Avignon, Aubanel frères et imprimeurs, 1929 ; brochure petit in-8°, couverture rempliée rose très pale imprimée en rousge et brun; 44pp., (1)p. Portrait en frontispice.
Exemplaire non coupé en très bon état. Envoi autographe signé à l'écrivain Edmond Pilon. (GrDB)
1988 Gallimard, Paris, 1988. In-4, broché sous couverture rempliée et illustrée en couleurs, 141 pp. Nombreuses illustrations et planches en noir et en couleurs L'ère de l'idolatrie - L'ère du kitsch - L'ère de la révision - Addenda : Le sourire. - La "Joconde nue". - Marcel Duchamp et Léonard - Tables.. bel exemplaire enrichi d'un envoi autographe d'André Chastel
Gallimard, coll. "Idées" 1980 1 vol. Poche in-12, broché, 471 pp. Première édition collective en service de presse. Envoi de l'auteur.
1 p. in 8° à l'italienne.
Elle prévient son correspondant que sa belle-sœur a prêté à Lady Clavering son logement dans la maison qu'elles occupent en commun 76 ruer Saint-Dominique. "vers le mois d'octobre Lady Clavering entrera en possession d'un appartement qu'elle a pris ailleurs, à long bail ; et ma belle-sœur rentrera dans le sien, qu'elle ne cède que pour l'été." Lady Clavering était une angevine, née Claire Gallais en 1770.
18 mai 1829. 3 pp. in 8°, adresse.
JOlie lettre de remerciement et de nouvelles sollicitations :«J’ai reçu de vous, Monsieur, deux bien aimables autographes, faits pour attester et toujours, votre grâce et votre bonté [...] Mon voisin Joubert, ou plutôt sa pauvre mère m’a envoyé une pétition, et quoique je ne la croyes pas dans la forme que votre bonté m’avait tracée, je vous la livre toujours. Je vous dirai pour ajouter à votre intérêt que la gd mère dudit Joubert est une Tronchet, parente quoique pauvre de celui qui a si justement défendu ce nom célèbre., et que par sa province, la Bourgogne, son nom de Joubert croit appartenir au jeune et brillant général de ce nom; ce qui ne serait pas impossible. [...] Mais l’objet sacré de ma visite, c’est le jeune Verdin de Bâton, arrdt de Châtillon sur Seine, Côte d’or. Il s’est présenté à Mr de Chabannes, Colonel des Lanciers de la Garde, et à ma prière, il a été reçu. Mr de Chabannes me l’a écrit. Pour signer son engagement, il lui fallait ses papiers, acte de naissance. Mais il ne les reçus qu’hier. Il avait prévenu Mr de Chabannes de cette cause de retard. Il s’est présenté ce matin. Le Colonel lui a dit qu’il était trop tard, qu’il avait son compte et mon pauvre jeune Verdin, bien né, bien élevé, meilleur ouvrier en fer, ne veut pas attendre qu’on lui assigne un corps, il veut prendre de suite un parti [...]"
Hachette, Paris 1961, 13,5x20,5cm, broché.
Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Envoi de l'auteur. Quelques petites rousseurs essentiellement marginales. Exemplaire complet de son prière d'insérer. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Fayard, Paris 1947, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Précieux envoi autographe signé de Jacques Chastenet à (Maurice) Blanchot. Infimes piqûres sans gravité sur le dos et les plats. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Arthème Fayard, Paris 1958, 11,5x18,5cm, broché.
Edition originale, poinçon de service de presse en tête du second plat. Dos légèrement éclairci, la page sur laquelle figure l'envoi autographe estpartiellement ombrée, sinon agréable exemplaire complet de son prière d'insérer. Précieux et bel envoi autographe de Jacques Chastenet à son confrère Immortel de l'Académie Française legénéral Weygand : "... cette esquisse d'une époque qui n'a pas profité de la victoire à laquelle il avait tant contribué." - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. s.d. [ca 1840], 10x15,5cm, une feuille rempliée.
Billet autographe de François René de Chateaubriand, 6 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, adressé à madame Amédée de Duras dans lequel il se réjouit de la voir très bientôt après un rendez-vous annulé. Restes de cachet de cire, une déchirure avec manque sur le dernier feuillet sans atteinte au texte, dûe à l'ouverture de la lettre. "A demain matin, madame. Je vous remercie mille fois de vouloir bien me dédommager si vite du plaisir que je perds ce soir. A mercredi." Chateaubriand écrit à Claire de Duras, l'une des femmes les plus importantes de sa vie, fille unique du Girondincomte de Kersaint et cousine par alliance de Natalie de Noailles, maîtresse de l'écrivain. Confidente et bientôt rivale du grand amour de Chateaubriand, Madame Récamier, elle fut la figure de proue de sa cohorte d'admiratrices et tomba sous son charme dès leur première rencontre au château deMéréville en avril 1808. La duchesse à la beauté ingrate fut vite éconduite par l'écrivain qui était encore sous l'emprise de Madame de Noailles. Elle conclut néanmoins avec lui un accord amical et fut des années durant une sur attentive, une amie prévenante et la première lectrice de nombre de ses uvres, notamment Le Dernier Abencérage, inspiré de ses amours avec la comtesse de Noailles. De son côté, la duchesse s'arrangea tant bien que mal de cette amitié platonique malgré sa passion dévorante pour Chateaubriand, qui fut l'objet de son roman à succèsOurika,contant l'amour tragique et impossible d'une jeune Africaine pour un Français. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. s.d. [ca 1840], 10x16cm, une page sur un double feuillet.
Billet autographe de François René de Chateaubriand, 10 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, adressé à madame Amédée de Duras dans lequelle il se voit obligé d'ajourner leur rendez-vous pour cause de mauvaise santé. Une déchirure avec manque inhérente au fait que le cachet a été rompu pour faciliter la lecture du billet. "Je suis malade... Je ne pourrai sortir aujourd'hui. Demain si Dieu le veut... J'ai un violent mal de tête et des vomissements. C'est une migraine occasionnée par le froid. Cela ne sera rien..." Chateaubriand écrit à Claire de Duras, l'une des femmes les plus importantes de sa vie, fille unique du Girondincomte de Kersaint et cousine par alliance de Natalie de Noailles, maîtresse de l'écrivain. Confidente et bientôt rivale du grand amour de Chateaubriand, Madame Récamier, elle fut la figure de proue de sa cohorte d'admiratrices et tomba sous son charme dès leur première rencontre au château deMéréville en avril 1808. La duchesse à la beauté ingrate fut vite éconduite par l'écrivain qui était encore sous l'emprise de Madame de Noailles. Elle conclut néanmoins avec lui un accord amical et fut des années durant une sur attentive, une amie prévenante et la première lectrice de nombre de ses uvres, notamment Le Dernier Abencérage, inspiré de ses amours avec la comtesse de Noailles. De son côté, la duchesse s'arrangea tant bien que mal de cette amitié platonique malgré sa passion dévorante pour Chateaubriand, qui fut l'objet de son roman à succèsOurika,contant l'amour tragique et impossible d'une jeune Africaine pour un Français. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. s.d. [ca 1840], 10x15,5cm, une feuille rempliée.
Billet autographe de François René de Chateaubriand, 5 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié. Traces de pliures inhérentes à l'envoi postal. "Votre présentation (mot souligné) n'aura lieu que demain samedi à 4 heures ; je vous en dirai la raison aujourd'hui à deux heures, si vous êtes chez vous. Vendredi 1er." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Furne & Charles Gosselin & Cie, Paris 1836, 13,5x22,5cm, 2 volumes reliés.
Edition originale. Reliures en demi basane marron, dos lisses ornés de triples filets et de motifs décoratifs dorés, frises dorées en tête et en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier peigné, couvertures (salies, comportant des taches d'encre noire, des manques ou des restaurations angulaires, important manque sur le second plat du premier volume) et dos conservés, reliures pastiches modernes. Rousseurs, une auréole en pieds des feuillets de la première moitié du second volume sans atteinte au texte. Très rare envoi autographe signé de François René de Chateaubriand sur la page de faux-titre du premier volume à son secrétaire et fidèle ami [Bernard Jean Erhard Desmousseaux] de Givré. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. s.d. [ca 1840], 15,5x19,5cm, une page sur un double feuillet.
Billet autographe de François René de Chateaubriand, 12 lignes à l'encre noire sur un double feuillet , adressé à madame Amédée de Duras se réjouissant de sa meilleure santé. Une déchirure avec manque inhérente au fait que le cachet a été rompu pour faciliter la lecture du billet. "Mde de CH[ateaubriand]. me dit de vous répondre: si je meurs, madame, ce sera à vos pieds le matin. Non pas à midi, mais à trois heures et demie. Je me porte à merveille chez ma soeur. Que cela ne soit pas vous, mais mde de Lévis qui m'ait vu perdre ma longue barbe er mon mouchoir turc. Ne venez pas, vous ne devriez pas venir. Mde de Ch[ateaubriand] est inconsolable..." Chateaubriand écrit à Claire de Duras, l'une des femmes les plus importantes de sa vie, fille unique du Girondincomte de Kersaint et cousine par alliance de Natalie de Noailles, maîtresse de l'écrivain. Confidente et bientôt rivale du grand amour de Chateaubriand, Madame Récamier, elle fut la figure de proue de sa cohorte d'admiratrices et tomba sous son charme dès leur première rencontre au château deMéréville en avril 1808. La duchesse à la beauté ingrate fut vite éconduite par l'écrivain qui était encore sous l'emprise de Madame de Noailles. Elle conclut néanmoins avec lui un accord amical et fut des années durant une sur attentive, une amie prévenante et la première lectrice de nombre de ses uvres, notamment Le Dernier Abencérage, inspiré de ses amours avec la comtesse de Noailles. De son côté, la duchesse s'arrangea tant bien que mal de cette amitié platonique malgré sa passion dévorante pour Chateaubriand, qui fut l'objet de son roman à succèsOurika,contant l'amour tragique et impossible d'une jeune Africaine pour un Français. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. 9 Mai 1841, 11,1x18,1cm, deux pages et demi sur un bifeuillet.
Lettre autographe signée de François René de Chateaubriand, 2 pages et demi sur un bifeuillet, 29 lignes à l'encre noire. Plis inhérents à la mise sous pli. "Je suis passé chez vous le matin, mon cher ami, pour vous dire adieu. Vous auriez dû me rappeler plutôt ma dette lorsque j'étais dans la prospérité. Je l'avais complètement oubliée. Aujourd'hui je ne puis que la reconnaître pour en constater l'existence. En sus [...] qu'il restât quelque chose après moi au dela des quatre planches de la pire des maladresses du monde. [...] Je ne suis là cet automne, je reviendrai à Paris ou si je passerai en Italie. qui peut fournir un projet et décider d'un avenir ?" Charmante et esthétique missive signée du seigneur de la Vallée aux Loups. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 22 juin 1827, 15,3x19,6cm, un feuillet.
| Génie chrétien et erreur humaine |<br>* Lettre autographe signée de François René de Chateaubriand adressée à M. Beaudesson, notaire à Paris, datée par l'auteur du 22 juin 1827. Deux pages à l'encre noire sur un feuillet. Signature manuscrite du destinataire de la lettre en partie inférieure de la seconde page. Discret plis transversaux. Missive partiellement publiée dans la Revue d'histoire littéraire de la France, Volume31, 1924, p. 347. Chateaubriand répond à un scrupuleux lecteur qui lui avait signalé des erreurs dans les citations de textes qui composent son Génie du Christianisme. "Je me suis fait Monsieur, une loi de ne rien changer au texte de mes anciens ouvrages, afin que ceux qui les ont achetés autrefois ne soient pas obligés de les racheter aujourd'hui. De là il est arrivé, que j'ai laissé aux différentes personnes chargées de revoir les différents textes le soin de corriger les fautes d'impression. Et mes devoirs à remplir à la chambre des pairs m'ont encore empêché ces derniers temps, de surveiller les épreuves. Je vous remercie Monsieur, de votre intérêt : j'avertirai M. Ladvocat, et s'il le faut, des cartons seront faits et envoyés aux souscripteurs. J'ai l'honneur d'être, Monsieur, avec toute la reconnaissance possible, et la considération la plus distinguée Votre très humble et très obéissant serviteur Chateaubriand" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Le Normant père, Paris 1824, 14,5x22cm, broché sous chemise et étui.
Édition originale parue sous couverture muette. Notre exemplaire est présenté sous chemise en demi maroquin bleu, dos lisse, plats de papier raciné bleu, étui de papier raciné bleu bordé de maroquin bleu. Rousseurs, un manque angulaire à la première garde blanche, traces de pliure sur les plats de la couverture muette. Très rare envoi autographe de François-René de Chateaubriand: «De la part de l'auteur» en tête de la page de faux-titre. Précieux exemplaire tel que paru et enrichi d'un envoi autographe de l'auteur. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Ladvocat, Paris 1826-1831 & 1824 & 1838, 13x21,5cm, 36 volumes reliés.
Première édition collective, en partie originale, de loin la plus importante et la plus recherchée (cf Clouzot), Chateaubriand ayant remanié et revu une grande partie de ses uvres. Dans cet ensemble apparaissent également en édition originale plusieurs textes dont Les Natchez, Le Dernier Abencérage, Le Voyage en Amérique, Moïse (placé en fin du XXIIè volume et qui fait souvent défaut). Chaque volume est illustré d'un frontispice de Charles Thompson. Reliures en demi chagrin bleu marine, dos à cinq nerfs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve. Quelques rousseurs. Il est joint à ces uvres complètes, en reliures uniformes, un volume intitulé uvres diverses (volume relié dans lequel ont été regroupés plusieurs brochures politiques en édition originale), Le Congrès de Vérone (2 volumes parus chez Delloye en 1838), Essai sur la littérature anglaise et Paradis perdu, de Milton, tous les deux parus chez Gosselin en 1839). Dans le volume intitulé uvres diverses, précieux envoi autographe signé de François-René de Chateaubriand à monsieur (Henri) Bayart sur la page de faux-titre de «?La nouvelle proposition relative au bannissement de Charles X et de sa famille?». Cet envoi datant des dernières années de l'écrivain est adressé à Henri Bayart (1825-1892), filleul de la duchesse de Berry et frère de Sophie-Josèphe Bayart, une amie intime de François-René et de son épouse. Les Chateaubriand et la famille Bayart nouèrent des liens d'amitié et d'affaires au moment des Cent-Jours et restèrent proches jusqu'à la fin de leur vie. Ces légitimistes voués corps et âme à la cause bourbonnienne tentèrent d'ailleurs l'impossible pour faire nommer l'écrivain gouverneur du jeune comte de Chambord, prétendant au trône de France. Lorsqu'il rédige cet envoi, probablement vers 1843, Chateaubriand est au crépuscule de sa vie politique et d'écrivain ; proches du comte de Chambord alors en exil en Angleterre, les Bayart tentent à nouveau d'intercéder en faveur de Chateaubriand et envoient sans succès Henri Bayart prier le dernier descendant des Bourbons de convier le vieil écrivain à sa suite. Rare et bel ensemble établi en reliure uniforme, comportant de nombreuses éditions originales et enrichi d'un précieux envoi autographe. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Le Normant, Paris 1814, 14x22,5cm, relié.
Edition originale. Reliure en demi maroquin noir, dos à cinq nerfs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve. Notre exemplaire enrichi d'un billet autographe qui ne semble pas être de la main de l'auteur, monté sur onglet : "A Madame, Madame la comtesse Charles de Goutaud, rue Louis le Grand n°23", daté de décembre 1821. Ce billet se trouve au dos d'une invitation à la bénédiction de la nouvelle chapelle de l'Infirmerie Marie-Thérèse.Céleste de Chateaubriand, épouse de l'auteur, avait fondé cet hôpital en 1819,institution qui se donnait pour mission d'accueillir les prêtres âgés et les femmes nobles devenues veuves à la Révolution. Située dans la rue Denfert, au numéro 86 comme nous l'indique cette invitation, cette institution existe toujours et accueille les prêtres parisiens retraités. Manques sans atteinte au texte à l'emplacement des cachets. Un petit défaut de fabrication du papier en pied de la page de titre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
CHATEAUBRIAND (François-René de) écrivain et homme politique français (1768-1848)
Reference : 58C28
Il a bien reçu sa lettre le 11 de ce mois et lui confirme lui avoir écrit « tous les courriers régulièrement depuis cette date. Je n’ai plus rien absolument à vous dire aujourd’hui. Je vous recommande toujours de la porcelaine de Sèvres et les cristaux que je demande par le courrier à ma cousine ». Il pense que Mr Ganay lui a porté des lettres et lui signale qu’il va revenir. « Ne manquez pas cette occasion pour m’écrire vous et mes amis et pour envoyer ce que vous voudrez. Ma femme est bien mieux. Elle n’est pas heureusement très inquiète de sa grande sœur. ».
L'amitié par le Livre 1980 1 vol. broché petit in-8, broché, 172 pp., quelques dessins de J.J. Stenven. Préface de Pierre Clarac. Edition originale. Un des 40 exemplaires numérotés sur gothic de Condat, avec un envoi de l'auteur et une lettre autographe adressés à Pierre Clarac, président de la Société Chateaubriand. Très bon exemplaire.
Paris Seuil, coll. "Ecrivains de toujours" 1965 1 vol. broché in-12, broché, couverture illustrée, 185 pp., nombreuses reproductions de documents en noir et blanc dans le texte. Edition originale avec un envoi de l'auteur à Pierre Clarac. Ride de lecture au dos, sinon bon état général.
P., Hachette, 1951, pt.in-8, br., 352 pp.,envoi autographe auteur;
bon état
PARIS CHEZ MARCELLE LESAGE 1926 COLLECTION LA FOLIE DU SAGE , un volume in-12 carré broché de 90 pages , couverture rempliée , ouvrage tiré à 325 ex. numérotés , celui-ci est un hors-commerce sur papier Roma jaune paille et certifié par l'éditrice , ENVOI de M. Lesage sur sa carte de visite manuscrite , le dos est abîmé avec léger manque de papier , autrement bon exemplaire . Bon Couverture souple
Phone number : 04.71.02.85.23
S.n., S.l. s.d. (1941), 9,5x7,5cm, une feuille.
Carte de visite autographe signée d'Alphonse de Chateaubriant, 5 lignes écrites à l'encre bleue, adressée à Georges Normandy le remerciant de lui avoir adressé son ouvrage "Le père Decorne et ses semblables" paru récemment. Une petite tache d'encre noire en marge supérieure droite de la carte, minces bandes adhésives en marges droite et gauche du verso de la carte. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Grasset, Paris 1923, 11,5x18,5cm, relié.
Edition originale sur papier courant. Reliure en pleine toile vert amande, dos lisse, pièce de titre de basane vert bouteille, gardes et contreplats de papier marbré, modeste reliure. Petits manques marginaux, sans atteinte au texte, à certains feuillets, une déchirure latérale affectant les pages 417-418. Précieux envoi autographe signé d'Alphonse de Chateaubriant : A Monsieur Léon Daudet, en attendant l'exemplaire que je lui réserve pour lui témoigner ma reconnaissance. Alphonse de Chateaubriant." - Photos sur www.Edition-originale.com -