DAVID Hermine - [Paris 1886 - 1970] - Peintre et graveur française
Reference : GF26819
2 pages in8 -
A propos de 2 gravures prêtées pour un livre à éditer: elle n'a plus de nouvelles depuis 3 ans - Elle demande si "le livre est enfin paru" et que lui soient rendu les gravures "car le prix en est de 3500 francs pièce à la Bibliothéque Nationale ou elles furent exposées" -
Paris, Editions du Seuil, 1965. In-8, broché, non coupé, 250 pp.
Edition originale. Un des 50 exemplaires du tirage de tête numérotés sur vélin neige. n° 11. Envoi autographe de l'auteur. Photos sur demande.
Paris Editions du Seuil 1965 1 vol. broché in-8, broché, non coupé, 250 pp. Edition originale. Un des 70 exemplaires réservés au Club de l'Edition Originale, celui-ci avec un envoi de l'auteur et une page du manuscrit original. Très bon état.
Collaborateur de la revue l’Oeuf dur.1 lettre (2 p.) à en-tête de l’Oeuf dur, 14 mars 1922 : Il le remercie de l’envoi d’Intentions et de la publication de son poème dans le n° 3. [Intentions mars 1922 : Sphinx double]. Il voudrait lui parler de ce n°. “J’aime beaucoup les Gestes de Paul Fierens et la classique pureté (Ronsard, Malherbe et Baudelaire) de l’En Arles d’Alibert (ce dernier goût me vaudrait je crois une dispute à l’Oeuf Dur). Le Romains n’est pas mauvais et le Jouhandeau me plait infiniment. J’ai vu enfin dans votre Salomé que vous aimiez non seulement Wilde mais encore plus (?) Villiers de l’Isle-Adam, et voilà une nouvelle rencontre”.1 lettre (2 p.) à en-tête de l’Oeuf dur, 28 mars 1922 : Il est sensible aux critiques de la presse que P-A. May lui a fait parvenir (Jamati) et apprécie Lucia van Dooren et Assez de chants glacés de Martin du Gard “qui est très supérieur à tout ce que je connaisssais de lui.”1 carte recto verso, 4 mai 1922 : il doit aller à St Gervais tout le mois de mai en raison de sa santé et lui envoie 3 contes inédits refusés par les Ecrits N. et la N.R.F., il serait heureux de les voir publiés.3 poèmes manuscrits (7 pages, la dernière signée), Trois contes : Conte ennuyeux, Conte d’Outremer, Conte comique, paraitront dans Intentions n° 1, janvier 1922 et dans Intentions n° 3, mars 1922 : Sphinx double de Maurice David.
Phone number : 33 01 48 04 82 15
Robert Laffont, Paris 1974, 12x20,5cm, reliure de l'éditeur.
Nouvelle édition ornée d'illustrations. Reliure de l'éditeur en plein cartonnage marron, dos lisse comportant de légers manques de film pelliculé recouvrant l'ouvrage. Envoi autographe signé de Zino Davidoff à Alain Ripoche. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1 page in8 - bon état -
A l'occasion de sa seconde exposition "à la Galerie Marcel Bernheim", il serait particulièrement sensible à son passage et à ses avis - Il le remercie par avance - Rare -
DAVID (Pierre Jean dit David d’Angers) sculpteur français (1788-1856)
Reference : 10C26
Il éprouve « un vif regret » de ne pouvoir se rendre aujourd’hui à la séance, « étant obligé de faire partie d’une commission de membres de l’Institut, convoquée pour la même heure que celle de la monnaie des médailles... ».
DAVID (Pierre Jean dit David d’Angers) sculpteur français (1788-1856)
Reference : 9C26
Il s’adresse de nouveau au praticien « si haut dans l’opinion publique », craignant que celui-ci ait oublié sa première lettre et sa recommandation, pour une intervention sur l’enfant d’un de ses amis, qui est devenu sourd et muet depuis une année.
Paris Fayard 1989 1 vol. broché in-8, broché, 334 pp., index, bibliographie. Envoi autographe signé de l'auteur. Très bon état.
Tilsit 1er juillet [1807], 19x22,5cm, 3 pages sur une double feuille.
"Car les affaires prennent ici une telle tournure que je puis conserver l'espérance de t'embrasser sous deux mois au plus tard." Lettre autographe signée du maréchal Davout à son épouse, Aimée Leclerc. 3 pages àl'encre noire sur une double feuille. Une numérotation au crayon rouge et une date au crayon d'un précédent bibliographe en partie supérieure du premier feuillet. Longue missive, probablement inédite, écrite une semaine avant la signature du premier traité de Tilsit qui met fin à la guerre contre la 4e coalition. Certain de l'heureux dénouement des campagnes de Prusse et de Pologne, Davout espère retrouver son épouse - la belle-soeur de Pauline Bonaparte - dans les meilleurs délais ; c'était sans compter la délicate mission qu'allait lui confier l'Empereur, en le nommant à la tête des forces françaises du nouveau duché de Varsovie. Davout donne des nouvelles du frère et de l'oncle par alliance de sa femme bien aimée : le général Desessart, chef de l'état-major de la division Friant dans le 3e corps de la Grande Armée ainsi que le général Jean-Charles Musquinet de Beaupré, attaché à l'état-major du 3e Corps de la Grande Armée. Il s'inquiète de la santé de sa femme et n'apprendra que le lendemain l'heureuse naissance de sa fille Adèle Napoléone. Lettre très visuelle portant une belle signature du maréchal Davout. "Ce 1er juillet Tilsit Je reçois à l'instant ma petite Aimée tes lettres du 19 et 20 juin. Il me semble être près de toi et éprouver toutes les angoisses dont j'ai déjà été tourmenté dans les occasions pareilles, mon impatience d'apprendre l'événement est extrême. Le courage que tu montres à l'approche et sérieusement me rassure et dissipe les vives inquiétudes dont je ne pouvais me défendre il y a quelques temps. [...] Il faut occuper ma petite Aimée de bien soigner ta santé afin qu'en arrivant à Paris je te retrouve parfaitement remise de tes couches et que nous puissions jouir ensemble de Savigny le reste de la belle saison. Car les affaires prennent ici une telle tournure que je puis conserver l'espérance de t'embrasser sous deux mois au plus tard. [...] Il me semble ma bien bonne amie ne t'avoir jamais donné lieu à concevoir de pareilles craintes mais en voilà assez sur cet article. Parlons un peu de notre Joséphine. Elle montre une intelligence bien supérieur [sic] à son âge que je lui scai [sic] gré de toutes ces gentillesses et de toute cette humeur qu'elle te montre. Je lui envoie à cause de cela des caresses à discrétion. Mille choses tendres à notre bonne mère. Rassure la sur la santé de Desessart de Beaupré et de tout ce qui l'intéresse en me rapelant [sic] au souvenir de ma belle soeur annonce lui que son brave et estimable mari jouit d'une parfaite santé. A Dieu ma petite Aimée, reçois les embrassemens de ton amoureux et fidel époux. L. Davout" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Varsovie 27 novembre [1807], 18,6x23cm, Trois pages sur une double feuille.
"ce nouveau bienfait de mon souverain ne pouvoit venir plus à propos" Lettre autographe signée du maréchal Davout, alors gouverneur général de Pologne, adressée à son épouse Aimée Leclerc,belle-soeur de Pauline Bonaparte. Trois pages à l'encre noire sur une double feuille, avec son adresse autographe au verso, ainsi que le tampon de la Grande Armée, et un cachet de cire brisé, armorié au chiffre « LD » sur grand manteau et bâtons de Maréchal sous couronne. Déchirures dues à l'ouverture avec atteinte à deux mots de la troisième page. Après l'éclatante victoire personnelle de Davout à Auerstaedt, les batailles de Iéna, d'Eylau et de Friedland qui mettent fin à la guerre contre la quatrième coalition, Davout récolte les fruits de sa réussite. Couvert d'honneurs et de bienfaits par l'Empereur, iljouit de ses vastes terres en tant que nouveau gouverneur général de la Pologne. Bénéficiant de la générosité de Napoléon qui fait de lui le maréchal le plus doté de l'Empire, Davout a l'intention d'acquérir l'hôtel de Monaco rue Saint-Dominiquejusque là occupé par l'ambassadeur de la Sublime Porte : "Tu as dû recevoir déjà les 300.000 F que l'empereur me fai[t] donner précisément pour faire l'acquisition d'un hôtel à Paris. Ainsi ce nouveau bienfait de mon souverain ne pouvoit venir plus à propos". Il en confie l'achat et l'aménagement à sa chère épouse Aimée Leclerc : "je m'en repose sur ma petite Aimée pour cette acquisition, je çais, qu'elle partage mes goûts [...]Je le trouverai d'autant plus beau que ce sera ma chère Aimée qui l'aura embelli et qui en aura fait une des plus belles habitations des environs de Paris". Disposant de pas moins de 18% des territoires polonais repris à la Prusse, Davout lui écrit vouloir vendre un moulin qui faisait partie de l'antienne principauté de Lowicz, à l'ouest de Varsovie, afin de couvir les dépenses de son achat parisien.Profitant également de l'inaliénabilité attachée aux donations de l'Empereur, Davout compte protéger le château de sa femme à Savigny sur Orge en employant les fonds donnés par l'Empereur pour en payer les dettes. "Je viens de recevoir ta lettre de Savigny. Celle que tu m'annonces m'avoir écrit la veille ne m'est point parvenue ma chère amie, ainsi tes craintes se sont réalisées et le commissionnaire l'aura perdue. Tu me dis que si mon projet étoit d'acheter un hôtel le moment seroit assez favorable. Tu as dû recevoir déjà les 300.000 F que l'empereur me fait[t] donner précisément pour faire l'acquisition d'un hôtel à Paris. Ainsi ce nouveau bienfait de mon souverain ne pouvoit venir plus à propos ; je m'en repose sur ma petite Aimée pour cette acquisition, je çais, qu'elle partage mes goûts et qu'elle donnera la préférence à un hôtel propre qui n'exigera pas une grande représentation à un autre qui en exigerait une. Nous passerons certainement la plus grande partie de notre tems à ton Savigny [leur château, à Savigny-sur-Orge, dans l'actuel département de l'Essonne]. Je le trouverai d'autant plus beau que ce sera ma chère Aimée qui l'aura embelli et qui en aura fait une des plus belles habitations des environs de Paris. Je désire vivement voir terminer l'agraire du moulin je compte et j'en regarde la vente comme à peu près certaine. Ces 106.000F deveront peut être employé[s] suivant les intentions de l'empereur pour faire partie du fief. Ton intention est-elle que devant 540.000F sur Savigny on emploie les fonds qui provienderont de la principauté de Lowicz à payer [cette] somme ? Dans cette supposition, Savigny ferait partie du fief et ne pourroit jamais être aliéné. Cependant à la jalousie que montre déjà notre Joséphine serait bien allarmant [sic] si son extrême jeunesse et les joies et peurs que tu prendrais de la guérir de ce défaut ne me donnerait pas la certitude qu'elle en serait totalement guérie. Auparavant le [...] deviendrait lorsqu'elle prendrait d'autant plus sa petite soeur favorite qui paraît que celle-ci aura l'avantage de la beauté. J'envoie mille caresses à mes deux petites et mille et mille baisers à leur excellente et belle Maman. Tout à toi pour la vie. ton bon mari. LDavout" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Pultusk 7 janvier [1807], 19x23cm, 1 page sur une double feuille.
Lettre autographe signée du maréchal Davout à son épouse, Aimée Leclerc,belle-soeur de Pauline Bonaparte. 1 page àl'encre noire sur une double feuille, avec son adresse autographe au verso, ainsi que le tampon postal à la date du 23 janvier 1807, et cachet de cire brisé, armorié auxbâtons de maréchal, glands etfeuilles de chêne avec mention "Le maréchal Davout Empire français" au feuillet d'adresse due à l'ouverture sans atteinte au texte. Missive écrite du champ de bataille de Pultusk, où le 26 et 27 décembre 1806 les Russes du général Benningsen furent battus par le maréchal Lannes avec l'appui de la division Gudin, qui comprenait un détachement du corps d'armée du maréchal Davout. Selon les souvenirs ducommandant Jakub Kierkowski,"ce fut un vrai jour du jugement dernier [...] il pleuvait et il neigeait, un vent glacial soufflait. Les chevaux de notre cavalerie avaient la boue jusqu'au ventre c'est pourquoi elle ne put rien entreprendre. L'infanterie russe chargea deux fois à la baïonnette, mais elle fut refoulée avec des pertes sévères. Presque personne ne tenait plus à sa vie car le gel prenait les gens mouillés, donc tous furent transis [...] il fut impossible de fléchir les bras car la glace craquait sur le corps, le froid et avec ça la faim, mieux vaut la mort qu'une telle vie." Lettre très visuelle portant une belle signature du maréchal Davout. "Hier ma petite Aiméejet'ai donné de mes nouvelles.J'aioubliéde te parler de cellesde nos parents. Leur santé est aussi bonne que la mienne. Sous peu de jours, je pense t'annoncer que Sa majesté leur a donné de nouvelles marques de sa bienveillance. [Marc-Antoine Bonin de la Boninière de] Beaumont est toujours à Varsovie avec la goutte. D'abord il y a longtemps que je n'ai eu de vos nouvelles j'ai chargé Laforêt porteur de cette lettre [...] il doit ainsi me rapporter tes lettres puisqu'il y en aura. Adieu ma petite Aimée, [...] mille caresses pour notre Joséphine et mille baisers à sa belle et vaillante Maman. Ton amoureux [...] L. Davout" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Skierniewice 14 septembre [1807], 19x22,5cm, 2 pages et demisur une double feuille.
"tu ne m'annonces point avoir vu l'Impératrice ou l'Empereur" Lettre autographe signée du maréchal Davout à son épouse, Aimée Leclerc. 2 pages et demiàl'encre noire sur une double feuille. Traces de plis inhérentes à l'envoi. Lettre, très probablement inédite ("la correspondance intime du maréchal Davout cesse d'août à novembre [1807]" indique à tort la marquise de Blocqueville dansLe Maréchal Davout, prince d'Eckmühl, raconté par les siens et par lui-même) adresséeà sa très chère épouse, belle-soeur de Pauline Bonaparte. Installé dans son palais àmi-chemin entreVarsovieet?ód?, Davout désormais gouverneur général du Duché de Varsovie se languit de son épouse et de leur propriété de Savigny sur Orge : "mais quoique cet endroit soit un des beaux du pays il est à cent mille lieux de Savigny".Il incite surtout la maréchale à apparaître à la cour et demeurer proche de l'Empereur ; elle était notamment chargée de faire les demandes de permission de son mari auprès de Napoléon lui-même. Davout ne pouvait que difficilement s'échapper de Pologne ("Si je pouvais prévoir l'époque de mon retour définitif") afin de s'occuper, entre autres, des affaires maritales de sa cousine Hélène Davout : "je te prierais si notre cousine n'a pas un grand attachement pour son futur de la convaincre que dans les prochains six mois nous trouverons à l'établir plus avantageusement mais il peut survenir des événements qui ne permettent pas d'aller en permission". Cette dernière finira par épouser à Varsovie en 1808 le général François-Louis Coutard. Lettre très visuelle portant une belle signature du maréchal Davout. "Skierniewice ce 14 7bre à 6h du matin Déjà ma petite Aimée j'éprouve la salutaire influence de l'air de la campagne. Mon violent mal de tête commence à se dissiper j'espère que demain j'en serai totalement débarassé [sic]. Dans tes différentes lettres tu ne m'annonces point avoir vu l'Impératrice ou l'Empereur. Est-ce que l'état de ta santé ne te permettrait pas de t'habiller suffisamment pour que tu puisses aller faire ta cour ? Tu ne m'as point parlé de la nomination de Beaumont [de la Boninière] comme sénateur cependant tous les journaux ont annoncé que l'Empereur avait nommé sénateur le gén Beaumont quoique sachant bien qu'il y en a un autre de ce nom cependant tout doit me faire espérer que celui nommé est mon beau-frère. Au moins je lui en ai écris [sic] et l'ai félicité de bien bon coeur [...] Rappelle moi au souvenir de ta bonne mère mille amitiés à Beaumont. Il y a un siècle que je n'ai eu de lettres. Mille baisers à mes deux petites et mille et mille baisers à mon excellente etbelle femme [...] ton amoureux et fidèle épouxDavout [...]" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Plon, 1957-1960, 4 volumes. in-8, brochés, non coupés, couvertures rempliées. Tome 1. Le Bruit de la vie. 352 pp. Envoi de l'auteur : " Pour Michelle [Maurois], pour vingt ans de fidèle amitié et dans l'espoir de voir mon livre revêtu des lauriers vernis de la gloire - Jean [Davray] ". - Tome 2. Le Matin vient et la nuit aussi. 341 pp : Envoi de l'auteur : " Pour Michelle [Maurois], cette dédicace qui serait merveilleuse, si je savais exprimer par des mots, ma fidèle et si vieille affection - Jean [Davray] ". - Tome 3. Sur les genoux des dieux. 337 pp. Envoi de l'auteur : " Pour Michelle [Maurois] avec ma fraternelle et constante affection - Jean [Davray] ". - Tome 4. Les Astres meurent. 405 pp. Envoi de l'auteur : " Pour Michelle [Maurois] que j'ai eu la chance de rencontrer au jour de mes vingt ans, avec ma fidèle et fraternelle affection - Jean Davray ".
Edition originale. Envoi autographe sur chacun des volumes. Tirage unique à 44 exemplaires numérotés. Un des 7 exemplaires numérotés (n° IV poour tous les volumes) sur japon Kimwashi, deuxième papier après 7 ex n° sur papier de Chine. Ex en parfait état.* Jean Davray, né le 23 novembre 1914 à Sarreguemines (Moselle) et mort le 25 septembre 1985 à Paris, est un écrivain et publicitaire français. La plus grande part de la vie professionnelle de Jean Davray a lieu au sein des entreprises d'eaux minérales Perrier pour lesquelles il proposa le slogan publicitaire Perrier, c'est fou.Davray fut un collectionneur de tableaux notamment Dans le jardin de Vuillard , de meubles et d'objets d'art, et un grand bibliophile ; la majeure partie de son importante bibliothèque est dispersée de son vivant, en 1961, le reste après sa mort en 1986 (ainsi que sa collection). Photos sur demande.
Laval, Imprimerie -Librairie de la Mayenne, 1934 ; in-12°, broché, couverture orange imprimée en noire et rouge, dos muet; 375pp.
Recueil de poésie et nouvelles, avec sur le titre un bel envoi autographe signé de l' auteur se terminant par " Vive le Roi ! " .(GrF)
1975 Toulouse, le jeudi 20 mars 1975. Trois pages sur deux feuillets doubles (110 X 155 mm) découpés par Dax ; trois illustrations contrecollées sur le premier feuillet, deux sur le second. Enveloppe timbrée.
BELLE LETTRE adressée par Adrien DAX (1913-1979), peintre et écrivain libertaire et surréaliste au sculpteur Jean-Claude BIRABEN (1933-2018).Adrien Dax, après avoir remercié Biraben pour sa « belle lettre en accordéon », ornée de « dessins calligraphiés » et de « fragments poétiques » qu'il a aimé « sans la moindre réserve », évoque des appels téléphoniques avec « Annie [Rowling] » à Londres et « Élisa [Breton] » à Paris, ainsi qu'une exposition pour « une galerie italo-niçoise » pour laquelle il a envoyé « une vingtaine de choses, dont huit graphismes récents en grand format, quatre impressions en relief(s) d'il y a 10 ans et divers dessins au crayon [?], à la gouache et à l'encre ». Il a reçu également "A, noir corset velu", un « bouquin monumental » d'Henri Maccheroni réalisé en collaboration avec Pierre Bourgeade : « On pense à d'étonnants paysages, à des végétations de métal. Cela tient, aussi, de la loutre et de l'orchidée. » Il s'est rendu à Paris à l'occasion du soutien en Sorbonne de la thèse de Marguerite Bonnet sur André Breton : « Il y a eu, le soir, une réunion de tous les "amis" du café. Beaucoup de froideur entre les divers groupes mais, en fin de compte, il n'y a pas eu le moindre incident. Donc tout s'est bien passé. Ni [Jean] Schuster, ni Radovan [Ivšić] n'étaient là... » Enfin il raconte un petit cambriolage réalisé dans une école par des "casseurs" : « Tout cela pour, environ, 20 à 25 francs en pièces de 0,50 !! De quoi rigoler, ces pauvres types travaillent pour rien ! » En post-scriptum il ajoute : « J'ai atrocement souffert pour écrire cette lettre. Imagine que j'ai oublié mes lunettes et que j'en ai été réduit à utiliser la loupe et la plume à dessin ! ». CINQ "IMPRESSIONS EN RELIEF(S)", dont deux en bistre, contrecollées et de formats divers, ornent les deux feuillets doubles ; elles sont toutes signées par Dax à la mine de plomb. Il s'agit, comme l'explique Dax à Biraben à la fin de son post-scriptum, de découpages de publicités qu'il a ensuite modifiées : « "L'escorte" est cette fois constituée par des publicités transformées (prélevées dans des magazines féminins). » Adrien Dax nommait « impressions en relief(s) » la transformation d'un support graphique par empreinte et/ou grattage. BEAU DOCUMENT "BRUT" et intéressant témoignage de la vitalité créatrice d'Adrien DAX. ENGLISH TRANSLATION : Toulouse, le jeudi 20 mars 1975. Three pages on two double leaves (110 X 155 mm) cut by Dax ; three illustrations pastedown on the first leaf, two on the second. Stamped envelope.BEAUTIFUL LETTER addressed by Adrien DAX (1913-1979), libertarian and surrealist painter and writer to the sculptor Jean-Claude BIRABEN (1933-2018).Adrien Dax, after having thanked Biraben for his "beautiful letter in accordion", decorated with "calligraphic drawings" and "poetic fragments" which he liked "without the least reserve", evokes telephone calls with "Annie [Rowling]" in London and "Elisa [Breton]" in Paris, as well as an exhibition for "an Italian-Nice gallery" for which he sent "about twenty things, including eight recent large-format graphics, four relief prints from ten years ago and various pencil drawings [? ...], gouache and ink". He also received "A, noir corset velu", a "monumental book" by Henri Maccheroni in collaboration with Pierre Bourgeade: "One thinks of astonishing landscapes, of metal vegetation. It also comes from the otter and the orchid. "He went to Paris on the occasion of the support in Sorbonne of the thesis of Marguerite Bonnet on André Breton: "There was, in the evening, a meeting of all the "friends" of the café. There was a lot of coldness between the various groups but, in the end, there was not the slightest incident. So everything went well. Neither [Jean] Schuster nor Radovan [Ivšić] was there... "Finally he tells of a small burglary carried out in a school by "breakers": "All this for, about, 20 to 25 francs in 0.50 coins ! What a laugh, these poor guys work for nothing ! "In postscript he adds: "I suffered atrociously to write this letter. Imagine that I forgot my glasses and that I was reduced to using the magnifying glass and the drawing pen! ». FIVE "PRINTINGS IN RELIEF(S)", of which two in bistre, pastedown and of various sizes, adorn the two double leaves ; they are all signed by Dax in lead pencil. They are, as Dax explains in Biraben at the end of his postscript, cut-outs of advertisements that he then modified: « "The escort" this time consists of transformed advertisements (taken from women's magazines). » Adrien Dax called "impressions in relief(s)" the transformation of a graphic support by impression and/or scraping. BEAUTIFUL "ART BRUT" DOCUMENT and interesting testimony of the creative vitality of Adrien DAX.
Phone number : 06 21 78 12 79
Robert Laffont, Paris 1967, 14x20cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, un des exemplaires du service de presse. Bel exemplaire, iconographie. Rare envoi autographe daté et signé de Yaël Dayan à Christian Melchior-Bonnet. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, les Editions de France, collection “Notre Temps” publiée sous la direction de Pierre Bonardi, 1927 ; in-16 (210 mm), broché ; [8], 211, [5] pp., couverture jaune imprimée en rouge et noir, chemise-étui simili ébène, dos chagrin noir, titre doré (P.Goy & C.Vilaine).
Edition originale, un des VI exemplaires (N°IV) hors commerce des 24 + VI sur vélin pur fil Lafuma, premier grand papier du tirage de tête, imprimé spécialement pour Pierre Bonardi, avec un envoi autographe signé qui occupe toute la page de faux titre : “Mon cher Pierre Bonardi, ce petit livre a été écrit et publié grâce à vous. Il était juste que je vous le dédie, pour que je puisse vous exprimer ainsi ma reconnaissance, mon amitié très vive et l’espoir de voir nos relations si affectueusement commencées s’accentuer encore. Pierre Daye, Paris, le 2 mars 1927”.Hong-Kong ; Canton ; Macao ; Shanghai ; Pékin ; la Chine face à l’Europe ; les Conflits de Mandchourie ; l’Asie nous menace-t-elle ? ; “Pékin-Moscou-Paris”. Exemplaire exceptionnel, à toutes marges.
Phone number : 06 60 22 21 35
Editions de France, Paris 1927, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Précieux envoi autographe daté et signé de Pierre Daye à Henri Béraud : "... dans les traces duquel il faut s'efforcer de marcher avec prudence..." Ouvrage illustré de 5 reproductions. Un petit manque en pied du dos, quelques rousseurs marginales sans gravité sur les plats, piqûres sur les gardes. Provenance : de la bibliothèque rétaise d'Henri Béraud. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Editions Points & Contrepoints, 1950. In-8 broché de 41-[7] pages, couverture rempliée. Bande de lancement conservée.
Edition originale de ce receuil de poèmes, au tirage limité à 300 exemplaires numérotés, sur vélin Alfama du Marais (282). Exemplaire enrichi d'une carte de visite de l'auteure et d'un envoi autographe signé de sa main à Jean Steffen. ––– DU 5 OCTOBRE AU 23 OCTOBRE IL NE SERA RÉPONDU À AUCUNE COMMANDE INTERNET. La librairie reste ouverte, le libraire est en voyage! ––––– FROM OCTOBER 5TH TO OCTOBER 23RD, NO INTERNET ORDERS WILL BE ANSWERED.The bookstore remains open, the bookseller is traveling! ––
Un des 200 exemplaires numérotés, préface de Pasteur Valléry-Radot, 1 vol. in-12 carré br. sous couv. rempliée, Editions du Pavois, Paris, 1948, 201 pp. et 3 ff.
Le long des 13 chapitres, l'auteur sud-américain évoque successivement : Georges Duhamel, de Lattre de Tassigny, Georges Bidault, Jean Monnet, Maurice Garçon, Georges Rouault, Jean Rostand, Jean Anouilh, le Père Riquet, Lucien Lelong, Jean-Louis Barrault, Hean Rigaux et Emile hermès. Exemplaire de l'édition originale, dédicacé par l'auteur. Etat satisfaisant (mouill. sur couv.)
Paris, Bachelier, 1832. XIJ. 531 pages. 3 planches hors-texte dépliantes. (21,5x13,5 Cm). Demi-toile à coins. Dos lisse doré. Coins et coiffes émoussés. Plats frottés. Petits manques sur les plats. Mouillure dans les marges des 12 premières pages sant atteint au texte. Rousseurs. Taches. Jean-Nicolas Deal est à compter parmis les penseurs les plus originaux des scientifiques de l'époque. Dans cet ouvrage très rare il veut demontrer l'impossibilité d'un mouvement spontané de la nature. Un tableau dépliant de synchronistique de l'univers sensible et deux planches dépliantes en couleurs hors-texte.
Editions de la Société Littéraire du Maine, Le Mans , Librairie générale de l' Ouest, Marcel Graffin 1933; in-8°, broché, couverture crème imprimée en noir et rouge avec vignettes en noir aux 2 plats, titre en noir au dos; 211pp., (1)f. Ornements typographiques en entête et culs-de-lampe.
Monologues, Simples Récits, Fables de la Fontaine, Contes Noirs.Envoi autographe signé de l' auteur. (GrG)
S.n., s.l. s.d. (circa 1917), 9,5x13,5cm, une feuille verso.
Carte postale photographique représentant l'acteur Max Dearly, de profil, prise dans le studio Félix. Bel exemplaire. Signature manuscrite datée de Max Dearlyà droite de son portrait. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Edition du journal "La Concorde", Paris 1935, 12,5x19cm, broché.
Edition de l'année de l'originale, mention de mille. Quelques rousseurs sur les plats. Rare envoi autographe daté et signé de Marcel Déat à Emile Périn. - Photos sur www.Edition-originale.com -