1 page in-12 à son adresse imprimée, 23 octobre 1886 et une carte de visite à son nom imprimé. A propos de sa comédie Chamillac (lettre) ; il demande à Jules Claretie d'aider M. Conard à préparer une conférence qu'il doit donner (carte).
Ensemble de document de et sur Octave Feuillet [ Détail : ] 1 L.A.S. d'Octave Feuillet, 2 pages, datée du 5 juin : "Mon cher Docteur, Le beau temps me décide à hâter mon départ pour Contrexéville" [... ] "Vous seriez aimable de m'accorder quelques instants le soir même de mon arrivée [...] afin que je puisse commencer ma cure sans perdre un seul jour. Mes occupations me forcent et limitent mon séjour à la durée strictement nécessaire" [ ... ] ; [On joint : ] 2 cartes de visite signées d'Octave Feuillet, avec quelques lignes autographes, une enveloppe signée [On joint : ] manuscrit autographe signé d'André Chaumeix d'un article consacré à Octave Feuillet, 11 feuillets paginés de 3 à 12 (avec un 5 bis) ; [ On joint : ] Grand portrait d'Octave Feuillet, Pierre Petit photog. format 27 x 21 cm, sur chine monté, Imp. Lermercier et Cie Paris ; [ On joint : ] Eau-forte : portrait d'Octave Feuillet
Manuscrit autographe, incomplet des deux premiers feuillets, consacré par André Chaumeix (1874-1955) à Octave Feuillet. Une note au stylo sur le premier feuillet tend à indiquer une publication dans la Revue des Deux Mondes.
[A. Quantin, Imprimeur-Editeur] - FEUILLET, Octave ; FEUILLET Valérie
Reference : 59141
(1885)
Onze compositions par S. Rejchan gravées à l'eau-forte par Mme. Louveau-Rouveyre, MM. Daumont et Duvivier, 1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-maroquin à coins rouge, dos lisse orné en long, couverture conservée, tête dorée, collection Calmann-Lévy, A. Quantin, Imprimeur-Editeur, Paris, 1885, 311 pp. avec 4 L.A.S. sous 3 enveloppes
Jolie édition très bien reliée du chef-d'oeuvre d'Octave Feuillet, enrichie de 4 très intéressantes lettres autographes signées, dont 3 d'Octave Feuillet (8 pages au total) et une de son épouse Valérie Feuillet (8 pages), toutes adressées à M. Charles Sagnier, 41 rue de l'Observatoire à Paris. La première lettre de 3 pp., datée de Dijon"Hôtel de la Cloche", le 5 juillet 1886 évoque longuement la "vieille passion" d'Octave Feuillet pour Dijon : "Arrivé à Dijon par un ciel enchanté, dont j'avais complètement perdu l'habitude, je me suis cru en paradis, et j'y prolonge mon séjour au-delà de mes intentions premières. D'abord j'ai une vieille passion pour Dijon, et je vous dirai qu'il la mérite de plus en plus. A part ses vieux souvenirs historiques et ses vieilles maisons pittoresques, il a maintenant un quartier neuf, dont l'hôtel de la Cloche est un des plus beaux ornements et qui rappelle, avec son jardin public, les quais de Genève. [... ] J'avais du reste une autre raison que mon goût personnel pour m'arrêter quelques joursà Dijon. [... ] le spleen de Vittel pour ne pas parler d'un gros ennui que j'y ai eu à la veille de mon départ m'avaient beaucoup fatigué ! [ ... ] Il m'eût été difficile, partant par telle chaleur, de continuer dès le lendemain ma route sur Paris. [ ... ] Mais ma maison solitaire de Versailles m'attire peu, et Dijon, en tant que séjour, me plaît hélas ! infiniment davantage. Mon seul regret et de perdre la chance de nous revoir avant votre départ". Octave Feuillet tente de dissuader son correspondant de partir pour Nîmes et l'invite à venir à Dijon. Puis il évoque sa femme "qui n'est pas mécontente de son séjour. La présence concurrente de sa belle-soeur ne l'a nullement incommodée comme elle le craignait. Elle ne l'a même pas aperçu une seule fois". Un second billet autographe signé d'Octave Feuillet daté du 27 janvier 1887 donne rendez-vous à Charles Sagnier Hôtel de Rivoli. Enfin, une lettre non datée (évoquée dans la lettres suivante de Mme Feuillet et que l'on peut dater d'août 1887) de 4 pp., sur papier à en-tête du 38 Avenue de St Cloud, Versailles, commence ainsi : "J'ai donné à Sagnier la peine de copier la lettre que je lui avais écrite de Contrexéville pour qu'il pût juger lui même à tête reposée combien cette lettre pleine de confiance et d'abandon amical justifiait peu la réponse amère et boudeuse qu'il y a faite. En cette circonstance, il a obéi, avant tout, j'en suis sûr, à sa sollicitude pour nos intérêts sur lesquels j'ai été souvent très heureux de prendre ses bons conseils, mais il aurait peut-être dû se souvenir que l'intérêt matériel n'est pas la seule règle des actions d'un homme. Il aurait dû voir que dans ma lettre je lui faisais la confidence affectueuse d'une résolution arrêtée sur laquelle je n'avais à demander de conseils à personne puisque cette résolution m'était impérieusement dictée, comme je le lui disais, par les sentiments d'un homme de coeur et d'un homme d'honneur. Dès ce moment, il ne me devait, comme ami, ni conseils, ni reproches ! Il ne me devait que de l'approbation et du soutien. En supposant, ce qui n'est pas, que notre départ de Versailles fût pour moi personnellement un sacrifice douloureux, était-ce le fait d'un ami de me le rendre plus pénible, en insistant sur les amertumes qu'il pouvait m'offrir ? En supposant encore que ma femme eût à mon insu et en secret cherché des appartements à Paris (au lieu d'en chercher comme elle l'a fait en réalité d'accord avec moi) était ce le rôle d'un ami de me révéler en détail, au risque de m'irriter contre ma femme et de mettre un élément de trouble dans mon ménage ? Je n'insiste par sur le ton et les expressions de cette réponse qui devaient justement froisser un homme de mon âge de la part d'un jeune ami à qui je venais d'écrire avec tant de courtoisie, de confiance et d'expansion. Je ne veux plus toucher qu'un seul point. Sagnier m'avait vu au commencement de l'hiver aussi opposé que personne à l'idée de quitter Versailles. Rien n'était plus naturel que ce premier mouvement de résistance et de révolte pour un projet si soudain, qui engageait gravement mes intérêts. Mais rien de plus naturel non plus que le revirement qui s'est opéré dans mes idées à ce sujet, quand j'ai vu les souffrances de ma femme se prolonger et s'aggraver. C'est alors que la pensée de l'emprisonner dans cette maison funeste, contre l'avis des médecins les plus autorisés, serait devenue criminelle. Sagnier a cru sentir à ce moment quelque refroidissement dans mon amitié. [ ... ] Mais je le répète, nous avons été gravement froissé par sa lettre [ malgré cela, en raison de leur longue amitié, il ne souhaite pas rompre ]. La dernière lettre, de la main de l'épouse d'Octave Feuillet, datée de Versailles, le 17 août (1887) est également adressée à Charles Sagnier. Elle y évoque ses souffrances, et sa tristesse d'avoir vu son correspondant les dédaigner trop longtemps. La cure à Vichy ne le lui fait aucun bien,"j'ai beaucoup maigri et je n'ose plus me regarder dans la glace. La présence de mes enfants m'empêche de trop songer à ce qui pourrait advenir d'un tel changement, mais quand je ne les ai plus autour de moi, j'y songe. Mon mari vous aurait écrit s'il n'était pas repris depuis 4 jours de ses affreuses névralgies de la face. Dieu lui épargne le retour complet des tortures qu'il a subies il y a quelques années. Il me charge de vous remettre les lignes suivantes, que vous pourrez à peine déchiffrezr car elles ont été écrites au milieu de grandes souffrances. Vous voyez que le bonheur ne nous hante pas plus qu'à l'ordinaire. Mais mon mari est comme moi. Il veut aussi oublier. Lui et moi vous embrassons de tout coeur, ne voulant plus nous souvenir que des preuves de dévouement que vous nous avez donnés depuis tant d'années. Nous vous demandons, comme preuve d'amitié, de n'y pas revenir vous-même. Qu'il n'y soit plus fait aucune allusion ni par lettre, ni dans les conversations du retour, enfin ni demain ni jamais. Nous quittons Versailles dans les premiers jours d'octobre. [ Ils vont s'installer à Paris près du Parc Monceau, 6 rue Gounod : ] "nous avons deux appartements superposés communicant par un escalier intérieur. C'est simple mais suffisant". Bon exemplaire (qq. petits frott. et qq. rouss., très bon état par ailleurs).
1899 Besançon, Jacquin, 1899; grand in-8°, demi-toile granitée violine de l'époque, titre doré; 99pp., 3 illustrations hors texte et 1 dessin dans le texte.Toile insolée au mors du 1er plat et partie du dos (ors passés), rares rousseurs ( dont au titre)
Envoi autographe signé de l'auteur Julien Feuvrier sur le titre et sur le premier feuillet blanc, quelques corrections manuscrites de l'auteur dans l'ouvrage.Julein Feuvrier (1851 - 1936), fut Archiviste à Dole, Conservateur du Musée archéologique de Dole, qu'il créa (en 1899). (GrFC)
1880 plein chagrin bleu maroquiné, tr. dor., roulette intérieure, (la teinte du dos est passée, perte de teinte aux coins). in-12, (2ff.), 426pp., Paris Palmé 1880,
Agréable exemplaire d'un roman peu connu de Paul Féval.On a relié avec une lettre A.S. d'une page dans laquelle Feval donne des conseils de mousquetaire à son correspondant:"...allez en Bourgogne, mangez des limaçons de vigne, buvez du pomard, donnez vous en comme quatre!". La reliure, tres soignée, mérite une petite restauration pour les defauts signalés.
Phone number : 33 (0)6 77 77 12 33
1 page in8 + enveloppe - bon état -
Sa lettre lui a fait à la fois plaisir et peine - "puisqu'on me dit que vous avez été chagriné plus encore que je ne pouvais le croire...Je vous remercie de me l'avoir écrite...J'accepte avec reconnaissance la main que vous me tendez"...- Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Paris Amyot 1859 1 vol. relié 2 vol. in-12, bradel demi-percaline bleue, pièces de titre de basane verte et fleuron doré au dos, couvertures conservées, non rognés, 321 et 423 pp. Edition originale de ce roman dédié à Gustave Flaubert. Piquant envoi de l'auteur "à ma chère belle-mère qui ne m'aime plus". Rousseurs éparses et dos légèrement passés, ex-libris gravé.
1 L.A.S. d'une page sur papier bleu aux initiales, s.l.n.d. : "Cher Monsieur, Voici la 5ème partie. Je vous prie de la faire composer en entier, en ménageant la séparation des deux livraisons, comme je l'ai indiqué, à la page 326 chapitre XXXII. Je vous prie aussi instamment de me faire remettre les épreuves en double. Autrement, mon domestique pourrait bien encore les jeter au feu".
Lettre amusante pour sa remarque finale sur le danger de la domesticité pour les écrivains !
Manuscrit autographe de 58 feuillets in-folio (de formats divers), foliotés de 69 à 126, repliés en liasse, s.d. (circa 1859-1860). qq. petits accrocs à qq. ff., mais bon état par ailleurs
Manuscrit autographe provenant du fonds de l'éditeur Edouard Dentu, chez lequel l'édition originale du roman fut publiée en 1860 (Vicaire, III, 698) ; on relève les noms des typographes apposés au crayon sur les feuillets. Le manuscrit est très abondamment corrigé et annoté par Ernest Feydeau, avec de nombreuses additions marginales, des passages biffés, de nouvelles rédactions contrecollées sur les versions antérieures. Il contient l'intégralité de la seconde partie (sur les 4 composant l'ouvrage), correspondant aux pages 159 à 288 du premier Tome, dans l'édition Dentu. L'ouvrage d'Ernest Feydeau (ami de Gustave Flaubert, père de Georges Feydeau) lui valut une défense de Sainte-Beuve (Lettre sur la morale et l'art, Le Moniteur, 20 février 1860) ) et un éreintement par Barbey d'Aurevilly (Les Oeuvres et les Hommes. Les Romanciers) qui mérite d'être cité : "Déjà M. Sainte-Beuve l'avait ondoyé sur le front byronien de Daniel, mais aujourd'hui il l'a tenu sur les fonts de baptême de la publicité, dans la personne de Catherine d'Overmeire, et il a répondu, à haute et intelligible voix, de son talent devant les hommes et devant Dieu" [... ] "Catherine d'Overmeire n'est pas une idée comme Fanny, mais de l’art pour l’art, un conte pour un conte, c’est le récit d’une séduction que rien, à coup sûr, n’empêche d’être vraie. En d’autres termes, c’est cette vieille et éternelle histoire, toujours vulgaire et toujours nouvelle, d’une femme séduite, enlevée et trahie par un homme, et que le romancier le moins éloquent, le moins pathétique et le moins habile, pourra toujours recommencer avec une inépuisable chance de succès, tout le temps que les hommes seront ce qu’ils sont, à si peu d’exceptions près, — de vrais jeunes gens jusqu’à la tombe. Née d’une séduction, Catherine d’Overmeire est victime d’une autre. Seulement, une fois parfaitement déshonorée, elle est épousée par un moraliste plein d’ampleur, qui n’y fait pas tant de façons, et qui tient la faute de la jeune fille bien moins pour une honte que pour un malheur."
PARIS. LES ORDRES DE CHEVALERIE. 1947-1948. IN-4 EN FEUILLES (20,5 X 29,5 X 6 CENTIMETRES ENVIRON) DE XXVII + (1) + 191 ET (2) PAGES, SOUS COUVERTURE VERTE REMPLIEE, ENTIEREMENT ILLUSTREE, CHEMISE ET ETUI CARTONNES VERTS DE L'EDITEUR. ILLUSTRE DE 13 LITHOGRAPHIES ORIGINALES EN COULEURS. PREMIER TIRAGE LIMITE A 350 EXEMPLAIRES NUMEROTES, TOUS SUR VELIN DE LANA, CELUI-CI NON JUSTIFIE, IMPRIME SPECIALEMENT POUR LUCIEN J... . EXCEPTIONNEL ENSEMBLE ENRICHI D'UNE SUITE SUR JAPON EN NOIR AVEC REMARQUES ET D'UNE SUITE SUR VELIN DE LANA EN DEUX TONS DES 13 ILLUSTRATIONS; D'UN ENSEMBLE DE 10 AUTRES PLANCHES DE L'OUVRAGE, DONT UNE EPREUVE D'ARTISTE. AVEC UN PROJET ORIGINAL A L'ENCRE VERTE ET NOIRE ET 3 PROJETS IMPRIMES DU FEUILLET DE TITRE, UN TEXTE MANUSCRIT DE 21 PAGES DE JACQUES CREPET CONSACRE AU TEXTE DE FANNY, 4 LETTRES AUTOGRAPHES DE JACQUES CREPET ADRESSEES A LUCIEN J... AU SUJET DE L'EDITION DE CET OUVRAGE, LE BON A TIRER APRES CORRECTIONS DATE DU 14 NOVEMBRE 1946 ET SIGNE DE JACQUES CREPET POUR L'ENSEMBLE DE SON TEXTE SUR 20 PAGES IMPRIMEES, 2 LETTRES ADRESSEES PAR GRAU-SALA A LUCIEN J... . BON EXEMPLAIRE.
Paris, Michel Lévy frères, 1863. Deux textes en un volume in-12, (in-18), de LXII pp. (préface), 264 pp et 1 f. n. ch., table- et 2 ff.-392 pp. Demi-basane de l'époque, dos à 4 nerfs, pièces de titre, encadrement d'un triple filets dorés entre les nerfs, écusson doré sur le premier plat, tête dorée (sans les couvertures). Ex-libris C. De Mandre.
Edition originale sous ce titre (Un début à l'Opéra) de la première partie de : Le Mari de la danseuse. Le texte complet : Le Mari de la danseuse, paru en 1863 a été relié à la suite et c'est l'édition orginale. Exemplaire enrichi d'un ENVOI AUTOGRAPHE DE L'AUTEUR " Bon souvenir de l'auteur à son très très cher Constantin Bronicki ". Photos sur demande.
Lettre manuscrite a. s. à un destinataire inconnu, 1 p. pliée en 3, remplie au recto, un peu déchirée (11,4/18 cm). « Il ne m’est pas possible de fournir aucun compte. Je ne peux même pas indiquer les mois et les années. Je n’ai pas besoin de te recommander d’agir avec la plus grande circonspection possible. Tâche que la chose ne s’ébruite pas, qu’elle ne fasse pas de scandale. Enfin, viens me voir le plus tôt que tu pourras. Tu me feras un grand plaisir si tu peux m’amener ton ami le directeur des XX du passage de l’opéra. Je te serre la main d’amitié. G. Feydeau. »
Romainville : Editions Al Dante / Niok, 2002. Un volume broché 15x21 cm, 105 pages. Edition originale avec un envoi et une lettre autographe de l’auteur. Bon état.
Paris, Corrêa, 1934. Grand in-8 broché, couverture imprimée en deux tons.
Edition originale au tirage limité à 305 exemplaires, celui-ci un des 250 numérotés sur vélin bibliophile (220). Agrémenté d'un long envoi autographe signé du poète.
Genève, Editions de la Coulouvrenière, 1955. Grand in-8 broché, couverture imprimée en deux tons. Léger pli transversal au premier plat.
Edition originale au tirage limité à 800 exemplaires numérotés, celui-ci un des 600 sur Libris I bouffant (125). Exemplaire agrémenté d'un envoi autographe signé de l'auteur.
5 pages in-8 à l'encre noire.Ces trois poèmes ont été publiés sous le titre général : Gestes dans le n° 3 de la revue Intentions en 1922.
Phone number : 33 01 48 04 82 15
[ Lettre autographe signée ] 1 L.A.S. adressée à Madame Le Simier à La Bellangerie, s.l.n.d. [ circa 1822-1830], 1 page : "Madame, je suis chargé de vous annoncer [ ... ] une cargaison qu'on adresse de [ ... ] à La Bellangerie : 1e Une ombrelle que Madame Auguste a laissé dans notre voiture ; 2e Un éventail prêté par Mademoiselle Esther 3e Une poupée destinée à ladite demoiselle nommée ci-dessus 4e Les dernières Messéniennes de M. Casimir Delavigne 5e Toutes mes amitiés et complimens ; Le tout à un prix raisonnable, exempt de frais de transport, et autres droits. Votre très-humble serviteur "
Charmante lettre pleine d'esprit et de délicatesse du publiciste et agent secret Joseph Fiévée (1767-1839).
Paris, chez l'auteur, (janvier) 1998. In-8, broché.
Bel envoi autographe signé. État proche du neuf. [7566]
Paris, chez l'auteur, (janvier) 1998. In-8, broché.
Envoi autographe signé. État proche du neuf. [7565]
Paris, Publications André Figueras, 1980. In-8, broché.
Un des 300 exemplaires de luxe, numérotés. Envoi autographe signé. [7793]
Paris, chez l'auteur, 2000. In-8, broché.
Envoi autographe signé. État proche du neuf. [7567]
paris La Table Ronde 1966 1 Un volume broché de format in 8° de 272 pp.; couverture illustrée;
Bon état. Envoi autographe signé. Voir photos.
1876 Paris calmann lévy 1876 in12, reliure plein maroquin, dos a nerfs, filetts intérieurs mors et coins un peu épidermés, reliure signée Chambolle Duru, coiffe un peu araséee, 281 pp Envoi de l'auteur
Paris Le Cherche Midi, coll. "Amor Fati" 2005 1 vol. broché in-8, broché, 71 pp. Edition originale sans grand papier. Bel envoi autographe signé de l'auteur à Maurice Nadeau. Très bon exemplaire.
. "La Caravelle ""Paris, coll. """"Aujourd'hui"""", 1934, in-12 br. 137pp., 3 portraits photographiques hors-texte et un fac-simile d'autographe. Ex. du service de presse complet du prière d'insérer. Envoi autographe de l'auteur. Parfait état. Non coupé."""