Paris Self éditions 1946 In8 - broché - 214 pages - Envoi autographe signé de l'auteur à l'écrivaine et journaliste Germaine Beaumont - exemplaire du service de presse - papier jauni .
Satisfaisant Dédicacé par l'auteur
Paris 25 Juin 1854 | 11.50 x 18.50 cm | une page recto-verso
Lettre autographe, datée du 25 Juin 1854, et signée de deux pages de Charles Baudelaire à Philoxène Boyer, qu'il surnomme "mon cher Lyrique", dans laquelle il s'excuse d'avoir manqué un rendez-vous avec lui, lui avoue son impécuniosité et lui rend compte des efforts déployés par Léontine B., une intrigante qui finira par compromettre Philoxène Boyer en raison de ses dettes, pour assister à une fête à laquelle elle n'est pas conviée et qui en retire une certaine jalousie : "Vous présumez bien, mon cher Lyrique, qu'il a fallu hier quelque chose de grave pour que j'aie manqué ce rendez-vous. Voici ce que je vous aurais dit : 1 - mon argent n'est pas venu ; mais il viendra. / 2 - Léontine s'entête. Je suis persuadé que je me suis très bien acquitté de ma commission de confiance. Je suis revenu à la charge trois fois. Quand enfin j'ai pu lui expliquer soigneusement que cette fête était familiale, secrète, que Boyer lui-même était censé l'ignorer, - elle m'a répondu : Eh bien, ce n'est plus un secret puisque je le sais." Enfin, tout en reconnaissant à Léontine "un tour d'esprit très original" et bien que l'attitude de cette encombrante intrigante : "... vous cause de l'inquiétude et je le comprends...", Charles Baudelaire plaide pour l'indulgence et la clémence : "puisqu'elle s'entête si fièrement je vous engagerais à laisser courir l'évènement. Ce n'est après tout que l'hommage d'un esprit étourdi." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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30 mai 1865 | 13.70 x 21.10 cm | une page sur un feuillet
Lettre autographe signée de Charles Baudelaire adressée à Narcisse Ancelle, rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier bleu. Pliures inhérentes à l'envoi, trois infimes petits trous sans atteinte au texte. Cette lettre a été retranscrite dans les Oeuvres complètesvolume 11 publiées en 1949 parL. Conard. Emouvante missive bruxelloise adressée au célèbre notaire familial devenu en 1844 le conseil judicaire de Charles chargé de gérer sa rente et ses dettes exponentielles. Une relation complexe s'établit entre le poète et son tuteur, mêlant nécessité et défiance, mais témoignant néanmoins d'un véritable respect mutuel entre les deux hommes. Cette correspondance, dépourvue de l'affectivité des lettres à sa mère ou des circonvolutions dans ses échanges avec les créanciers, constitue une des plus précieuses sources biographiques du poète. En effet, la dépendance financière de Baudelaire le contraint à une très grande transparence avec son tuteur et chacune de ses lettres à Ancelle résume admirablement ses pérégrinations. Ainsi, cette lettre évoque-t-elle le terrible enlisement du poète en Belgique et son retour sans cesse reporté à Paris: . Lorsqu'il écrit, Baudelaire est encore à Bruxelles à l'Hôtel du Grand Miroir, «28 rue de la Montagne» (mais il ne faut pas écrire le nom de l'hôtel, sinon les lettres ne lui parviennent pas directement), où il se meurt d'ennui, de maladie et de rancur contre un pays dans lequel, innocemment, il croyait trouver la gloire. Cette annonce de départ imminent pour Paris,"Deux ou trois jours après votre réponse je partirai", fait écho à toutes les promesses similaires que le poète adresse depuis près d'un an à ces correspondants. Celle-ci sera avortée, comme toutes les autres car, comme il l'avoue à Ancelle un quelques mois plus tôt, Paris lui «fait une peur de chien». Ce n'est qu'en août 1865 qu'il accomplira un ultime et court séjour en France avant son apoplexie fatale. Son retour, "Je suis très attendu à Paris et à Honfleur"était pourtant motivé par une raison impérieuse: négocier avec un éditeur, grâce à l'intervention de Manet, la publication de son recueil de réflexions sur ses contemporains qu'il a déjà intitulé «mon cur mis à nu» et dont le manuscrit est en partie chez sa mère à Honfleur. Nouvel échec, l'uvre ne paraîtra qu'en 1897, 30 ans après la mort de Baudelaire. Mais c'est sans doute la référenceaux «deux grands tableaux [qu'il veut] expédier à Honfleur», qui donne tout son sel à cette lettre. Baudelaire évoque en effet sa volonté de rapatrier des peintures de sa collection déposés chez divers prêteurs ou restaurateurs, et dont il avait déjà envoyé une liste à Ancelle quelques mois plus tôt. Parmi ceux-ci, quels sont ceux qu'il voulait ramener à sa mère? Le portrait de son père, le Boilly, le Manet, un Constantin Guys? Il n'est fait aucune mention dans les autres lettres de ce transport artistique et du «reste» auquel seront joints les tableaux. Cette volonté d'"expédier à Honfleur" ses biens précieux,témoigne pourtant du désir du poète affaibli de s'installer définitivement dans la «maison-bijou» de sa mère à Honfleur, ilot de sérénité dans lequel Baudelaire rêve d'une paisible retraite où tout ne serait à nouveau «qu'ordre et beauté,luxe, calme et volupté». Il y retournera en effet, paralysé et muet, mais pour une dernière année d'agonie après sa crise syphilitique. L'hôtel du Grand Miroir, quant à lui, restera sa dernière véritable demeure comme cela sera noté le mardi 3 avril 1866, sur le registre des entrants à la Clinique Saint-Jean : « Nom et prénoms : Baudelaire Charles. « Domicile : France et rue de la Montagne, 28. « Profession : homme de lettres. « Maladie : apoplexie. » Belle lettre à celui qui fut à la fois le persécuteur et le protecteur de Baudelaire. Il accompagna le poète jusqu'à sa mort, avant de devenir l'éxécuteur testamentaire de la famille. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Biponti Vendredi 12 mai 1865 | 13.20 x 20.80 cm | 1 page sur un feuillet remplié
Lettre autographe signée de Charles Baudelaire, rédigée à l'encre, adressée à sa mère. Quelques soulignements, biffures et corrections de l'auteur. Cette lettre a été publiée pour la première fois dans Charles Baudelaire, Dernières lettres inédites à sa mère en 1926. Ancienne collection Armand Godoy n°197. Précieuse lettre de l'époque bruxelloise, exil volontaire du poète à la fin de sa vie. «?Il est douteux que j'habite quelque part à Paris. Je crois que j'habiterai surtout une voiture dans laquelle je ferai, si je peux, toutes mes courses en un ou deux jours.?» Angoissé par Paris cité des vices et des créanciers il appréhende cette brève visite. L'exil bruxellois est en effet synonyme d'échec pour le poète qui ne cesse, depuis son arrivée en Belgique, de repousser son retour en France. Pourtant, impatient de quitter le plat pays qu'il exècre, il raille ses autochtones?: «?On est lent ici.?» Le poète, comme jadis l'élève de dix-sept ans qui affirmait à sa mère qu'il allait se ressaisir, promet: «?Me voici en mesure d'accomplir tous mes plans. Je ne sais comment t'exprimer ma reconnaissance; et je crois que la meilleure manière sera d'exécuter mes promesses.?» Littéralement obsédé par cette mère sacrée «?qui hante [son] cur et [son] esprit?», le «?fils reconnaissant?» s'estime incapable d'atteindre sa destinée poétique sans une attention maternelle exclusive. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Charles BLANC - [Castres 1813 - Paris 1882] - Historien et graveur français
Reference : 34580
1 page in8 - bon état - En tête du Ministère de l'Intérieur -
Curieuse lettre: Il le remercie de sa bienveillance à propos d'une affaire ou il n'a pas à craindre la publicité et ou la justice est "complétement du côté de l'administration" - Mais il préfére "ne pas prolonger cette polémique" parce qu'elle a un caractère personnel - "en pareil cas, il y a aussi quelque dignité dans le silence" - Il lui est néammoins reconnaissant de son "offre cordiale" et espère le lui prouver - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Charles BOYER - [Figeac 1899 - Phoenix 1978] - Acteur américain et français
Reference : GF30755
2 pages in4 - bon état -
Interessante lettre : Il vient de recevoir sa lettre à Figeac ou il est jusqu'au 1er septembre - Il est libre le 1er octobre mais seulemnt jusqu'au 8 ou 15 novembre "date à laquelle je dois jouer à Femina [Bordeaux] une pièce de Bourdet avec Marthe Régnier" - Il aurait une grande joie à commencer sa saison en jouant une pièce de lui - Qu'il voit s'il peut s'accomoder de ces dates - Sa camarade Falconetti (Renée) lui a parlé avec enthousiasme "d'une certaine comédie" qu'elle doit jouer à la Renaissance - Il a d'ailleurs entendu et lu "une Faible femme" ce qui le fait souhaiter être son interprête - Il aimerait être fixé rapidement pour pouvoir donné une réponse à Denys Amiel début octobre - Jacques DEVAL (ou Jacques Boularan) était un dramaturge, scénariste et réalisateur français par ailleurs père de Gérard de Villiers - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Charles Camille PELLETAN (1846-1915) - Journaliste et homme politique français.
Reference : 9227
1 L.A.S. 1 page (209 x 135) + 1 f. bl. sur papier deuil à entête du Sénat, accompagnée de son enveloppe adressée à Armand Charpentier, Vice-président de la Fédération de la Seine, timbre à sec au dos "Sénat, R.F.", non datée. Très bon état.
"Mon cher Charpentier, Je n'ai pas besoin, je pense, de vous recommander les Membre de l'Union Radicale Socialiste du Chemin de Fer de l'Etat. Ils viennent vous demander un service que je ne puis leur rendre, à mon grand regret, forcé que je suis dans mon cabinet pour une fâcheuse indisposition qui dure terriblement. Poignée de Main. Camille Pelletan". Camille Pelletan est sénateur des Bouches-du-Rhône de 1912 à 1915. Il devient membre du Parti radical-socialiste dès sa création en 1901. Armand Charpentier (1864-1949), romancier dreyfusard, vice-président du parti radical-socialiste qu'il quitte à l'automne 1917 pour le parti socialiste. Le bandeau "BOUQUINERIE AURORE" visible sur le scan n'est bien-sûr pas présent sur le document original, il n'a été placé ici que pour garder le caractère unique du document.
1 page in8 - bon état -
Il retrouve "le triste faire-part du château d'Angleur" [Liège] - Il veut lui dire qu'il s'associe à sa peine - Il a gardé un trop bon souvenir de son accueil à Liège pour ne pas s'intéresser à tout ce qui lui arrive - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Charles de BROQUEVILLE - [Mol 1860 - Bruxelles 1940] - Homme politique belge
Reference : 35188
1 page 1/3 in8 - bon état - En tête: Sénat de Belgique -
Il a toujours eu d'excellentes relations avec Monsieur Tardieu mais sa vieille amitié avec Briand ne lui permet pas de présenter cet homme d'Etat dans les circonstances présentes - Il le regrette - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
bel envoi autographe " à Monsieur et Madame de la Germonière, hommage empressé est très respectueux de leur bien dévoué " . Illustrations de Charles Clérice Ex libris de la Germonière. Vol relié demi cuir, gd in8, 23x14, bel état, frais, 310pp. Paris, Bureau du journal des voyages, sans date, vers 1890. ref/213
bel envoi autographe " à Monsieur et Madame de la Germonière, hommage de son très dévoué " . Ex libris de la Germonière. Vol relié demi cuir, in8, 18x12, bel état, frais, 258pp. Paris, Plon sans date, vers 1890. ref/213
Charles DERENNES - [Villeneuve-sur-Lot 1882 - Paris 1930] - Ecrivain français
Reference : 33521
1 page in8 - bon état - On joint un Envoi autographe signé sur le faux-titre de "Vie de Grillon" -
Il le remercie pour sa lettre: "Tout ce que vous pourrez faire pour mon insecte me touchera infiniment" - Il serait bien aimable de lui communiquer l'article paru naguère dans le "Carnet de la Semaine" - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Charles DERENNES - [Villeneuve-sur-Lot 1882 - Paris 1930] - Ecrivain français
Reference : 33522
1 page in8 - bon état -
Ils sont trés touchés de ce qu'il a bien voulu raconter de lui : "et surtout, mon chat qui est depuis, dans ma rue, presque aussi célébre que Paul Souday" - (un angora) - Il n'excuse sa sympathie et son indulgence pour lui que parce qu'il espère, "le plus tôt possible, faire mieux encore" - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
sl,sd,titre manuscrit 1 au crayon sur couverture effrangée + 14 feuillets (17,5x 11 cm),recto verso + 1 feuillet; 21x29cm + texte 2eme couverture,tout non paginé, importantes corrections, dans l'état.
provenance archives Charles de Richter Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
1926 Réponse manuscrite breve en marge, au questionnaire sur Monte-Carlo; vers 1926 - autographs
Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Paris Alternance 1959 In8 - broché - 190 pages - envoi autographe signé de l'auteur en page de garde
Bon Dédicacé par l'auteur
Les Editeurs Français Réunis 1975 Paris -Les Éditeurs Français Réunis - 1975 - In12 ( 13 x 11 cm) - pleine toile de l'éditeur - 110 pages - Bel envoi autographe signé de Charles Dobzynski en page de faux titre - Tirage à 2200 Ex. Charles Dobzynski ( 1929/2014) fut un poète prolixe .Il fut également rédacteur en chef de la revue Europe . Il est l'auteur d'une Anthologie de la poésie Yiddish qui eut un grand succès.
Bon Dédicacé par l'auteur
Paris Egloff, coll. "Le cri de la France" 1947 1 vol. broché in-16, broché, couverture à rabats, 120 pp. Première édition de ce choix en service de presse avec un envoi du préfacier "pour Georges Bataille, avec l'amitié du préfacier. Jean Tardieu". Seules les 40 premières pages sont découpées.
Genève, Imprimerie Studer, 1910. In-8 broché de 60 pages, couverture bleue, titre argent au premier plat. Reliure un brin affaiblie, mais les cahiers sont solidaires.
Edition originale sur vergé de ces poèmes genevois, tout simplement introuvable, exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé de l'auteur.
1 page 1/2 in12 - bon état -
Il joue de malheur - "Henry Simond avait déjà son petit papier sur l'incident..?" - Et il ne sait même pas si ledit papier passera - Il lui renvoie le sien et attends de le voir pour en causer - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Charles FOURNIER des ORMES - [Paris 1777 - 1850] - Peintre français
Reference : GF29721
1 page in4 - adresse au dos + brouillon manuscrit de la lettre de réponse -
En novembre, Mr Martini l'avait prié de lui faire parvenir "cette caisse" - Mais "l'objet qu'elle contient" n'étant pas prêt, il a été obligé d'attendre pour l'envoyer - Il a eu le plaisir de causer de lui et de son aimable famille - Il rajoute tous ses voeux pour l'année nouvelle - [Le brouillon de la réponse donne la clé de l'énigme: "l'objet" n'est autre que le portrait de Mr Martini : "la ressemblance est parfaite" ] - Rare lettre de cet éléve d'Hubert Robert qui exposa aux salons entre 1817 et 1849 - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
avec un bel envoi autographe de l'auteur à Emile Dernay ( Parolier 1867-1948) Table ( extraits); Art - La propriété artistique & littéraire - Buddhisme - l'esprit critique - Crise conjugale - Théâtre moderne - Critique de moeurs - Grosses fortunes - Des éditions - Les snobs du critisisme - Le dilettantisme moderne - Fontaines miraculeuses - La poésie contemporaine - Le Chemineau - Notes sur Bruckner, etc.. vol relié demi toile, pièce de titre, 180x130, couvertures d'origines conservées, bon état intérieur, 223pp. rare. Paris, Bibliothèque d'art de la critique, 1898 ref/213
Charles Félix Henri RABOU - [Paris 1803 - 1871] - Ecrivain et journaliste français
Reference : 33324
(1810)
1810 1 page in12 - Trés bon état -
On lui a remis un mandat de 50 livres pour lui et il le prie de venir le chercher le lendemain chez lui car il a une signature à donner - Il se réjouit de "cette gracieuseté de la patrie faite au vieux camarade" - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
s. n. | Paris 1888 | 11 x 15 cm | Une photographie
Photographie originale représentant Charles Gounod de face. Tirage argentique d'époque contrecollé sur un carton réalisé par le photographe Isidore Alphonse Chalot au 18, rue Vivienne à Paris. Indications manuscrites, aux encres noire puis bleue, au verso de la photographie par le dédicataire A. Lasserre contrôleur à l'Opéra Garnier : "Portrait de Ch. Gounod signé le soir de la 926eme représentation de Faust (samedi 29 septembre 1888) A. Lasserre. Une autre indication manuscrite, au crayon de papier, en marge droite du verso : 1867e représentation de Faust le 28 septembre 1929. Tampon imprimé "Maison Martinet Albert Hautecoeur, 18, bd des Capucines" en pied du verso. Signature manuscrite datée de Charles Gounod en angle supérieur droit de la photographie : "Ch. Gounod 29 7bre / 88." * leaux - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
1 page 1/2 in8 - trés bon état -
Belle lettre caustique suite à une critique déplaisante sur son Saint-Vallier : Il lui souhaite une meilleure santé: "je vous prie de le croire" - Il a cru devoir dire, à propos de son talent, qu'il ne méritait pas le prix des Quarante cinq - Il le lui répéte avec franchise - "Vous étes né à Montmartre, Monsieur; moi, je suis né rue de Rennes...toute la largeur de Paris nous sépara dès l'origine - Nous ne nous sommes jamais rencontrés; cela n'arrivera sans doute jamais" - Il ignorera toujours qu'il est un homme de lettres et qu'il n'a de grande joie que par son travail - "Je l'aime trop, Monsieur, pour ne pas vous quitter en sa faveur": un choix qu'il ratifiera vu le peu d'intérêt qu'il accorde à ses "feuilletons" - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -