L.A.S. Avignon, 6/4/1899: à l’ami Bruneau, lors du mariage de sa fille aînée. Lettre in-4°, 2 pages en provençal. L.A.S. , Avignon le 1er juin 1903: à l’ami Bruneau; Très bon
Li darrié poutoun d’uno maire. (au félibre F. Mistral). Très bon 2 pages in-4°.
La poulitico au païs de Pamparigousto. Très bon 4 pages in-4°.
reunis dans un volume IN4 reliure demi chagrin ,dos à faux nerfs titré,TE BOURR’ PAS l’CRANE revue en 2 actes ,janvier 1908,151p.- A C’ qu’ ON S’TORD, revue en 2 actes et un prologue 1909,non pagine 150p, -BEN ! QUOI D’NEUF;revue en 2 actes et 3 tableaux couplets et rondaux ,100p.
3 Manuscrits autographe signés, ecriture trés lisible,ratures et corrections.trés rare ,livrets dans aucune bibliothéque publique ? Bon état.
poèmes in 4 broché, faux-titre, titre, 35 pages, 1 page de table Editions Corymbe 25 septembre 1938 numérotée 135 sur vélin bibliophile. Envoi manuscrit autographe de l’auteur au peinte Jean DUPAS
Paris 1812 Cahier in-8° (227 x 180 mm), [1] f. -14 pp., manuscrit à l'encre brune
Le tout début d'un des cours de chirurgie les plus suivis du XIXe siècle Manuscrit, rédigé d'une main très lisible, composé par un étudiant en médecine lors d'un cours de chirurgie dispensé par Alexis Boyer, premier chirurgien de Napoléon Ier, à l'Hôpital de la Charité de Paris au printemps 1812. Le manuscrit couvre le tout début du cours (du 26 mai au 1er juin), à savoir : une introduction sur les maladies chirurgicales (ou maladies des parties « extérieures » du corps), organisées selon un système établi par Girolamo Fabrizi d'Acquapendente : plaies, tumeurs, ulcères et fractures. un cours sur les inflammations, considérées séparément des 4 catégories évoquées précédemment. Le cours s'appuie en grande partie sur les écrits d'Herman Boerhaave, bien que ses conclusions soient parfois remises en question. « Ainsi dans l'inflammation d'un doigt, la tumeur peut ne pas être en rapport avec l'intensité de la maladie, et alors elle devient dangereuse, parce que la compression étouffe en quelque sorte le principe de la vie et détermine la gangrène » (p. 14) Véritable « star » dans son domaine, Alexis Boyer (1757-1883) enseigna de front quatre cours, dont le présent, pathologie externe, fut le plus suivi : il l'assura pendant 15 ans. L'Empereur le nomma, en 1805, premier chirurgien officiant sur sa personne. Auteur, entre autres, d'un ouvrage en 11 volumes, Traité des maladies chirurgicales et des opérations qui leur conviennent (1814-1826), Boyer est aujourd'hui considéré comme l'un des précurseurs de l'urologie, qui ne sera reconnue comme une spécialité médicale indépendante qu'une cinquantaine d'années plus tard. On connaît plusieurs copies de ce cours, que l'on trouve notamment à la BIU de Paris. Petit manque de papier angulaire à la couverture.
1988 Editions Visages de notre Pilat. 1988. 1 vol in-8, broché, couverture illustrée. 130 pages. Illustrations en noir et blanc hors texte. Ancien tampon de bibliothèque
Bon état. Ancien tampon de bibliothèque en page de titre
Paris, Paul Ollendorff, 1896 ; in-12 ; pleine percaline vert sapin à la bradel, pièce de titre, fleuron doré au dos, premier plat conservé (reliure de l'époque) ; (4) ff., 329 pp., (1) f. blanc.
Edition originale rare.Ouvrage dédicacé à Hugues Rebell.Reliure en parfait état.
Phone number : 06 60 22 21 35
BOYLESVE René (René Tardiveau dit - La Haye-Descartes 1867 - 1926) - Ecrivain français
Reference : GF21594
1 page in8 - bon état -
"Vous m'avez proposé de recauser de cela"... Mais il partait pour Nice ou il est depuis une huitaine - "Je suis à votre disposition pour vous apprendre des choses qui vous sont nettement favorables, l'excellent Polybe ayant surgi là uniquement pour faire votre jeu."...- Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
LIEGE 1917 Liège, Mars 1917, manuscrit à la plume, sous une couverture de papier épais, relié par un cordon, couverture titrée en rouge et noir, (8) ff. non chiffré.
Orné d'un dessin original à l'encre de Chine avec des rehauts de crayon de couleurs, représentant un homme avec un chapeau haut-de-forme, en guise de frontispice, ce conte est dédié à Jaya. Couverture légèrement salie, petits plis, infimes piqûres internes et léger report interne.
Note Autographe militaire signée de Brack datée de 1829. Comme lieutenant Colonel du 8è chasseur au sujet d'une lettre dont l'originale est entre les mains du général de Verdières. Avec notice biographique au verso.Antoine Fortuné Brack (1789-1850). Ecole de cavalerie en 1806, lieutenant en 1809, capitaine lancier de la garde impériale en 1813, Colonel en 1832, Commandeur en 1834, maréchal de camp en 1838.En 1812, Napoléon Ier l'affecte au 2e régiment de lanciers de la Garde (les Lanciers rouges); il y sert jusqu'à la bataille de Waterloo.LAS 1 page. Format in-8°(24x19). Très bon état.
, 61pp. [pp.575-635] + 11pp.buitentekstills., overdruk uit "Koninklijke Vlaamse Academie voor Taal- en Letterkunde, verslagen en Mededelingen" 1967 afl.9-12, 24cm., goede staat, N32882
Lettre Autographe militaire signée de Brahaut datée de 1845, au sujet de ses historiques de régiments.Germain Nicolas Brahaut (1786-1861). Lieutenant en 1808 fit les campagnes de 1814 et 1815 comme capitaine aide de camp des généraux Borrel et Grundler. Colonel en 1816. Appelé à la direction du personnel au Ministère de la guerre en 1819, En retraite en 1844 il devient conservateur des archives historiques au Dépôt de la guerre. Son fils devint général.LAS 2 pages recto/verso. Format in-8°(21x14). Très bon état.
Poitiers, Maurice Bousrez, 1906, in-8, VII, (1), 46, (2) pages, broché, couvertures beiges imprimées en noir, Troisième édition publiée par Paul Dorveaux. Exemplaire n°89. Tirage limité à 100 exemplaires numérotés de 1 à 100. En 1553, Lisset Benacio (de son vrai nom Sébastien Colin) médecin poitevin publia un pamphlet intitulé "déclarations des abus et tromperies que font les apothicaires." Il reprochait aux apothicaires de falsifier les médicaments, de tromper les acheteurs sur le poids vendus et de frauder les drogues. Quatre ans plus tard, l'apothicaire Pierre Braillier édita une brochure en réponse à la première dans laquelle il critiqua les médecins. La querelle s'enflamma alors entre les deux corps de métier. Pour mettre fin à cela, le Parlement de Paris promulgua quelques temps plus tard un arrêt ordonnant aux médecins et apothicaires de s'entraider afin d'éradiquer les maladies. Paul Dorveaux (1851-1938) fit des études de médecine. Intéressé davantage par les livres, il passa le concours de recrutement des bibliothèques avant de devenir conservateur de la bibliothèque de l'École de Pharmacie à Paris A partir de la richesse du fonds, il publia différentes études, des ouvrages anciens avec ajouts de notes et réédita des éditions rares anciennes sur la pharmacie. Ex libris manuscrit de l'éditeur scientifique, ici Paul Dorveaux. Première de couverture décollée, pages en partie détachées, rousseurs. VII, (1), 46, (2) pages
Craïova (Roumanie) 9 octobre 1900, 14,7x22cm et 27x19,5cm, deux feuillets rédigées au recto.
Deux lettres autographes signées de Constantin Brâncu?i adressées au Préfet du département de Dolj et rédigées à l'encre brune et noire, l'une sur un morceau de papier ligné (14,7x22cm) et l'autre sur papier blanc d'un format supérieur (27x19,5cm). La première lettre est rédigée à l'encre sur un feuillet et porte le numéro d'enregistrement «?12981?» suivi du sigle «?pPG?» et signée du nom entier de l'artiste?: «?Constantin Brâncu?». En bas à gauche de la page se trouve une annotation manuscrite de Brâncu?i?: «?j'ai reçu l'ordonnance?», suivie de sa signature «?C. Brâncu?» et non pas «?Brâncusi?» ou «?Brâncu?i?», comme il signera après son arrivée à Paris. La seconde missive est écrite à l'encre sur une demi-feuille de carnet et contient le même message, la même signature et un numéro d'inventaire similaire. Un timbre de 10 bani (centimes) est collé en haut à gauche. Le côté gauche en dessous du timbre est découpé, ainsi que Brâncu?i procédait?: il retirait les timbres ou effaçait une information qu'il ne souhaitait pas conserver. Ces deux importantes lettres viennent documenter un chapitre important de la biographie de l'artiste concernant ses études financées en partie par le département de Craïova. Le 28 septembre 1898, Brâncu?i achève avec succès sa scolarité de cinq ans à l'École des métiers de Craïova - chef-lieu de sa région natale - et s'inscrit à l'Ecole des beaux-arts de Bucarest. Il obtient des bourses de l'église Madona Dudu de Craïova qui l'aident à continuer ses études. Il est vite remarqué par ses professeurs à Bucarest qui lui accordent des prix pour la réalisation de bustes, tels Laocoon et la sculpture à l'antique Étude d'après Mars Borghese. En octobre 1900, Brâncu?i adresse une demande de bourse au Préfet du département de Dolj (dont la capitale est Craïova) qui l'aide à suivre «?ses études pendant le trimestre d'octobre?» et précise que cette bourse lui a été accordée par le Conseil départemental du budget 1900-1901. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 17/30 janvier 1908, 21x35 cm, une page sur un feuillet.
Déclaration autographe datée et signée de Constantin Brâncu?i à M. Costadi, attaché à la légation roumaine de Paris, rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier blanc. Timbre à sec et trace d'un tampon. Quelques pliures transversales. La déclaration est signée avec son nom complet qu'il gardera désormais?: «?C. Brâncusi?» et datée «?17/30 janvier 1908?» - les deux dates témoignent de la coexistence des calendriers grégorien et julien dans les principautés roumaines du début du XXè siècle. Dans cette déclaration rédigée le 30 janvier 1908, Brâncu?i s'adresse à la légation roumaine de Paris représentée par M. Costadi. Il confirme par la présente la réception de la somme de mille deux cents lei et précise qu'il ne sollicitera plus d'aide de la Maison des Ecoles (section du futur ministère de l'Enseignement et de la culture) pour l'année en cours. Cette subvention est la dernière qui lui sera accordée par un établissement roumain. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris janvier 1914, 21x28,5 cm, une page sur un feuillet.
Très importante lettre autographe signée de Constantin Brâncu?i adressée au Ministère roumain des cultes, rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier blanc. Timbre à sec et timbre postal à l'encre. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Dans cette lettre datée de janvier 1914 et adressée au ministre des Cultes, le sculpteur demande l'autorisation de faire entrer certaines de ses sculptures en Roumanie à l'occasion de l'exposition de la société «?Tinerimea Artistica?» (La Jeunesse artistique). Brâncu?i se trouve alors à Paris comme en témoigne son adresse?: «?54 rue du Montparnasse?». Une liste des uvres étaient visiblement jointe à cette lettre mais elle a, hélas, disparu. Cette missive témoigne des liens étroits entretenus entre Brâncu?i et les artistes roumains de la «?Tinerimea Artistica?» qui organise depuis 1908 des expositions regroupant peintures et sculptures. En mars 1914 Brâncu?i présente six uvres dont La Prière (1907), Le Baiser (1907-08), Mademoiselle Pogany (1913) à la quatorzième exposition de cette importante société artistique. Il est déjà à cette époque un sculpteur de renom?: la présence de cinq de ses uvres à l'Armory Show à New York (17 février - 15 mars 1913), où sa sculpture Mademoiselle Pogany a provoqué un scandale par sa modernité au côté du Nu descendant un escalier de Marcel Duchamp et lui a permis de devenir l'un des artistes majeurs de la deuxième décennie du XXèsiècle. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1874 1 page in-8 à l'en-tête imprimé du Laboratoire de Physique du 74 rue de Vaugirard, 16 juin 1914. Le physicien (1844-1940) se plaint : "Voici deux jours que je ne vois personne venir au laboratoire. Est ce pour prétexte que je n'envoie rien ? Il est désirable que je puisse faire de vive voix des observations".
Curieux billet à propos de l’orgabnisation de nos musées. “... Pas d’illusions ...”
Editions du Grésivaudan, 1984,1 portefeuille (490x330 mm environ) +2 volumes in-folio de 330x250 mm environ, 396 pages, 4ff. (table, justificatif de tirage), en feuillets libres sous chemise blanche à rabats, et chemises-étui demi-chagrin fauve, dos demi lune à 2 faux-nerfs avec report des titres, sous étui toilé fauve, 396 pages en pagination continue, accompagné d'un portefeuille contenant les 24 lithographies par Eric Battista. Exemplaire N° 384/5000, un des 500 exemplaires sur vélin d'Arches, comprenant à plat en portefeuille : une suite en couleurs de 24 lithographies et une suite de 24 planches de dessins d'étude de l'artiste, numérotés de 1 à 500. Petits frottements sur l'étui, la percaline du portefeuille est tachée, sinon bon état. Avec une photo présentant Brassens et l'artiste.
Georges Brassens, né le 22 octobre 1921 à Sète (Hérault) et mort le 29 octobre 1981 à Saint-Gély-du-Fesc (Hérault), est un auteur-compositeur-interprète français. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Stockholm, Almquist & Wiksell 1955 247pp., in the series "Romanica gothoburgensia" vol.I, softcover
Göteborg, 1953 224pp., signed with handwritten dedication by the author, 25cm., text in Italian, Doctoral Dissertation (University of Göteborg), softcover, stamp at verso of title page, text is clean and bright, good condition, G113370
BRAYER (Yves) peintre, graveur et illustrateur français (1907-1990)
Reference : 14C24
Superbe évocation du jeune peintre âgé seulement de 27 ans, décrivant avec beaucoup d’humour et de précision, son arrivée au palais du « Duce » et la réalisation de ce fameux tableau. Même si une nouvelle fois l’approche de Mussolini ne fut pas simple, il arriva enfin, à force de patience et de persévérance, dans la salle où Mussolini se trouvait. « Supposez une grande place, la salle est énorme avec des colonnes peintes dans le haut et dans le fond à droite tout au fond un bureau avec une lampe, un homme vêtu de blanc avec le visage éclairé par la fenêtre qui discute avec un de ses hommes impassible au garde à vous. Je reste près de la 7 porte très impressionné par le trajet à effectuer jusqu’au bureau, surtout que le Duce continue de parler et ne parait pas remarquer que je viens d’entrer. Tout à coup il lève la tête, regarde de mon côté et me fait signe d’approcher. J’arrive à gauche de son bureau et m’incline. Il me regarde et me dit en français impeccable vous n’avez pas besoin que je pose. Je réponds mon excellence, c’est parfait […] Je monte mon chevalet à toute vitesse et je brosse, je brosse malgré le jour qui devient noir. Le Duce allume la lumière de sa lampe, il est superbe avec son visage bronzé et son costume blanc… ». A la demande du Duce, la séance fut interrompue, celui-ci prétextant une visite de l’ambassadeur, remettant ainsi la pose au lendemain. De retour sur les lieux, le peintre se remit à l’ouvrage, accompagné des chants et des cris d’une foule qui s’était rassemblée sur la place devant le palais, acclamant le Duce. Le départ imprévu du « modèle » amena Brayer à traiter le décor du bureau. « Je me dis puisqu’il n’est plus en place, profitons-en pour faire ce qui est sur le bureau et me voilà en train de peindre le pot à crayons, le presse papier, le grattoir. Je me recule pour juger de l’effet de ma toile. Le Duce est derrière moi qui regarde … ».