Hachette & Cie, Paris 1906, 13x19cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Envoi de Auguste Angellier à Marcel Prévost. Dos et plats uniformément passés, agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris L. Boulanger 1878 1 vol. broché in-18, broché, 75 pp. Édition originale tirée à petit nombre d'exemplaires sur vergé, celui-ci enrichi d'un envoi de l'auteur. Il s'agit du premier livre d'Auguste Angellier (1848-1911), professeur, critique et historien de la littérature, qui se découvrit poète à l'âge de 48 ans et connut un grand succès avec "A l'amie perdue". Quelques rousseurs éparses. Rare.
Milano [etc.] : F. Vallardi, 1892,406 p. . ill. ; 29 cm,La couv.illustrée en chromolithographie,porte en marge un envoi autographe,album reproduisant l'hommage d'innombrables personnalités avec fac similé d'autographe,de l'epoque à l'occasion de la commemoration du quatrieme centenaire de la decouverte de l'Amerique par Christophe Colomb
cachet bibliotheque,non coupé,
Angelo de GUBERNATIS - [Turin 1840 - Rome 1913] - Ecrivain italien
Reference : GF27321
1 page in8 - bon état -
Il se réjouit de pouvoir la féliciter pour sa photographie - "Votre portrait tromperait bien d'observateurs; on vous dirait une espagnole ou une italienne du midi" - Elle ne pourra avoir de bourses car elle est "hors-concours" mais elle peut se faire donner une mission à Rome - "Après l'Espagne, vous ne pouvez pas vous passer de l'Italie" - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
Paris 23 décembre 1850, 11x16,8cm, une page sur un double feuillet.
Lettre autographe signée de David d'Angers au peintre Armand-Tranquille Vastine, une page rédigée à l'encre noire sur un double feuillet. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. "Je ne puis résister au plaisir de vous dire que je viens de voir votre tableau à l'exposition, et que la puissante impression qu'il avait produit sur moi lorsque je l'ai vu dans votre atelier n'a fait que s'accroître, j'espère bien qu'il sera remarqué comme il le mérite, et qu'il vous ouvrira un avenir heureux et brillant." Armand Vastine fut l'élève de Paul Delaroche. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Hachette, Paris 1973, 13x20,5cm, broché.
Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Envoi de l'auteur. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Philippe 1840 1 vol. relié in-8, demi-maroquin havane à coins, tête dorée, couvertures et dos conservés, non rogné, VIII + 338 pp. Bel exemplaire de l'année de l'édition originale (mention de deuxième édition), très bien relié et enrichi d'un envoi de l'auteur.
Gallimard, Paris 1978-1986, 14x22,5cm, 3 volumes brochés.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grand papier. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé d'Auguste Anglès, en tête du premier volume, à un couple d'amis prénommés Eric et Martine : "A Eric, pour qu'il en parle, et à Martine, pour qu'elle ne lise pas cela, en amitié ! " Nous joignons trois lettres autographes signées d'Auguste Anglès (du 27 novembre et du 8 décembre 1964 et du 10 avril 1978), les deux premières à en-têtes de la Maison française de l'Université d'Oxford, adressées à son ami prenommé Eric. - Photos sur www.Edition-originale.com -
ANGOULEME (Louis-Antoine, duc d’) fils ainé de Charles X (1775-1844)
Reference : 51C26
« Je prie le comte de Pastoret d’avoir égard à cette demande » ordonne le duc, sur la demande du colonel Villate, qui par ordonnance du 31 janvier 1818, avait reçu le titre de « Baron », titre donné en récompense de ses services. Ce titre étant soumis à des droits qui s’élèvent à quatre mille francs et, « n’ayant d’autre fortune que mon épée et mon traitement... Je supplie Votre Altesse Royale, de vouloir bien m’obtenir de sa Majesté la remise du droit du Sceau.... ».
La Pensée, Paris Septembre-Octobre 1958, 18x26,5cm, agrafé.
Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part de la revue 'La pensée'. Envoi de l'auteur. Une trace de pliure, une déchirure avec léger manque sur le deuxième plat. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -
[Aux Editions de Mon Moulin] - ANIANTE, Antonio ; [ RAPISARDA, Antonio ]
Reference : 46684
(1949)
Un des 850 exemplaires numérotés (n°69), préface d'André Brincourt, 1 vol. in-8 br., Aux Editions de Mon Moulin, Nice, 1949, 1950, 363 pp.
Bon état (couv. lég. frottée) pour ce rare exemplaire de l'édition originale, enrichi d'une dédicace de l'auteur (au crayon). Il ne faut pas confondre la présente édition complète avec la première partie publiée séparément.
ANISSON-DUPERON (Hippolyte). 1776-1852. Député du Puy-de-Dôme, Directeur de l'Imprimerie Nationale, ami de Montlosier, époux de Sophie de Barante fille de Claude Ignace.
Reference : 13187
Le comte Alexandre-Jacques-Laurent Anisson, dit "Anisson-Dupéron" fut inspecteur de l'Imprimerie impériale en 1809 avant de devenir directeur général de l'Imprimerie royale. Il avait épousé la soeur de Prospère de Barante dont il fait régulièrement mention dans ses lettres. Au moment où il rédige celles-ci, il est député du Puy-de-Dome pour l'arrondissement de Thiers et le restera juqu'en mais 1831. Dans une lettre datée du 14 février 1832 il dit avoir renoncé à la Pairie, mais après avoir été député de la Seine-Maritime de 1833 à 1842, il sera nommé Pair de france en 1845. Dans sa première lettre il évoque une séance de l'Assemblée où "M; Guzot s'est fait grand homme" ... La vérité est le premier besoin des hommes après le pain et l'eau et nous étion s afamés et altérés. Il évoque dans d'autre courriers des affaires diplomatiques ou judiciares, les personnes d'Odilon Barrot et du Marquis de La Fayette, du Duc de Brolglie et de Ryer-Collard qui combattent "contre Raspail, Frelat et Cie"... il se plaint de ne pouvoir encotre son correspondant : " C'est pourtant avec peine que nous renoncerons à ces douces causeries dont le coeur bet l'esprit s'accomodent si bien et où l'on aime à tremper ses idées au moyen de votre bon et solide jugement". A propos de Casimir Perier, alors premier ministre il écrit que ce dernier "soutient vaillament la lutte dont l'ordre & la paix sont le prix ; la réaction couve contre l'opinion anarchique, mais nous n'en finirons pas sans en venir au combat fondamental, sans regarder tout en face, sans appeler hommes et femmes par leur nom, et sansentrer ouvertement en campagne contre la désorganisation. Il faut que les gens qui prétendent nous représenter achèvent de se manifester aux yeux les moins clairevoyans ; il faut que tous le monde puisse juger s'il s'agit pour eux de patriotisme, d'économies ou bien de la seule satisfaction de cet esprit révolutionnaire qui veut tout applatir..."Le comte de Montlosier est revnu en politique à la faveur de la Monarchie de Juillet, il est élu conseiller général du Puy-de-Dôme en 1830 et devient membre de la chambre des pairs en 1832. Il était un ami de Claude Ignace Brugière de Barante et proche de son fils Prospère.
S.n., s.l. s.d. (circa 1925), 9,5x13,5cm, une feuille verso.
Carte postale photographique représentant l'actrice Annabella de face. Bel exemplaire. Envoi autographe signé d'Annabella sur son portrait à Micheline Cappio. - Photos sur www.Edition-originale.com -
ANNA FEODODOVNA (Julienne de Saxe-Cobourg-Saalfeld) Grande duchesse de Russie (1781-1860 à Elfenau), par son mariage avec le grand-duc Constantin Pavlovitch de Russie, fils de Paul 1er de Russie et de Marie Féodorovna.
Reference : 42hC27
Octobre 1838, elle est dans sa résidence d'Elfenau, près de Berne en Suisse, qu'elle avait acquise en 1814 pour s'y installer définitivement. Ce furent les conséquences d'une union malheureuse avec le grand duc Constantin Pavlovitch de Russie, qui l'amena à quitter définitivement la Russie impériale pour ne jamais y revenir. Le mariage fut officiellement dissout en 1820, par l'empereur d'Alexandre 1er de Russie. Ces lettres sont adressées au neveu de Marguerithe de Wilderneth, qui fut la gouvernante d'Alexandra Féodorovna, mais aussi la gouvernante et surtout la confidente de Marie Féodorovna. Elle est confuse et chagrinée que ses paroles n'ont pas été comprises lors du dernier échange de lettres, mais surtout, lors de la dernière promenade en sa compagnie ; Mr de Wildermeth supposant que sa sœur, pouvait se tenir à son service. Elle s'en explique : « Lorsque j'énonçais ma répugnance à voir occuper la place devenue vacante dans ma maison ; envisageant cette nécessité avec une sorte de méfiance quant à la réussite satisfaisante, je disais toute ma pensée : cet éloignement subsiste toujours également en moi, jusqu'à ce que l'expérience m'en aura guérie. Force fut cependant de former enfin un choix. Depuis quelque mois déjà ce choix est fait, que des considérations aux affaires de famille de la personne m'oblige à tenir secret encore, jusqu'au moment où elle pourra me rejoindre dans ce pays pour se rendre à son poste. Je n'ai pas besoin d'ajouter, qu'il me serait impossible actuellement de rompre ce qui a été voulu à cet égard, sans me rendre coupable d'une grande inconséquence ». Toutefois, si un évènement imprévu permettait de recourir à un nouveau choix, elle ne manquerait pas de revenir vers lui, où elle pourra témoigner avec beaucoup d'empressement, sa considération sincère, pour « l'aimable frère de ma digne et si chère amie !...». Janvier 1839, alitée par une santé diminuée, causée par la goutte, elle ne peut lui répondre, « préférant ne rien dire que dire deux mots insignifiants ». Le 1er avril 1839, sur sa demande, elle lui conseille d'inscrire sur la tombe de sa tante, récemment décédée, un passage de la Bible. « Il est si beau si simple et vrai ! et va si bien à cette admirable amie, sacrée à nos cœurs ». Elle lui rappelle que sa tante avait servi l'impératrice, et qu'il serait mieux, peut-être, de ne point se servir du langage poétique à son égard et que dans le cas où il conviendrait, « de faire cependant mention de la haute vocation que Mademoiselle votre tante eut auprès delle. ». Le lendemain, elle lui assure que la voie la plus sure, par rapport à une lettre pour le roi de Prusse, serait de l'adresser directement au roi, « auquel j'écrierai en même temps, et le prierai d'accorder sa protection et sa recommandation ». Elle adressera en complément de son côté une lettre à l'impératrice. Quelques jours plus tard, le 4 avril, elle lui adresse la lettre pour le roi (Frédéric Guillaume III de Prusse, 1770-1840), qu'elle a rédigée à son attention, en espérant qu'elle lui facilitera « toutes les aspérités de la route », ajoutant, qu'elle a mis le roi au fait « de l'envoi précipité ; et je lui ai communiqué le désir de notre précieuse Russie concernant la continuation de la pension, en même temps que je l'ai prié de vous prendre vivement sous sa protection et de vous recommander en Russie ». La grande enveloppe à l'adresse du Roi, qu'elle lui a fait porter, servira pour renfermer sa lettre, ainsi que les deux autres, qu'elle écrira pour le roi et l'impératrice ; « Vous aurez la complaisance Monsieur, de couler ensuite un peu de cire sous mon cachet volant et de faire mettre ce paquet à l'adresse du roi, à la poste ». C'est seulement le 11 avril qu'elle lui adresse les lettres. « J'aurai désiré pouvoir vous faire parvenir plus tôt, si le triste état de mes yeux ne m'en avais empêché. Cette infirmité me servira d'excuse auprès de l'Imp (ératrice) : j'espère, pour mon insigne gribouillage dans le volume que je viens de lui adresser, que mes misères m'excusera également auprès de vous. ». Enfin, elle lui demande de lui adresser la liste de prix des objets qui seront mis en vente à l'occasion de la succession de sa tante, « j'aimerais pouvoir en acquérir ».
Annales de Bourgogne Revue fondée en 1929 par Henri Drouot et René Durand
Reference : 43594
Tome XI - Septembre 1939 - Fascicule III - revue historique trimestrielle - broché
bon état
Annales islamologiques - Institut Français d’Archéologie Orientale du Caire
Reference : 9292
(1986)
Anne BIGNAN - [Lyon 1795 - Pau 1861] - Poète et traducteur français
Reference : 33966
1 page in8 - bon état -
Il lui envoie un article rédigé par un ami sur sa poèsie - S'il pouvait être inséré dans le Corsaire, ils seraient tous deux trés contents - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
Anne Joseph Alphonse GIRODON, dit Girodon de Pralong (1812-1898) - Peintre de sujets religieux français.
Reference : 8432
1 L.A.S. (270 x 210) 1 page , datée du 29 mars, adressée à M. Tavernier, député. Très bon état.
Lettre au député Tavernier dans laquelle le peintre lui demande d'intervenir auprès du Ministère concernant un tableau très important qui aurait pour sujet le Martyre des Machabées afin que " malgré [son] désintéressement à lui connu, le Ministère [lui] accorda une assez forte somme pour l'exécuter avec soin " et s' " engager à réclamer une copie dans l'intérêt de la ville d'Annonay ". Le bandeau "BOUQUINERIE AURORE" visible sur le scan n'est bien-sûr pas présent sur le document original, il n'a été placé ici que pour garder le caractère unique du document.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Anne Robert Jacques TURGOT - [Paris 1727 - 1781] - Homme politique et économiste français
Reference : 33261
1 page petit in4 - Très bon état malgré un petit manque en angle de la marge haute -
Il serait "fort aise" de lui faire obtenir la place qu'il désire pour son fils à l'Ecole militaire mais il doit lui adresser les pièces exigées pour cela - Il peut s'adresser à Mr Falès (?), son délégué à Brive "qui en instruira" - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
[Imprimerie de J. H. Ed. Heitz] - ANNESLEY, François-Henri-Arthur de Scy-Chazelles (Moselle), Elève de l'Ecole du Service de Santé Militaire
Reference : 48787
(1868)
1 vol. in-4 br., Imprimerie d'Ad. Christophe, Strasbourg, 1868, 31 pp.
"L'absence presque complète de cette maladie dans les cliniques de l'hôpital a rendu ma tâche plus difficile ; c'est ce qui me fait espérer que mes juges voudront bien m'accorder toute leur bienveillance". Très bon état. Envoi de l'auteur "à un des mes meilleurs amis et collègue le Docteur Ducourneau". L'Ecole Impériale du Service de Santé Militaire de Strasbourg fut instituée 1856 par Napoléon III et formera près de 1054 médecins pendant ses 14 années de fonctionnement.
Paris,Editions du Conquistador,1957 ; in-8°,broché,couverture illustrée du portrait de l’auteur ; 143pages;exemplaire non coupé.
Exemplaire enrichi du contrat d'édition tapuscrit de l'ouvrage signé de l'auteur et de l'éditrice (1 feuillet in-4°).Collection “Mon Métier”.(S2)
Fratelli Treves Editori, Milano 1918, 11x16,5cm, broché.
Édition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Petits manques marginaux en tête du premier plat, une claire décharge de papier adhésif en pied de la première garde. Exemplaire complet du fac-similé en fin de volume. Précieux envoi autographe signé de Gabriele d'Annunzio à Natalie Clifford-Barney?: «?à miss Barney et au Temple de l'Amitié attentive, cette légère torpille «?sine litteris?» est offerte par la «?tête d'ivoire?». Gabriele d'Annunzio?» Très beau témoignage de l'amitié entre Gabriele d'Annunzio et Natalie Clifford-Barney, qui se sont vraisemblablement rencontrés par le biais de la peintre Romaine Brooks, amante éphémère de la «?tête d'ivoire?» mais aussi de l'Amazone durant plus de cinquante ans. En 1909, Natalie Clifford-Barney acquiert le Temple de l'Amitié au n°20 de la rue Jacob et y installe son salon littéraire qui se tiendra tous les vendredis et accueillera les plus grandes personnalités littéraires et artistiques du temps?: Salomon Reinach, Auguste Rodin, Rainer Maria Rilke, Colette, James Joyce, Paul Valéry, Pierre Louÿs, Anatole France, Robert de Montesquiou, Gertrude Stein, Somerset Maugham, T. S. Eliot, Jean Cocteau, Max Jacob, André Gide, Nancy Cunard, Peggy Guggenheim, Marie Laurencin, Paul Claudel, Adrienne Monnier, Sylvia Beach, Scott et Zelda Fitzgerald, Truman Capote, Françoise Sagan, Marguerite Yourcenar... et bien entendu Gabriele d'Annunzio auquel elle vouait une grande admiration. Elle lui rend d'ailleurs hommage en lui consacrant un chapitre dans ses Aventures de l'esprit (1929)?: «?D'Annunzio, précieux petit objet en vieil ivoire, travaille avec la constance d'un moine qui veille pour son Dieu.?» - Photos sur www.Edition-originale.com -
Presso i fratelli Treves, Milano 1904, 11,5x18,5cm, relié.
Edition de l'année de l'originale. Reliure en plein cartonnage façon vélin, dos lisse, pièce de titre de chagrin marron, plats frappés en leurs centres des armes dorées du comte Paul Biver, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure de l'époque. Ouvrage illustré de21 bois et de 143 lettrines d'Adolfo de Carolis. Bel exemplaire joliment établi aux armes estampées à l'or de Paul Biver. Envoi autographe daté et signé de Gabriele d'Annunzio au comte Paul Biver. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Calmann-Lévy, 1947. In-8, broché, couverture rempliée, non coupé, 198 pp. 17 Planches photographiques hors-texte.
Edition originale, un des 150 exemplaires hors-commerce numéroté sur Alfa mousse, enrichi d'un envoi autographe de l'auteur au critique Richard Borel. 17 illustrations hors-texte et une bibliographie. Photos sur demande.