sur papier couché deux faces (papier glacé), texte dans un encadrement de filet vert, ex-librismanuscrit de H. David au dos du premier plat de l’ouvrage.
Phone number : 06 60 22 21 35
Lettre manuscrite a. s. adressée à Émile Berr. 1 p. sur papier vert d’eau (11,3/17,6 cm). « Cher ami, Rien de plus simple que d’alléger ma nouvelle. Je vous la donnerai en allant au journal et je ferai les coupures séance tenante. Cordialement à vous, Ernest Daudet, 5 mai. »
1 p. in-16 obl. sur carte bleutée, Paris 17 septembre 1898 et 1 demi-page in-12, Paris, 8 octobre 1905. Dans le premier courrier, il demande à recevoir un exemplaire d'un livre paru en 1875 et ajoute, "j'aurais sûrement l'occasion de citer cet ouvrage". Dans le second courrier, il réclame un exemplaire de Jean-Marie Kerdren et ses soeurs d'Auguste Le Bras, "en souvenir des nombreux articles que j'ai faits jadis sur vos publications".
DAUDET Ernest - (Nimes 1837 - Les Petites-Dalles 1921)) - écrivain français
Reference : GF16041
1 page in8 - bon état -
Réponse à une enquête: "Ce que je voudrais trouver à mon réveil le jour de Noêl" - "Un programme politique et social...." qui substituerait un esprit d'amour à l'esprit de haine d'aujourd'hui - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
DAUDET Ernest - (Nimes 1837 - Les Petites-Dalles 1921)) - écrivain français
Reference : GF25286
4 pages in8 - trés bon état -
Manuscrit autographe signé d'un conte "La dot de Lucette", rédigé dans une écriture fine et trés serrée, raturé et corrigé, et se terminant par une demande d'épreuves à faire parvenir soit aux petites Dalbi, soit à l'Hotel de la Providence à Contrexeville - Le début: "Au mois de mars 1814, la France était envahie"...- Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
Lettre adressée à François COPPÉE (1842-1908), pour l’inviter à venir au mariage de son fils et à se reposer en Touraine. Très bon Vray par Chargé (Indre-et-Loire) 12 juillet et 12 août 1903 2 feuillets sur papier de deuil avec son cachet collé.
édition originale
Paris 28 mai 1936, 13,4x21cm, 2 pages sur un feuillet.
Lettre autographe signée de Lucien Daudet adressée à Lucien Descaves ; deux pages rédigées à l'encre noire sur un feuillet de papier bleu. Pliures inhérentes à l'envoi. Belle lettre évoquant Alexandre Arnoux, le talent et le prix Goncourt : "Alexandre Arnoux est un écrivain comparable a Vallery (sic) Larbaud, c'est-à-dire un homme remarquable à qui a manqué on ne sait quelle chance ou quelle ambition. [...] Quelquefois je m'imagine ce que devrait être l'Académie Goncourt, dans son véritable esprit Goncourt, et son prestige ici et en Europe, si les Dix étaient vous, mon frère, Claudel, Gide, Max Jacob, Cendrars, Malraux, Neveux, etc. "Alphonse Daudet, le père de Lucien, fut le premier président de l'Académie Goncourt en 1897. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 29 décembre 1942, 13,6x17,9cm et 14x17,8cm, 6 pages sur un double feuillet et un feuillet simple.
Lettre autographe signée de Lucien Daudet adressée à Lucien Descaves ; six pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet et un feuillet simple. Pliures inhérentes à l'envoi. Belle et longue lettre inédite adressée à Lucien Descaves, à qui Daudet n'avait pas donné de nouvelles depuis deux ans. Il retrace dans les grandes lignes les tragiques événements survenus depuis : "Depuis ce temps, je suis resté à Paris, j'ai assisté aux jours de juin 40 [...] J'ai entrepris, pour oublier ma vie, d'écrire une vie de mon père [...] Puis au mois d'août, j'ai compris que j'étais très malade [...] j'ai été opéré, réopéré, en novembre j'étais mourant, je ne savais plus rien, puis une phlébite. [...] Un mois après j'apprenais la mort de mon frère." Tous ces tristes mésaventures ne l'empêche pas de songer à l'Académie Gouncourt qu'il évoque longuement dans cette missive. En effet, son frère Léon Daudet étant décédé quelques mois plus tôt, les académiciens lui cherchent un successeur et le nom de Lucien figure parmi celui des favoris : "Dès que les journaux ont prononcé mon nom pour l'Académie Goncourt, j'ai été très embarrassé."Il énonce cependant les raisons pour lesquelles il ne souhaite pas rejoindre les dix : "Parce que je ne pouvais pas avoir l'air, mon frère étant mort de dire 'à mon tour' [...] Et enfin, c'est difficile d'écrire quand on est le fils d'Alphonse Daudet, mais quand en plus on est le frère de Léon Daudet [...] la partie était perdue d'avance pour moi.". C'est finalement La Varende qui sera élu sur la recommandation de René Benjamin et Sacha Guitry et malgré ses certitudes ("Je me présenterais un jour ou l'autre à l'Académie") Lucien Daudet n'intègrera jamais le prestigieux jury. Lucien a adjoint à sa première lettre un autre feuillet dans lequel il commente le dernier roman de Germaine Beaumont : "Il ne faut pas avoir la moindre idée de ce qu'est un roman, unvrai roman, pour ne pas avoir compris que depuis des années on n'avait pas écrit un roman de cettedensité-là." Cette considération littéraire est l'occasion pour Daudet d'aborder le cas Céline, qui - toujours en France à cette époque - vient de publier son troisième pamphletLes Beaux Draps:"Vous, moi, quelques uns avons aimé Céline quand il avait un grand talent. Et puis tous les imbéciles l'ont découvert quand il s'est imité lui-même et que ça n'a plus été que le moule à gaufres..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
1928 Sans date [1928]. 5 pp. (5 ff. manuscrits au recto). Cartonnage, papier marbré, pièce de titre en basane havane sur le plat supérieur. Frottements, mors supérieur fendu en queue. MANUSCRIT AUTOGRAPHE SIGNÉ, préparé vraisemblablement pour parution dans Action Française. Daudet y évoque la condamnation, en novembre 1928, de Serge di Modugno pour l'assassinat du comte Nardini (vice-consul d'Italie), et l'interprète comme une preuve de la corruption du jury de la Seine : Ce verdict est à rapprocher de celui acquittant Germaine Breton, qui avait tué très lâchement par derrière Marius Plateau, héros de la guerre ; et de celui acquittant l'ignoble Schwarzbard meurtrier de Petliura. [...] Le jury de la Seine est habilement trié et truqué par la sûreté générale, où fleurissent l'amour de l'Allemagne, la tendance révolutionnaire, et la haine du fascisme italien. [...] Comment la sûreté générale truque-t-elle le jury ? De la façon la plus simple du monde : la liste des personnes susceptibles d'être jurés (et parmi lesquelles on tirera on sort, sont effectuées à la suite d'enquêtes effectuées par des policiers. Ceux-ci, qui ont reçu des ordres, ont soin de désigner comme susceptibles de siéger au jury, parmi des personnalités honorables, des personnages notoirement ou obscurément tarés [...] Il soutient en effet la thèse d'un vaste complot organisé par la Sûreté Générale, thèse qui remonte pour Daudet à la fois au "complot des panoplies" (1917) et à la mort de son fils Philippe, dont Léon Daudet continuera de soutenir qu'il a été assassiné. Ces accusations lui vaudront, en 1927, d'être emprisonné à la Santé pour diffamation. Il évoque à plusieurs reprises son arrestation, dont il affirme qu'elle était la première étape d'une machination visant à le faire taire : C'est la sûreté générale qui a fait tuer Plateau, comme elle a fait tuer Philippe [...]. C'est elle aussi qui nous a fait condamner à la prison par le président Flory - viellard intimidable et niais - dans l'espoir de ma zigouiller en prison et ainsi de me faire taire définitivement. Daudet revient également sur son évasion, épisode rocambolesque que le journal La Patrie n'hésitera pas à qualifier de "guignolade de la Santé" (29 juin 1927). Daudet sera en effet aidé par Charlotte Montard et des complices des Camelots du Roi qui, se faisant passer au téléphone pour le ministre de l'intérieur, ordonneront tout simplement sa libération ! ce dégoûtant personnage [Barthou, garde des sceaux] a perdu la tête à la scène de mon évasion (il redoutait la fureur de la police, à qui les Camelots du Roi arrachaient sa proie), et coffré aveuglément, stupidement, [...] madame Montard et le petit Montard, enfant de quatre mois. Suite à son évasion, Daudet se réfugie en Belgique d'où il continue de contribuer à Action Française et de publier essais et pamphlets. Gracié, il ne regagnera Paris qu'en 1929. La police politique est l'antre, la caverne où se trament les guerres et les révolutions du temps moderne. Tant qu'elle n'aura pas été anéantie, [...] la France et l'Europe seront en péril. Couverture rigide
Signé par l'auteur
S.l.n.d., , (1939). Manuscrit in-folio en feuilles à 35 lignes sur belle page d'1 feuillet de titre et 122 ff.
Manuscrit autographe en feuilles signé Léon Daudet.À mon tour je veux montrer que conformément au mot de Clémenceau, la Révolution est un bloc… un bloc de bêtise, de fumier et de sang. Sa forme virulente fut la Terreur. Sa forme atténuée est la démocratie actuelle avec le parlementarisme et le suffrage universel, et le choix, comme fête nationale, de l'immonde quatorze juillet, où commença avec le mensonge de la Bastille, la promenade des têtes au bout des piques. Le quatorze juillet, véritable début de la période terroriste et complété par la la grande peur. Date fatale au pays. « Le vendredi 14 juillet 1939, la France célébrait le cent cinquantième anniversaire de la prise de la Bastille. À la tête du Comité national de la célébration du cent cinquantième anniversaire de la Révolution française, le «Président Herriot» maire de Lyon, président de la Chambre des députés et de surcroît, historien de métier, récusait ouvertement la présentation faite jadis par Clémenceau d’une Révolution qui aurait été «un bloc». Séparant le bon grain de la Terreur, il exaltait le courage des insurgés lyonnais de 1793 protestant contre la tyrannie de la Montagne. Au point que l’extrême-droite criait à l’escamotage. Pour Léon Daudet, pour les lecteurs de l’Action française,la Terreur avait pris son point de départ le 14 juillet 1789 ». [Jean-Pierre Azéma, 1940, l'année noire. De la débandade au trauma]. En 1939, quand Léon Daudet, soixante-douze ans, publia Deux idoles sanguinaires, il poursuivait sa collaboration à l’Action Française, où après avoir espéré la chute de la République lors de la manifestation du 6 février 1934, il dénonçait la corruption du régime, soutenait le fascisme de Mussolini et apportait son soutien à Franco. Manuscrit annoté, biffé et retouché par l'auteur, conforme à l’édition originale en neuf chapitres titrés et une conclusion publiée en 1939 dont on joint un exemplaire broché [Léon Daudet. Deux idoles sanguinaires. La Révolution et son fils Bonaparte. Paris, Albin Michel, 1939. In-12, 255 pp.] L’auteur a disposé dans son texte en guise de citations de nombreux extraits imprimés, joints ou contrecollés, empruntés entre autres aux publications de Léon Pingaud, Le comte d'Antraigues (1893) Edmond Soreau, Chute de l’Ancien Régime - la Révolution du 14 juillet (1937), Napoléon (Mercure de France, 1938) etc. reproduits dans l’édition originale ; quelques notes dont la pagination au crayon bleu sont d’une autre main, probablement celle de l’éditeur.Provenance Pierre Gaxotte (1895-1982) historien et journaliste, élu à l'Académie française en 1953, auteur de La Révolution française (Paris, Fayard,1928) : le manuscrit a été conservé sous une enveloppe qui porte son adresse «Monsieur P. Gaxotte de l’Académie Française / 23 rue Froidevaux / 75 - Paris XIVe Gaxotte».
DAUDET Léon - (Paris 1867 - Saint-Rémy-de-Provence 1942) - écrivain français
Reference : GF20308
1 page in16 + adresse au dos - bon état -
Rare lettre de jeunesse: "Papa accepte avec grand plaisir votre invitation"- Mais il aimerait avoir une seconde carte pour venir aussi - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
DAUDET Léon - (Paris 1867 - Saint-Rémy-de-Provence 1942) - écrivain français
Reference : GF20307
1 page in-folio - bon état -
Belle lettre sur l'acteur et l'écrivain: "J'apprends que tu vas débuter.Veux-tu m'envoyer le jour et la pièce. Je veux être au premier rang des braillards." Il a pour lui une vive tendresse - "Vous autres, comédiens, interprètes de la vie, vous arrivez au public d'une façon directe, lumineuse et hardie, au lieu que nous, rats de laboratoire,...nous avons a parcourir un long trajet souterrain à la manière des taupes..."- Il le compare ensuite à son père - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
DAUDET Léon - (Paris 1867 - Saint-Rémy-de-Provence 1942) - écrivain français
Reference : GF17876
2 pages in4 - bon état - Une à en-tête de l'Action française -
Curieuse et importante lettre : communication au directeur du Temps (pour insertion) d'une copie d'une lettre au cardinal Dubois - "Certains passages d'un roman de moi pouvaient ..être considérés comme susceptibles de scandaliser des ames innocentes, auxquelles il n'était d'ailleurs pas destiné..... En conséquence, j'ai pris la résolution.... de supprimer de mon oeuvre le roman en question..." Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -