Paris, Jules Tardieu, 1858 In-12, br., 245 pp.
Deuxième édition. Dos un peu frotté, sinon bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Club pour vous Hachette 1980 245 pages in8. 1980. Relié. 245 pages.
Très Bon Etat de conservation avec jaquette intérieur uniformément jauni propre
Jules Tardieu 1858 in12. 1858. Relié.
Bon état cependant couverture défraîchie bords frotttés charnières fragilisées intérieur propre jauni
Allardin 1835 in8. 1835. Relié. 3 nouvelles (Francesca - La jeune femme - Le marquis de Lancry) composées par Virginie Ancelot mais publiées sous le nom de son mari. La thèse sur laquelle repose les trois récits compose les pages liminaires : les maladies qui affectent le corps sont les conséquences des chagrins de la vie. Romancière et dramaturge son salon de l'hôtel de La Rochefoucauld-Liancourt a été l'un des derniers grands salons littéraires de Paris
Etat correct coins émoussés bords frottés couverture défraîchie reliure fonctionnelle rousseurs à l'intérieur
s.d. et 14 février 1859. 1 p. 1/2 in 8°.
– «Je trouve en rentrant l’ouvrage de monsieur Didier et je ne veux pas perdre un moment pour le remercier d’un si aimable souvenir et du plaisir qu’il va me procurer. Je me réjouis de la lecture de ce livre remarquable dont s’occupe déjà le monde littéraire… Qu’il n’oublie donc pas les mardis et samedis.» – Vous avez raison de prendre un peu d’intérêt à ce qui me regarde. Car moi je prends du fond du cœur intérêt à vous; plus je vis et plus je trouve que ce qu’il y a au monde de meilleur et de plus rare c’est une bonne affection… pouvoir aimer deux qu’on estime et trouver autant de sécurité dans leur caractère que d’agrément dans leur esprit, est le premier et le plus grand bonheur.Virginie Ancelot (1792-1875) tint salon sous quatre régimes successifs, de la Restauration au Second Empire. Qui reçut-elle? Tout le monde. Les avis sont partagés sur cette femme discrète, mais chacun s’accorde à la trouver, bonne, aimable et indulgente, excellente maîtresse de maison. Elle en retraça l’hisoire dans Un salon de Paris, 1824 à 1864.
s.d. 1/2 in 8°.
“ [...] que je viens vous solliciter comme si je me croyais du crédit, et que je vous demande votre bienveillance la plus aimable pour un excellent ami à moi le vicomte d’Arlincourt dont on joue demain un ouvrage important, la Peste noire. Soyez-lui favorable, je vous en prie. J’en serai aussi reconnaissante au moins que si c’était pour moi. [...]
5 pp. in 8°, 1 p. in 12.
De la difficulté d'êytre publiée quand on est une femme : – 24 février 1869. « Voici l’article en question, je désire qu’il vous plaise et je m’en rapporte à vous pour tout le reste. Les épreuves auront besoin d’être corrigées avec soin à cause des noms propres. – 14 mars 1869. « Voulez-vous que je revoie mon article sur le livre de M. Bertrand, que j’ôte mon nom et tout ce qui peut désigner une femme en le remplaçant par des choses plus savantes afin que vous puissiez l’insérer ? J’ai lu cet article à deux membres de l’Institut, dont l’un est ami de M. Bertrand et ils en étaient très contents, le livre est une œuvre littéraire qui parle de savants et non un livre de science [...] J’essaierais bien de faire quelque chose dans le genre où l’on doit que vous accepteriez des articles où je mettrais un pseudonyme homme. Mais cependant j’aurais encore la crainte que mon travail n’eut pas le même sort que celui sur M. Bertrand s’il avait d’autres juges que vous." – 27 juillet 1869. " [...] la politique a été si vive que je ne suis pas étonnée qu’elle seule remplit le journal. On est plus calme et pour assez longtemps. Voulez-vous donner suite à ce projet ? Je ferais un article tous les quinze jours (Comédie sans théâtre) et je signerais un nom d’invention Pierre ou Paul. » – 26 décembre 1869. « Lorsque j’ai eu l’honneur de vous voir et qu’ensuite Mlle Benoit vint me parler d’articles dans le Moniteur il ne fut question que de souvenirs du premier Empire, époque que je connaissais peu et je n’aurais pas refusé si l’on m’eut proposé ce que fait M. Léo Lespès. Je n’aurais sans doute pas sa verve puissante et sa fécondité ; mais j’aurais eu quelques mérites féminins qui auraient pu être sympathiques au public. Or une revue de ce genre était très vivement désirée par moi [...] M. Léo Lespès fait les Souvenirs d’une vieille femme, est-ce qu’on ne pourrait pas parallèlement faire des articles intitulés Espérances d’un jeune homme ou bien une petite revue des livres, toujours avec pseudonyme." – On joint : Victorine BENOIT. L.A.S. à Paul Dalloz. 14 mars 1869. 4 pp. in 8°. Sur l'acharnement que met Virginie Ancelot à faire passer ses articles... " [...] J’ai répété souvent : Mr Dalloz pense que pour un article de ce genre il faudrait la plume virile et érudite d’un savant. Je trouvais cette idée-là superbe. Elle m’avait l’air de ces flèches de scythe qui déterinent les fuites à toute vapeur. — Eh bien ! Pas même l’ombre d’un découragement ce qui me fait craindre plus que jamais : trop de pation ( ?) en tout ceci. J’ai fortement appuyé comme tu me l’avais recommandé sur ton conseil si sage de s’en tenir aux salons, aux souvenirs, à une revue des pièces qui ont le mieux assuré la réputation littéraire tant de Mme que de Mr Ancelot. En joignant à cette analyse des particularités sur les artistes dramatiques de ce temps (artistes qu’on a tant vus, tant connus, tant reçus), il me semble qu’on intéresserait facilement le lecteur. [...] Elle flotte, elle hésite. Est-ce prudence ? est-ce bienveillance ? Ça n’est guère supposable. D’ailleurs se réfugiant dans un nom de guerre, la difficulté n’est-elle pas toute tranchée sous le premier rapport ? Et pour l’autre, qui pensera à se formaliser de ce que tels ou tels ne reçoive pas le coup d’encensoir sur toute la ligne ? Mais pas même eux."
29 octobre 1858. 2 pp. in 12.
«[...] Je donnerais volontiers l’autorisation que vous me demandez d’imprimer mon roman intitulé Le Nœud de Ruban si mes engagements avec la Société des gens de Lettres dont je fais partie depuis des années, ne m’interdisaient pas la possibilité de faire des traités indépendants avec les journaux de province. La société se chargeant de toucher les droits, a son avantage dans cette affaire et regarderait comme une infraction aux traités que j’ai signés. Tout arrangement particulier qui la frustrerait du droit qu’elle prélève pour elle-même, je ne puis donc autoriser que la publication dans les conditions ordinaires de la société des gens de lettres, sans risquer un procès avec cette société. [...]”
19 octobre 1859. 1 p. in 12.
«Après un déménagement, un voyage et une indisposition, je suis enfin arrivée et je loge au n° 35 de la rue de Grenelle St Germain. [...] Voulez-vous y envoyer un de ces prochains jours vers midi pour régler le petit compte des billets de Marie. [...]»
ANCELOT (Virginie) romancière aux multiples talents, dont celui de peintre (1792-1875).
Reference : 2C26
Belle lettre. Elle lui indique qu’elle et son mari seraient charmés « de faire partie de la galerie de la presse dont les portraits sont charmants et parfaitement ressemblants ». Elle lui demande d’envoyer un des dessinateurs, afin qu’il puisse exécuter son portrait ainsi que celui de son mari, le dramaturge et écrivain français, Jacques-François Ancelot. « Mr Gigoux devait déjà faire une lithographie de moi, je vois son nom parmi vos dessinateurs et si cela pouvait vous convenir que ce fut lui, j’en serai charmée… ». On connaît une lithographie publiée dans la Galerie de la presse, de la littérature et des beaux-arts, exécutée en 1839, par le peintre Jean Gigoux (1806-1894).
Paris Revue Blanche 1902 Un volume in-12 broché, couverture blanche, 304 pages. Couverture défraîchie, papier bruni.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
ACADEMIE ROYALE DE BELGIQUE 1984 in8. 1984. Broché.
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TEQUI P.. Juillet - Sept 1912. In-12. En feuillets. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 4 pages. Manque en marges. Quelques pliures. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Librairie des annales.. Non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 239 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
DELMAS. 1934. In-8. Broché. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Coiffe en pied abîmée, Intérieur frais. 312 pages. Quelques rousseurs sur la tranche. Manque le premier plat.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
La vraie France.. 1929.. In-12. Broché. Etat passable, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 282 pages. Couverture détachée. Manques importants sur le dos de l'ouvrage. Quelques pages détachées.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Romans et récits n°71. Préface de Camille Jullian. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
EDITIONS DE LA VRAIE FRANCE. 1929. In-12. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 279 pages. Dos cuir noir, titres dorés. Papier vert et noir. Bords et plats frottés. Tampons sur les pages de garde et de titres.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
"Reliure signée ""Union-Club Bordelais"". Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française"
"EDITIONS DU ""PETIT ECHO DE LA MODE"". NON DATE. In-12. Broché. Etat d'usage, 1er plat abîmé, Coiffe en pied abîmée, Intérieur frais. 160 pages. Premier plat illustré en couleurs. Manque sur le premier plat.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française"
Collection Stella n°252. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Paris Héloïse d'Ormesson 2007 In 8 Traduit de l'espagnol par Isabelle Taudière . L'auteur argentin est spécialiste des romans à énigme . Au coeur du XIV° siècle , dans la France médiévale , Geoffroy de Charny , chevalier corrompu , use de son intelligence maléfique pour ourdir une mystification qui lui assurera gloire , pouvoir et fortune . Roman .- 272 p. , 450 gr.
Couverture souple Très Bon État . 1ère Édition
Métailié 2000 154 pages 21x14x1cm. 2000. Broché. 154 pages.
French édition - très légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état d'ensemble. Envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis France
Editions Héloïse d'Ormesson 2007 14x22x2cm. 2007. Broché. 268 pages. Très bon état
Alger : Edmond Charlot, 3 décembre 1943 In-12, (10) feuillets. Couverture rempliée et imprimée (défraîchie).
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Ouest-France 2012 18 5x29 2x2 3cm. 2012. Relié.
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Ouest-France 2001 127 pages 25x19x1cm. 2001. Broché. 127 pages.
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Ouest-France 2001 127 pages 25x19x1cm. 2001. Broché. 127 pages.
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