Lettre Autographe militaire signée de Brahaut datée de 1845, au sujet de ses historiques de régiments.Germain Nicolas Brahaut (1786-1861). Lieutenant en 1808 fit les campagnes de 1814 et 1815 comme capitaine aide de camp des généraux Borrel et Grundler. Colonel en 1816. Appelé à la direction du personnel au Ministère de la guerre en 1819, En retraite en 1844 il devient conservateur des archives historiques au Dépôt de la guerre. Son fils devint général.LAS 2 pages recto/verso. Format in-8°(21x14). Très bon état.
Poitiers, Maurice Bousrez, 1906, in-8, VII, (1), 46, (2) pages, broché, couvertures beiges imprimées en noir, Troisième édition publiée par Paul Dorveaux. Exemplaire n°89. Tirage limité à 100 exemplaires numérotés de 1 à 100. En 1553, Lisset Benacio (de son vrai nom Sébastien Colin) médecin poitevin publia un pamphlet intitulé "déclarations des abus et tromperies que font les apothicaires." Il reprochait aux apothicaires de falsifier les médicaments, de tromper les acheteurs sur le poids vendus et de frauder les drogues. Quatre ans plus tard, l'apothicaire Pierre Braillier édita une brochure en réponse à la première dans laquelle il critiqua les médecins. La querelle s'enflamma alors entre les deux corps de métier. Pour mettre fin à cela, le Parlement de Paris promulgua quelques temps plus tard un arrêt ordonnant aux médecins et apothicaires de s'entraider afin d'éradiquer les maladies. Paul Dorveaux (1851-1938) fit des études de médecine. Intéressé davantage par les livres, il passa le concours de recrutement des bibliothèques avant de devenir conservateur de la bibliothèque de l'École de Pharmacie à Paris A partir de la richesse du fonds, il publia différentes études, des ouvrages anciens avec ajouts de notes et réédita des éditions rares anciennes sur la pharmacie. Ex libris manuscrit de l'éditeur scientifique, ici Paul Dorveaux. Première de couverture décollée, pages en partie détachées, rousseurs. VII, (1), 46, (2) pages
Craïova (Roumanie) 9 octobre 1900, 14,7x22cm et 27x19,5cm, deux feuillets rédigées au recto.
Deux lettres autographes signées de Constantin Brâncu?i adressées au Préfet du département de Dolj et rédigées à l'encre brune et noire, l'une sur un morceau de papier ligné (14,7x22cm) et l'autre sur papier blanc d'un format supérieur (27x19,5cm). La première lettre est rédigée à l'encre sur un feuillet et porte le numéro d'enregistrement «?12981?» suivi du sigle «?pPG?» et signée du nom entier de l'artiste?: «?Constantin Brâncu?». En bas à gauche de la page se trouve une annotation manuscrite de Brâncu?i?: «?j'ai reçu l'ordonnance?», suivie de sa signature «?C. Brâncu?» et non pas «?Brâncusi?» ou «?Brâncu?i?», comme il signera après son arrivée à Paris. La seconde missive est écrite à l'encre sur une demi-feuille de carnet et contient le même message, la même signature et un numéro d'inventaire similaire. Un timbre de 10 bani (centimes) est collé en haut à gauche. Le côté gauche en dessous du timbre est découpé, ainsi que Brâncu?i procédait?: il retirait les timbres ou effaçait une information qu'il ne souhaitait pas conserver. Ces deux importantes lettres viennent documenter un chapitre important de la biographie de l'artiste concernant ses études financées en partie par le département de Craïova. Le 28 septembre 1898, Brâncu?i achève avec succès sa scolarité de cinq ans à l'École des métiers de Craïova - chef-lieu de sa région natale - et s'inscrit à l'Ecole des beaux-arts de Bucarest. Il obtient des bourses de l'église Madona Dudu de Craïova qui l'aident à continuer ses études. Il est vite remarqué par ses professeurs à Bucarest qui lui accordent des prix pour la réalisation de bustes, tels Laocoon et la sculpture à l'antique Étude d'après Mars Borghese. En octobre 1900, Brâncu?i adresse une demande de bourse au Préfet du département de Dolj (dont la capitale est Craïova) qui l'aide à suivre «?ses études pendant le trimestre d'octobre?» et précise que cette bourse lui a été accordée par le Conseil départemental du budget 1900-1901. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 17/30 janvier 1908, 21x35 cm, une page sur un feuillet.
Déclaration autographe datée et signée de Constantin Brâncu?i à M. Costadi, attaché à la légation roumaine de Paris, rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier blanc. Timbre à sec et trace d'un tampon. Quelques pliures transversales. La déclaration est signée avec son nom complet qu'il gardera désormais?: «?C. Brâncusi?» et datée «?17/30 janvier 1908?» - les deux dates témoignent de la coexistence des calendriers grégorien et julien dans les principautés roumaines du début du XXè siècle. Dans cette déclaration rédigée le 30 janvier 1908, Brâncu?i s'adresse à la légation roumaine de Paris représentée par M. Costadi. Il confirme par la présente la réception de la somme de mille deux cents lei et précise qu'il ne sollicitera plus d'aide de la Maison des Ecoles (section du futur ministère de l'Enseignement et de la culture) pour l'année en cours. Cette subvention est la dernière qui lui sera accordée par un établissement roumain. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris janvier 1914, 21x28,5 cm, une page sur un feuillet.
Très importante lettre autographe signée de Constantin Brâncu?i adressée au Ministère roumain des cultes, rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier blanc. Timbre à sec et timbre postal à l'encre. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Dans cette lettre datée de janvier 1914 et adressée au ministre des Cultes, le sculpteur demande l'autorisation de faire entrer certaines de ses sculptures en Roumanie à l'occasion de l'exposition de la société «?Tinerimea Artistica?» (La Jeunesse artistique). Brâncu?i se trouve alors à Paris comme en témoigne son adresse?: «?54 rue du Montparnasse?». Une liste des uvres étaient visiblement jointe à cette lettre mais elle a, hélas, disparu. Cette missive témoigne des liens étroits entretenus entre Brâncu?i et les artistes roumains de la «?Tinerimea Artistica?» qui organise depuis 1908 des expositions regroupant peintures et sculptures. En mars 1914 Brâncu?i présente six uvres dont La Prière (1907), Le Baiser (1907-08), Mademoiselle Pogany (1913) à la quatorzième exposition de cette importante société artistique. Il est déjà à cette époque un sculpteur de renom?: la présence de cinq de ses uvres à l'Armory Show à New York (17 février - 15 mars 1913), où sa sculpture Mademoiselle Pogany a provoqué un scandale par sa modernité au côté du Nu descendant un escalier de Marcel Duchamp et lui a permis de devenir l'un des artistes majeurs de la deuxième décennie du XXèsiècle. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1874 1 page in-8 à l'en-tête imprimé du Laboratoire de Physique du 74 rue de Vaugirard, 16 juin 1914. Le physicien (1844-1940) se plaint : "Voici deux jours que je ne vois personne venir au laboratoire. Est ce pour prétexte que je n'envoie rien ? Il est désirable que je puisse faire de vive voix des observations".
Curieux billet à propos de l’orgabnisation de nos musées. “... Pas d’illusions ...”
Editions du Grésivaudan, 1984,1 portefeuille (490x330 mm environ) +2 volumes in-folio de 330x250 mm environ, 396 pages, 4ff. (table, justificatif de tirage), en feuillets libres sous chemise blanche à rabats, et chemises-étui demi-chagrin fauve, dos demi lune à 2 faux-nerfs avec report des titres, sous étui toilé fauve, 396 pages en pagination continue, accompagné d'un portefeuille contenant les 24 lithographies par Eric Battista. Exemplaire N° 384/5000, un des 500 exemplaires sur vélin d'Arches, comprenant à plat en portefeuille : une suite en couleurs de 24 lithographies et une suite de 24 planches de dessins d'étude de l'artiste, numérotés de 1 à 500. Petits frottements sur l'étui, la percaline du portefeuille est tachée, sinon bon état. Avec une photo présentant Brassens et l'artiste.
Georges Brassens, né le 22 octobre 1921 à Sète (Hérault) et mort le 29 octobre 1981 à Saint-Gély-du-Fesc (Hérault), est un auteur-compositeur-interprète français. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Stockholm, Almquist & Wiksell 1955 247pp., in the series "Romanica gothoburgensia" vol.I, softcover
Göteborg, 1953 224pp., signed with handwritten dedication by the author, 25cm., text in Italian, Doctoral Dissertation (University of Göteborg), softcover, stamp at verso of title page, text is clean and bright, good condition, G113370
BRAYER (Yves) peintre, graveur et illustrateur français (1907-1990)
Reference : 14C24
Superbe évocation du jeune peintre âgé seulement de 27 ans, décrivant avec beaucoup d’humour et de précision, son arrivée au palais du « Duce » et la réalisation de ce fameux tableau. Même si une nouvelle fois l’approche de Mussolini ne fut pas simple, il arriva enfin, à force de patience et de persévérance, dans la salle où Mussolini se trouvait. « Supposez une grande place, la salle est énorme avec des colonnes peintes dans le haut et dans le fond à droite tout au fond un bureau avec une lampe, un homme vêtu de blanc avec le visage éclairé par la fenêtre qui discute avec un de ses hommes impassible au garde à vous. Je reste près de la 7 porte très impressionné par le trajet à effectuer jusqu’au bureau, surtout que le Duce continue de parler et ne parait pas remarquer que je viens d’entrer. Tout à coup il lève la tête, regarde de mon côté et me fait signe d’approcher. J’arrive à gauche de son bureau et m’incline. Il me regarde et me dit en français impeccable vous n’avez pas besoin que je pose. Je réponds mon excellence, c’est parfait […] Je monte mon chevalet à toute vitesse et je brosse, je brosse malgré le jour qui devient noir. Le Duce allume la lumière de sa lampe, il est superbe avec son visage bronzé et son costume blanc… ». A la demande du Duce, la séance fut interrompue, celui-ci prétextant une visite de l’ambassadeur, remettant ainsi la pose au lendemain. De retour sur les lieux, le peintre se remit à l’ouvrage, accompagné des chants et des cris d’une foule qui s’était rassemblée sur la place devant le palais, acclamant le Duce. Le départ imprévu du « modèle » amena Brayer à traiter le décor du bureau. « Je me dis puisqu’il n’est plus en place, profitons-en pour faire ce qui est sur le bureau et me voilà en train de peindre le pot à crayons, le presse papier, le grattoir. Je me recule pour juger de l’effet de ma toile. Le Duce est derrière moi qui regarde … ».
pseudo. d’Alfred GUELENNEC 1826 1866. Les filles du Böer-Souvenirs du Cap de Bonne-espérance. In 12 demi-toile chagrinée, titre et filets dorés. faux-titre, titre 299 pages, Paris Librairie L. Hachette & Cie 1859. Envoi manuscrit autographe de l’auteur. Edition originale, rousseurs éparses habituelles, plus concentrées en début et fin de volume
Paris Henri Lefebvre 1957 -in-8 broché un volume, broché in-octavo (paperback in-octavo) (19 x 14,3 cm), dos crème imprimé en noir, 1ère de couverture imprimée en noir et illustrée en couleur d'une composition de Foujita, toutes tranches non rognées (edges no smooth), Ex-Libris : Armand Eve (Directeur du Musée de la Poste de Nantes) collé sur la page de garde avec collé au dessous, le bandeau d'edition trois grand prix : prix de l'académie française, prix des neuf et prix de la société des gens de lettres, envoi autographje manuscrit de l'Auteur à l'encre bleue sur toute la page de faux-titre : "...à Monsieur et à Madame Armand EVE, ce récit authentique et c'est arrivé en plein Paris, Hommage de l'Auteur (signé) Yvonne de Bremond d'Ars...Paris, 15 Juin 1959...", orné d'un portrait photographique de l'auteur en noir (Photo Harcourt Paris) en frontispice, sans illustration (no illustration), naissances de rousseurs (beginning of the redness marks), 239 pages, 1957 à Paris Henri Lefebvre Editeurs,
Bel Exemplaire.......en trés bon état (very good condition). en trés bon état
Zurich, Belser Verlag, 1987 Gebunden, Leinen mit Schutzumschlag, 210 x 285mm., 312S., 110 Abbildungen.
Wissenschaftlicher Erganzungsband zur Faksimile-Ausgabe des Codex Benedictus, Vat. lat. 1202. Guter Zustand.
2 pages in12 + enveloppe - (traces d'agraphes) -
A propos de l'élection de son correspondant à l'Institut: " Il est si rare que les "honneurs" aillent à la bonne place" - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
Importante correspondance (18 L.A.S. et 1 carte postale signée) adressées à Fernand Laplaud. S. Bresard donne des nouvelles de Paul Géraldy entre 1980 et 1983, année de son décès. En feuilles, avec enveloppes. Très bon Paris 1980-1983
Document manuscrit in-folio de 12 pp. sur pap. vergé.
Mouillures avec légère atteinte au texte. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
[BRETAGNE - HENRIOT] FAÏENCERIE D'ART BRETON - JULES HENRIOT - LOC-MARIA QUIMPER
Reference : 25617
(1926)
quimper FAÏENCERIE D'ART BRETON - JULES HENRIOT - LOC-MARIA QUIMPER 1926 une lettre autographe manuscrite écrite à l'encre bleue sur papier crème a en-tête illustré de 4 bois en bordeaux, avec noté en haut : FAÏENCERIE D'ART BRETON - JULES HENRIOT - LOC-MARIA QUIMPER, et en bas : GRAND PRIX - JURY INTERNATIONAL - EXPOSITION DES ARTS DÉCORATIFS - PARIS 1925, format : 21 x 27 cm, signée Henriot, et datée du 20 avril 1926,
À partir de 1891, le jeune Jules Henriot, héritier de la manufacture Tanquerey, se lance à son tour dans la faïence artistique. Au début du XXe siècle, Quimper compte trois grandes manufactures de faïence, dont les marques sont renommées dans toute la France : « HB » pour Grande Maison de la Hubaudière, « PB » pour Porquier-Beau, et « HR » pour Henriot ...... Correspondance commerciale ...... RARE ................ en Bon état (good condition).
Lille Alcan Lévy 1860 in-8 broché un volume, broché bleu in-octavo Editeur (paperback in-8 Editor) (20,2 x 13 cm), dos et couverture imprimés en noir (manque de papier au dos), toutes tranches non-rognées, envoi autographe manuscrit de l'auteur à l'encre brune en haut de la page de faux-titre : "...A ma Mère.....(signé) Comte de Kératry 1860....", sans illustrations, 91 pages, 1860 Lille : Alcan Lévy Editeur,
Fils d'Auguste Hilarion de Kératry (vieille famille noble bretonne) et d'Ernestine de Bruc de Livernière, comme son père il fut élu député du Finistère, en 1869, après une carrière militaire au cours de laquelle il a notamment participé à l'expédition du Mexique, Nommé général de brigade par Gambetta, il prend la tête de l'armée de Bretagne, mais le gouvernement suspicieux laisse cette armée sans activité, sans armes et dans un état sanitaire désastreux au camp de Conlie.......EDITION ORIGINALE ............. RARETE.............en bon état (good condition). en bon état
8 volumes in-4° brochés sous coffret [Tomes I & II : Livres ; tome III : Manuscrits ; tome IV : Arts populaires ; tomes V & VI : Tableaux modernes ; tome VII : Photographies ; Tome VIII : Arts primitifs] + DVD-ROM.
Important catalogue de cette vente historique. Exemplaire à l'état neuf. BIEN COMPLET DU DVD-ROM qui manque souvent.
Paris Sagittaire 1950 1 vol. broché in-8, couverture rose illustrée à rabats, broché, non coupé, 352 pp. Nouvelle édition, en partie originale, illustrée de 23 portraits hors-texte. Exemplaire du service de presse enrichi d'un envoi autographe de l'auteur à l'écrivain Jean Duché. Joints : 4 pages in-4 autographes de Jean Duché, notes de lecture de l'anthologie de Breton, et une lettre autographe signée d'un lecteur, transmise à Jean Duché, qui rapporte deux truculentes anecdotes littéraires autour des limites de l'humour. Couverture salie et papier un peu jauni.
Saint-Cirq-Lapopie été 1956, 13,6x9cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée inéditeadressée à Marcel Jean, dix lignes rédigées à l'encre bleue au verso d'une vue en noir et blanc de la ville de Cahors. Quelques petites traces d'adhésif ne gênant pas la lecture. Cette carte postale a été, comme en témoigne le cachet postal, expédiée depuis la commune de Saint-Circq-Lapopiedans leLot, où André Breton acheta en 1950 une ancienne auberge de mariniers."Dans les années 50, le département du Lot est choisi comme terrain d'essai par le mouvement des Citoyens du monde : mouvement mondialiste revendiquant une planète sans frontière, régie par une loi mondiale. Cahors devient la première ville à signer une charte de mondialisation, suivie par 248 communes du département, et se déclare « Cahors mundi », ville mondiale. Plusieurs personnalités - politiques, intellectuels, artistes - adhèrent à ce mouvement initié par Garry Davis, ancien pilote de l'armée américaine. Parmi eux, André Breton (1896-1966), mais aussi Max Ernst, Albert Camus ou encore l'Abbé Pierre. Le 24 juin 1950, André Breton participe à l'inauguration de la Route sans frontière n°1 reliant symboliquement Cahors à Figeac. La route devait ensuite traverser le monde et rejoindre Berlin, la Chine, le Japon et les États-Unis. À l'occasion de cette inauguration, André Breton découvre le village de Saint-Cirq-Lapopie." (Archives du Lot) Il félicite Marcel Jean pour son "magnifique [...] interview deParu" et ajoute : "S'il faisait moins chaud je m'en expliquerais de long en large. Mais on est pour une fois chez soi, dans ses terres, en écoutant ce que tu dis."Dédé-les-Amourette, comme s'amusaient à le surnommer les lettristes qui réprouvaient son attitude mondaine, poursuit : "J'espère que je ne t'ai pas trop ennuyé avec mon divertissement anti-lettriste". Peintre, dessinateur et décorateur, Marcel Jean rejoignit le groupe surréaliste en 1933 et devint l'un des premiers chroniqueurs du mouvement. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Gallimard 1927 In-8 Broché Edition originale
EDITION ORIGINALE. En frontispice, fac-similé du manuscrit de l'auteur. Tirage à 286 exemplaires. Un des 170 sur vergé d'Arches, et parmi eux un des 20 hors commerce. >Bon exemplaire non rogné. Très bon 0
[1949] 1 page in-4 à l'encre noire sur papier pelure, "Paris le 28 mai 1949". Il proteste de sa loyauté. "Je n'ai jamais tenu le moindre propos défavorable sur vous et conteste donc, de la manière la plus absolue, ceux qu'on a pu vous rapporter (...) Je suis même confus et triste d'avoir à vous en assurer : cela me paraît aller tellement de soi que j'ai le sentiment de nous appauvrir en le faisant. Je n'ai pas su moi-même où vous étiez ces derniers mois, j'ai ignoré que vous étiez souffrant. J’ai craint, je l’avoue (mais c’est vraiment tout ce que je puis me reprocher) que vous ne souhaitiez mettre quelque distance passagère entre nous parce que nous différions d’attitude à l’égard d’une formation politique. Mais je n’ai jamais douté de notre entente plus profonde, et pour moi, nos relations ont toujours été au beau"... Il prie ensuite Max-Pol Fouchet de venir assister à la lecture d'une oeuvre de Maurice Fourré à laquelle sont invités Paulhan, Monnerot, Queneau, Gracq...