Denoël, Paris 1946, 11,5x17,5cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Bel envoi autographe signé de l'auteur à Mireille Fellous : "Nous en avons construit pas une ensemble de maisons sous la mer !!!!!! et nous en édifierons encore (sur la mer) qui ne seront peut-être pas des bateaux?" Quelques accrocs sans manque sur le dos - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Domat 1947 1 vol. broché in-12, broché, 435 pp. Edition originale. Exemplaire du service de presse avec un envoi de l'auteur : "A Monsieur Georges Bataille, en très confraternelle pensée, Paul Vialar". Exemplaire très défraîchi, avec le dos cassé, sans la couverture et auquel manque un feuillet de texte (p. 321-322). On joint le "Résumé des trois premiers tomes".
. Paris, Del Duca, Chronique française du XXème siècle, 1958. In-8, broché, 306 pp.
Première édition enrichie d'un envoi autographe de l'auteur. Bon exemplaire. Photos sur demande.
Denoël, Paris 1938, 11,5x17,5cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Bel envoi autographe signé de l'auteur à une amie prénommée Mireille. Un infime accroc sans aucune gravité sur le dos. - Photos sur www.Edition-originale.com -
2 pages in12 - bon état -
Il a rencontré Robert Greg qui s'intéresse à "Jeanne la mince" de Paul Guth et envisage de réaliser le film - "Je me réjouis d'être ainsi un peu le parrain de Jeanne. Cela devrait aboutir avec une transposition en époque. Greg et moi sommes optimiste..." - Il évoque ensuite ses ennuis de santé -
2 pages in8 + enveloppe - bon état -
"Au grand age qui est le mien.... quel réconfort ...de ne pas se sentir tout seul et de conserver cette vivante attache avec ce qui est encore la vie.."..- Il parle des amis...Pagnol, ..Genevoix... et des trahisons -
Aux éditions de la cigale, Uzès 1937, 14,5x19,5cm, broché.
Edition originale rare du deuxième ouvrage d'Alexandre Vialatte. Quatre petites noires sur le dos. Agréable exemplaire illustré d'un frontispice en sépia de Jean Léon. Envoi autographe daté et signé d'Alexandre Vialatte à Raymond Devert. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Gallimard 1942 In-12 Broché Edition originale Dédicacé par l'auteur
Edition originale achevée d'imprimer le 25 novembre 1942. Bel exemplaire en très grande partie non coupé avec mention fictive, ENVOI autographe signé et daté de Vialatte "A Monsieur Marc Chalin ces petites plaisanteries militaires Paris 27/XII/47". Très bon exemplaire 0
Paris N.R.F., Editions Gallimard 1951 In-8 Broché Edition originale
Edition originale. Bords jaunis. Exemplaire du SERVICE DE PRESSE portant un ENVOI AUTOGRAPHE signé et daté de Vialatte: "A Pierre Loiselet qui ne se souvient sans doute pas de nos fugitives relations (autour des rotatives de la rue du Croissant). En souhaitant beaucoup que ces Fruits lui plaisent, hommage amical Paris 1er Octbre 51". Bon exemplaire 0
Neuchâtel Editions de la Baconnière, Cahiers de philosophie "Etre et penser" 1952 1 vol. broché in-8, broché, non coupé, 174 pp. Edition originale avec un envoi de l'auteur "à Monsieur Georges Bataille, avec toute ma sympathie. J. Parain Vial".
Paris J. Vrin 1952 1 vol. broché in-8, broché, non coupé, XXVII + 247 pp., bibliographie. Edition originale avec un envoi de l'auteur "à Monsieur Georges Bataille, en souvenir d'une charmante soirée et en toute sympathie. J. Parain Vial". Couverture défraîchie.
Paris Delagrave 1959 1 vol. broché in-8, broché, non coupé, 541 pp., bibliographie et index. Edition originale avec un envoi de l'auteur "A M. Georges Bataille, avec l'expression de la vive sympathie d'un lecteur attentif. Paul Viallaneix".
Editions La Découverte, Paris 2015, 25x34,5cm, reliure de l'éditeur.
Edition originale. Reliure de l'éditeur en plein cartonnage noir, dos lisse, plats illustrés. Riche iconographie. Agréable exemplaire. Envoi autographe daté et signé de Myriam Viallefont-Haas à un ami prénommé Max : "... on c'est connu (sic) là-bas en Somalie, puis retrouver (sic) à Paris ! Quelle force de vie là-bas toi et moi. Quel bonheur de se connaître..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Bordeaux, Imprimerie Vve Cadoret, 1895; in-4°, demi-chagrin rouge à coins de l' poque , filet doré soulignant mors et coins, dos à nerfs, filet pointillé doré sur les nerfs, fleurons dorés, tête dorée; 117 pp., graphiques hors texte.Assez fortes piqûres à 4 feuillets, sinon rares, reliure très légèrement frottée aux coupes et coins.
Bel envoi autographe signé de l'auteur "A ma fiancée bien aimée...".Thèse présentée à Bordeaux. ( GrD)
1 vol. in-8 reliure demi-basane marron, Chez Mme Huet, Au Grand Magasin de Pièces de Théatre, anciennes et modernes, rue de Rohan, au coin de celle de Rivoli, près le Palais-Royal, et chez Barba, Vente, Paris, Maris, 1821, 70 pp.
Envoi de l'auteur "à son ami Monsieur Petit". Bon état (avec une correction manuscrite par l'auteur, dos lég. frotté), pour cette édition co-publiée par Jean-Nicolas Barba (1769-1846).J.-N. Barba était un éditeur parisien qui s'était spécialisé dans l'édition théâtrale, après avoir repris le fonds d'un autre libraire, Claude-François Maradan (1762-1823). La vie de J.-N. Barba fut fertile en rebondissements : soldat puis déserteur, emprisonné sous la révolution puis évadé, condamnés plusieurs fois pour contrefaçons, publications licencieuses ou faillite. Il vit même son magasin détruit par un incendie (en 1828). Il finira par céder son fonds à son premier commis, Christophe Tresse. Ce fonds se retrouvera, bien des années plus tard, chez l'éditeur Stock (du nom de la belle-soeur de Ch. Tresse, Anne Stock, qui héritera de l'ensemble).
Paris Seuil 2001 1 vol. broché gr. in-8, broché, couverture illustrée, 129 pp., dessins en noir. Premier tirage avec un envoi autographe et un grand dessin original signé de L. Koechlin à Jean-Louis Pradel. Très bon état.
Paris s.d. (ca 1953), 21x27cm, 11 feuillets rédigés au recto.
Manuscrit en partie inédit d'un article sur le cabaret, neuf pages plus deux pages en addition rédigées à l'encre violette sur des feuillets de papier quadrillé perforés. Nombreuses ratures et corrections ainsi que plusieurs ajouts. Les feuillets sont numérotés en marge haute droite de 1 à 9 puis 12 et 13. Les neuf premiers feuillets de ce texte, qui ne fut jamais publié du vivant de Boris Vian, ont été retranscrits dansLes Vies posthumes de Boris Viande Michel Fauré (1975). Le texte a été fautivement daté de 1948 par Fauré : la mention d'En attendant Godot de Samuel Beckett, dont la première eut lieu en 1953, rend cette datation impossible. Intéressant texte évoquant les cabarets et les "troglodytes", bel écho au célèbreManuel de Saint-Germain-des-Prés(1951) : "Rendons à Saint-Germain-des-Prés ce qui lui revient de droit : outre un certain tonnage fourni aux journalistes en mal de copie, ce quartier tant décrié - par ceux qui justement ne l'ont connu que sous son aspect journalistique - est à l'origine de la transformation profonde du cabaret. Oui, il y avait bien une raison si les gens intelligents que sont Sartre, Prévert, Camus, Merleau-Ponty, etc., bref tous ceux qui en somme comptent aujourd'hui dans la littérature ou les arts suivaient avec autant d'attention le grand mouvement des caves, malgré la turbulence des troglodytes et l'incongruité des singes photographes, malgré l'activité brouillonne d'une génération de journalistes illettrés et malotrus, malgré la curiosité béate du badaud et l'aigre rancoeur des videurs de pots de chambre de la rue Dauphine." Après avoir brièvement évoqué le jazz, sujet sur lequel il est pourtant habituellementdithyrambique, Boris Vian consacre la plus grande partie de son texte au théâtre : "Le jazz, d'un côté se taillait à grands coups de trompette une place à l'ombre côté chambre des machines ; c'est là sa vraie ambiance : une cave enfumée, une arrière-boutique, un laboratoire obscur où se réunissent les fidèles. [...] Les musiciens se détendaient enfin. Mais de leur côté les comédiens ne restaient pas inactifs."Visionnaire, Vian sent "dans l'air une odeur de renouveau"comprenant l'importance que revêtira le théâtre de cabaret dans les années à venir. Deux feuillets (non transcrits dans l'ouvrage de Fauré) évoquent l'avant-garde théâtrale de ce début des années 1950 : "Et ce n'est pas un hasard si En attendant Godot, la pièce étonnante de Samuel Beckett, est une entrée de clowns qui dure deux heures, ne traite de rien en particulier, pose tous les problèmes, arrache le rire au moment où l'on devrait s'épouvanter [...] Et ce n'est pas un hasard si l'interprète principal de l'oeuvre de Beckett, ce pilier de tête du théâtre d'avant-garde, est un chevronné du cabaret." - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. s.d. [ca 1945], 8,5x6,5cm, une carte de visite.
Carte de visite de Gaston Blond, professeur de dessin que Boris a détournée et sur laquelle il a ajouté au verso : "Vivent les zazous Boris Vian." à l'encre turquoise. Le nom de Boris Vian est inscrit, au dessus du possesseur initial de la carte, à l'encre turquoise et en sens contraire de l'impression. Le recto a été également maculée, aux quatre angles, de suggestives taches marron, cette irrévérencieuse et libre composition toute zazoue ayant été probablement l'oeuvre du facétieux Boris Vian lui-même. Cette fantaisiste réalisation nous prouvant une nouvelle fois le goût de Boris Vian pour la mystification et l'impertinence. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. 1954-1959, 17x22cm, un feuillet perforé.
Manuscrit autographe complet sur un feuillet perforé de 16 lignes rédigé à l'encre bleue de la chanson intitulée "Douce et pure" dont le texte est conforme avec le texte définitif de la chanson. Au verso du premier manuscrit, figure un second signé Henri et portant le titre de la chanson "Charleston que je t'aime", comportant deux versions, la première rayée, abondamment corrigée et raturée. Nous joignons, sur un feuillet perforé, letapuscrit complet de la chanson "Douce et pure". Bel ensemble de cette chanson composée entre 1954 et 1959 et qui ne fut jamais interprétée. Provenance : Fondation Boris Vian. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. 1957, 13,5x21cm & 21x27,5cm, 5 feuillets perforés.
Deux manuscrits autographes, chacun sur deux feuillets perforés, de 36 et 25 lignes, rédigés à l'encre bleue, de la chanson intitulée "Bain de minuit" comportant de nombreuses ratures, ajouts et modifications et présentant des différences avec l'état définitif de la chanson. Notre ensemble est complété d'un tapuscrit de "Bien loin" sur lequel Boris Vian a apporté 8 corrections. Enfin, nous joignons, sur trois autres feuillets perforés, dont un encollé sur un carton souple, deux tapuscrits complets de "Bain de minuit". Bel ensemble de cette chanson pour laquelle Henri Salvador composa la musique (photocopie de la partition musicale aussi jointe). Provenance : Fondation Boris Vian. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. s.d. (circa 1958), 20,5x27cm, deux feuilles perforées.
Manuscrit autographe complet sur deux feuillets perforés de 22 lignes rédigé au crayon de papier de la chanson inédite intitulée "Cha cha Siné"comportant des ratures et corrections bien qu'il présente le texte définitif de la chanson. Nous joignons, sur deux feuillets perforés, le tapuscrit de la chanson "Cha cha Siné". Au verso de l'un des feuillets, figure le manuscrit de 20 lignes, au crayon de papier, de la chanson "Un jour un vieux prof de maths" avec, également, de nombreuses corrections et ratures. Cette dernière a été interprétée par les Marche-pied en 2009 qui en composèrent aussi la musique. Provenance : Fondation Boris Vian. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. 1958, 21x27cm & 13,5x21cm, 7 feuillets perforés.
Deux manuscrits autographes complets, sur sept feuillets perforés, de 52 lignes pour le premier et de 75 lignes pour le second, rédigés à l'encre bleue, de la chanson intitulée "Le fêtard" consistant, pour le premier, en l'état définitif de la chanson et, pour le second, d'un brouillon très abondamment raturé, corrigé et présentant des variantes avec le texte final. Nous joignons, sur trois feuillets, dont deux perforés (un encollé sur un carton souple), un tapuscrit complet et deux partitions imprimée et photocopiée de "Le fêtard". Bel ensemble de cette chanson qui fut écrite en 1958 et dont la musique fut composée par Henri Salvador. Ce dernier interpréta d'ailleurs "Le fêtard" dès 1958. Provenance : Fondation Boris Vian. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. 1956-1958, 21x27cm, trois feuillets perforés recto-verso.
Deux manuscrits autographes complets sur deux feuillets perforés de 20 et 26 lignes rédigés au crayon de papier de la chanson intitulée "Depuis le jour où devant monsieur le maire " et en leurs versos le manuscrit de la chanson "C'est jeudi". Les deux manuscrits sont conformes avec le texte définitif de la chanson, le second comportant de nombreuses ratures et corrections. Aux versos des deux premiers feuillets se trouve le manuscrit de la chanson "C'est jeudi" d'environ 60 lignes, écrit au stylo bille bleu très abondamment corrigé, raturé et correspondant avec le texte définitif de "C'est jeudi". Le troisième manuscrit, de 27 lignes, écrit à l'encre noire et au crayon de papier est intégralement différent du texte définitif de la chanson et comporte ratures, corrections et ajouts. Nous joignons, sur un feuillet perforé, un tapuscrit complet de la chanson. Bel ensemble de cette chanson écrite entre 1956 et 1958 et qui ne fut jamais interprétée. Provenance : Fondation Boris Vian. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Le livre contemporain, Paris 1958, 12x19cm, broché.
Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Discrètes restaurations sur le dos, agréable exemplaire. Couverture illustrée par Piem. Envoi autographe signé de Boris Vian à Christine Gouze-Raynal : "... avec toute mon amitié et mes respectueux hommages..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. s.d. (entre 1956 et 1959), 21,3x27cm, trois feuilles perforées.
Ensemble complet des manuscrits et tapuscrits de travail de Boris Vian, genèse de la chanson "Mambo mon coeur". - un feuillet perforé à carreaux rédigé au crayon de papier de la main de Boris Vian. Nombreuses ratures. - un feuillet perforé blanc rédigé à l'encre bleue également par Boris Vian. - une mise au propre tapée à la machine à écrire sur un feuillet blanc perforé. Cette chanson d'amour ne fut jamais interprétée. Cela fait bien longtemps que je te connaissais, mon coeur Cela fait bien longtemps que je te connaissais Et tu ne savais pas ce que c'est que d'aimer, mon coeur Et tu ne savais pas ce que c'est que d'aimer Provenance : Fondation Boris Vian. - Photos sur www.Edition-originale.com -