Grasset, Paris 1930, 12x19cm, relié.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Reliure à la bradel en plein cartonnage façon bois, dos lisse, pièce de titre de maroquin rouge, couvertures et dos conservés, reliure signée de Thomas Boichot. Précieux envoi autographe signé de Jacques Chardonne à Henri Béraud. Bel exemplaire agréablement établi. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Grasset, Paris 1932, 12x19cm, relié.
Edition originale, un des 300 exemplaires numérotés sur alfa et réservés au service de presse. Reliure en demi maroquin rouge à coins, dos à quatre nerfs légèrement éclairci, plats, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure de l'époque signée Lucie Weill. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Jacques Chardonne à l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rimqui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi d'André Salmon et Max Jacob: "A Carlo Rim que j'admire. Jacques Chardonne." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Jacques Chardonne, nom de plume de Jacques Boutelleau, né à Barbezieux le 2 janvier 1884 et mort à La Frette-sur-Seine le 29 mai 1968, est un écrivain et éditeur français. Aîné charentais de l'écrivain Pierre-Henri Simon, il fait partie du Groupe de Barbezieux avec Geneviève Fauconnier, Henri Fauconnier, Maurice Delamain, Jacques Delamain, Germaine Boutelleau, sans que ce groupe « géographique » partage les mêmes vues. Considéré comme un auteur d'extrême droite, il est avec Paul Morand un des pères spirituels de ceux qu'on a appelés « Les Hussards », les écrivains Roger Nimier, Jacques Laurent, Antoine Blondin et Michel Déon. Lettre autographe signée adressée à Louis Guitard - La Frette, le 6 janvier 1951 - 1 page sur un feuillet format 21 x 27 - très bon état, pliures liées à l'envoi "Cher monsieur, Je n'ai pas connu Henriot; mais je l'ai admiré. J'ai vu, à peine, Tardieu à qui je dois mon premier ruban. Il m'a toujours fait peur (cette santé terrible de malade, cette force monstrueuse des hommes politiques). La tête la mieux faite de l'époque (et une plume magistrale). Vous avez pour mission de faire connaitre son livre fondamental, tout a fait enseveli. Vous êtes dépositaire de grandes amitiés. J'ai beaucoup aimé vos articles (je m'aperçois que j'en avais lu quelques uns) et vous pouvez écrire votre livre avec confiance. Croyez cher monsieur, à mes sentiments bien sympathiques Jacques Chardonne"
Stock, Paris 1927, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Précieux envoi autographe signé de Jacques Chardonne à Henri Béraud. Petites rousseurs sans gravité affectant essentiellement les gardes. Provenance : de la bibliothèque rétaise d'Henri Béraud. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Albin Michel, Paris 1959, 12x19cm, relié.
Edition originale sur papier courant. Reliure en demi basane rouge, dos lisse, plats de toile rouge, couverture conservée. Envoi autographe signé de Jacques Chardonne. Agréable exemplaire établi dans une modeste reliure. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Stock 1921 2 vol. broché 2 vol. in-12, brochés, 267 et 363 pp. Edition originale du premier ouvrage de l'auteur, enrichie d'un envoi. Dos fatigués et papier uniformément jauni.
1951 Paris, Editions albin Michel, 1951; in-8 broché de 411pp. ; portrait photographique de l'auteur en frontispice; couverture rempliée crème, titre en noir et rouge au dos et 1er plat. 1 des 300 exemplaires numérotés sur velin du Marais, seul grand papier avec XXX hors commerce. Exemplaire enrichi d'un billet autographe signé de dédicace de Jacques Chardonne à un lecteur : "La Frette, le 13 février ( ?)…", 1page in-12, à l'encre bleue.
Cette Edition complète en 1 volume, forme le Tome 1 des Oeuvres complètes de Chardonne parues chez Albin Michel. (GrG) Absente du 21 mars au 13 avril inclus, je ne pourrai pas traiter vos commandes durant cette période. Merci pour votre compréhension et votre patience. Cordialement.
Grasset, Paris 1934, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des 350 exemplaires numérotés sur alfa et réservés au service de presse. Envoi autographe signé de Jacques Chardonne à Paul Rival. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Grasset, Paris 1934, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des 350 exemplaires numérotés sur alfa et réservés au service de presse. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Jacques Chardonne à Jean Fayard. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Grasset, Paris 1934, 12x19cm, relié.
Edition originale, un des 350 exemplaires numérotés sur alfa et réservés au service de presse. Reliure en demi maroquin rouge à coins, dos à quatre nerfs légèrement éclairci, plats, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure de l'époque signée Lucie Weill. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Jacques Chardonne à l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rim qui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi d'André Salmon et Max Jacob. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Grasset, Paris 1929, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des 2500 exemplaires numérotés sur alfa. Envoi autographe signé de Jacques Chardonne à Clément Gueymard. Dos très légèrement insolé. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 29 Avril 1957, 21x27cm, une feuille + une enveloppe.
Lettre autographe datée etsignée de Jacques Chardonne adressée à sonami Roger Nimier (54 lignes à l'encre bleue) à propos du style de Paul Morand, père spirituel desHussards, Roger Nimier et Antoine Blondin étant considérés, bien malgré eux, comme chefs de file de ce mouvement littéraire. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe. Jacques Chardonne entend battre en brèche deux fausses idées concernant Paul Morand, la première étant d'ordre stylistique : "Il y a une double méprise touchant Morand. On a vu en lui un "moderne"... mais il est essentiellement un "naturaliste" ; sa doctrine en art est exactement celle de Maupassant et Flaubert." tenant ce dernier pour un écrivain majeur : "Mais il a infiniment plus de talent et d'intelligence que les écrivains de l'école naturaliste." ; la seconde d'ordre psychologique : "Il est l'hygiène et la sagesse incarnées, dans sa personne. Mais il a encanaillé par son oeuvre la jeunesse qui venait après lui. C'est lui qui a failli tuer Sagan." Jacques Chardonne ironise ensuite sur les talents de Françoise Sagan tout en exaltant la prédominance et la maîtrise de son ami Paul Morand en tout ce qu'il entreprend de faire : "C'est Morand qui achetait les terribles voitures de Sagan. Mais lui sait conduire."tout en se rappelant les conseils de prudence que prodigua Bernard Frank à l'auteur de Bonjour tristesse : "Bernard Frank dit : elle ne tient pas la route, ta bagniole... Sagan, vexée, accelère. Et tout chavire." En grand frère de plume, Jacques Chardonne rassure Roger Nimier sur son propre talent : "Morand est très content de vous.Je dis que Gaston (Gallimard) semble avoir beaucoup d'amitié pour vous." et félicite son correspondant pour la qualité d'Artaban, revue à laquelle collabore Roger Nimier, Jacques Chardonne étant mis à l'honneur dans unrécent numéro: "... surpris de me voir en première page;le texte me remplit de fierté. J'ai méprisé les honneurs, afin d'être honoré. Je ne pouvais être mieux servi que dans ce petit texte." et attribue la paternité du texte le concernant à l'un de ses émules Hussards : "... je me dis : c'est Nimier, ou Hecquet, ou Milliau. A vrai dire, je ne sais. Et je remercie le Seigneur." Terrassé par tant d'hommages qui lui sont rendus, Jacques Chardonne, lucide, préfère éviter de trop être sous les feux de la rampe : "Voilà pourquoi je ne veux plus rien publier. Dès que l'on vous applaudit, il faut s'en aller." Très belle lettre de Jacques Chardonne encensant son ami Paul Morand, père spirituel des Hussards, et évoquantle terrible accident de voiture de Françoise Sagan à bord d'une Aston Martin le 13 Avril 1957. Evocation prémonitoire : Roger Nimier se tuant cinq ans plus tard sur l'autoroute de l'Ouest, le 28 Septembre 1962, également au volant d'une Aston Martin. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Importante lettre autographe signée, non datée. Cette lettre provient des archives de Frédéric LEFEVRE (1889-1949), Directeur des Nouvelles Littéraires. Jacques Chardonne l'encourage à la veille de la publication de son prochain roman (De la Difficulté d'Être Femme. ?) qui devait paraître chez Flammarion en 1934. (Provenance Librairie de l'Abbaye, 1970). En feuille Très bon La Frette circa 1933
Importante lettre autographe signée, non datée. Cette lettre provient des archives de Frédéric LEFEVRE (1889-1949), Directeur des Nouvelles Littéraires. Jacques Chardonne le félicite pour des articles et lui parle de Mioimandre … En feuille Très bon La Frette 1930
Importante lettre tapuscrire signée. Cette lettre provient des archives de Frédéric LEFEVRE (1889-1949), Directeur des Nouvelles Littéraires. Jacques Chardonne explique les qualités littéraires de son ami "planteur et écrivain" Henri Fauconnier. La lettre, enthousiaste, est datée du 27 novembre1930; le roman a paru cette même année 1930 et sera couronné par le prix Goncourt quelques jours plus tard, le 7 décembre. En feuille Très bon La Frette 1930
Importante lettre autographe signée. Cette lettre provient des archives de Frédéric LEFEVRE (1889-1949), Directeur des Nouvelles Littéraires. Jacques Chardonne explique les qualités littéraires de son ami "planteur et écrivain" Henri Fauconnier. La lettre, enthousiaste, est datée du 2 décembre1930; le roman a paru cette même année 1930 et sera couronné par le prix Goncourt quelques jours plus tard, le 7 décembre. En feuille, avec enveloppe. Très bon La Frette 1930
Lettre autographe signée. Cette lettre provient des archives de Frédéric LEFEVRE (1889-1949), Directeur des Nouvelles Littéraires. Jacques Chardonne évoque quelques sujets d'actualités littéraires ... La lettre est datée du 26 décembre 1931 (cachet sur l'enveloppe). En feuille, avec enveloppe. Très bon La Frette 1931
s.l., s.d. (21 Janvier 1968), 21x27cm, une feuille.
Lettre autographe de Jacques Chardonne signée de ses initiales, 20 lignes à l'encre bleue à propos d'une erreur d'approvisionnement chez Stock du dernier ouvrage de François Nourissier. Pliure inhérente à la mise sous pli. Une date a été ajoutée en haut de la lettre (21 Janvier 68), probablement la date de réception de cette missive par le destinataire. Jacques Chardonne s'étonne et s'insurge du retard que semble avoir pris Stock dans l'approvisionnement et la mise en vente du dernier ouvrage de François Nourissier ("Le Maître de Maison" paru en 1968) : "... Il y a des semaines que l'on écrit des articles sur le Nourissier... Si vraiment une librairie telle de Stock n'a reçu le Nourissier que depuis trois jours, il y a là une faute assez sérieuse." Enfin, Chardonne soulage sa colère en portant ce jugement, peu amène, sur la revue "Arts" et son lectorat : "Toujours excellent le Matthieu (certainement Matthieu Galey) dans "Arts". "Arts" perd de vue une chose :un lecteur de "Arts" c'est un homme qui tourne des pages. Inutile de beaucoup se fatiguer pour lui." - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l., s.d. (1966), 21x27cm, une feuille.
Lettre autographe de Jacques Chardonne signée de ses initiales, 14 lignes à l'encre bleue. Pliure inhérente à la mise sous pli. Une date a été ajoutée en haut de la lettre (Janv. 66), probablement la date de réception de cette missive par le destinataire. Petites piqûres sans gravité en pied de la lettre sans atteinte au texte. S'adressant à un destinataire non identifié, Jacques Chardonne invite son correspondant à se procurer l'ouvrage de Christine Garnier "L'homme et son personnage" paru chez Grasset en 1955 : "... Tachez de trouver ce livre, emportez-le, et gardez-le. Il peut vous être utile, plus tard, quand il y aura la nuit derrière vous." Pour terminer sa lettre, Jacques Chardonne se fend d'un dernier et non moins curieux conseil tout empreint d'une ironique fausse candeur : "Je vous recommande spécialement le Chardonne. Il m'a surpris par sa constance, dans une certaine voie. A vous. JC." Il s'agit certainement de son dernier ouvrage paru en 1966 chez Grasset : "Propos comme ça". - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l., s.d. (Février 1966), 21x27cm, une feuille.
Lettre autographe de Jacques Chardonne signée de ses initiales, 14 lignes à l'encre bleue. Pliure inhérente à la mise sous pli. Une date a été ajoutée en haut de la lettre (Février 66), probablement la date de réception de cette missive par le destinataire. Une petite tache d'encre en pied de la lettre. Jacques Chardonne félicite son correspondant de son départ en voyage à Megève même s'il lui recommande de dédaigner, en tant que "jeune roi de Paris" ce genre d'endroit, tout juste bon à épater : "de riches provinciaux, qui se sentent en exil à Tourcoing ou Abeville (sic), et qui viennent à Megève, voir du beau monde, à tous prix" et de préférer à cette station d'autres lieux plus jolis et moins coûteux: "... s'il s'agit de montagnes, pour la santé, vous en avez ailleurs d'aussi belles, pour le quart du prix". - Photos sur www.Edition-originale.com -
Royan, 30 août 1957, 17x23cm, un feuillet.
Lettre autographe signée de Jacques Chardonne, datée du 30 août 1957, 32 lignes à l'encre bleue sur papier à en-tête. Pliure inhérente à la mise sous pli. S'adressant à un destinataire non identifié, Jacques Chardonne partage ses réflexions sur «Royan [...] cette ville étonnante», presque entièrement détruite durant la Seconde Guerre mondiale: «Il y a ici un phénomène social unique je crois en France: toute une ville en «copropriété». Ce qui a permis de la dessiner avec tant de hardiesse et de goût. Je crois que l'on a peu parlé de cette curiosité française.» Ville intimement liée à l'enfance de l'auteur, Royan dégage une atmosphère de mystère qui frappe Chardonne: «Je ne reconnais plus le charentais dans cette prodigalité et cet esprit d'association. [...] Enfin, il y a beaucoup de choses à voir et à démêler; trop obscures pour moi.» - Photos sur www.Edition-originale.com -
Ces deux lettres proviennent des archives de Frédéric LEFEVRE (1889-1949), Directeur des Nouvelles Littéraires. Jacques Chardonne évoque quelques sujets d'actualités littéraires ... L'une est datée du 6 juillet 1931. En feuilles Très bon La Frette 1931
Édition originale
Importante correspondance échangée entre Jacques Chardonne et Fernand Laplaud. Dossier détaillé sur demande. En feuilles avec enveloppes Très bon La Frette
Paris Grasset, coll. "Les Cahiers verts" 1954 1 vol. broché in-12, broché, couverture rempliée, 236 pp. Edition originale. Second souffle littéraire pour Chardonne devenu, avec Paul Morand, le modèle d'une nouvelle génération d'écrivains fringuants, ambitieux et impertinents emmenée par Roger Nimier. Un des 200 exemplaires de presse numérotés sur alfa mousse, avec un envoi de l'auteur à son éditeur chez Grasset, Berrnard Privat. En belle condition.
Jacques Chardonne, nom de plume de Jacques Boutelleau, né à Barbezieux le 2 janvier 1884 et mort à La Frette-sur-Seine le 29 mai 1968, est un écrivain et éditeur français. Aîné charentais de l'écrivain Pierre-Henri Simon, il fait partie du Groupe de Barbezieux avec Geneviève Fauconnier, Henri Fauconnier, Maurice Delamain, Jacques Delamain, Germaine Boutelleau, sans que ce groupe « géographique » partage les mêmes vues. Considéré comme un auteur d'extrême droite, il est avec Paul Morand un des pères spirituels de ceux qu'on a appelés « Les Hussards », les écrivains Roger Nimier, Jacques Laurent, Antoine Blondin et Michel Déon. Lot de 12 lettres autographes signées Jacques Chardonne (accompagnées de 3 lettres dactylographiées signées Camille Chardonne) adressées à Louis Guitard et Ginette Guitard-Auviste (biographe de Jacques Chardonne) en 1962 et 1967 - bon état, pliures liées à l'envoi - avec leurs enveloppes pour certaines Jacques Chardonne souhaite préparer la vente de sa maison de La Frette et demande conseil à son ami avocat Louis Guitard. 16 janvier 1962, La Frette - 4 pages sur 2 feuillets format 21 x 27 "Chère amie, si je vous écris à vous (et non pas à votre mari) au sujet d'une question de droit ; c'est qu'il s'y mêle une question de confiance où je m'en remets à vous, et dont vous aurez la responsabilité, et puis il s'agit un peu de littérature, et du domaine que vous avez glorifié. [...] Mais il doit être entendu (et vous prenez cet engagement envers moi, en lui remettant la lettre ci-jointe) que la question que je lui pose et la réponse qu'il fera, en somme, le renseignement qu'il me donnera sera rétribué par le mandat qu'il jugera convenable. Sinon, vous m'aurez trahi. Ce serait grave. En lui remettant la lettre ci-jointe, vous prenez un engagement envers moi. Il s'agit de La Frette, dans l'avenir. Je ne veux pas que cette maison, qui appartient un peu à la France littéraire, là où j'ai écrit toute mon œuvre, soit après ma mort, un champ de bataille, pour des héritiers un peu fol, et vendu par eux à n'importe qui. Je désire choisir moi même le futur acquéreur ; ce qui est fait. Il sera convenu que la maison dont il devient maintenant propriétaire et qu'il n'occupera qu'après la mort de ma femme et de moi, ne sera payée, par lui, qu'après notre mort. Ce règlement (disons que ce sera dans dix ou quinze ans) sera fait à mes héritiers. Le chiffre (le prix de vente) étant fixé maintenant. Cela, que vous voudrez bien exposer à votre mari, étant dit, vous trouverez ci-jointes, les deux questions que je lui pose. Mer, et à vous J. Chardonne"