Reference : 11009
Rédigé à Nérac, en 1896. Une liasse de 196 pp. Manuscrites sur beau papier vergé; de format in folio; nombreux timbres à secs, paraphes.
Bon état.
Reference : 103144aaf
1805, 36x24,5 cm, manuscrit en encre brune sur parchemin plat, écrit en français, avec le seigne du notaire, au verso résumé de la „transaction“ et indication de l’émolument pour cette charte (21 batz), très bon état, 1 feuille
Convention entre voisins à Cormondrèche pour prévenir un conflit judiciaire. David, fils de Claude Cornu de Corcelles, avait obtenu une maison par arrangement avec sa femme divorcée pour compensation des dettes de celle-ci. Après avoir détruit un bout de mur dans la cour de cette maison, le mur est réclamé par son voisin, François de Bedaulx, ancien colonel en Hollande. Ainsi Cornu reconnait dans cette convention que le mur appartient à son voisin et sera rétabli à sa charge et en plus lui cède le terrain au long de ce mur contre la somme de 42 livres. Avec le seigne du notaire D. Clerc. Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Reference : 2155
Important registre de 33 cartes entoilées, noir et blanc et certaines en couleurs contenu dans une reliure mobile à plaques d'acajou marine tenue par cinq anneaux métalliques 27x30 cm , accompagné d'une pochette en plastique transparent à bords renforcées, 20 x 40 cm contenant les corrections de la hauteur de la Polaire, pour obtenir la latitude et les tables auxiliaires pour l'année 1929. Utilisés par Coste et Bellonte lors de leur traversée entre Paris et New York du 1er septembre 1930. Provenance Maurice Bellonte.
Important registre de 33 cartes entoilées, noir et blanc et certaines en couleurs contenu dans une reliure mobile à plaques d'acajou marine tenue par cinq anneaux métalliques 27x30 cm , accompagné d'une pochette en plastique transparent à bords renforcées, 20 x 40 cm contenant les corrections de la hauteur de la Polaire, pour obtenir la latitude et les tables auxiliaires pour l'année 1929. Utilisés par Coste et Bellonte lors de leur traversée entre Paris et New York du 1er septembre 1930. Provenance Maurice Bellonte.Costes et Bellonte ont, les premiers, relié Paris à New-York sans escale à bord de leur avion « le point d'interrogation ». Pour cette traversée, réputée la plus dangereuse, car confrontée aux vents contraires, il leur fallut plus de 37 heures de vol, avec comme tout instrument de navigation une TSF, un compas, les étoiles et des cartes.Le bruit est tellement fort à l'intérieur de la carlingue qu'ils portent des boules Quies et échangent les informations sur des petits papiers. Le froid est intense, ils volent à 185 km heure à 1200 mètres d'altitude. Rapidement ils se trouvent pris dans une tempête, leur vitesse chute à 120 km/h, Costes décide de la passer par le dessous, ils sont à moins de 350 m d'altitude...Arrivés au large des côtes canadiennes, les instruments lâchent, la TSF tombe en panne le gyroscope est bloqué ; un hauban a cédé aussi, mais l'appareil est costaud. En revanche la brume est arrivée, Costes fait piquer du nez à l’appareil, d'après les calculs de Bellonte, qui tient les cartes sur les genoux ils ne sont plus loin… Il a raison : il écrit à Costes " regarde des mouettes" une barre de nuages se dessine à l’horizon, et puis des roches, des brisants. Costes voit un phare, mais la marée est basse, impossible de se repérer avec les cartes, laissant la côte à tribord Costes descend ... et remet précipitamment les gaz ; ils se retrouvent à frôler la mature de bateaux à voiles ils ont failli tout perdre mais ils ont un repère à présent: le port d’Halifax. En tout et pour tout, dans cette traversée à l’estime, grâce aux cartes et au métier de Bellonte, ils n'ont dévié que de 10 km. Ils longent alors la cote Américaine dans des conditions météorologiques particulièrement éprouvantes.C'est alors qu'après 37 heures de vol ils voient dans le ciel deux petits appareils venir à leur rencontre pour les accompagner jusqu'à l'aéroport de New York. Au sol plus de 200 voitures sont garées en haie d'honneur, Linberg est là, avec sa femme, le président des Etats-Unis, des personnalités de toutes sortes et une foule de 200 000 personnes venues acclamer les héros de l’air.Voici les cartes originales que Bellonte portait sur les genoux, Sur la carte de France une croix, au-dessus de St Valery en Caux 10h46 gmt et deux minutes plus tard une position : 10h48 gmt 49°052 Route Vraie au 300. Le « point d’interrogation » vient de quitter le sol de France et s’élance pour son périple historique, chargé de plus de 5000 litres d’essence. Costes écrit au crayon " Nous dérivons un peu vers la gauche".Bellonte au crayon bleu note le Cap rectifié de l’avion et l’endroit de leur survol « Île de Wight ». La route quitte la Cornouaille survole Tiperary ils quittent définitivement la terre pour s’élancer au-dessus de l’Atlantique. L’arrivée en Amérique est confuse, ni l’un ni l’autre ne savent véritablement ou ils se trouvent et les cartes témoignent de cette anxiété, sur l’une d’elles, peut-être la plus émouvante de l’ensemble, Bellonte écrit en grandes lettres capitales « HALIFAX » suivit d’une flèche.Il s’agit du moment décisif du vol ou Bellonte vient de localiser l’endroit ou ils se situent. Ce moment est détaillé dans les mémoires de Maurice Bellonte, écrites en 1976 sur les documents d’époque, dont nous joignons le manuscrit original. Les autres cartes des côtes américaines portent les mêmes tracés, cette fois ci plus précis, de la route qui les mènera d’Halifax à Boston, puis à la tombée de la nuit, au survol de New York.Cet atlas est une pièce historique de la plus haute importance dans l’histoire de l’aéronautique, mais plus encore, il marque l’avènement d’une nouvelle ère : celle de l’aviation moderne et débute les liaisons aériennes transatlantiques.Ainsi à l’aventure humaine, s’ajoute l’intérêt de l’avancée scientifique. Bellonte, met au point avec son équipe de cartographes et de météorologistes, une navigation associant les repères astronomiques aux données des cartes établies par Kahn. Un travail constant de trois années, qui va révolutionner la navigation aérienne et ouvrir la voie à l’aéronautique contemporaine.Nous associons à cet atlas :- Un tapuscrit original de premier jet abondamment corrigé et enrichi d’extraits manuscrits et documents divers en vue de publication aux éditions Plon, daté de 1976.200 ff, regroupés dans un classeur d’une couverture cartonnée verte.Passionnant document retraçant l’intégralité de la carrière de Maurice Bellonte avec reproductions de documents d’époque et le récit détaillé de la traversée de l’Atlantique sur le point d’interrogation en 1930.Ce document captivant aide à suivre la progression de l’équipage sur les côtes américaines et éclaire de façon très précise la lecture de l’Atlas des cartes ayant servies aux deux aviateurs lors de leurs traversée historique de l’atlantique.- Ainsi que 50 cartes géographiques « Rand Mc Nally, Standard Indexed Map » d’états américains.In8 étroit à la couverture cartonnée illustré aux couleurs vives contenant une carte rempliée en fin d’ouvrage, précédée d’un index et de publicités.Ces cartes ayant servies à Coste et Bellonte lors de leurs tours de l’Amérique dit « Tour de l’amitié » effective de Septembre à Novembre 1930. Suite à leurs traversée du pacifique.Certaines d’entre elles portant des annotations, indications diverses et conditions météos de la main de Maurice Bellonte.Plus de photos sur notre site internet : http://www.oeildemercure.com/produit/costes-et-bellonte-documents-de-la-premiere-traversee-de-latlantique-sans-escale-en-avion-de-paris-a-new-york-1930/Costes and Bellonte – First crossing of the Atlantic non-stop by plane, From Paris to New York Register of 33 black and white interlaced cards and some colors in a mobile mahogany plate binding held by five 27×30 cm metal rings, accompanied by a transparent plastic bag with reinforced edges, 20 x 40 cm containing Corrections of the height of the Polar, to obtain the latitude and auxiliary tables for the year 1929. Used by Coste and Bellonte during their crossing between Paris and New York from 1 September 1930. Origin Maurice Bellonte. Costes and Bellonte were the first to connect Paris to New York without stopping aboard their plane « the question mark ». For this crossing, considered the most dangerous, because facing the contrary winds, it took them more than 37 hours of flight, with like a navigation instrument a TSF, compass, stars and maps.The noise is so strong inside the cabin that they carry Quies balls and exchange information on small papers. The cold is intense, they fly at 185 km hour at 1200 meters above sea level. They quickly find themselves caught in a storm, their speed drops to 120 km / h, Costes decides to pass it from below, they are at less than 350 m altitude …Arrived off the Canadian coast, the instruments drop, the TSF breaks down, the gyroscope is blocked; A guy also gave way, but the device is sturdy. On the other hand, the mist has arrived, Costes makes a nose to the device, according to the calculations of Bellonte, who holds the cards on the knees they are not far away … He is right: he writes to Costes « looks seagulls « A bar of clouds takes shape on the horizon, and then rocks, breakers. Costes sees a lighthouse, but the tide is low, impossible to locate with the maps, leaving the coast to starboard Costes descends … and precipitates the gas; They end up near the mature sailing boats they almost lost but they have a landmark now: the port of Halifax. In all, and for all, in this crossing to esteem, thanks to the maps and the craft of Bellonte, they deviated only 10 km. They then travel along the American coast in particularly harsh weather conditions.It is then that after 37 hours of flight they see in the sky two small apparatuses coming to meet them to accompany them to the airport of New York. On the ground more than 200 cars are parked in a hedge of honor, Linberg is there, with his wife, the President of the United States, personalities of all kinds and a crowd of 200,000 people come to cheer the heroes of the air.Here are the original maps that Bellonte wore on the knees, On the map of France a cross, above St Valery en Caux 10:46 gmt and two minutes later a position: 10:48 gmt 49 ° 052 Route True to 300. The « point Of interrogation « has just left the soil of France and springs for its historic journey, loaded with more than 5000 liters of gasoline. Costes writes in pencil « We drift a little to the left ».Bellonte in blue pencil notes the rectified Cape of the plane and the place of their flight « Isle of Wight ». The road leaves Cornwall over Tiperary they definitely leave the land to jump over the Atlantic. The arrival in America is confused, neither of them really know where they are, and the maps bear witness to this anxiety on one of them, perhaps the most moving of the whole, Bellonte wrote in large capital letters « HALIFAX » followed by an arrow.This is the decisive moment of the flight or Bellonte has just located the place where they are located. This moment is detailed in the memoirs of Maurice Bellonte, written in 1976 on the documents of the period, of which we append the original manuscript. The other maps of the American coasts bear the same tracings, this time more precise, of the road that will take them from Halifax to Boston, and then at nightfall, over New York.This atlas is a historical piece of the utmost importance in the history of aeronautics, but more importantly it marks the dawn of a new era: that of modern aviation and begins transatlantic air links.Thus, to the human adventure, the interest of the scientific advance is added. Bellonte, develops with his team of cartographers and meteorologists a navigation associating the astronomical landmarks with the data of the maps established by Kahn. A constant work of three years, which will revolutionize air navigation and pave the way for contemporary aeronautics.
Reference : S608
In-4, 260 ff., basane époque usagée.
L'écriture est facilement lisible ; quelques figures dans le texte. Ce cours de philosophie est divisé en 5 livres : principes de la philosophie ; rhétorique ; métaphysique ; physique. C'est à cette dernière matière que l'auteur consacre l'essentiel de ce cours (ff. 148 à 245). Assurément, Aristote est plus apprécié que Platon et sur plusieurs thèmes. D'importants passages sont consacrés à l'exposition de la doctrine d'Épicure et de celle de Descartes. Quatre feuillets présentent des découpes (manques), sans doute non accidentelles, les passages affectés portant sur le ciel et Copernic. Quelques salissures et défauts d'usage.
Reference : 133088aaf
in-4to, page 1 à 120 recto’s seul - a partir de la page 121 copie en Recto/Verso, (ca. 230 p.), dos collé, couverture plastique.
NOTICE D’UNE EDITION ORIGINALE: Coutumier d'Estavayer (1671). Suite à l'ordre de LL.EE. de Fribourg, une commission locale avait été chargée, en 1665 de rédiger un coutumier pour Estavayer et la région. Inspiré du Plaid général de Lausanne de 1618 - la moitié des articles sont identiques -, le coutumier d'Estavayer fut en grande partie rédigé par le notaire François-Pierre Bullet, et fut approuvé par Fribourg le 21 mai 1671. Il contient les 484 articles usuels, auxquels s'ajoutent 4 articles comprenant les approbations officielles.Ce volume débute par la "Lettre de Reddition de la ville d'Estavayé à LL.EE. du canton de Fribourg". Suivie de la page de titre, où est inscrit: “Apartenant à François Laurent Cuassot (Chassot), des Conseillers dudit Stavayé, et Docteur en médecine. achevé de copier ce 24 mars 1742”. (cf. DHBS T. II.)Après un index alphabétique des matières (83 p.) renvoyant aux numéros d'article, suivent la préface (6 p.) et les 484 articles de loi (325 p.) signé Piere Bullet, puis l'approbation de 1671 du coutumier par les autorités fribourgeoises (art. 485), signé Protasius Altt, ensuite les art. 486 à 488, avec la mention finale “La susdite ordonnance et decret souverain a été émané en Conseil ce jourd'hui 14. Janvier 1712 pour être publié et affiché pour la conduite du public. Pour foi signé Jaques Demiere”.Les pages 378 à 391 et 420 à 425 de cet exemplaire renferment une suite d'articles, numérotés 489 à 500, ajoutés dans le cours du 18e siècle. Qqs autres documents ont également été insérés: 1) à la dernière page de l'index se trouve l'article "Les donations ..." de 1766. / Aux pages 392 à 420: "Copie de la Concession Souveraine de 1579 au sujet des Cassations à Clos viere Stavayé" signé Guillielmus Techterman / "Copie de la lettre del Etablissement des trois Bannerets de la ville d'Estavaÿ 1575", et un écrit signé Fran. Cantin.Comme l'ndiquerait le titre cet exemplaire écrit pour François Laurent Cuassot (1717-1783), médecin réputé, conseiller d'Estavayer, et gouverneur(DHBS II/614).Ensuite ce manuscrit appartenait au curé d'Estavayer Hyacinthe Bullet, membre du clergé en 1794, directeur du séminaire et du couvent de Saint-Dominique à Estavayer, † 1854. (DHBS II/340, nr. 3, et Dellion V/232).
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Sans lieu, sans nom, [1703]. 22 X 34 cm, [6]-372-[34] pages. Reliure plein veau moucheté d'époque, dos à nerfs, pièce de titre rouge, tranches rouges.
Coutumier manuscrit Vidimé par le Sieur Emanuël Pretellins Secrétaire lt. du Grand Conseil d'Etat de la Ville et Canton de Berne. Cet exemplaire a été établi sur l'exemplaire signé par Emmanuel Rod, chancelier du canton de Berne, daté de 1703. Avec un "répertoire qui indique les pages en fin de volume".Une édition imprimée de ce coutumier avec divers ajouts et corrections paraitra en 1780 à Yverdon chez J. J. Hellen imprimeur.Exemplaire en parfaite condition.
Livret individuel d'une correspondante de la Croix Rouge à Vendeuvre dans l'Aube, daté de 15 septembre 1941, broché (18cm sur 13cm), titre et croix rouge sur le 1er plat de la couverture 28pp. Seules les pages 1 et 2 ont été complétées et accompagnées de la photo d'identité contrecollée de la correspondante. Bel exemplaire frais et complet de toutes ses pages, enrichi d'un courrier dactylographié à l'en-tête de la Croix Rouge Française sous enveloppe de même n'ayant pas voyagé (courrier daté du 10 février 1944 portant la mention "copie" portant sur la demande d'attribution d'un Diplôme de Reconnaissance avec les états de services).
Cette correspondante de la Croix Rouge, née à Paris en 1907, était issue de l'ancienne famille de la noblesse provençale de Saporta. Comme l'indique le demande de diplôme, elle se dépensa "sans compter et avec le plus grand dévouement au service de la Croix Rouge. elle mourut à Paris en 1946.
Sans lieu, , 1760. Manuscrit in-4 broché (17 x 22 cm) à 14 lignes par page de (1)-264 pp. (17) pp., "Table alphabétique des chansons contenues au présent recueil", (4) pp. entre les pages 24 et 25.
Recueil compilé de 105 chansons grivoises avec l’indication des airs sur lesquels les couplets sont chantés dont La Tentation de Saint Antoine attribuée à Michel-Jean Sedaine (pages 217-227, imprimée en 1752 dans les Pièces fugitives de M. S***). Les autres pièces ne sont pas attribuées, parmi lesquelles : Ah Lucas que m’allés vous faire, Après avoir fourni trois fois, C’est à l’hameçon, C’est ma faute Michelle, Colin à la chasse, Dans un bois planté par l’amour, Foutre des Mousquetaires, Je guettais près d’un bosquet, Jeunes gens pleins d’audace, Il était un Père Célestin, l’hypocrite Babet, le gros Guillot d’amour épris, La Brune fait le bonheur, Le curé de St Sulpice, Mesdames voici Pierrot, Pour jouer à la chemisette, Vive le frère Oignon etc. Le recueil daté 1760 s'inscrit dans le goût chansonnier et gaillard de l'époque, contemporain des compilations manuscrites ou imprimées de Pierre-Antoine de La Place, André-Charles Cailleau (Almanach polisson ou Etrennes boufonnes et poissardes pour l'année 1761 enrichies de chansons grossières sur des airs distingués), Charles Collé (Chansons qui n'ont pu être imprimées et que mon censeur n'a point du me passer 1784).Joint : 1. La Guillotine d'Amour. Air : du Serein qui te fait envie. (1) f. manuscrit sans date (1760) ; Examen subi par M.elle Flora, à l’effet d’obtenir un diplôme de putain et d’être admise au bordel de Mme Lebrun. 68 bis rue de Richelieu. Manuscrit in-12 en feuilles de (13) pp. Sans date (vers 1860). Par Louis Protat, d'après Pascal Pia (Livres de l'Enfer, 257). Publié une première fois en 1864, il sera réédité plusieurs fois de manière clandestine, avec ou sans illustrations. Gay, II, 200.Manuscrit XVIIIe d'une belle et large écriture ; les cahiers sont cousus, prêts à être reliés.
, , s.d. (1890-1911). Grand in-8 manuscrit à l'encre noire (18 x 26 cm) de 61 pp. à 45 lignes par page, demi-chagrin vert, dos à nerfs (reliure de l'époque).
Copie manuscrite anonyme sans illustrations du texte intégral de la première édition française de "The New Epicurean" dont la traduction sous le titre Gentleman et [...] ou les délices du sexe a paru en 1890 (Imprimerie de la Société Cosmopolite A. Brancart) tandis que l'édition originale anglaise avait été publiée à Londres en 1865.Le texte est attribué à Charles Sackeville pseudonyme d'Edward Sellon (1818-1866). Contient une préface et neuf chapitres intitulés : A Lesbia, A Laïs, A Sapho, A Julla, A Euphrosine, A Laïs, A Thalia, A Hélène et A Livia, suivis d'une conclusion dédiée A Thalia. Une nouvelle édition française parut en 1924 sous le titre Amours secrètes d'un gentleman, rééditée sous ce titre vers 1936 illustrée par Louis-André Berthommé-Saint-André. Traces de frottement sur la reliure.Pia, Enfer, 316 ; Dutel 364 ; Perceau, Bibliographie du roman érotique, 90-3.
Reference : 83817aaf
Tibet, s.d., (vers 1800), 26 x 8.5 cm, 62 (von 63 ?) doppelseitig beschriftete lose Blätter mit Goldschrift auf schwarzem Grund u. dunkelblauer/schwarzer Umrandung, davon 3 Blätter illuminiert (Deckblatt mit 3 verschiedenfarbenen Seidenvorhängen zeigt in der Mitte Shakyamuni, Blatt 2 Subhuti, Blatt 3 einen Stupa), guter Zustand.
The Diamond Sutra - Tibetian manuscript, written in gold letters.Eines der wichtigsten Sutren des Mahayna-Buddhismus, hier in tibetanischer Sprache und in einer wertvollen alten Handschrift überliefert. Der Diamant (vajra) durchschneidet (cchadika) Unwissenheit, Wahn und Illusion, welche Leid verursachen, und führt zur vollkommenen Weisheit des transzendentalen Verstehens (Prajnaparamita). Das Diamant-Sutra ist ein Dialog zwischen Buddha und seinem Schüler Subhuti (tib. Rabyor), welcher um Erklärungen zu einigen Punkten der Lehre bittet. Der Text ist eine Zusammenfassung der grundlegenden Lehren des Prajnaparamita, welches im 9. Jh. ins Tibetanische übersetzt wurde und 12 Bände umfasst. Damit war dieses Sutra eine eigentliche Kurzanleitung, um das Nirvana zu erreichen und die Lehren Buddhas zu verinnerlichen, und es galt als verdienstvoll, dieses zu lesen und zu rezitieren. Dementsprechend war es zu allen Zeiten ein wichtiger und vielgelesener Text. Unsere Handschrift ist ein besonders schön ausgeführtes Exemplar, welches leider nicht datiert ist. (Blatt n° 15 fehlt). Mit einer Expertise von F.A. Peters.Beautiful manuscript in gilt letters in Tibetan language of one of the most important sutras of Mahayna buddhism. The Diamond Sutra, that cuts like a diamond through ignorance and illusion and leads to perfect wisdom is a summary of the essential teachings and was often read and recited. Undated, this ms. dates very probably before 1800. Image disp.
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Reference : 93931aaf
in-8vo, 204 gedruckte u. num. Seiten des Gesangsbuches, erweitert um zahlreiche montierte Seiten mit Postkarten, Fotografien, Zeichnungen etc., teils wurden auch Seiten überklebt, schwarzer Original-Leineneinband mit weissem Zirkel auf Vorderdeckel, 5 Metallnieten verstärkten Hinterdeckel, an den Ecken etwas berieben, guter Zustand.
Dieses Gesangsbuch einer Schweizer Studentenvereinigung gehörte Fritz Witschi v/o Jim, Student des Technikums Burgdorf, der sich auf dem Vorsatzblatt mit Foto verewigte. Das eigentliche Gesangsbuch wurde deutlich erweitert mit Gedichten, Fotos der Kommilitonen, Gruppenbildern der Activitas des GVTB in bestimmten Semestern, handschriftlichen Widmungen mit Zeichnungen von Freunden und einer grossen Sammlung von Originalpostkarten zu den verschiedenen Anlässen des eigenen Vereins und der anderen Vereine des Technikums Burgdorf (und auch aus andern Schweizer Städten). Es diente somit ebenfalls als Freundschaftsbuch und als Aufbewahrungsort für erhaltene Postkarten. Diese wurden in Burgdorf gedruckt und meist von den Studenten selbst mit Zeichnungen illustriert oder es wurde ein Gruppenfoto der Activitas verwendet. Es sind Einladungen zu den wichtigsten Anlässen der Studentenvereine wie Maibummel, Kommers oder Couleursbälle. Auch die Widmungen im Buch wurden teils über die gedruckten Buchseiten geschrieben oder in Form von montierten Blättern eingefügt. Viele Widmungen bestehen aus witzig frechen Texten über die „schönste Zeit im Leben“, teils in Reimform und mit Zeichnungen illustriert, sowie mit Portraitfotos versehen. Einige wenige Einträge von Studentinnen, obwohl der GVTB selbst zu der Zeit keine weiblichen Mitglieder hatte (oder sie vielleicht nicht zuliess). Daneben hat der Besitzer des Büchleins auch ein paar Fotos von seinen Professoren (ohne Namen) eingefügt. Gegen Ende mehrere, eigens gedruckte Postkarten der Diplomabschlussklassen des Technikums für die Abteilungen Chemie, Tiefbau, Hochbau, Stark- und Schwachstrom, oft mit lustigen Motiven und Portraitfotos der Diplomanden und ihrer Lehrer. Trotz (oder gerade wegen) des Krieges finden sich auch hier einige wenige Frauen in den Abschlussklassen für Chemie. Image disp.
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Reference : 88313aaf
s.d. (um 1730) in-4to, durchgehende Foliierung bis 178 (davon fehlen herausgeschnittene fol. 20-23), bei fol. 119 u. 125 kurz Seitennum., insges. 173 Bl. vorhanden, in deutscher Kurrentschrift mit brauner Tinte geschrieben (ca. 25 Zeilen/S.), am Schluss zwei zusätzliche Artikel von zeitgenöss. Hand in schwarzer Tinte, 5 Bl. mit 25 cm tiefem Einschnitt (sauberer Schnitt einer Schere) am inneren Blattrand, leichter Wasserfleck auf Fusssteg der ersten 30 fol., ansonsten guter Zustand, ms. Besitzervermerk auf Vorsatz „B. Gady“, Ganzledereinband auf 3 Bünden, 4 Lederriemchen nur im Ansatz vorhanden, rot gesprenkelter Schnitt, Deckel etwas fleckig, Leder an Kanten u. Rücken leicht aufgeplatzt, Vorderscharnier oben u. unten etw. eingerissen, ansonsten guter Zustand.
Das Municipale oder ‘Ordnungenbuch’ mit dem Stadtrecht von Freiburg in deutscher Sprache, wie es in verschiedenen Handschriften des 16. und 17. Jh. überliefert ist und von Johannes Schnell editiert wurde (Basel 1898). Die vorliegende Handschrift entspricht inhaltlich weitestgehend den von Schnell untersuchten Handschriften und ist vollständig (Schnells Arbeit basiert auf einer Handschrift aus der Familie Techtermann de Bionnens und zählt 467 Artikel), abgesehen von den 3 fehlenden Blättern. Im genauen Wortlaut weicht diese Handschrift aber von der Edition und den dort behandelten Varianten manchmal etwas ab. Die wichtigsten Unterschiede sind vor allem am Anfang und Schluss. So wurde aus der ursprünglichen Vorrede (die auch bei andern Handschriften abweicht) nur das Nötigste übernommen und die ersten 2 Artikel zum Schultheissen und dem Kleinen Rat wurden vom anonymen Kopisten zu einem Artikel zusammengefasst. Nach dem letzten Artikel (laut der Edition) wurden von anderer Hand noch 2 weitere Artikel angefügt. Auch der Rest des Textes entspricht in Wortwahl und Sinn nicht immer den bekannten Handschriften, rezipiert aber manchmal Abweichungen aus der Handschrift Montenach (Handschrift M nach Schnell) aus der 1. Hälfte des 17. Jh. Die Handschrift stammt aus dem Besitz der Freiburger Patrizierfamilie Gady, welche ab dem 16. Jh. zahlreiche Magistraten von Freiburg stellt. Möglicherweise handelt es sich um den Notar Beat (Jean Jacques) Gady (gest. 1753). Schnell, Stadtbuch (municipale). Image disp.
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Gde pièce manuscrite in-folio, pliée, sur parch.
Grosse contenant une obligation de 1232 livres 18, passée en 1574 à Grenoble en faveur de Méraude de Bombern, veuve d’Antoine Maurel, en son vivant juge de la cour de Valleure (Valloire, Savoie) par sa sœur Gasparde, héritière des parents Philibert de Bombern et Isabelle de Genas. Il est question aussi de Gasparde, veuve d’André Allemand (vers 1525-1569), vicomte du Trièves, bailli des montagnes du Dauphiné ; et de droits dotaux, du contrat de mariage de Méraude de Bombern, d’une somme de 840 livres. Petites mouillures sans gravité, belle pièce. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
, , 1789-1825. Manuscrit in-folio de (1)-158 pp. à environ 45 lignes par page à l'encre brune, becquets, traces de cire rouge, vélin, triple filet d'encadrement sur les plats, numéro et additions manuscrites sur le plat supérieur (reliure de l'époque).
Intéressante pièce d'archives manuscrite commencée avec la Révolution - le rédacteur prend en compte l'arrivée du calendrier révolutionnaire en 1792 - poursuivie par les héritiers et arrêtée sous la Restauration, en 1820. Registre comptable de la maison d'Etienne Guillambaud tenu par ses soins qui fait état des dépenses ordinaires d'un bourgeois sous la Révolution et l'Empire, consignées en trois colonnes (noms, articles et montants) : gages des domestiques (Noté ici pour mémoire que Victoire Villard est entrée à mon service le sept juillet mil sept cent quatre-vingt huit a 72 l. de gage par an), travaux d'entretien, obligations (J'ai payé à Forest receveur des Impositions), frais de bouche et de toilette (Perruquier) etc. Propriétaire terrien, il relève le coût des cultures pratiquées sur son pré : (p. 45-47) Etat des semences de Bergerandiere et Vinay en terre dans l'automne 1795 (froment, seigle, orge) ; Production de noix en 1795, etc. Maître Etienne Guillambaud possédait une étude notariale à Vinay dans le Dauphiné à quelques lieues de Grenoble, en compagnie de son frère Alexandre Guillambaud (ce dernier fut maire de la ville) : J'ai partagé avec mon frère le petit mobilier de mon oncle le chirurgien ; j'ai gardé la part qui lui revenait dans la batterie en cuivre, étain, marmite, chandeliers etc. Une rue porte aujourd'hui à Vinay le nom Guillambaud. Précieux témoin des frais domestiques d'une maison bourgeoise en Dauphiné devenu Isère en 1790, enrichi de nombreux becquets et papiers volants, refermé par les héritiers : J'ai arrêté compte avec Lacroix il me reste devoir 56 francs de l'année 1825 tout compte fini pour les intérêts de cent francs aux impôts payés ce 11 décembre 1825 Jean Baptiste Lacroix Guillambaud née Duport.
, , (1870 ca). Manuscrit in-8 (24 x 16 cm) de (4) ff. 458-(9) pp. à 23 lignes par page, demi-veau fauve, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Mémoires inédits de Dominique François Beaufort, chapelier et conscrit sous la Révolution.Ces mémoires retracent la vie de Dominique François Beaufort, né en 1773 à Saint-Nazaire-les-Eymes, dans le Dauphiné. Issu d'une famille de cultivateurs prospères, il décrit les activités agricoles de son père et de ses aïeux, propriétaires de domaines tels que celui de Lumbin. Sous l’Empire, ces terres passent par alliance aux familles Dupré de Mayen et Beaufort de Lamarre, figures marquantes de la région.En 1794, Dominique François est réquisitionné pour servir dans l'Armée d’Italie, participant à la conquête du Piémont. Il relate son départ, le trajet via Montmélian et le Mont-Cenis, ainsi que son arrivée sur les lignes de front le 23 Prairial an II (11 juin 1794). Ces campagnes, marquées par les rigueurs alpines, le laissent partiellement sourd.De retour chez lui, il renonce aux travaux agricoles et décide de devenir chapelier. Convaincu par un ami du potentiel de ce métier, il entame un apprentissage rigoureux de 18 mois, durant lequel il apprend à fabriquer des chapeaux, notamment pour les paysans. Son parcours professionnel le conduit à effectuer un tour de France, étape essentielle pour perfectionner son art et s'ouvrir au commerce.Installé à Paris, Dominique François se marie et devient maître chapelier. Il y exerce jusqu’en janvier 1823, date à laquelle il vend son atelier et met fin à sa carrière. Ces mémoires, riches en détails sur la vie d’un artisan sous la Révolution et l’Empire, offrent également un témoignage précieux sur les pratiques agricoles, la guerre et l’apprentissage d’un métier à cette époque.Précieux souvenirs inédits destinés à ses enfants d'un chapelier isérois né sous l'Ancien Régime, illustré d'un plan topographique manuscrit de la Vallée du Grésivaudan en Dauphiné en 1829. [Saint-Nazaire-les-Eymes]. Elsa Donadieu, Christine Penon et Emmanuelle Vin, État des lieux patrimonial, commune de Saint-Nazaire-les-Eymes, 2013-2014 [Parc naturel régional de Chartreuse / Service du Patrimoine culturel de l’Isère / Conservation Départementale de Savoie] ; Groupe Patrimoine de Saint-Nazaire-les-Eymes, Flâneries dans Saint-Nazaire-les-Eymes, Les Drogeaux, 2010 ; Groupe Patrimoine de Saint- Nazaire-les-Eymes, La vie locale de l’ancien régime à nos jours.
Reference : 1092.1aaf
1781 - 1808, 3 doublefeuilles à 34 x 24 cm, 2 doublefeuilles à 30 x 21 cm, une feuille à 24 x 18 cm et deux feuilles à 26 x 18,5 cm, manuscrits sur papier.
1) Un accord entre Jean Jacques Gobel, chanoine de la Collégiale de Moutier Grand-Val, et Gaspard Marchant, conseiller et lieutenant de ville à Delémont, au sujet d’une grange, en 1781.2) 3 contrats de vente: François Joseph Thiebaud Antoine Gobel, prêtre à Delémont, vend un tiers de la maison à Joseph Mérat, négociant, en ???. Celui-ci revend à François Joseph Clerc, receveur particulier du 3ème arrondissement du département du Haut-Rhin, le ???. En 1808 Jean Baptiste Berbier, apothicaire à Delémont, vend la maison à Nicolas Seuret, notaire impérial en la même ville. 3) Un contrat de dédommagement entre Berbier et Seuret.4) Une pétition de Joseph Clerc pour radiation des hypothèques sur la maison, qui a été vendue aux enchères, suivi par 2 quittances (formulaires imprimés et remplis à la main) pour les radiations effectuées en 1808. Image disp.
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Reference : 3715
, Montpellier, Vve de Jean Martel 1766, [dim. de la feuille : 55 X 77 cm.], placard de l’ordonnance du roi concernant le port d’armes en bon état hormis quelques rousseurs claires éparses, 2 ff. collées dans la long. .
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Reference : 89593aaf
o. O., o. J. (ca. 1947), in-8vo, 86 Bl., versos leer, Typoskript, Widmung: ‘A mon Papa chéri pour ses 70 ans. De tout coeur ton Irène. 16 Janvier 1947.’ Halblederband.
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Reference : 138386aaf
Stuttgart, E. Schreiber, 1965-1968, in-4to (28 x 18 cm), 164 faks.( beidseitig farb. bedruckter) Blätter, 316 farb. Abb., 162 Schmuckinitiale / Textband: 409 S. + 1 Bl. (S. 295-337 mit zahlr. schwarz-weissen Abb.), Ganzpergament über 5 Bünden, Rückentitel, Sehr schönes Exemplar.
1) Facsimile-Band.+ 2) Untersuchungen. - Ein von 600 Exemplaren. - Der Handeinband wurde in der Werkstätte Heilgart Umfrid gefertigt. - Prachtfaksimile einer Handschrift, die "zwischen 820 und 830 geschrieben und gemalt wurde. In dem Buch ...findet sich kein ausdrücklicher Hinweis auf seine Herkunft... Alle Spuren geben keine Anhaltspunkte. Keine frührere Bibliotheksheimat ist festzustellen, keine zu vermuten "(aus der Einführung von Wilhelm Hoffmann). Weiterhin mit Beiträgen von Bernhard Bischoff (Die Handschrift. Paläographische Untersuchung), Florentine Mütherich (Die Initialen. / Die Stellung der Bilder in der frühmittelalterlichen Psalterillustration), Jakob Eschweiler u.a. (Der Inhalt der Bilder) und Bonifatius Fischer (Die Texte). Image disp.
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Reference : 76805aaf
gr. in-8vo, 98 S. + 7 w. Bl., Titelseite mit gemaltem blumenumranktem Fensterrahmen (Farbstift, gez. v. Else Varentrapp aus Braunschweig), folgende Seite mit einer Federzeichnung (schöne Ansicht der Stadt Braunschweig) wohl von der gleichen Zeichnerin, guter Zustand, Ledereinbd. mit kolorierten barocken Puten- und Blumenmotiven geprägten Deckeln (Buchbinderei Carl Stein, Braunschweig), Farben verblasst, stark berieben, Rücken repariert, festes Exemplar.
Die Dekanswitwe Johanna Hasenclever (identifiziert anhand des Adressbuches von 1911) empfing mindestens während 42 Jahren viele Gäste in ihrem Haus an der Silberbachstrasse, von denen sich so mancher in ihrem Buch verewigt hat, darunter Familienangehörige und Verwandte, aber auch ganze Hochzeitsgesellschaften. Die Danksagungen und Gedichte wurden mit Datum und Namen eingetragen. U.a. finden sich hier handschriftliche Einträge von O. Binswanger (Psychiater), E. Troeltsch (Theologe), E. Spitta (Bachforscher), H. Wahl (Literaturwissenschaftler). Sommer wie Winter und auch während des 1. Weltkrieges wurden Gäste empfangen. Auf den letzten 18 Seiten (ab 1928) notierte nur noch die Hausherrin selbst Tagebucheinträge über ihre Gäste und die Geschehnisse im Haus. Auf der letzten Seite notiert die 82-jährige: Mit dem 1. August 1936 habe ich meinen Haushalt aufgelöst und der Zweck dieses Fremdenbuches ist erfüllt. Image disp.
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Reference : 2981
France, vers 1450 Deux feuillets manuscrits extraits d’un calendrier extraits d’un bréviaire, comprenant les mois de mars, avril, mai, juin. En latin et en français, manuscrit décoré sur parchemin, initiales ornées et filigranéesEn tête KL à l’or sur fond rouge et bleu. Le calendrier comporte un saint par jour, écrit à l’encre brune dans une écriture batarde (transcription jointe), ayant servi de livre de raison au XVIe siècle dans la marge extérieur: - 3 mars : "Ce jour mourust feu maistre Michel Bignot conseiller du roy a Paris Seigneur du Roignant et de la Fontaine (…) et cet estein en ce jour sabemedi à sept heure au soir [1513]"Dieu eyt lame de luy en son grand mercy";- 17 mai : "Ce jour je fust marié"- 18 juin : " Ce jour fust né Janne ma fille [1520]- 29 juin : "Ce jour mourust ma femme" [1520].
Reference : 2548
Deux miniatures sur vélin - l’une représentant « Job sur son fumier » (7,5 x 5, 5 cm) placée dans un petit encadrement mouluré doré ; la seconde « La mort de Job » (8,2 x 6 cm) dans un encadrement moderne.
Ces miniatures apparentées au maître de Jacques de Besançon, sont extraites des Vigiles des Mors imprimé par Verard entre 1496 et 1498.Antoine Verard, probablement le plus important imprimeur parisien de la fin du XVe siècle, travaillait pour la cours de France, il réservait deux et parfois trois exemplaires imprimés sur peau de vélin de ces livres à destination du roi de France ou de ses proches. Ces exemplaires royaux étaient recomposés afin de laisser un espace occupé par des peintures qui n’existent pas dans les exemplaires commercialisés. En ce qui concerne ce texte, deux exemplaires imprimés sur vélin sont répertoriés, l’un au musée Condé de Chantilly (Impr. 1956, alias XII. F. 44) et l’autre à la réserve de la Bibliothèque nationale (OE XV 847).Ces deux fragments proviennent donc d’un troisième exemplaire, démembré à une date incertaine et correspondent aux folios i4v et p4v de l’exemplaire détenu par la collection du musée de Chantilly. Les intéressantes variantes constatées entre ces miniatures et celles du musée Condé de Chantilly permettent de juger de la liberté que s’accordaient les enlumineurs selon la personnalité des commanditaires. On peut observer par exemple dans l’exemplaire de Chantilly, en ce qui concerne la mort de Job, la présence d’un transi poignant une flèche, qui est absent de notre miniature. Ou bien en ce qui concerne Job sur son fumier, l’attitude de celui-ci qui dans l’exemplaire de Chantilly a les bras croisé sur la poitrine en signe de refus, alors qu’il est représenté dans une position d’indifférence dans notre miniature. La proximité stylistique quant à elle ne fait aucun doute tant dans l’attitude des personnage (courbés), le modelé des visages, la palette et le traitement global du thème. Il est plaisant, à ce propos, de comparer ces deux intéressantes peintures à celles du cycle complet de l’exemplaire de la bibliothèque du château de Chantilly reproduites sur la base du CNRS (impr. XII-F-044).
Reference : 26866aaf
de format 16, 6 x 10 cm, 48 ff. n.n. ms. et de nombreuses ff. blanches, chaque page encadrée à la main, divisée en 4 colonnes: deux pour la date, une pour la Fête ou le Saint fêté et une (occupant les 3/4 de la largeur), çà et là, rousseurs et papier un peu bruni, cartonnage de fortune récent rapiécé.
Consacrée à des méditations et des réflexions tirées de passages bibliques, 7 à 10 lignes par jour de l'année, petite écriture cursive bien lisible. Un passage biblique à méditer pour chaque jour de l'année, dans ce document anonyme du milieu du XVIIIe siècle, témoignage matériel de la spiritualité d'un catholique anonyme. Image disp.
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Reference : 50966aaf
kl. in-8vo, XVI + 32 S., verstempelt, einf. Hlwd.
S. I - XVI enthalten "Zusammenfassung der wichtigsten Vorschriften über das Gesindewesen" (Eingehung des Dienstvertrages. / Pflichten des Gesindes. / Pflichten der Dienstherrschaft. / Beendigung des Dienstverhältnisses). - S. 1-32 sind für die Eintragungen der eingegangenen Dienststellen vorgesehen sowie für ein "Zeugnis der Dienstherrschaft über Fleiss, Treu, Sittlichkeit und übriges Wohlverhalten des Dienstboten, was von der unterschriebenen Dienstherrschaft auf Pflicht und Gewissen hiedurch bezeugt wird". Unser Dienstbotenbuch hat 4 Eintragungen. - Interessantes arbeitsrechtliches Zeitdokument zu Beginn des 20. Jahrhunderts der deutschen Provenienz.
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, , 1870-1874. 3 vol. in-8 imprimés et manuscrits, demi-toile prune chagrinée, titre doré sur le dos (reliure de l'époque).
Important recueil de pièces copiées et imprimées, dédié à la guerre franco-prussienne de 1870 et ses conséquences dans la ville de Dieppe en Normandie, de la mobilisation de la Garde Nationale à l'occupation des Prussiens.« Pour couper toute communication entre l'armée du Nord et l'armée du Havre, le général de Manteuffel , dès son arrivée à Rouen, avait décidé une expédition contre le littoral. Deux bataillons d'infanterie, une brigade de cavalerie, cuirassiers et uhlans, avec une batterie à cheval, furent réunis le 7 décembre 1870 à Clères sous les ordres du général-major comte de Dohna. Le 8 décembre, ce détachement marcha sur Omonville et, le 9 décembre, sur Dieppe où il entra sans résistance. Après avoir brisé les fusils, encloué les canons de marine trouvés au château et dans les batteries de côtes, coupé les fils du télégraphe et enlevé les appareils, il détruisit les postes sémaphoriques et rasa les mâts de signaux, sans oublier de faire de nombreuses réquisitions, surtout à la Manufacture des tabacs; le lendemain, le général de Dohna se retira sur Auffay. L'occupation d'un de nos ports de mer, connue le 10 décembre à Versailles, fut aussitôt annoncée en Allemagne et célébrée par la presse de ce pays à l'égal d'un important succès. Nos journaux racontèrent qu'à la vue de la mer, les cavaliers du comte de Dohna coche verte s'étaient découverts et avaient poussé trois hurrahs pour leur roi et leur patrie. On comprend l'émotion de ces soldats quelques mois auparavant, ils n'espéraient guère franchir le Rhin allemand et, après des succès inouïs, ils se voyaient tout à coup transportés jusque sur les rivages de la Manche. Le 8 décembre, Dieppe vit ses premiers jours sous occupation prussienne. Les fantassins sont répartis entre le château et les habitations de la ville, les uhlans prussiens patrouillent dans la ville et l'artillerie est postée sur les falaises » (Louis-Paul Rolin, La Guerre dans l'Ouest campagne de 1870-1871, Paris, Plon, 1874).Vol. 1 (copies manuscrites). Procès-verbaux des séances du Comité de défense de Dieppe du 6 septembre au 2 décembre 1870 « dernière séance (…) Il n'y a plus eu de séances du Comité de défense, les Prussiens étant dans les environs. Le 5, ils entraient à Rouen et le 9 à Dieppe ») ; examen des armes transformées, observations sur le tir à obus ou à boulets, mobilisation « outre les casernes, on n'a trouvé que l'établissement des Bains où l'on peut loger les mobilisés (…) 2000 mobilisés à Dieppe » ; « Comité de Défense de Dieppe (Seine Inférieure) : Composition de ce conseil - Armement - Défense Gardes nationales sédentaire et mobilisée - Compagnies de Marche et de Marins - Registres des consignes et correspondances, accusés de réception etc. » ; « Dépêches télégraphiques ayant un caractère tout local » ; « Notes sur le bataillon des gardes nationaux mobiles de Dieppe et de Neufchâtel (ces notes ont été fournies par le commandant Chrétien) » ; « Guerre de 1870-1871. Notice sur le concours prêté dans cette guerre par la Compagnie de marche du bataillon de la Garde nationale de Dieppe. Par Lelong Sergent major de la compagnie (imprimerie d'Émile Delevoye) » ; «Invasion prussienne à Dieppe en commune. Anecdotes. Vols pillages, blessures, etc. Rapports » (pp. 465-490) ; « État des vols et pillages des Prussiens » (p. 524) ; « Extraits du Journal La Gironde n°du 18 février 1871 » (p. 543) ; « Liste nominative de personnes réfugiées à Dieppe pendant l'invasion prussienne (800). Cette liste a été dressée dans le courant du mois d'octobre 1870 sur renseignements recueillis par le commissaire de police » (p. 569) ; « Éphémérides pour servir à l'intelligence de l'ouvrage intitulé : Dieppe en 1870-1871 par L. Lasne » (p. 604) ; « Extraits de l'Éclaireur de Dieppe (Journal de l'opposition né le 20 mai 1870, mort le août même année) Rédacteur en chef . Ed. Dupin dit St Sauveur » (p. 623).Vol. 2 (copies manuscrites). Dépêches télégraphiques. Guerre et Politique. 1870-1871 (n°1-341) Paris 21 mai 1870 - Journal officiel 30 janvier 1871 ; La Presse locale. 1. Extraits de la Vigie de Dieppe du 19 juillet 1870 au 31 décembre 1871 ; Extraits de la ligne directe du n°1 du 18 juillet au 4 décembre 1870 ; Dépêches télégraphiques diverses.Vol. 3 (imprimés et copies manuscrites). Protestation du Corps Municipal de Rouen, aux journaux du Havre et de l'Eure. Rouen, le 20 décembre 1870. 4 pp. (texte imprimé) ; Conseil municipal de la Ville de Rouen. Procès-verbaux des séances des 4 et 5 décembre 1870. (texte imprimé) ; Duval (Edgard-Raoul). Comment Rouen n'a pas été défendu. (Rouen, Lapierre, 1870, copie manuscrite pp. 51-124). Edgard-Raoul Duval (1832-1887) avocat général à Angers, à Bordeaux et à Rouen, député de la Seine-Inférieure de 1876 à 1877 et de 1884 à 1887 ; Estancelin (Louis). La vérité sur les événements de Rouen. Rapport au conseil général de la Seine-Inférieure. Rouen, A. Le Brument, 1871. XVI-42 pp. Pièces justificatives (texte imprimé, exemplaire annoté). Extrait du budget départemental au 1er septembre 1871 etc. ; Insurrection de Paris : Dépêches officielles (copie manuscrite), Dépêches officielles. 21 mars 1871 n°1, Liste comprenant les noms (421) des individus connus pour avoir fait partie de la Commune et des comités centraux ou pour avoir exercé des fonctions et signé des articles dans le journaux de la Commune pendant la période insurrectionnelle, Insurrections de Paris, Lyon, Saint Étienne. Condamnés par contumace : liste des noms, Individus suspects, évadés, recherchés, etc. à arrêter ou signaler. Circulaires concernant les suspects de la Commune ; Liste des journaux, brochures et publications (280) soit à l'étranger soit en France dont la distribution ou la vente a été interdite « cette liste a été interrompue par suite de la mise en retrait d'emploi du commissaire de police Lasne. Ce fonctionnaire a cessé tout service le 13 novembre 1874, à l'arrivée de son successeur» (copies manuscrites).