Librairie académique Perrin & Cie, Paris 1926, 12x19cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Dos insolé, agréable état intérieur. Rare envoi autographe signé d'Edouard Schuré à l'écrivain et poète Auguste Dorchain. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Librairie académique Perrin & Cie, Paris 1912, 12x19cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Dos et plats marginalement brunis, agréable état intérieur. Rare envoi autographe signé d'Edouard Schuré à l'écrivain et poète Auguste Dorchain et sa femme : "... au poète exquis, à la charmante diseuse qui forment un couple parfait. Leur admirateur Edouard Schuré." - Photos sur www.Edition-originale.com -
1 carte de visite, 18 février 1952 à Edouard Muller-Moor, journaliste à la Tribune de Genève. Il lui envoie des "critiques dont vous avez bien voulu, très aimablement vous occuper pour une publication éventuelle dans la Tribune". 1 carte postale, New-York, 14 août 1957, au même : "De l'Amérique mes pensées les meilleurs vous saluent".
Editions des Arcanes, Berne 1989, 22,5x28,5cm, reliure de l'éditeur.
Edition originale. Reliure de l'éditeur en pleine toile blanche, dos lisse. Riche iconographie. Bel exemplaire, nouq joignons deux cartons d'invitation à des expositions d'oeuvres de Claude Schürr. Envoi autographe signé de Claude Schürr à Jean-Paul et Christiane Ferrary accompagné d'un dessin les représentant. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Levallois-Perret Manya 1990 1 vol. broché in-8, broché, 128 pp., index Edition originale sans grand papier. Envoi autographe signé de l'auteur à Maurice Nadeau "c'est-y pas mieux comme ça". Très bon état.
Levallois-Perret Manya 1990 1 vol. broché in-8, broché, 128 pp., index Edition originale sans grand papier. Envoi autographe signé de l'auteur. Très bon état.
9 pages sur 9 feuillets. Encre noire, une enveloppe conservée. Déchirures sans manques aux plis d’envoi. DEUX BELLES LETTRES DAMOURINÉDITES du peintre symboliste Carlos Schwabe à la future Mme Paul Reboux. Léonne (ou Léona, ou Léone) Georges, peintre de miniatures, collabora avec l'orfèvre joaillier Robert Linzeler et conçut des décors d'éventails publicitaires. Ainsi, dans une première lettre, Schwabe lui dispense quelques conseils quant aux proportions de ses figures : Ô dites, ma charmante et vaillante artiste dont jaurais tant tant aimé emporter une petite, toute petite expression dart ; voulez-vous me permettre un conseil et cela non point parce que je vois comme cela, mais parce que logiquement dansla beauté ce doit être ainsi pour donner plus de longueur au corps humain, ce qui donne toujours plus de beauté à la ligne densemble. Je vous en prie (et pardonnez cette remarque que ne provient que de mon ardent désir de vous voir faire très beau) donnez un peu moins de longueur à vos figures ( de telle) sorte quil y ait plus de souplesse dans ligne extérieure, entre le col et la tête et ainsi vos corps seront plus élancés et forcément plus souples. Il ajoute regretter n'avoir pas toujours après de lui un autoportrait ressemblant de son "inoubliable Léonne" : Ah, javoue mon adorable Léonne que [si ce portrait] avait été un peu de ce que je vois en vous et qui est si ravissant, qui a tant de charme, je vous aurais prié en vous baisant les mains, de me le donner pour qu'il soit là, toujours près de moi,et à ce sujet, permettez moi aussi (et il faut beaucoup me permettre puisque je vous aime tant) de vous prier de ne point changer la coiffure que vous aviez lundi dernier car elle ajoute, elle complète lineffable de votre visage. Et enfin il l'enjoint prie de passer plus de temps avec lui : Et pourquoi, dites, ne puis-je vous voir que si rarement. Je sais bien que vous avez à travailler et moi bien davantage ; mais le soir venu, je serais si heureux, si profondément heureux de vous voir quelques instants et demporter dans mon coeur, un peu de tout ce qui est vous, comme une fleur. Dans une seconde lettre, Schwabe déploie toutes ses sensibilités romantiques pour faire à Léonne le récit de son amour. Déçu par une autre femme, le peintre aurait finalement trouvé l'idéal en la personne de Léonne : Javais cru voir en son visage, quelle avait une jolie âme je nai trouvé que petitesse et médiocrité et par deçu [sic] tout, latroce jalousie de me savoir plus haut quelle et ce nest que par manque de moyens que je nai pu faire deux maisons. Elle na comme vertu que celle du peuple. Jaurais certes pu souvent, nétant pas marié, me donner à des unions fortunées mais jai préféré rester dans la douleur et attendre la réalisation de mon grand et lumineux rêve qui sest affirmé à lheure où je vous vis pour la première fois. Depuis cette heure, Léonne, toute ma pensée, tout ce qui est moi, na pu vivre et agir que dans la contemplation de tout ce qui est vous et vous ai dès cet instant, adoré comme le Dante aima Béatrice. Léonne étant pauvre et ne trouvant pas de travail, Schwabe aurait tout mis en oeuvre pour lui venir en aide : quand vous avez eu besoin de gagner votre vie, ne pouvant rien par moi même, jai couru les ateliers de dessinateurs pour broderies, damassés, étoffes et papiers peints, dans la rue du Sentier, pour vous trouver des travaux et pour cela jai présenté de mes dessins de fleurs et dornementation, mais ignorant la technique du métier, à chaque porte je reçus des fins de non recevoir. Enfin, ne pouvant rien trouver, en une nuit, je pris la résolution de faire le large geste que vous savez. En cette nuit,oh ma Léonne, jai reçu les heures les plus cruelles , les plus inoubliables de mon existence; rien nest comparableà une telle douleur! Si l'on ignore la nature du "geste" en question, on peut supposer qu'il eut pour conséquence d'éloigner Léonne de Schwabe. Il plongea dans un profond désespoir ("depuis ce jour, ma vie na été quun fleuve de douleurs et quoique ayant apporté toute mon âpre énergie à comprimer la blessure, doù goutte à goutte, en de longues larmes le sang coulait, jour par jour je descendis plus avant dans la vallée des larmes") -- rien ne pouvait le consoler : quoique la destinée menvoya la Comtesse [probablementMartine de Béarn, sa mécène de 1897 à 1899],et quoique par la suite elle mincita à monter lescalier du Paradis, je ne pus profiter de cette chance qui me devait conduire à la gloire par la libre production, car toujours entre elle et moi, se dressait votre adorable souvenir et cest cela, bien plus que laffaire, qui na été quun prétexte, qui me fit rompre. Schwabe soutient ainsi que, voyageant avec des amis dans les hautes montagnes du Dauphiné, il attenta plusieurs fois à sa vie : Au lac dargent, sur les grandes roches, voyant une grande pente glissante, humectée par un ancien torrent et où les morceaux de rochers tenaient à peine en équilibre, frénétiquement je me hissai dessus et fis le mouvement de bascule pour la déplacer et glisser. Un grand cri, Michonis, Dominique et les dix guides, accouraient en gesticulant, la pierre glissait joyeuse sur la pente fatale mais hélas arrivée à quelques pas du lac glacé, elle fit un sursaut provoqué par dautres petites pierres, me fit perdre léquilibre, et pendant quelle disparaissait dans loubli, moi, je gisais au milieu de mes amis, avec seulement une cheville abimée. Dès lors, Michonis ne me laissa jamais seul, il avait deviné, et dans tout passage difficile me fit attacher au guide mais, quoique cela, je tentai encore la destinée en mettant une abeille dans loreille de la mule que je montais. La bête affolée prit un galop denfer sur le petit tertre où nous étions, maintes fois elle en frisait les bords, que la moitié de nos deux corps étaient penchée sur labîme, mais toujours de son vigilant sabot elle reprenait pied et finalement, les autres nous pourchassant, nous fumes arrêtés dans cette course à la mort. Une autre fois encore, traversant sur les rochers un torrent, je fis par un mouvement brusque glisser ma bête sur la pierre lisse et ce nest que Dominique et sa mule, qui cheminaient à côté de moi, qui perdirent pied et tombèrent dans leau jusquà lencolure, fort heureusement. Six ans s'écoulèrent avant que le peintre ne revit Léonne ; ce fut vraisemblablement l'occasion de cette nouvelle déclaration : je sentis que jallais vous revoir et quand cet étranger me dit votre nom, tout sursauta en moi, tout sillumina comme une nuit étoilée et votre apparition me troubla tant, vous le savez,que mon coeur malgré la volonté, me monta aux lèvres. Ah, je sais, je sais Léonne, que peu dâmes peuvent planer aussi haut, que peu dêtres peuvent aimer aussi magnifiquement et crois et suis convaincu que ce haut sens provient de ce que je suis le fruit du choc dun splendide amour dune adorable mère et dune grand et vaillant coeur, Duc et Pair dAngleterre. Je vous aime de tout ce sang royal qui coule dans mes veines, je vous aime de tout le haut vol de mon âme, je vous aime de tout mon cerveau ; je vous aime plus que tout au monde : je vous aime comme lArt que je porte car comme moi,vous rayonnez en moi, vous rayonnez en moi de tout le charme de ce qui est vous. Je vous aime pour léternité. Certes, je suis très pauvre encore et si je nétais preux, je serais gueux ! Mais ma destinée saccomplira ; une chance, un peu de Soleil seulement sur mon chemin et je saurais réaliser le souffle de ma pensée : je saurais monter sur la montagne des dieux, et y cueillir la rose dor dont jornerai vos cheveux. Léonne Georges épousera cependant l'écrivain et peintre français Paul Reboux. Transcription complète sur demande.
Signé par l'auteur
Paris, Bernard Grasset, "Les Cahiers Verts", 1922. In-12, broché, non coupé, 148 pp.
Edition originale. Un des 100 exemplaires numérotés sur vélin pur fil. Photos sur demande.
SCHWARTZENBERG (Léon), VIANSSON-PONTE (Pierre).
Reference : 101310
(1977)
ISBN : 2226005277
Paris Albin Michel 1977 1 vol. broché in-8, broché, 257 pp. Envoi autographe signé des deux auteurs à Jean Mauriac. Bon état.
Jolie lettre. Il lui adresse les feuilles de manuscrit promises. « Excusez-moi de les envoyer en retard. L’écriture ne s’explique que quand on sait, que j’ai hérité de ma mère la crampe des écrivains qui s’est manifestée chez moi dès l’âge de 35 ans… ».
Très intéressant document. « Les trois îles de l’Ogooué devant le village d’Igendja, à 80 km en aval de Lambaréné, en face desquelles, un jour de septembre 1915 m’est apparue l’idée du respect de la vie comme principe fondamental de la nation du bien…. ».
JR Editions, 1989. In-8 broché, couverture illustrée. Illustrations in-texte en noir de Philippe Schweizer.
Exemplaire agrémenté d'un envoi autographe signé de l'auteur-illustrateur. "Une nouvelle noire, c'est une histoire courte construite autour d'une astuce qui permet à son auteur, le moment venu, de la retourner comme une crêpe en abandonnant ses personnages, et si possible ses lecteurs, médusés par un coup de Jarnac imprévisible mais cohérent, pressenti dans une atmosphère lourde d'angoisse ou chargée d'espoir. L'effet boomerang étant le dérapage à la fois le plus classique et le plus riche du genre, le présent recueil se devait, par son titre, de rendre hommage à cet inépuisable mécanisme."
4p. oblongues in-12, Paris, mercredi [1889]. Très belle lettre sur Monsieur Vénus. “Vous aviez raison — j ’ai été terriblement mystifié. La préface de Barrès m’avait mis en garde — mais tout de même je me suis laissé aller — c’est si gentil. Monsieur Vénus — vous savez que ce n’est pas un livre compromettant — mais affreusement dangereux. Il est vraiment trop séduisant, votre jeune homme, avec sa dorure de soleil sur la peau, son cou et ses mollets. Je m’arrête pour ne pas dire de sottises. Je ne déteste pas Raoule mais j ’aime mieux Jacques — ce qui est affreux et contraire à la morale. Vous me permettrez maintenant de dire, même après Barrès, que votre livre est un chef d’œuvre de perversité toute autre ; — que je saurais le comparer aux livres du XVIIIe siècle qui satisfont tous la curiosité. Ce que le vôtre a d’admirable, c’est qu’il la laisse inépuisée et haletante. C’est un grand mystère de cœur et de chair — et comme tous les mystères, on le désire beaucoup et on ne s’en lasse point. Ce livre m’a compromis vis-à-vis de moimême au point que ce brave de Raittolbe m’est bien insupportable — je suis presque jaloux de cet affreux être à moustaches pommadées qui ne comprend pas les choses. Je crois que je couperai dans le livre les pages où il est question de lui — afin de pouvoir le relire avec toujours le même charme. Pourquoi cet abominable individu braque-t-il un revolver sur Jacques qui devait être si adorable en femme ? (…) Mais voilà une lettre inconvenante au plus haut point. Vous voudrez bien vous souvenir que je parle à l’auteur de Monsieur Vénus et qu’il faut aussi que vous portiez la peine de m’avoir mystifié par un supplice de Tantale”. Il l’assure de toute son admiration et de ne pas l’oublier auprès de monsieur Vallette…
Phone number : 33 01 48 04 82 15
1 p. in-8 sur un double feuillet vergé “Rye Mill”, Paris, “11, rue St Louis en l’ile” 28 décembre 1904. “J’ai oublié parmi les femmes auteurs de nommer et de dire que j’admire - Mme Rachilde - et n’oubliez pas aussi Léon Bloy et Laurent Tailhade, deux puissants satiriques et magiciens du verbe...”
Phone number : 33 01 48 04 82 15
Mercure de France, Paris 1903, 11,5x18,5cm, relié.
Edition originale publiée sous le pseudonyme de Loyson-Bridet, un des exemplaires de première émission portant, à la justification du tirage, la vignette personnelle de Schwob : une oie tenant une plume dans son bec. Reliure en demi maroquin marron, dos à cinq nerfs sertis de filets noirs, date dorée en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure de l'époque signée de Moens. Trois coupures de presse et une étiquette de description de libraire encollées en tête du volume sur les gardes blanches. Précieux envoi autographe signé de Marcel Schwob, sous son pseudonyme de Loyson-Bridet, à Lucien Descaves. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Mercure de France, Paris 1903, 11,5x18,5cm, relié.
Edition originale publiée sous le pseudonyme de Loyson-Bridet, un des exemplaires de première émission portant, à la justification du tirage, la vignette personnelle de Schwob : une oie tenant une plume dans son bec. Reliure en demi chagrin noir, dos lisse orné de motifs floraux et typographiques dorés, petits frottements sur le dos, éraflures sur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, coins émoussés, reliure de l'époque. Une petite tache en pied de la page de titre et sur la page en son regard. Envoi autographe signé de Marcel Schwob, sous son pseudonyme de Loyson-Bridet : "A Emile Despax, son ami. Loyson Bridet." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Plon, coll. "le Roseau d'or" 1928 1 vol. broché in-12, broché, 367 pp. Edition originale. Un des 112 exemplaires sur Lafuma de Voiron, celui-ci hors commerce marqué E.P. et enrichi d'un bel envoi autographe signé de l'auteur à Paul Valéry "dont le nom ne revient si souvent dans ce livre que par l'effet d'un long et cher envoûtement / avec l'admiration du rebelle affectueux René Schwob, 19/11/28". Complet du prière d'insérer. En très belle condition.
Photo avec dédicace autographe signée. Superbe et très grande photo portant une dédicace au docteur Lucien-Marie Pautrier. Elle est datée de janvier 1936. (39,5 x 25,5 cm). Très rare de ce format
3 L.A.S. au père Ingold : 21 juillet 1910, 25 février 1910 et 18 avril 1921. Très bon Tarbes et Lourdes
SCIASCIA (Leonardo) écrivain et homme politique italien (1921-1989)
Reference : 98C27
Belles lettres. Il accepte très volontiers l’invitation relative à des conférences, qu’il souhaiterait sous la forme de dialogue ou d’un débat, de préférence en mai. Turin en priorité et Naples pour finir. A cet effet, il lui retrace son parcours littéraire ainsi que ses 78 publications : « Favole della dittatura » en 1950, « La Sicilia, il suo cuore » et « Pirandello e il Pirandellismo » en 1953, « La parrocchi di Regalpetra » en 1956, « Gli zii di Sicilia » en 1958, « il giorno della civetta » en 1961, « Pirandello e la Sicilia » en 1961, « Il consiglio d’Egitto » en 1963, « Morte dell’Inquisitore » en 1964. Enfin, il ajoute de sa main quelques lignes. Il lui enverra sous quelques jours son dernier livre, et lui conseille de s’adresser à son éditeur Einaudi, afin d’obtenir une photo de lui. Il en détient de nombreuses, prises par un américain.
Les deux lettres
Editions Gallimard 1931. In-12 broché de 174 pages au format 16,8 x 11 cm. Couverture avec titre imprimé. Dos carré. Plats et intérieur frais. Exemplaire non coupé. Excellent texte d'anticipation. Un des 874 exemplaires numérotés sur vélin destinés aux amis de l'édition originale ( n° 115 ). Edition originale en superbe état de fraicheur, proche du neuf. Précieux exemplaire enrichi d'une lettre tapuscrite, signée par André Maurois, sous enveloppe, destinée à M.Léger, Administrateur des Colonies Dochang, Camerou, Afrique. la lettre est datée de 1928.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres
[Sciences] Gergonne, Joseph ; de Serres, Marcel ; Ollier, Prosper.
Reference : 10181
(1820)
signé par Joseph Gergonne, doyen, et Marcel de Serres, secrétaire, délivré à Prosper Ollier, étudiant en Médecine, né aux Vans en Ardèche, en 1799 ; à Montpellier, le 21 novembre 1820 (in-8, 1 p.), cachet humide ovale de l'Académie de Montpellier.
Concentration de 3 signatures prestigieuses : Joseph Gergonne (1771-1859), célèbre mathématicien spécialiste de géométrie projective, professeur d'Astronomie, créateur de la première revue de mathématiques : "Les Annales de mathématiques appliquées". Marcel de Serres, professeur de Géologie à Montpellier et un des "découvreurs" de l'ère quaternaire, il favorisa la découverte de nombreuses cavernes à ossements ; il a laissé une quarantaine d'ouvrages importants. Prosper Ollier, ici étudiant, mais futur médecin aux Vans en Ardèche et père de Louis Xavier Ollier (1830-1900), né aux Vans, chirurgien mondialement célèbre, fondateur de la chirurgie réparatrice osseuse ; le premier, il comprit le rôle de fabricant d'os du périoste.
Phone number : 06 60 22 21 35
première partie du XVIIIème siècle. 2 volumes in-4 de [2]-614-[7] et [2]-435-[3] pages, calligraphie soignée, parfaitement lisible, plein veau marbré, dos à nerfs, caissons ornés de fleurons dorés, étiquettes de titre et tomaison en maroquin rouge et vert, tranches rouges.
Très important manuscrit de par son étendue - de plus de mille pages - sa complétude - 425 familles sont détaillées, 167 blasons ont été collés (parfois dessinés) - ainsi que par de très abondantes notes dans les marges, à l’encre rouge réalisées en 1868 d’après «l’exemplaire de la bibliothèque de Marseille annoté par Faucon & coté Aa 15bis, in-4 2 vol. manuscrits». De toutes les copies manuscrites de ce texte passées en vente publique ces dernières années, cet exemplaire semble être le plus abouti, le plus soigneusement rédigé. L’annotateur de 1868 a laissé son monogramme, que votre serviteur n’a su déchiffrer. Le premier volume s'ouvre sur le détail de l'ouvrage:«Cette critique contient l’épurement de la noblesse du pais de Provence; la différence des gentilshommes de sang, d’origine, de nom et d’armes, d’avec les noble de races, anoblis, et de la noblesse de robe; la différence sur les diverses espèce de noblesse. Les notes sur les diverses familles éteintes dont d’autres ont pris le noms et les armes. Les observations sur les usurpateurs de la noblesse, que l’auteur du Nobiliaire a employés comme véritables gentilshommes. Les moyens pour éviter les usurpateurs et le mélange dans la noblesse et pour finir une fois pour toujours les recherches contre les véritables nobles. Le catalogue des gentilshommes de sang, de nom et d’armes et celuy des nobles de robe, et celuy des familles éteintes, le tout par ordre alphabétique. Avec une table sommaire des matière contenues dans cette ouvrage. L’abregé de l’histoire des juifs en Provence. Le catalogue des nouveaux chrétiens de race judaïque dans ce pais avec les observations pourquoy ils sont en si grande horreur. »Ce texte à circulé sous le manteau durant la première partie du XVIIIème siècle, l’auteur y met l’accent sur la supériorité de la vielle noblesse et dénonce la corruption de l’argent et les innovation sociales. Il refuse de juger la noblesse en fonction de la fortune. Le texte de Barcilon de Mauvans est précieux en ce qu’il lève un coin du voile qui recouvre les sentiments identitaires de cette vieille noblesse appauvrie et oubliée au fond des provinces. A consulter : «Modernité et déclassement social. Barcilon de Mauvans, interprète de la dérogeance de noblesse» de Valérie Pietri in Cahiers de la Méditerranée, 69/ 2004: Être marginal en Méditerranée (XVIe-XXIe). [vol. premier] 55 blasons et 231 famillesp. 1 Critique du Nobiliaire de Provencep. 3 Remontrances faites au Roy sur les désordres qui sont survenus en la Cour du parlement de Provence a cause des grandes parentés et alliances des Neophites en l’année 1611. p. 20 Lettre des Juifs de Provence au Satrape et grand Rabin de Constantinople datée du 13... 1489. a. 21 Réponse du grand Satrape... p. 23 Extraits des archives de sa majesté aux pais de Provence et du registre Veritasp. 45 Imposition de six mille livres faite par Louis Douze Roy de France sur les nouveaux Chrestions dits Neophites de Provence, avec cottisation par eux faite. p. 56 Rolle[sic] des familles qui sont venues habiter dans la ville d’Aix depuis la [?] cotisation, qui ont été baptisées depuis l’année 1518 et suivantes, ainsi qu’il conste [?] des procès verbaux de leur baptèmes insérés dans les écritures. - Dalardy et Dougier de l’année 1620 anciens notaires de lad. ville. p. 59 Teneur de l'arrêt donné par la cour du parlement en faveur des denommées cy-après. p. 62 Attestation des commissaires nommés pour prendre le Rolle [sic] des Neophites de Provence et le remettre fidellement aux archives de l’ordre de St. Jean de Jérusalem de Malthe. p. 64 Copie de l’ordonnance rendue a Malthe contre les neophites ou nouveaux Chrestiens. p. 68 Suit la critique du Nobiliaire de Provence de Mr. Labé [sic] Robert. a. 148 [ici commence la liste des familles, classées par ordre alphabétique qui se termine p. 614]4 ff. [non chiffrés contenant la] Table des noms des familles contenues dans ce premier volume. [vol. second] 112 blasons et 194 famillesp. 1 à 414 [liste des familles, classées par ordre alphabétique] a. 415 Sobriquets des plus nobles familles de la province trouves dans les archives du Roy René l’an 1480. p. 417 Table des noms des familles contenues dans ce second volume. p. 423 Catalogue des familles nobles de sang et d’origine. p. 424 Catalogue des nobles de sang de nom et d’armes. p. 425 Catalogue des nobles de Race. p. 427 catalogue des nobles de Robe. p. 428 Catalogue des annoblis avec la datte des letres patentes de leur annoblissementp. 429 Catalogue des familles éteintes. p. 431 à 435 [complément des notices des familles Riqueti de Mirabeau, Thomas, Thomassin et Valbelle, par l’annotateur du 19e, à l’encre rouge].
1953 Paris, La Table Ronde, 1953. in-8°, 167 pages, ill. hors texte broche, couverture illustree , bel exemplaire non coupe. envoi de l'auteur a rene wilmet
SCIZE Pierre - (Michel-Joseph Piot dit) - Pont-de-Chéruy 1894 - Melbourne 1956 - Journaliste et écrivain français
Reference : GF24288
9 pages in8 - quelques ratures et corrections - Quelques petits accrocs marginaux sans manque de texte -
Beau texte sur "Madame Colette - car je n'approuve guère ces façons dont s'autorise le premier venu, dappeler Colette tout court, un des premiers écrivains de ce temps, comme s'il avait avec elle gardé jadis les vaches de la Puisaye"....- Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -