Louis MARIN (1871-1960) - Professeur d'ethnographie, Membre de l'Académie des Sciences morales et politiques, et homme politique français, Ministre de la Santé publique et de l'Education physique du 9 février au 8 novembre 1934.
Reference : 8690
1 L.S. (210 x 135) 1 page, avec son enveloppe, à entête de la République Française / Ministère de la Santé publique et de l'Education physique / Le Ministre, datée du 24 août 1934, adressée à M. Paul Gilbert au Petit-Quevilly. Très bon état.
" Je ne manquerai pas de me faire l'avocat chaleureux de votre cause au Conseil des Ministres. Malheureusement, le projet de congé annuel de 21 jours pour les cheminots rencontre encore pas mal de résistance et il n'est pas du tout sûr que nous enlevions le morceau ". Le bandeau "BOUQUINERIE AURORE" visible sur le scan n'est bien-sûr pas présent sur le document original, il n'a été placé ici que pour garder le caractère unique du document.
Louis MORIN - [Paris 1855 - 1938] - Peintre et illustrateur français
Reference : 34261
2 pages in8 - bon état -
Son oncle est trés malade et il est trés inquiet - Il ne sait si sa présence ou celle de sa soeur serait utile ou au contraire inquiéterait son oncle outre mesure sur son état "qui peut être n'est que transitoire" - Pourrait-il se renseigner auprès de son médecin, Mr Jugand? - Il pourrait alors prendre une décision et se rendre ou non à Arques (la Bataille) - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Louis MORIN - [Paris 1855 - 1938] - Peintre et illustrateur français
Reference : 34262
2 pages in8 - bon état - On joint une carte de visite autographe signée du même sur le même sujet -
Leur camarade Mouligné, dessinateur, vient de mourir "en laissant sa veuve et sa petite fille sans aucune ressource" - De nombreux dessinateurs et peintres organisent une tombola dont ils offrent les lots - Ils sollicitent leurs amis pour prendre des billets à 1 francs - "Les promoteurs de cette souscriptions sont Vogel, Lepère, Gérardin, Fraipont, etc.." - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Varsovie 27 novembre [1807] | 18.60 x 23 cm | Trois pages sur une double feuille
Lettre autographe signée du maréchal Davout, alors gouverneur général de Pologne, adressée à son épouse Aimée Leclerc,belle-soeur de Pauline Bonaparte. Trois pages à l'encre noire sur une double feuille, avec son adresse autographe au verso, ainsi que le tampon de la Grande Armée, et un cachet de cire brisé, armorié au chiffre « LD » sur grand manteau et bâtons de Maréchal sous couronne. Déchirures dues à l'ouverture avec atteinte à deux mots de la troisième page. Après l'éclatante victoire personnelle de Davout à Auerstaedt, les batailles de Iéna, d'Eylau et de Friedland qui mettent fin à la guerre contre la quatrième coalition, Davout récolte les fruits de sa réussite. Couvert d'honneurs et de bienfaits par l'Empereur, iljouit de ses vastes terres en tant que nouveau gouverneur général de la Pologne. Bénéficiant de la générosité de Napoléon qui fait de lui le maréchal le plus doté de l'Empire, Davout a l'intention d'acquérir l'hôtel de Monaco rue Saint-Dominiquejusque là occupé par l'ambassadeur de la Sublime Porte : "Tu as dû recevoir déjà les 300.000 F que l'empereur me fai[t] donner précisément pour faire l'acquisition d'un hôtel à Paris. Ainsi ce nouveau bienfait de mon souverain ne pouvoit venir plus à propos". Il en confie l'achat et l'aménagement à sa chère épouse Aimée Leclerc : "je m'en repose sur ma petite Aimée pour cette acquisition, je çais, qu'elle partage mes goûts [...]Je le trouverai d'autant plus beau que ce sera ma chère Aimée qui l'aura embelli et qui en aura fait une des plus belles habitations des environs de Paris". Disposant de pas moins de 18% des territoires polonais repris à la Prusse, Davout lui écrit vouloir vendre un moulin qui faisait partie de l'antienne principauté de Lowicz, à l'ouest de Varsovie, afin de couvir les dépenses de son achat parisien.Profitant également de l'inaliénabilité attachée aux donations de l'Empereur, Davout compte protéger le château de sa femme à Savigny sur Orge en employant les fonds donnés par l'Empereur pour en payer les dettes. "Je viens de recevoir ta lettre de Savigny. Celle que tu m'annonces m'avoir écrit la veille ne m'est point parvenue ma chère amie, ainsi tes craintes se sont réalisées et le commissionnaire l'aura perdue. Tu me dis que si mon projet étoit d'acheter un hôtel le moment seroit assez favorable. Tu as dû recevoir déjà les 300.000 F que l'empereur me fait[t] donner précisément pour faire l'acquisition d'un hôtel à Paris. Ainsi ce nouveau bienfait de mon souverain ne pouvoit venir plus à propos ; je m'en repose sur ma petite Aimée pour cette acquisition, je çais, qu'elle partage mes goûts et qu'elle donnera la préférence à un hôtel propre qui n'exigera pas une grande représentation à un autre qui en exigerait une. Nous passerons certainement la plus grande partie de notre tems à ton Savigny [leur château, à Savigny-sur-Orge, dans l'actuel département de l'Essonne]. Je le trouverai d'autant plus beau que ce sera ma chère Aimée qui l'aura embelli et qui en aura fait une des plus belles habitations des environs de Paris. Je désire vivement voir terminer l'agraire du moulin je compte et j'en regarde la vente comme à peu près certaine. Ces 106.000F deveront peut être employé[s] suivant les intentions de l'empereur pour faire partie du fief. Ton intention est-elle que devant 540.000F sur Savigny on emploie les fonds qui provienderont de la principauté de Lowicz à payer [cette] somme ? Dans cette supposition, Savigny ferait partie du fief et ne pourroit jamais être aliéné. Cependant à la jalousie que montre déjà notre Joséphine serait bien allarmant [sic] si son extrême jeunesse et les joies et peurs que tu prendrais de la guérir de ce défaut ne me donnerait pas la certitude qu'elle en serait totalement guérie. Auparavant le [...] deviendrait lorsqu'elle prendrait d'autant plus sa petite soeur favorite qui paraît que celle-ci aura l'avantage de la beauté. J'envoie mille caresses à mes deux petites et mille et mille baisers à leur excellente
Phone number : 01 56 08 08 85
Tilsit 1er juillet [1807] | 19 x 22.50 cm | 3 pages sur une double feuille
Lettre autographe signée du maréchal Davout à son épouse, Aimée Leclerc. 3 pages àl'encre noire sur une double feuille. Une numérotation au crayon rouge et une date au crayon d'un précédent bibliographe en partie supérieure du premier feuillet. Longue missive, probablement inédite, écrite une semaine avant la signature du premier traité de Tilsit qui met fin à la guerre contre la 4e coalition. Certain de l'heureux dénouement des campagnes de Prusse et de Pologne, Davout espère retrouver son épouse - la belle-soeur de Pauline Bonaparte - dans les meilleurs délais ; c'était sans compter la délicate mission qu'allait lui confier l'Empereur, en le nommant à la tête des forces françaises du nouveau duché de Varsovie. Davout donne des nouvelles du frère et de l'oncle par alliance de sa femme bien aimée : le général Desessart, chef de l'état-major de la division Friant dans le 3e corps de la Grande Armée ainsi que le général Jean-Charles Musquinet de Beaupré, attaché à l'état-major du 3e Corps de la Grande Armée. Il s'inquiète de la santé de sa femme et n'apprendra que le lendemain l'heureuse naissance de sa fille Adèle Napoléone. Lettre très visuelle portant une belle signature du maréchal Davout. "Ce 1er juillet Tilsit Je reçois à l'instant ma petite Aimée tes lettres du 19 et 20 juin. Il me semble être près de toi et éprouver toutes les angoisses dont j'ai déjà été tourmenté dans les occasions pareilles, mon impatience d'apprendre l'événement est extrême. Le courage que tu montres à l'approche et sérieusement me rassure et dissipe les vives inquiétudes dont je ne pouvais me défendre il y a quelques temps. [...] Il faut occuper ma petite Aimée de bien soigner ta santé afin qu'en arrivant à Paris je te retrouve parfaitement remise de tes couches et que nous puissions jouir ensemble de Savigny le reste de la belle saison. Car les affaires prennent ici une telle tournure que je puis conserver l'espérance de t'embrasser sous deux mois au plus tard. [...] Il me semble ma bien bonne amie ne t'avoir jamais donné lieu à concevoir de pareilles craintes mais en voilà assez sur cet article. Parlons un peu de notre Joséphine. Elle montre une intelligence bien supérieur [sic] à son âge que je lui scai [sic] gré de toutes ces gentillesses et de toute cette humeur qu'elle te montre. Je lui envoie à cause de cela des caresses à discrétion. Mille choses tendres à notre bonne mère. Rassure la sur la santé de Desessart de Beaupré et de tout ce qui l'intéresse en me rapelant [sic] au souvenir de ma belle soeur annonce lui que son brave et estimable mari jouit d'une parfaite santé. A Dieu ma petite Aimée, reçois les embrassemens de ton amoureux et fidel époux. L. Davout" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Pultusk 7 janvier [1807] | 19 x 23 cm | 1 page sur une double feuille
Lettre autographe signée du maréchal Davout à son épouse, Aimée Leclerc,belle-soeur de Pauline Bonaparte. 1 page àl'encre noire sur une double feuille, avec son adresse autographe au verso, ainsi que le tampon postal à la date du 23 janvier 1807, et cachet de cire brisé, armorié auxbâtons de maréchal, glands etfeuilles de chêne avec mention "Le maréchal Davout Empire français" au feuillet d'adresse due à l'ouverture sans atteinte au texte. Missive écrite du champ de bataille de Pultusk, où le 26 et 27 décembre 1806 les Russes du général Benningsen furent battus par le maréchal Lannes avec l'appui de la division Gudin, qui comprenait un détachement du corps d'armée du maréchal Davout. Selon les souvenirs ducommandant Jakub Kierkowski,"ce fut un vrai jour du jugement dernier [...] il pleuvait et il neigeait, un vent glacial soufflait. Les chevaux de notre cavalerie avaient la boue jusqu'au ventre c'est pourquoi elle ne put rien entreprendre. L'infanterie russe chargea deux fois à la baïonnette, mais elle fut refoulée avec des pertes sévères. Presque personne ne tenait plus à sa vie car le gel prenait les gens mouillés, donc tous furent transis [...] il fut impossible de fléchir les bras car la glace craquait sur le corps, le froid et avec ça la faim, mieux vaut la mort qu'une telle vie." Lettre très visuelle portant une belle signature du maréchal Davout. "Hier ma petite Aiméejet'ai donné de mes nouvelles.J'aioubliéde te parler de cellesde nos parents. Leur santé est aussi bonne que la mienne. Sous peu de jours, je pense t'annoncer que Sa majesté leur a donné de nouvelles marques de sa bienveillance. [Marc-Antoine Bonin de la Boninière de] Beaumont est toujours à Varsovie avec la goutte. D'abord il y a longtemps que je n'ai eu de vos nouvelles j'ai chargé Laforêt porteur de cette lettre [...] il doit ainsi me rapporter tes lettres puisqu'il y en aura. Adieu ma petite Aimée, [...] mille caresses pour notre Joséphine et mille baisers à sa belle et vaillante Maman. Ton amoureux [...] L. Davout" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Skierniewice 14 septembre [1807] | 19 x 22.50 cm | 2 pages et demisur une double feuille
Lettre autographe signée du maréchal Davout à son épouse, Aimée Leclerc. 2 pages et demiàl'encre noire sur une double feuille. Traces de plis inhérentes à l'envoi. Lettre, très probablement inédite ("la correspondance intime du maréchal Davout cesse d'août à novembre [1807]" indique à tort la marquise de Blocqueville dansLe Maréchal Davout, prince d'Eckmühl, raconté par les siens et par lui-même) adresséeà sa très chère épouse, belle-soeur de Pauline Bonaparte. Installé dans son palais àmi-chemin entreVarsovieet?ód?, Davout désormais gouverneur général du Duché de Varsovie se languit de son épouse et de leur propriété de Savigny sur Orge : "mais quoique cet endroit soit un des beaux du pays il est à cent mille lieux de Savigny".Il incite surtout la maréchale à apparaître à la cour et demeurer proche de l'Empereur ; elle était notamment chargée de faire les demandes de permission de son mari auprès de Napoléon lui-même. Davout ne pouvait que difficilement s'échapper de Pologne ("Si je pouvais prévoir l'époque de mon retour définitif") afin de s'occuper, entre autres, des affaires maritales de sa cousine Hélène Davout : "je te prierais si notre cousine n'a pas un grand attachement pour son futur de la convaincre que dans les prochains six mois nous trouverons à l'établir plus avantageusement mais il peut survenir des événements qui ne permettent pas d'aller en permission". Cette dernière finira par épouser à Varsovie en 1808 le général François-Louis Coutard. Lettre très visuelle portant une belle signature du maréchal Davout. "Skierniewice ce 14 7bre à 6h du matin Déjà ma petite Aimée j'éprouve la salutaire influence de l'air de la campagne. Mon violent mal de tête commence à se dissiper j'espère que demain j'en serai totalement débarassé [sic]. Dans tes différentes lettres tu ne m'annonces point avoir vu l'Impératrice ou l'Empereur. Est-ce que l'état de ta santé ne te permettrait pas de t'habiller suffisamment pour que tu puisses aller faire ta cour ? Tu ne m'as point parlé de la nomination de Beaumont [de la Boninière] comme sénateur cependant tous les journaux ont annoncé que l'Empereur avait nommé sénateur le gén Beaumont quoique sachant bien qu'il y en a un autre de ce nom cependant tout doit me faire espérer que celui nommé est mon beau-frère. Au moins je lui en ai écris [sic] et l'ai félicité de bien bon coeur [...] Rappelle moi au souvenir de ta bonne mère mille amitiés à Beaumont. Il y a un siècle que je n'ai eu de lettres. Mille baisers à mes deux petites et mille et mille baisers à mon excellente et belle femme [...] ton amoureux et fidèle époux Davout [...]" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Louis PAUWELS - [Paris 1920 - Suresnes 1997] - Journaliste et écrivain français
Reference : 34227
Carte format 9,5 x 21 cm - bon état malgré un coin corné -
A propos de la candidature de Jean Cau à l'Acadèmie Française: amusante lettre sur leur double candidature "L'Académie a besoin de gens comme nous et je souhaite à cette vieille taupe de nous avoir à sonchevet" - S'ils étaient élus tous les deux le même jour, "quelle rigolade:" - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
LOUIS PHELYPEAUX, comte de Saint-Florentin, duc de La Vrillière Chancelier et garde des Sceaux de l'Ordre du Saint-Esprit, Ministre dÉtat et secrétaire d'État à la Maison du Roi Louis XV + SIGNATURE AUTOGRAPHE DU ROI LOUIS XV
Reference : 19438
(1768)
versailles 1768 parchemin manuscrit à l'encre brune sur velin, format : 32 centimètres de haut par 50 centimètres de large, signature manuscrite du Roi de France + signature de Phélypeaux qui en a rédigé le texte, fait à Versailles le 25 Juillet 1768,
Document parchemin vélin , enregistré suivant la coutûme de Bretagne à Hennebon par M. Gitton de la Ribellerie, et concernant lEmancipation du Sieur Allain, capable de gouverner ses biens et revenus.... Donné à Versailles par le Roi, 53ème année de son règne. Signé Louis et Phelippeaux (secrétaire). Un de ses descendants, Joseph, Vincent Allain fut Maire de Hennebont (56)......en bon état (good condition).
Dispense d’alliance. Acte sur parchemin (35 cm x 46 cm). Très beau sceau de cire verte (diamètre 12 cm) (recto : “Louis-Philippe I roi des Français” autour de son portrait de profil, verso : “Louis-Philippe. Parchemin plié en 4 Saint-Cloud Saint-Cloud, 1843 1843 35 x 46
Dispense d’alliance. Acte sur parchemin (35 cm x 46 cm.Très beau sceau de cire verte (diamètre 12 cm). (recto : “Louis-Philippe I roi des Français” autour de son portrait de profil; verso : “Louis-Philippe. Parchemin plié en 4 Paris Palais des Tuileries, 1846 1846 35 x 46
1751 Amsterdam et Leipzig - Arkstée et Merkus - 1751 - 1 volume in4 de 330 pages - Reliure de l'époque, veau marbré, dos à nerfs orné, pièce de titre havane, tranches rouges - Bel et unique exemplaire -
Bien complet des 35 cartes et vues - Exemplaire provenant de la Bibliothèque du Roi Louis Philippe au Palais Royal - (cachet) - On y joint une Lettre Autographe Signée de Louis Philippe d'Orléans à "Mon cher Abbé" - Neuilly le 16 juin 1820 : Il veut lui témoigner combien il est affligé par la "perte cruelle et inattendue" qu'il vient de faire - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
S.N. Paris 1843 Curieux document sur vélin ( 470 X 360 mm ) daté 1843: Dispense en parenté datée du 22 Août 1843 signée de la main du Roi LOUIS-PHILIPPE levant la prohibition empêchant le mariage entre le Sieur Jean DARZENS et Melle Louise DARZENS sa nièce. Important sceau royal de cire verte à l'effigie du Roi LOUIS-PHILIPPE sous lacs de soie rouge et vert, et la double signature du Garde des Sceaux Louis BARTHE. Ensemble en très bel état dans un encadrement moderne verre et bois en modèle "Caisse américaine" ( 620 X 675 mm ).
Louis RATISBONNE - [Strasbourg 1827 - Paris 1900] - Ecrivain français
Reference : 32940
1 page in8 - En-tête du Sénat -
Il lui fait savoir qu'il a signé ses pouvoirs qui attendent maintenant la signature de deux témoins...- "J'ai écrit à Leoncavalo à Milan sans plus de succès qu'à Rome" - Il lui demande s'il a souscrit à la dernière édition de Gedalge - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Louis RATISBONNE - [Strasbourg 1827 - Paris 1900] - Ecrivain français
Reference : 35237
1 page in8 - En-tête du Sénat -
Il le remercie pour son livre "Poème de l'Aube" - Ses vers sont dignes du maitre dont il se réclame: "Alfred de Vigny" - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Paris Horay 1954 In8 ( 21 X 15,5 cm ) - Demi maroquin à bandes - titres dorés au dos , couvertures conservées - 248 pages - photographie en frontispice - Illustrations hors texte - Magnifique dessin original avec envoi autographe signé de Touchagues en page de garde .
Bon Dédicacé par l'illustrateur
Louis ULBACH - [dit Ferragus] - [Troyes 1822 - 1889] - Ecrivain français
Reference : 34047
1 page in8 - trés bon état -
Il le remercie de quelques mots sur lui dans le Semeur et lui promet quelque chose quand il aura le temps - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Paris, M.J. Madre, 1868.,36 p. ; In-12. broché,couverture orange,envoi autographe auteur
Pamphlet contre le Figaro,bon etat Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Louis WOLOWSKI - [Varsovie 1810 - Gisors 1876] - Juriste, économiste et homme politique français
Reference : GF29775
1 page in12 - bon état -
Il s'empresse de lui envoyer "la lettre de Mr de Lagueronière" ...- Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
versailles 1700 une lettre, d'une page, sur papier vélin ligné, filigrané "FLEUR DE LYS" manuscrite à l'encre brune, format : 37 x 24,5 cm, lettre autographe manuscrite, Lettre signée '' Louis '' de la main du Roi LOUIS XIV , fait à Versailles, le 15 Janvier 1700,
TEXTE DE LA LETTRE : "..MONSIEUR Le Chevallier d'Imecourt ( Jean-Louis de VASSINGHAC, chevalier puis marquis dIMECOURT), ayant donné au capitaine Lafraye Lieutenant en la compagnie colonelle du régiment d'Infanterie du Cotentin que vous commandez, la compagnie qui y est vacante par la mort du Capitaine Monache, Je vous écris cette lettre pour vous dire que vous ayez à le recevoir, a faire reconnaitre en qualité de Capitaine de ladite Compagnie de tous ceux et ainsy qu'il appartiendra, avec le rang qu'il a tenu jusqu'à présent dans ledit Régiment en vertu de sa convocation de Capitaine et la présente n'estant pour autrefin, Je prie Dieu qu'il vous Ayt Monsieur Le Chevallier d'Imecourt en sa Garde. Ecrit à Versailles, le quinzième Janvier 1700...signé LOUIS..."...... Beau DOCUMENT....................RARETE.....en trés bon état (very good condition), en trés bon état
de la compagnie de Vaucoret dans le 38e régiment d’infanterie, expédiée à Monsieur de Macmahon (Charles-Laure de Mac Mahon, marquis) commandant le régiment. Signé Louis (secrétaire de la main) et griffe de Duportail, Ministre de la Guerre, en date du 1er avril 1791. Pièce in-folio, 1 p.
Bon état.
Phone number : 06 60 22 21 35
LOUIS XVIII - Comte de Provence et futur Roi de France de 1815 à 1824
Reference : GF16146
1 page in-folio (marges un peu poussièreuses) -
Il donne un ordre de paiement à Denis Pierre Jean Papillon de La Ferté, son trésorier général, de la somme de vints livres au profit du Sieur Cognary - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
in-folio, oblong, 1 p. ; pouvoir donné à M. Aimerel pour s'occuper des affaires du Roi à Paris et organiser la circulation du courrier entre lui et le Conseil qu'il a établi à Paris. "Donné sous notre seing et notre sceau ordinaire le cinq avril mil sept cent quatrevingt dix-sept", signé Louis, sceau.
Renfort de papier transparent au dos, sur le pli. Curieux document secret.
Phone number : 06 60 22 21 35
Nantes A. Dugas 1905 -in-8 broché un volume, broché (paperback) marron-clair in-octavo Editeur, dos muet, 1ère de couverture imprimée en noir illustrée d'une fleur de lys dorée, toutes tranches non-rognées(edges no smooth), lettre originale manuscrite de Mr le comte de CORNULIER LUCINIERE à l'Ecrivain Joseph SÉNOT de LA LONDE à propos de ce livre + 4 coupures de journaux parlant de Louis XVII collés en début sur les gardes, orné de 9 planches photographiques hors-texte en noir sur papier glacé + un tableau hors-texte en noir, léger trou de ver en marge basse n'atteignant à aucun moment le texte, 202 + XLVI pages, 1905 Nantes : impr. A. Dugas et Bordeaux : aux bureaux de la "Légitimité" Editeur,
Seconde édition, Brochure parue initialement à Bordeaux en 1897, dans laquelle l'auteur défend la thèse de la légitimité de Naundorff. L'Abbé Berton (1852-1919) fonda "La Légitimité", "revue historique mensuelle", en 1883.......BEL EXEMPLAIRE...BIEN COMPLET....RARE...en bon état (good condition ). bon état
[Librairie Administrative de Paul Dupont] - LOUIS XV ; NOAILLES, Maréchal de ; (RANDON, Maréchal Comte ; ROUSSET, Camille)
Reference : 53474
(1865)
2 vol. in-8 reliure de l'époque demi-chagrin rouge, dos à 5 nerfs orné, couvertures conservées, Librairie Administrative de Paul Dupont, Paris, 1865, CCXL-240 pp., 421 pp.. Rappel du titre complet : Correspondance de Louis XV et du Maréchal de Noailles (2 Tomes - Complet) [ Exemplaire annoté par Sainte-Beuve ] publié par ordre de Son Excellence Le Maréchal Comte Randon d'après les manuscrits du dépôt de la Guerre, avec une introduction par Camille Rousset [ Exemplaire annoté par Sainte-Beuve ]
Exceptionnel exemplaire de Charles-Augustin Sainte-Beuve, enrichi des notes manuscrites autographes du célèbre critique (avec de nombreux traits légers au crayon en marge devant les passages intéressants, l'essentiel des notes manuscrites au crayon, de son écriture bien reconnaissable, étant reporté au recto de la seconde couverture conservée dans chaque tome, une annotation manuscrite précisant Notes de M. Sainte-Beuve) ; Sainte-Beuve publiera le compte-rendu du présent ouvrage dans ses fameux "lundis", le lundi 31 juillet et le lundi 11 août 1865. Etat très satisfaisant (dos un peu frotté, un coin plié, très bon état par ailleurs)