[Ernest Kolb, A la Librairie Illustrée] - CUNISSET-CARNOT, Paul
Reference : 65315
(1890)
1 vol. in-12 reliure demi-chagrin maroquiné à coins brun, dos à 5 nerfs, double filet doré en mors et coins, tête dorée, reliure signée de Ch. Colbault, Ernest Kolb, A la Librairie Illustrée, Paris, s.d. [1890 et 1888 ], 127-137 pp.
Double envoi de l'auteur, l'avocat Paul Cunisset-Carnot, "à Monsieur le Marquis de Cherville, affectueux souvenir", et "A Monsieur de Cherville, hommage bien sympathique à son lecteur le plus assidu". Thiébaud parle du second titre comme d'un "petit volume rare" (Thiébaud, 238). Collaborateur d'Alexandre Dumas, Gaspard de Cherville (1819-1898) est l'auteur de récits et romans cynégétiques. Bel exemplaire de très belle provenance (ex-libris héraldique en garde).
Ernest Kolb, Paris 1889, 10x16cm, relié.
Edition originale, un des rares exemplaires sur Japon dont il n'est fait nulle mention. Reliure à la bradel en demi percaline kaki, dos lisse orné d'un motif floral doré, double filet doré en queue, pièce de titre de chagrin rouge comportant des éraflures, plats de papier marbré, tête dorée, reliure de l'époque. Envoi autographe signé de Paul Cunisset-Carnot à Paul Ollendorff. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
1978-1979
Bel ensemble de 7 lettres autographes, un télégramme et un bref mot manuscrit du comédien et metteur en scène Alain Cuny (1908-1994), à la comédienne Laurence Bourdil née en 1943. À travers les sept lettres se dessine une relation tourmentée, entre amour et amitié.C’est après un passage aux Beaux-arts et le début d’une carrière de décorateur qu’Alain Cuny se tournant vers le théâtre, devient élève de Charles Dullin. En 1939, la guerre interrompt le projet presque signé d’un engagement à la Comédie française ; cet épisode restera le grand regret de sa vie !Née en décembre 1943, Laurence Bourdil est la fille de la poétesse spécialiste de chants Berbères Taos Amrouche (1913-1976) et du peintre André Bourdil (1911-1982). Elle se fit un nom au théâtre où elle brilla notamment aux côtés de Peter Brook et de Patrice Chéreau.L’échange épistolaire situé entre le 17 juillet 1978 et septembre 1979, dévoile l’amitié tumultueuse qui les liait. - L.A.S., 2 pages 210 x 297, datée du lundi 17 juillet 78.Dans cette lettre Alain Cuny parle beaucoup de son médiocre état de santé, qui freine considérablement ses ambitions professionnelles : « Je suis retenu à Paris pour le déménagement de la rue de B. et par les quelques soins réparant les contusions dues à l’intubation imprécautionneuse des anesthesistes, et je n’en finis pas ; le terme de juillet m’est présenté et les camionneurs ne m’ont pas encore fixé la date où ils viendront ensuite je partirai pour Saint-Malo où je mettrai en vente l’appartement qui m’y appartient ; enfin, le déplacement prévu à Rome, au cours duquel je voulais m’arrêter à Saint-Michel est annulé ; c’est à dire que je refuse le peu qui m’est offert dans un film auquel je n’avais accepté de participer que de principe et avant d’avoir pris connaissance du scénario. Je ne vais presque sûrement pas venir à Saint-Michel ; moins que les péripéties extérieures contraires, contrariantes, c’est cet état de faiblesse, pratiquement immobilisant qui me fait renoncer et ne me rompre qu’à l’inévitable. »Il fait ensuite allusion à un autre projet : "En ce qui concerne « L’Annonce », croyant bien faire, j’ai envoyé à l’homme qui m’avait avec empressement (C’est le directeur de la 2ème chaine) garanti l’appui pécuniaire de la Télévision – indispensable au producteur cinématographique – une longue lettre accompagnée de deux cadeaux, l’un pour lui, l’autre pour sa femme. J’ai, il y a plus de trois semaines déposé le tout entre les mains de sa secrétaire : pas de réponse. Ma lettre était confiante, sans « savoir-faire »".Le film L’Annonce faite à Marie, adaptation de la pièce éponyme de Paul Claudel, fruit d’une coproduction franco-canadienne, sortit sur les écrans le 18 décembre 1991.- L.A.S., 1 page 211 x 147, datée du 17 janvier 79.Brève lettre dans laquelle Alain Cuny invite son amie à prendre part à un événement en honneur de Julien Gracq : « Je prends les devants afin de vous informer sans tarder – et il faudrait que vous ne tardiez pas vous-même à donner votre réponse – d’un souhait que Julien Gracq et moi formons, de vous entendre dire, en ma compagnie, à Beaubourg, le 28 mars, à 20h30, des textes de lui. » Initialement annoncée aux côtés d’Alain Cuny, Laurence Bourdil sera finalement remplacée par l’actrice Nelly Borgeaud.- L.A.S., 1 page 210 x 270, datée du 10 février 79.Lettre dans laquelle Alain Cuny prévoit des séances de travail avec Laurence Bourdil en vue de la lecture consacrée à Julien Gracq : « Vous aurez vu Gracq, il vous aura remis ses livres. J’ai lu ces jours-ci quelques fragments contenus dans la livraison des « poètes d’aujourd’hui » : aucune littérature ne paraît supérieure ni aussi généreuse et vivifiante, je suis transporté. Vendredi 16, nous pourrions également nous voir et travailler, ce n’est que le soir que je partirai pour Toulon. »On notera la touche d’humour en post-scriptum : « Pour vous amuser : Marie Cornelie Falcon (1812-1897) cantatrice lyrique française la plus célèbre de tous les temps après cinq ans de succès triomphaux perd brusquement, inexplicablement sa voix ; elle épouse alors et vit près de lui jusqu’à quatre vingt cinq ans Monsieur Malançon ! »- L.A.S, 1 page 210 x 150, non datée (avant mars 79).Très belle lettre dans laquelle Alain Cuny regrette de n’avoir pas pris plus soin de son amie lors d’une réception : « Il est extraordinaire de constater que plus le feu prend moins il vous consumme (sic). Chaque instant qui passe me fait m’accuser de ne pas l’avoir employé à vous parler. Je ne pensais pas du tout que vous aviez été heureuse de cette soirée et je ne voyais ni avant, ni pendant, ni après être rentré que je puisse vous procurer le moindre bien nécessaire, je veux dire à vous dans votre être, car au théâtre vous m’avez dit et redit quelle existence j’avais à vos yeux. » L’attention de Laurence Bourdil à son égard semble le toucher et perturber quelque peu : « Je ne me reconnais pas le droit de posséder le magnifique tableau que tout de suite vous êtes venue déposer dans ma Thébaïde, je le garderais quelques temps je voudrais me dire que Chéreau monte un nouveau spectacle avec vous. Je suis affligé de n’être pas près de vous, de votre violente confiance, un meilleur miroir. »- L.A., 1 page 177 x 136, datée du mois de mars 79.Lapidaire missive probablement envoyées après le 29 mars, date de la lecture au Centre Beaubourg à laquelle aurait dû participer Laurence Bourdil. Alain Cuny est visiblement très contrarié : « Permettez-moi de vous rapporter ces disques et ce tableau : ils n’ont pas leur place chez moi. Les circonstances ont démontré que nous appartenions à des mondes différents et étanches. C’est bien souvent comme cela entre nous tous : si bien que le travail heureux d’une équipe n’est dû la plupart du temps qu’au filtrage supporté temporairement des divergences et intolérances de la nature profonde de chacun. »- L.A.S., 1 page 280 x 216, datée du mois de septembre 79.C’est l’heure de la réconciliation et peut-être même des excuses : « Ma petite Laurence, Vous avez bien fait de m’envoyer cette lettre, tardive dites-vous, et pourtant si pressante, bonne pour vous et bonne pour moi. Je me suis reproché d’avoir été parfois – intolérant, provoquant votre peine ; je pensais à vous cependant tout en maintenant ma résolution de me tenir autant que faire se peut à toutes distances physiques, mentales, échotières possibles, du milieu théâtral. Mais toutes mes facultés de remerciements vous disent merci d’avoir rompu le silence avec cet élan que connaissent ceux que vous aimez. »- L.A.S., 1 page 257 x 180, datée du mois du 16 septembre.Cette brève lettre, rédigée d’une main nerveuse, sonne comme une véritable lettre de rupture entre les deux amis : « Je lis votre lettre, je lis un peu Massignon ; un peu Hoceïn Mansur Hallâj ; je mange jusqueza quatre calissons par jour, ou par repas ! je suis un inqualifiable goinfre ; c’est comme ça ! J’essaye, longanimement, de me faire une raison. Mon souhait pour vous, sera une absence de souhait de chouette, d’intercesseur, de de de, prières et de cierges : vous n’avez qu’à avancer toute seule. Alain. »
Chez l'auteur, Paris 1932, 21,5x31cm, broché.
Edition originale ronéotypée et imprimée à petit nombre. Envoi autographe signé de L. Cuny. Agréable et rare exemplaire présenté sous couvertures et dos lisse muets gris. Un petit manque en pied du dos. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
CUNY (René Xavier Marie, dit Alain) acteur français (né à Saint-Malo en 1908-1994)
Reference : 27C24
Il est très touché par la simplicité avec laquelle le peintre est intervenu pour lui rendre service. « Crois s’il te plait en retour, que l’occasion se présentant, tu me trouveras préparé à répondre à tout appel que tu m’adresserais. ». Il leur souhaite un bon voyage en Egypte. « A votre retour, ne tarde pas à me faire signe, que je vienne contempler tes œuvres tranquillement… ».
[Typographie de G. Silbermann] - CUQ, François-Marie-Paul, de Brassac (Tarn), Elève de l'Ecole du Service de Santé Militaire
Reference : 48773
(1868)
1 vol. in-4 br., Typographie de G. Silbermann, Strasbourg, 1867, 34 pp. et une planche dépliante
Bon état. Envoi de l'auteur"à Mon compatriote et ami Ducournau". L'Ecole Impériale du Service de Santé Militaire de Strasbourg fut instituée 1856 par Napoléon III et formera près de 1054 médecins pendant ses 14 années de fonctionnement.
1 vol. in-8 br., Librairie J.-B. Baillière, Paris, 1887, 47 pp. et 3 pl. hors texte
Envoi de l'auteur au célèbre professeur bordelais Jean Bergonié. Etat moyen (débroché, étiquette de classement sur couv.). Prix en l'état pour cet exemplaire de la bibliothèque du professeur Jean Bergonié. L'auteur s'intéresse à la quantité de lumière diffuse arrivant à la place de chaque élève dans une école. On joint un tiré à part de Emile Bertin-Sans, dédicacé par l'auteur : "Le problème de la myopie scolaire" 1882 (fortes rouss.) Avec signature de l'auteur.
Paris Stock 1896 1 vol. broché in-12, broché, 119 pp. Edition originale. Envoi de l'auteur. Petit manque de papier en bordure de couverture. Deux déchiruares sans manque dont une avec une légère restauration au scotch. Bon état.
Paris Calmann-Levy 1892 In-12, 110 pp. couverture conservée, demi-toile orange (postérieure). Mouillure marginale sur qelques pages.
Exemplaire auquel est joint une lettre autographe (18 lignes in-12) datée du 15 sept. 1898, signée de l'auteur et adressée à un ami pour le convier à un séjour dans sa propriété de La Queue en Brie. Envoi sur le faux-titre au Prince Bojidar Karageorgevitch, artiste et écrivain d'origine serbe, ami de Marie Bashkirtseff, Sarah Berhardt, Loïe Fuller, Judith Gauthier, Toulouse-Lautrec, Diaghilev, Lacombe, Emile Bernard, Paul Sérusier, Pierre Loti, ainsi que de nombreuses personnalités du Paris artistique. Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.
1 page in-16 (Paris, 20 mai 1895) et 1 demi-page in-8 (Paris, 4 janvier 1900). Pressé par la nécessité d'effectuer un voyage en Lorraine, il demande le report de la lecture de sa pièce (télégramme) ; "Je suis tout à fait prêt à venir quand on voudra, il n'y a qu'à fixer les jours, je serai là" (billet).
CUREL François de (Metz 1854 – Paris 1928), auteur dramatique français.
Reference : 3
(1902)
1902 ? In-16, d'une page et demi, adresse.
Il désire repousser leur entrevue à samedi : "Il me tombe aujourd’hui cinq kilogr. d’épreuves de la Revue de Paris." Il remercie son correspondant de son volume "Comme jadis Molière : Je l’ai lu avec un intérêt très vif et très soutenu."Déchirure dans la marge gauche sans incidence sur le texte.
Troisième édition, tirée à 209 exemplaires numérotés, 1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-maroquin à coins violet, dos à 5 nerfs orné (fleurons), tête dorée, Auguste Aubry, Paris, 1863, 4 ff., 93 pp. et 1 f. avec 22 planches hors texte (tirages photographiques contrecollés sur le papier de l'édition)
L'éditeur et poète Léon Curmer (1801-1870) avait fait paraître deux recueils de poésies, l'un de poésies diverses et celui-ci, de "Poésies religieuses". Vicaire précise dans sa bibliographie que "les précédentes éditions de ces Poésies sont datées de 1858, 1860 et 1861 ; elles ont paru, sans nom d'auteur [... ] elles sont infiniment moins complètes et moins soignées [ ... ]". Notre exemplaire est bien complet des 22 photographies, et enrichi d'une dédicace de l'auteur. Curmer fut un pionnier dans l'utilisation de la photographie dans l'édition. Bon état (reliure un peu frottée, qq. rouss.). Vicaire, II, 1087
Parus, Julliard, 1962. Un volume in-8, broché, non coupé, 254 pp.
Édition originale. Tirage à 40 exemplaires sur pur fil du Marais, seul tirage en grand papier, n° 3 S.P., enrichi d'un envoi autographe de l'auteur à Mme Boutot-Lamotte. Bel exemplaire. Photos sur demande.
Manuscrit de travail de 8p., 27 × 21, avec des ratures et des ajouts. Pastiche littéraire de Jean-Louis Curtis, c’est un chapitre d’À la Recherche du Temps posthume qui fut publié chez Fasquelle en 1957 dans la collection Libelles. D’autres volumes de pastiches du même suivront : La Chine m’inquiète en 1972 (les évènements de Mai 68 vu par…) ainsi que La France m’épuise en 1982 (la victoire de Mitterrand de 1981). Nous donnons, à titre d’échantillon, la première phrase du manuscrit : “J ’eus aussi le grand plaisir de rencontrer chez Roberte Swann, mon ami Jean Paulhan, l’un des hommes les plus suavement perspicaces du siècle, dompteur de l’édition doué d’un magnétisme assez puissant pour juguler pendant des années une ménagerie d’écrivains altérés de gloire, dont il savait apaiser, d’une parole douce, insinuante et ténue comme une caresse, les farouches appétits et les grinçantes impatiences, et que l’on voyait ronronner à ses pieds, fauves provisoirement apprivoisés, dans son bureau directorial de la N.R.F., critique assez subtil pour qu’on ne sût jamais avec précision s’il vous adorait dans vos faiblesses et vos manques ou vous dédaignait dans vos vertus et vos mérites, rhétoricien assez agile pour enrober dans des apophtegmes aigus comme des énigmes, excitants comme des toniques, insolites comme des paradoxes, les vérités permanentes du bon sens, les classiques évidences d’un Boileau ou d’un Sainte-Beuve, de sorte qu’ayant écrit un ouvrage où il raillait l’inhibition, la paralysie qui empêchent aujourd’hui un si grand nombre d’écrivains de dire avec simplicité le peu qu’ils ont à dire et qui, par exemple leur font croire naïvement qu’un « ciel bleu », un « lac tranquille » sont des choses qui ne se peuvent plus nommer, on pensa généralement que ces Fleurs de Tarbes (c’était le titre du libelle) inauguraient dans les lettres la douloureuse mode des crampes stylistiques, intronisaient le mal même qu’elles dénonçaient — c’est-à-dire une forme particulièrement exquise et torturée de l’impuissance, la Terreur devant le langage — et que l’on prit pour d’inquiétantes orchidées tropicales ces honnêtes pivoines pyrénéennes”.
Phone number : 33 01 48 04 82 15
Paris, Julliard, 1960. Un volume in-8, broché, non coupé, 303 pp.
Édition originale. Un des 50 exemplaires numérotés sur pur fil du Marais, seul tirage en grand papier avec quelques ex d'auteur, n° 10, enrichi d'un envoi autographe de l'auteur à Mme Boutot-Lamotte. Bel exemplaire Photos sur demande.
Paris Julliard 1960 1 vol. Broché in-8, broché, 303 pp. Edition originale. Exemplaire du service de presse enrichi d'un envoi de l'auteur à Jacques Brenner. Prière d'insérer joint.
Julliard, Paris 1966, 14x20cm, broché.
Edition originale, un des 40 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers. Bel exemplaire. Bel envoi autographe signé de Jean-Louis Curtis à Joseph Breitbach "A mon cher Joseph, pour qui (et il le prouve à chaque instant) l'âge n'a pas de sens , avec mon amical souvenir, Jean-Louis Curtis. (Je t'avais adressé naturellement, un exemplaire de l'édition courante à ton adresse de Paris. L'as-tu reçu ?" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris Club des éditeurs 1959 1 vol. Relié in-8, toile bleu de l'éditeur, rhodoïd, 349 pp. Nouvelle édition du premier roman de l'auteur. Tirage limité. En excellent état.
Paris Flammarion 1976 1 vol. broché in-8, broché, 236 pp. Envoi de l'auteur à Jean Guéhenno. Bon état.
"Si j'ai fait allusion dans une récente dédicace à vos "sévérités" (y ai-je fait allusion ?), c'était par plaisanterie amicale, en souriant. Demandez aux amis (Kanters, Erval) si je suis un auteur irritable ! Bien au contraire, je macère dans la modestie et la gentillesse depuis ma plus tendre enfance (j'aurais dû écrire "baigner", plutôt que "macérer", car il s'agit de vertus naturelles, non de discipline !..). Voilà où m'entraine le désir de vous convaincre ! Nous ne sortirons pas de ces proustiennes complications".
Paris Stock, coll. "Questions" 1973 1 vol. broché in-8, broché, couverture à rabats, 164 pp. Edition originale avec un envoi autographe signé de l'auteur au journaliste et écrivain Paul Morelle. En parfait état.
Paris Stock, coll. "Questions" 1973 1 vol. broché in-8, broché, couverture à rabats, 164 pp. Édition originale avec un bel envoi autographe signé de l'auteur à Nathalie Sarraute, citée dans l'ouvrage.
Paris, Julliard, 1967. Un volume in-8, broché, non coupé, 249 pp.
Édition originale. Tirage à 40 exemplaires sur Alfa mousse, un des 10 h.c (n° 4), seul grand papier. Ex enrichi d'un envoi autographe de l'auteur et d'une lettre avec enveloppe adressée à Mr Boutot-Lamotte. Photos sur demande.
Paris, Robert Laffont, Collection " Vécu ", 1973. In-8, broché, 334 pp.
Illustrations hors-texte. (Ancien chef des réseaux Actions et Renseignements de l'O.A.S.). Photos sur demande.