Les Productions de Paris, Documents de notre époque, 1959. In-8, broché, jaquette illustrée conservée, 387 pp.
Exemplaire du S.P. L'auteur : Secrétaire Général de l'interpol. Envoi autographe de l'auteur à son ami d'enfance Armand Ziwès. La librairie est ouverte du Mardi au Samedi inclus de 11h à 19h, (avec possibilité de venir plus tôt sur rendez-vous). Lundi sur rendez-vous.
Angers Au masque d'or, coll. "Miroir" 1948 1 vol. broché in-8, broché, non coupé, 121 pp. Edition originale tirée à 550 exemplaires sur vélin crèvoecoeur du Marais, dont 50 hors commerce (comme celui-ci, ex. H.C. XV) justifié et signé par l'éditeur avec un ex-dono de ce dernier : "En témoignage de respectueuse admiration, l'éditeur, Bouty". L'ouvrage provient de la bibliothèque de Georges Bataille avec tampon à l'encre noire sur le premier feuillet "Bibliothèque de Georges Bataille". La quatrième de couverture annonce comme "à paraître", Théorie de la religion de Georges Bataille. Mouillure au dos.
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Grasset, Paris 1933, 12x19cm, broché.
Edition originale de la traduction française établie par Pierre Klossowski, un des exemplaires du service de presse. Dos légèrement insolé comportant une petite tache blanche, traces d'encre noire en pied du premier plat. Envoi autographe signé, en français, de Friedrich Sieburg à Alfred Fabre-Luce : "... cette Allemagne "sans rêve". Hommage amical. Friedrich Sieburg." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Hachette 1955 1 vol. broché in-12, broché, 223 pp. Édition originale en volume, qui regroupe six conférences données en 1954 à l'Université des Annales et préalablement publiées dans la revue Les Annales. Un des 100 exemplaires numérotés sur vélin pur fil du Marais, seul tirage en grand papier, avec un bel envoi de l'auteur. En parfait état
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Paris, La Passerelle, 1957. In-8 broché de 200-[8] pages, couverture imprimée couleur, un peu frottée. Ceci mis à part, en bien belle condition.
Avec 29 plans, en fin, sous pochette. Edition originale. Cet exemplaire est l'un des 200 hors-commerce, avec un envoi de l'auteur au directeur littéraire de la Tribune de Genève.
Paris, Hetzel, 1869 ; petit in-8°, demi-maroquin rouge à coins de l'époque, double filet doré soulignant mors et coins, dos à nerfs, filet pointillé doré sur les nerfs, caissons de double filet maigre doré entièrement ornés de petits fers, tranches dorées, gardes peignées; (4)pp., 360pp., Illustré d'une grande carte dépliante hors texte.Quelques petites piqûres en début et fin d' ouvrage sinon très bon état.
Exemplaire bien relié de l'édition originale, comportant au faux-titre un envoi autographe signé de l'auteur. (GrG)
Editions du monde nouveau, Paris 1923, 14,5x19,5cm, broché.
Edition originale de la traduction française, un des exemplaires numérotés à la presse. Envoi autographe signé de l'un des traducteurs sur la page de garde qui comporte une déchirure sans atteinte à la dédicace manuscrite. Dos légèrement insolé et comportant un petit accroc sans gravité. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1812 une lettre à en-tête de la Mairie du Cellier préimprimée en noir et manuscrite à l'encre brune, lettre de 4 pages (un feuillet plié en deux) sur velin ligné et filigrané (seule la première page est manuscrite), format : 25 x 20 cm, adresse du destinataire ùmanuscrit à l'encre brune au milieu de la page : Monsieur DEQUEBRIAC sous-prefet de l'Arrondissement d'Ancenis à Ancenis, avec cachet de la mairie d'ancenis en noir avec les armes royales : lma couronne royale et les trois fleurs de Lys, lettre signée SIFFAIT JOURDAN à l'encre brune, Le Cellier, le 7 Octobre 1822,
Maximilien SIFFAIT JOURDAN : Maire du Cellier, Receveur général des Douanes , Architecte connu pour ses "FOLIES SIFFAIT" ....un empire pour une demoiselle ........un jardin étonnant situé prés de Nantes sur la commune du Cellier...... Ces étranges ruines ont été construites par Maximilien Siffait au début du XIXème siècle. Les terrasses ont été décorées et aménagées ensuite par son fils Albert Oswald. Mais les historiens sont perplexes pour donner les raisons de la construction de ce jardin sans utilité qui, depuis les bateaux de la Loire, interloquait les voyageurs. Les murs badigeonnés de bleu, les portes ouvertes sur rien, les escaliers ne menant nulle part. Toujours est-il que les pavillons, les kiosques, les tourelles gothiques, les murs crénelés ont inspiré Stendhal et Turner, lequel en fit une série de gravures et de toiles..... Rien ne le prédispose à créer un magnifique jardin. On imagine aujourd'hui qu'il s'agit d'un acte d'amour, En 1830, la mort à 19 ans de Jeanne-Louise met fin à la construction...belle Lettre Originale .........en trés bon état (VERY GOOD CONDITION). en trés bon état
A Paris, Rue et Hotel Serpente, 1782 ; in-12°, plein veau fauve marbré de l' époque, dos lisse très orné de jeux de triples filets, fleurons et petits fers doré, titre doré sur étiquette de maroquin vieux-rouge, tranches rouges ; XIII, (III)., 394pp., (1)p. Mention “Ex dono auctoris“ manuscrite sur le titre.
Sigaud se fait ici éducateur et rédige un ouvrage de philosophie morale qu'il oppose à ce qu'il nomme le monstrueux égoisme du temps. Sigaud de La Fond, né à Bourges fut démonstrateur de physique au Lycée Louis-Le-grand, élève de Nollet, il lui succède au Collège de Navarre en 1760. Il spécialisa ses recherches dans le domaine de l'électricité et de la physique expérimentale (cf. notamment sa Description et usage d'un cabinet de physique expérimentale). Revenu dans sa ville natale en 1782, il y transfère son cabinet de physique. Il donne en 1782 la première édition de l' Ecole du bonheur. Bon exemplaire de l'Edition originale de cet ouvrage offert par l' uteur, avec l' ex-dono manuscrit " ex-dono auctoris", au titre. Reliure légèrement frottée, les 2 coins inférieurs un peu émoussés, très rares piqûres, petit manque de papier angulaire en marge d' 1 feuillet.( Reu-Bur)
Paris, Editions du Bateau Ivre, 1947. In-12, cartonné, bien complet de sa jaquette, 199 pp.
Edition originale. Envoi autographe de l'auteur. La librairie est ouverte du Mardi au Samedi inclus de 11h à 19h, (avec possibilité de venir plus tôt sur rendez-vous). Lundi sur rendez-vous.
Vigia, Matanzas 1996, 18x27,5cm, broché retenu par une corde de chanvre.
Edition originale, un des 200 exemplaires numérotés et signés, seul tirage. Ouvrage illustré par Violeta Naranjo réhaussé à la main et agrémenté de collages. Notre exemplaire est enrichi d'un bel envoi autographe daté et signé d'Ariel Sigfredo à une poétesse française. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Henri Floury, Paris 1921, 14x19cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, mention de troisième édition. Belle couverture dessinée par Théo van Rysselberghe. Envoi autographe signé de Paul Signac à ses amis Madame et Monsieur Léon Deshairs, qui fut directeur de l'École nationale supérieure des Arts Décoratifs et conservateur de la Bibliothèque des Arts Décoratifs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. (23 janvier 1894), 22,6x17,5cm, 2 pages sur un double feuillet déplié.
Lettre autographe signée de Paul Signac adressée à Camille Pissarro, rédigée à l'encre noire sur deux pages et signée d'un monogramme de l'artiste. Cette lettre a été retranscrite dans l'article de Pierre Michel et Christian Limousin intitulé "Octave Mirbeau et Paul Signac - Une lettre inédite de Signac à Mirbeau" (inCahiers Octave Mirbeau, n° 16, mars 2009, pp. 202-210). "Mon cher Maître, Cela vous ennuirait-il [sic]d'écrire à Mirbeau qu'un Signac, à votre avis, ne ressemble pas plus à un Seurat qu'un Hokousai à un Hiroshigé... si toutes fois (sic) le reproche d'imitation dont il cherche à m'accabler vous semble injuste. L'amitié que vous m'avez toujours témoignée et les compliments que vous avez bien voulu faire de mes toiles, m'autorisent à vous demander ce service. Cordialement. PS" Belle lettre dans laquelle Paul Signac cherche l'appui de son maître Camille Pissarro après une critique acerbe publiée par Octave Mirbeau dansL'Echo de Paris. Dans ledit article, le premier à la Une de L'Echo de Paris du 23 janvier 1894, Octave Mirbeau n'épargne en effet pas Signac: «M. Signac a voulu continuer Seurat. Je ne puis me faire à sa peinture. Je ne méconnais pas ses qualités mais elles disparaissent sous l'amoncellement de ses défauts. Ce qu'on admettait de Georges Seurat [...] on le comprend moins chez M. Signac qui n'en est que l'adepte trop complaisant et trop littéral. Et puis cette continuelle sécheresse me choque. M. Signac fait la nature immobile et figée. Jamais le vent n'a secoué la surface inerte de ses mers, ni tordu les branches de ses pins, ni animé l'éternelle fixité de ses nuages, la raideur cartonnée de ses ciels. Il ignore le mouvement, la vie, l'âme qui est dans les choses. [...] Il serait peut-être temps, pour notre joie, que M. Signac voulût bien nous donner du Signac. Je crois qu'il le peut.» Pourquoi cette obsession pour Seurat? «En ce début d'année 1894, la position de Mirbeau, de Geffroy, de Pissarro et que quelques autres, est de considérer que le néo-impressionnisme est bel et bien mort en 1891 avec la disparition de Seurat.Le regard rétrospectif qu'ils jettent sur cette aventure artistique les conduit à penser qu'il ne s'agissait nullement d'un prolongement, d'une continuation de l'impressionnisme par des voies nouvelles (scientifiques), mais bien d'une réaction contre lui, voire d'une liquidation pure et simple du mouvement.» (Cahiers Octave Mirbeau). La réponse de Pissarro à Signac, elle-même transcrite par Michel et Limousin, ne se fait pas attendre: cela «[l]'ennuirait d'écrire ce que vous me demandez à Mirbeau, et cela pour plusieurs raisons. [...] Premièrement parce que je suis en froid avec lui, vous le savez bien. Deuxièmement parce que, pour vous-même, il ne sied pas de discuter l'opinion d'un critique, même étant persuadé d'être dans le vrai, et, si vous voulez franchement ma façon de penser et que je suis heureux d'avoir l'occasion de vous exprimer, je trouve que la méthode même est mauvaise. Au lieu de servir l'artiste, l'ankylose et le glace. Si je vous ai fait des compliments cette année, c'est parce que j'ai trouvé vos dernières toiles mieux que celles que vous aviez exposées aux Indépendants, mais je suis loin de trouver que vous êtes dans la voie qui convient à votre tempérament essentiellement peintre et si, jusqu'à présent, je ne vous ai rien dit à ce sujet, c'est parce que j'étais sûr de vous être désagréable et, somme toute, mes convictions peuvent ne pas être partagées par vous. Réfléchissez mûrement et voyez si le moment n'est pas venu de faire votre évolution vers un art plus de sensation, plus libre et qui serait plus conforme à votre nature.» «Dépité, et privé de l'autorité d'un maître vénéré par le critique, Signac en est réduit à élaborer lui-même, et sans plus attendre, la réponse à adresser à Mirbeau [...]» (ibid.) Cette réponse prend la forme d'une longue lettre rédigée le même jour que celle que nous proposons et aujourd'hui conservée au Harry Ranson Center de l'Université d'Austin (Texas): «Je reconnais hautement que c'est Seurat qui a instauré la technique néo-impressionniste et lui en laisse toute la gloire mais il me serait facile de vous prouver par la suite de mes tableaux qu'il n'y a jamais eu chez moi transition brusque causée par l'influence de Seurat, mais bien une logique d'évolution qui m'a amené à le rencontrer. Nous sommes arrivés à ce carrefour par des voies bien différentes.[...] Mais, c'est plein d'ardeur, qu'encouragé par les compliments que le cher Camille Pissarro m'a bien voulu faire sur mes derniers envois, et par la petite fleur d'espoir que vous voulez bien laisser percer sous vos critiques je me remets au dur et bon travail. » (23 janvier 1894). Et Signac se «remet au travail»: «il saura parfaitement rebondir et tirer son épingle du jeu. Peu à peu, à Saint-Tropez où il s'est installé, sa technique évolue. Grâce à la pratique de l'aquarelle (conseillée par Pissarro...), il rompt avec les formes trop strictes du pointillisme et trouve la spontanéité qui lui faisait défaut. En 1895, sa touche s'élargit, il abandonne le point.[...] Quant à Mirbeau, il ne restera pas insensible à l'évolution de Signac. En 1905, il loue ses « frémissantes aquarelles» et range le peintre parmi ceux qui, bien qu'ignorés par l'Etat et réprouvés par l'Institut, «maintiennent intacte la réputation artistique de la France». » (ibid.) Document capital pour la compréhension de l'uvre de Signac et précieux témoignage d'une importante période transitionnelle pour l'artiste. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Georges Crès & Cie, Paris 1927, 19x26,5cm, reliure de l'éditeur.
Edition originale sur papier courant. Reliure de l'éditeur en plein cartonnage souple crème, exemplaire complet de sa jaquette illustrée qui comporte des manques angulaires. Un accroc et un manque en tête du dos de la reliure souple. Ouvrage illustré de reproductions d'oeuvres de Johan Barthold Jongkind. Provenance : de la bibliothèque du peintre et graveur Jean Frélaut avec deux signatures manuscrites en têtes de deux gardes ( la première étant recouverte par un des rabats de la jaquette) en guise d'ex-libris. Notre exemplaire est exceptionnellement enrichi de deux aquarelles originales et de deux dessins originaux au crayon de Jean Frélaut, qu'il a signés et exécutés à la manière de Jongkind ainsi qu'il l'a indiqué en pied de chacun d'entre eux. Ces quatre oeuvres originales de Jean Frélaut représentant des marines. - Photos sur www.Edition-originale.com -
A propos de l’excellent article du romancier. Il lui adresse tous ses remerciements, « à titre personnel, car hélas – et j’en suis en rage souvent – le président doit être éclectique… ».
Il informe sa correspondante qu’il est souffrant depuis 3 semaines. « J’ai pris froid en travaillant à Menton. Ma femme aussi a été souffrante - Et nous avons fait venir Grenelle pour nous soigner. Nous allons mieux et nous comptons être de retour à Paris, vers le 15. S’il en est temps encore nous vous remettrons nos lots, comme d’habitude. D’ici nous ne pouvons rien… ». [Il est question probablement de dons d’œuvres, destinées à des tombolas organisées pour aider financièrement le journal « Les Temps Nouveaux »].
( signatures d'Armand LANOUX et Germaine MONTERO). LANOUX Armand.
Reference : 8269
(1957)
1957 Paris, Delpire, 1957 ; in-8° oblong , plein cartonnage crème de l'éditeur, décor rouge et en couleurs , titre en noir; 110 pp. Illustré dans le texte et à pleine page de photographies en noir et en couleurs de reproductions d'oeuvres de l'époque.
1er volume de la collection " Encyclopédie Essentielle". Première édition avec au 1er feuillet blanc, un envoi autographe signé d'Armand Lanoux et la signature autographe de Germaine Montero. Fente à la charnière du 1er plat avec très petit manque de papier en pied.( GrD)
Fayard 1985 1 vol. broché in-8, broché sous jaquette, 566 pp. Edition originale avec un envoi de l'actrice. Très bon état.
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Fayard, Paris 1985, 15,5x23,5cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire, la jaquette est absente. Signature manuscrite de Simone Signoret sur la page de faux-titre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1902 Chateauroux, Mellottée, 1902; grand in-8 broché, couverture grise imprimée en noir; (4),176pp., (3)ff. Avec Table chronologique des Lettres de 864 à 1216. Dos de la couverture jaunie et cassé, petits manques en bordure des plats.
Thèse soutenue pour le Doctorat en théologie. Envoi autographe signé de l'auteur à l'abbé Sevestre. ( CH1)
Bordeaux Editions des Nouveaux cahiers de jeunesse 1960 1 vol. broché in-8, broché, 46 pp. Envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Très bon état.
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1 vol. in-12 br., Denoël, Paris, 1960, 220 pp.
Bel envoi de l'auteur : "A Jean Delamotte dont la saine jeunesse n'a pas besoin des "Consolations romaines". Bien cordialement". Etat très satisfaisant (sans le premier feuillet blanc)
Le Castor astral, Bordeaux 2002, 14x21,5cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Iconographie. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Guy Silva à Charles Dobzynski et sa femme Eliane. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, La Colombe, 1963. 1 vol. broché in-8 de 408 p., couverture imprimée. Traces de plis à la couverture et au coin supérieur de l'ouvrage.
Avec un envoi autographe signé de l'auteur à André Maurois.
Grasset, Paris 1935, 12x19 cm, broché.
Edition originale, un des 300 exemplaires numérotés sur alfa et réservés au service de presse. Deux petites taches sur le premier plat. Envoi autographe daté et signé de Claude Silve à Alfred Fabre-Luce : "... en souvenir contradictoire d'une visite dans le midi, ce petit livre du nord sans soleil..." - Photos sur www.Edition-originale.com -