2004 in-8 broché - 2004 - 479p - Ed. du Rocher / thriller
Bon état - Coins très légèrement émoussés
1844 Paris, chez Aubert & Cie Editeurs, (1844); in-8° oblong, plein cartonnage crème de l'éditeur, titre en noir et or au 1er plat, ornement encadrant le titre en noir, dos muet; (2)pp. 86 feuillets de rébus, (6)pp. d'explication des rébus et (8) pp. (catalogue Aubert)
Cartonnage frotté à la charnière inférieur, la lettre est un peu décolorée au 1er plat, coins émoussés. Bien complet. (Reu-CO1)
"Lyon, Giraud Frères et Gayet, Rue Bonneteau n° 16 ou Giraud et Gayet, Déposé à la Direction Générale de l’Imprimerie à la Bibliothèque Nationale, avec privilège, 1828-1839. Petit folio, cartonnage modeste défraîchi; (salissures, accrocs, traces de pliures, manque à deux planches, une planche déchirée)."
Galerie militaire française, ce que l’on dit et ce que l’on pense, les Travestissements pour 1828, les Emblèmes, les Amours de 1832, les Amours de 1839, les Contre-temps 1831, Traité sur les Passions de l’Homme, Illustrations modernes, Galerie des Hommes ou l’Art de Connaître leurs caractères, les Métamormophoses de 1831, Metempsychose, galerie des Dames, Prédestinée.
Paris Martinet, Librairie rue du Coq n°13 et 15 [vers 1805] in-folio (43 x 25,5 cm) en feuille, non rogné
Beau rébus géant orné d'une soixantaine de petites vignettes gravées et coloriées à l'époque. La solution de l'énigme est gravée au verso
Paris Chez Jean, rue Jean de Beauvais n°10 [vers 1805] in-folio (431,5 x 26 cm) en feuille, non rogné
Joli planche de rébus composée de 8 vignettes gravées et coloriées à l'époque
Paris Martinet, Librairie rue du Coq n°13 et 15 [vers 1805] in-folio (43 x 25,5 cm) en feuille, non rogné
Beau rébus géant orné d'une quarantaine de petites vignettes gravées et coloriées à l'époque. La solution de l'énigme, satire des médecins, est gravée au verso
Rouen, Loys du Mesnil, 1628. Petit in-12 de [24]p., 181ff., [2]p. bl., [8]p., 50ff. [mal chiffrés 1 à 20, 23 à 46, 45 à 50], 64ff., 60ff., 60ff., plein vélin ivoire à rabats, titre inscrit à l'encre au dos. Un cahier légèrement déboîté, quelques cahiers courts de marge, petit accident au second ff. de l'avant-propos, page de titre salie. Un lecteur attentif a inscrit quelques annotations et autres corrections au crayon gris. Reliure ancienne.
5 vignettes de titres, 2 répétées deux fois, 4 portraits dont un répété 3 fois, 17 emblèmes et de très nombreux symboles et compositions typographiques (dans le premier livre des Bigarrures), et in fine la devise de Tabourot, "Tous accord" sur un tambour gravé. Rare exemplaire réunissant les deux livres de Bigarrures (numérotés I et IV, les livres II et III n'ayant jamais paru), Les Touches, Les Escraignes dijonnoises, et Les Contes facétieux, chacune des parties disposant de feuillets de titres distincts, elles furent souvent séparées et revendues séparément. Le terme de « touche » renvoie au vocabulaire de l'escrime ; les « escraignes » désignaient dans la Bourgogne natale de l'auteur des huttes en terre dans lesquelles les filles des vignerons se réunissaient pour la veillée, et ce nom était par extension appliqué à des contes ou à des traits souvent peu édifiants. Célèbre recueil "bigarré" de cet auteur rabelaisant qui traite avec une parfaite érudition la question du divertissement langagier. Un véritable traité des mécanisme de l'humour à la Renaissance: Tabourot explique tout d'abord, dans Les Bigarrures, le fonctionnement des jeux de mots fondés sur l'ambiguïté inhérente à la langue (« équivoques », « entends-trois ») ou sur la déstructuration de celle-ci (contrepèteries, rébus). Il s'intéresse ensuite aux formes traditionnelles de l'épigramme (Les Touches) ou du fabliau (Les Contes et Les Escraignes) proposant une attaque ou un récit dont la force comique réside en un glissement de sens : passage du figuré au littéral, changement d'échelle ou de registre, etc. Salué pour ses Bigarrures par les milieux savants de l'époque, Tabourot resta en revanche incompris dans cette démarche concernant les contes populaires considérés comme d'inspiration vulgaire. Les Bigarrures comprennent l'une des première présentations théoriques des rébus, dits « de Picardie », dans leurs utilisations emblématique ou simplement ludique. Plusieurs passages très lestes offrent des exemples caractéristiques de la littérature érotique d'avant l'âge classique. Alain Nicolas, vente Beaussant Lefèvre, 3/12/2010. C'est un peu l'ancêtre de l'Oulipo!!.
Paris, Jean Richer, 1608. In-12 de [12ff.]-181ff., [1ff]-[4ff.]-50ff. [mal chiffrés 1 à 20, 23 à 46, 45 à 50], 60ff., 60ff.(mal chiffré 59), 64ff., plein vélin ivoire à rabats, titre inscrit à l'encre au dos. Plusieurs vers ont cru spirituel de faire quelques galeries dans les marges, mais sans jamais s'aventurer dans le texte, se contentant des marges. Papier légèrement bruni, les pages de garde sont proprement décollées. Reliure ancienne.
5 vignettes de titres (de l'imprimeur ), 1 portrait répété 3 fois (Tabourot) et 1 portrait du sieur Gaulard, 17 emblèmes et de très nombreux symboles et compositions typographiques (dans le premier livre des Bigarrures), et in fine la devise de Tabourot, "Tous accord" sur un tambour gravé. Rare exemplaire réunissant les deux livres de Bigarrures (numérotés I et IV, les livres II et III n'ayant jamais paru), Les Touches, Les Escraignes dijonnoises, et Les Contes facétieux, chacune des parties disposant de feuillets de titres distincts, elles furent souvent séparées et revendues séparément. Le terme de « touche » renvoie au vocabulaire de l'escrime ; les « escraignes » désignaient dans la Bourgogne natale de l'auteur des huttes en terre dans lesquelles les filles des vignerons se réunissaient pour la veillée, et ce nom était par extension appliqué à des contes ou à des traits souvent peu édifiants. Célèbre recueil "bigarré" de cet auteur rabelaisant qui traite avec une parfaite érudition la question du divertissement langagier. Un véritable traité des mécanisme de l'humour à la Renaissance: Tabourot explique tout d'abord, dans Les Bigarrures, le fonctionnement des jeux de mots fondés sur l'ambiguïté inhérente à la langue (« équivoques », « entends-trois ») ou sur la déstructuration de celle-ci (contrepèteries, rébus). Il s'intéresse ensuite aux formes traditionnelles de l'épigramme (Les Touches) ou du fabliau (Les Contes et Les Escraignes) proposant une attaque ou un récit dont la force comique réside en un glissement de sens : passage du figuré au littéral, changement d'échelle ou de registre, etc. Salué pour ses Bigarrures par les milieux savants de l'époque, Tabourot resta en revanche incompris dans cette démarche concernant les contes populaires considérés comme d'inspiration vulgaire. Les Bigarrures comprennent l'une des première présentations théoriques des rébus, dits « de Picardie », dans leurs utilisations emblématique ou simplement ludique. Plusieurs passages très lestes offrent des exemples caractéristiques de la littérature érotique d'avant l'âge classique. Alain Nicolas, vente Beaussant Lefèvre, 3/12/2010. C'est un peu l'ancêtre de l'Oulipo!!.
Paris, Pierre Horay, 1964, in-12, cartonnage illustré de l’éditeur, 87 pages. Album de rébus inventés par Topor à partir d’illustrations anciennes (Granville, Tony Johannot, Cham…). Les réponses sont données en fin de volume. Bel exemplaire.
EDITION ORIGINALE