1928 Paris - Nouvelle Société d'Edition - 1928 - 1 volume in8 broché de 157 pages - trés bon état -
Edition originale - Exemplaire numéroté 38 et signé par l'auteur - On y joint: quatre dessins originaux ayant servis de projets pour la couverture (formats 8 x 21 cm; 14 x 13 cm; 20 x 14,5 cm et 19 x 16 cm) et une photographie retouchée (format: 13,5 x 10 cm) représentant le prince Carol et Mlle Zupescu à la gare de Lyon le 25 février 1926 - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
Paul Ollendorff, Paris 1892, 12,5x19,5cm, relié.
Edition originale, un des 5 exemplaires numérotés sur Japon, le nôtre portant le N°1, seuls grands papiers. Reliure en demi maroquin rouge, dos lisse orné d'un double cartouche doré décorés d'écoinçons en angles et au centre d'un motif floral doré, petites traces de frottements sur les mors, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tête dorée sur témoins, reliure de l'époque. Envoi autographe signé de Jean Carol à son éditeur Paul Ollendorff. Provenance : bibliothèque de Paul Ollendorff. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lettre manuscrite autographe signée certainement adressée à Émile Berr du Figaro, 1 p. écrite à l’encre violette. « Paris, ce 24 janvier 97. Mon cher ami, Je viens de recevoir une aimable invitation du Figaro pour l’annonce du 2 Février. J’aurais été heureux de m’y rendre, mais partant ce jour-là pour ma solitude de St Aigulf au bord de la Méditerranée, il m’est impossible d’y assister. Je tiens à vous remercier et à vous dire mes regrets. Bien sincèrement à vous, Carolus-Duran. »
17 décembre 1880, 9,9x15,6cm, une feuille rempliée et enveloppe jointe.
Lettre autographe signée deCharles Auguste Émile Durant dit Carolus-Duran, célèbre portraitiste de la haute société de la Troisième République à Paul de Saint-Victor, critique et essayiste français. Une feuille rempliée et enveloppe jointe. L'artiste recommande une jeune artiste peintre à son ami "Elle a fait une copie de Rubens - Marie de Médicis représentant la France. Cette personne a du talent et est digne, à tous égards, de votre bienveillance. Je vous serai infiniment reconnaissant de ce que vous voudrez bien faire pour elle". - Photos sur www.Edition-originale.com -
Rome 17 janvier 1869, 13,2x20,6cm, une feuille rempliée.
Lettre autographe signée deCharles Auguste Émile Durant dit Carolus-Duran, célèbre portraitiste de la haute société de la Troisième République. Une feuille rempliée. L'artiste fait part de la gravure prochaine d'un célèbre tableau à l'attribution très controversée : l'Apollon et Marsyas, acquis en 1850 par le collectionneur anglais Morris Moore qui soutenait, en dépit de l'avis de nombreux conservateurs, son attribution à Raphaël. Exposé à Londres, Paris, Vienne, Venise et Milan, il fut finalement acquis en 1883 par le musée du Louvre pour la somme de 200 000 francs. Son attribution est désormais donnée au Pérugin. "Monsieur le directeur, Vous vous souvenez sans doute du tableau de Raphaël appartenant à Mr Morris Moore et que nos grands peintres ainsi que les principaux journaux ont admirée avec tant d'enthousiasme à Paris. Toute la Rome artistique connaît à présent ce chef-d'oeuvre, auquel on vient de rendre un éclatant témoignage d'admiration. [...] La commission de la chalcographie pontificale [...] s'est rassemblée et a voté unanimement aux frais du gouvernement la gravure de cette merveille. J'ai pensé devoir vous faire part d'un événement qui a eu un si grand retentissement et qui intéresse tous les amis de l'art." - Photos sur www.Edition-originale.com -
30 mai 1979, 11,1x18,7cm, une feuille rempliée et enveloppe jointe.
Lettre autographe signée deCharles Auguste Émile Durant dit Carolus-Duran, célèbre portraitiste de la haute société de la Troisième République, au critique et essayiste Paul de Saint-Victor.Une feuille rempliée, enveloppe jointe. Le peintre remercie le journaliste pour "des lignes si bienveillantes que vous avez bien voulu me consacrer à propos de mon envoi au Salon. [...] je serais heureux de vous le prouver en vous offrant un petit morceau de peinture, si vous voulez me faire le plaisir d'accepter". Carolus-Duran avait présenté unportrait qu'avait fort apprécié le célèbre écrivain Joris-Karl Huysmans : "Le portrait de Mme La Comtesse de Trois Etoiles rayonne au milieu de ces pauvretés. Je n'ai pas à décrire la nouvelle oeuvre de M. Carolus Duran, puisque cette besogne a été faite déjà dans ce journal; je me bornerai à quelques réflexions. Le portrait de M. Duran est, comme d'ordinaire, théâtralement posé; mais il me semble, cette fois, un peu supérieur à ceux des années précédentes" ("Le salon de 1879", dansL'Art moderne,1883). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 6 mai 1890, 11,6x17,9cm, une feuille rempliée.
Lettre autographe signée deCharles Auguste Émile Durant dit Carolus-Duran, célèbre portraitiste de la haute société de la Troisième République. Une feuille rempliée. L'artiste donne son autorisation au célèbre journalL'Illustrationde reproduire un des portraits ("le portrait en gris de Melle XXX")qu'il présenta au premier Salon du champ de Mars, en 1890. Ce tableau reçut de bonnes critiques, notamment dans laRevue des Deux mondes: "[...]M. Carolus Duran est pourtant un portraitiste rare et supérieur par la sincérité qu'il apporte à rendre, dans tout son éclat et toute sa variété, la première et saisissante apparence des êtres vivans, par l'aisance et par la verve avec lesquelles il les campe et les anime dans la vérité de leurs allures, de leur air, de leurs ajustemens. [...] la troisième,Mlle S..., une toute jeune fille, une brunette fraîche et rose, en toilette de ville, porte un délicieux costume gris, avec ceinture et jabot rosés"(Georges Lafenestre, "Les Salons de 1890",3epériode, tome 99,1890). - Photos sur www.Edition-originale.com -
23 mai 1890, 11,6x17,8cm, une feuille rempliée.
Lettre autographe signée deCharles Auguste Émile Durant dit Carolus-Duran, célèbre portraitiste de la haute société de la Troisième République à un destinataire féminin. Une feuille rempliée et enveloppe jointe. L'artiste entretient sa destinataire d'un futur portrait : "Chère Madame, Vous me demandez le prix d'un portrait comme celui d'Yvonne, si vous vous souvenez, j'ai fait pour Monsieur de Montague une concession amicale toute particulière et tout à fait en dehors de mon prix habituel qui est de 8000 francs pour une tête d'enfant, de femme ou d'homme. Voilà ce que je vous prie d'indiquer [...]". - Photos sur www.Edition-originale.com -
CAROLUS-DURAN - [Charles Emile Auguste DURAND dit] - Lille 1837 - Paris 1917 - peintre français
Reference : GF24049
1 page in12 -
"Un malheur affreux vous frappe" - Comme père, il en sent toute l'horreur et regrette de ne pouvoir aller lui serrer la main - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
CAROLUS – DURAN (Charles Emile Auguste Durand, dit) peintre français (1837- 1917)
Reference : 8C26
Correspondance amicale, relative à la réalisation de son portrait, à des rencontres et à des invitations souvent renouvelées. 1881. Il est très flatté d’avoir été choisi par la comtesse pour réaliser son portrait. « Ce n’est pas une pocharde mais une belle tête que je ferai. Du moins je tenterai d’être digne du modèle. Malheureusement je ne pourrai commencer que vers la fin du mois ... J’espère que vous voudrez bien patienter un peu en vous disant que votre futur peintre est plus impatient que vous de se mettre à l’œuvre... ». 1882. « Vraiment vous me comblez par votre si aimable lettre. Je ne mérite pas tant, je vous assure. J’ai fait de mon mieux et avec joie un beau portrait d’une personne que je vois plus belle encore et que j’avais voulu rendre comme elle me semble être. J’en ai donné l’ombre ce qui est déjà quelque chose, mais qui est loin d’être tout.... ». Etc.
L’ensemble
CAROLUS-DURAN - [Charles Emile Auguste DURAND dit] - Lille 1837 - Paris 1917 - peintre français
Reference : GF24047
1 page in8 -
Il est heureux que sa nomination lui soit annoncée par lui et le remercie de s'être occupé de lui - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
CAROLUS-DURAN - [Charles Emile Auguste DURAND dit] - Lille 1837 - Paris 1917 - peintre français
Reference : GF24048
1 page in8 -
Il regrette de ne pouvoir lui donner de cartes, ayant envoyé la dernière le matin même - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
CAROLUS-DURAN - [Charles Emile Auguste DURAND dit] - Lille 1837 - Paris 1917 - peintre français
Reference : GF24046
3 pages in12 -
L'architecte auquel il a parlé de leur "petite société" est ravi d'en faire partie - Il envoit la carte pour ne pas oublier la "convocation" pour leur prochain diner - Il le verra surement au vernissage du Salon - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
[CAROLUS-DURAN, Charles Emile Auguste Durand dit (1837-1917) - Peintre français].
Reference : 8407
1 Poème autographe non signé (173 x 130) 4 strophes, daté du 11 mai 1873, ayant pour titre " C. Duran ". Papier fragilisé à la pliure.
" On dit (j'en doute un peu ; - le monde est si méchant ! -) / Qu'à se croire un génie il a quelque penchant ; / Que, vînt-il d'un crétin, tout compliment le touche, / Et que de son mérité il se remplit la bouche. " () " Voyez ! Il coule en bronze et sa femme et son nom ! / Quel buste ! - Et, cependant, l'adorable Croizette / Nous attache au rivage, en nous faisant risette ". Poème satirique sur Carolus-Duran, " néo-Michel-Ange " qui exposa au Salon de 1873 une sculpture en bronze de sa femme - Pauline Croizette, pastelliste - accueillit avec perplexité par la critique. Ce poème pourrait être de Ernest d'Hervilly (1839-1911), journaliste et poète, qui signa un article dans la même veine et sur le même sujet dans La Renaissance littéraire et artistique (" Le Salon de 1873 "). Le bandeau "BOUQUINERIE AURORE" visible sur le scan n'est bien-sûr pas présent sur le document original, il n'a été placé ici que pour garder le caractère unique du document.
CAROLUS-DURAN, Charles Emile Auguste Durand dit (1837-1917) - Peintre français.
Reference : 8405
1 L.A.S. (175 x 110) 2 pages, datée du 9 janvier 1880 de Paris, adressée à " Mon cher Le Pic ". Roussie.
S'excuse de ne pouvoir se rendre à l'invitation étant malade (grandement si on en croit la lettre !). Le bandeau "BOUQUINERIE AURORE" visible sur le scan n'est bien-sûr pas présent sur le document original, il n'a été placé ici que pour garder le caractère unique du document.
L.A.S., [sans lieu ni date], à Charles Dettelbach; 2 pages in-12, 180 x 114.
Lettre autographe signée du peintre Carolus-Duran (1837-1917), adressée à son ami Charles Dettelbach, puissant personnage siégeant au conseil d’administration de la Compagnie Minière franco-tunisienne dont l’épouse, cantatrice mondaine, tenait un salon musical et côtoyait Proust, Raynaldo Hann... Dans cette lettre Carolus s'excuse avec vivacité de ne pouvoir accepter l'invitation de son ami. Ainsi écrit-il : "voulant tâcher de me libérer. Pour cela je suis allé cet après-midi voir l'ami qui m'avait invité ; mais il m'a répondu qu'il avait invité pour moi plusieurs personnes qui viennent de Londres et qu'il se fâcherait [...] Voilà la situation [...] pour moi qui aurait été si heureux de vous dire : oui. "Pliures.
carte de deuil format 6 x 9,5 cm + enveloppe -
Remerciements - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
chez l'auteur 1973 1 vol. broché plaquette in-12, agrafée, 23 pp. Envoi de l'auteur à G.-E. Clancier.
Paris, 28 octobre, 1806 in-folio, 1 pp., en-tête de l'état-major du gouvernement de Paris ; cachet humide et cachet de collection. Légèrement salie.
Rapport policier du 27 au 28 octobre 1806, émanant de l'état-major du Gouvernement de Paris, et signé pour extrait conforme par l'adjudant de place de service, Caron : "Il a été traduit devant l'autorité civile : sept filles publiques, arrêtées hier sur la division des Arcis ; un particulier, arrêté hier soir pour voies de fait, envers sa femme, sur le Boulevard du Temple ; Un autre arrêté hier sur le port au Plâtre pour avoir insulté le gardien du pont d'Austerlitz (…)". Etc, etc.Ce rapport devait être transmis au ministère de la Police. Cachet de l'état-major du Gouvernement de Paris, à l'aigle impériale couronnée.Engagé au début de la Révolution comme simple canonnier, Pierre-Louis-Auguste Caron (1774-1832) participa aux campagnes de l'Armée du Nord puis à celles de Sambre-et-Meuse, de Rhin-et-Moselle puis d'Italie, avant d'être envoyé à St-Domingue entre 1802 et 1804. Chef d'escadron, il sera ensuite à l'armée des Côtes de l'Océan (1805) puis à la Grande-Armée (1805-1807), envoyé en Espagne (1808-1810). Chevalier d'Empire (1810 ; il sera fait baron en 1813), promu colonel en 1812, il commande le 9e Corps de la Grande Armée pendant la campagne de Russie, devient chef-d'état major de l'artillerie lors de la campagne d'Allemagne de 1813, et est blessé à Lützen. Il sera désigné directeur d'Artillerie à Rochefort (1817) puis à Valencienne (1818) avant d'être admis à la retraite en 1822 avec le grade honorifique de maréchal de camp.Collection Crawford
Phone number : 33 01 43 26 71 17
4 pages in-12 (177 x 114).
Très belle lettre de la cantatrice Rose Caron, née Rose-Lucile Meunier (1857-1930) à un de ses très bons amis Charles Dettelbach. Elle y réfute une information divulguée dans Le Figaro selon laquelle elle serait à Monnerville, sa ville natale : « Le Figaro selon sa très louable habitude est très mal informé. C’est sans doute une autre Mme Caron qui est à Monnerville car moi je suis en train de faire ma cure ». Elle se trouve à l’étranger « dans ce charmant pays où on parle une langue qui m’insupporte parce que je ne la comprends pas, et où nous avons en ce moment une chaleur tropicale. » Elle fait une brève incursion dans sa vie privée en parlant de sa fille « ma fille et sa famille sont aux Glycines, toute la maisonnée est en bonne santé je veux le croire, car j’attends une lettre. » Quelques années plus tard, en 1929, sa petite fille perdra la vie suite à une péritonite.L’épouse de Charles Dettelbach, née Emillie de Berny (Emy) était une cantatrice mondaine très appréciée On joint une carte de visite (74 x 126), datée du 26 juillet 1906, portant l’adresse « 56, rue Cardinet » de Rose Caron à un ami non identifié. Dans cette missive elle invite cet ami à un dîner afin de célébrer sa récente accession à la Légion d’Honneur : « Maintenant vous seriez le plus meilleur (sic) des amis si vous acceptiez de venir diner mardi prochain 31 juillet avec quelques personnes que vous connaissez et qui désirent dans l’intimité célébrer ma croix de la Légion d’Honneur. »Rose Caron fut nommée Chevalier de la Légion d’honneur le 22 Juillet 1906.
Rougerie 1991 1 vol. broché in-8, broché, 60 pp. Bel envoi de l'auteur à G.-E. Clancier avec une feuille séchée de Ginko Biloba. Très bon état.
Grasset, Paris 1913, 12x19cm, broché.
Edition originale, poinçon de service de presse en tête du second plat. Légères piqûres marginales sur les plats, précision manuscrite à la plume noire en dessous du titre : "les légionnaires en colonne" sur le premier plat. Envoi autographe signé de Louis Carpeaux à mademoiselle Montgenault. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Gallimard, Paris 1967, 12x19cm, broché.
Edition originale de la traduction française, un des exemplaires du service de presse. Dos très légèrement bruni sans gravité, sinon agréable exemplaire. Envoi autographe signé d'Alejo Carpentier à Marc Saporta. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Gallimard, Paris 1979, 14x20cm, broché.
Edition originale de la traduction française, un des exemplaires du service de presse. Envoi autographe signé d'Alejo Carpentier à l'Immortel Jean Bernard. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Gallimard, Paris 1979, 14x20,5cm, broché.
Edition originale de la traduction française sur papier courant. Envoi autographe signé de Alejo Carpentier en français. Tampon à froid en pied de la première garde. - Photos sur www.Edition-originale.com -