‎LETTRE AUTOGRAPHE A PIERRE BEARN.‎

‎ Un feuillet 170 x 118 mm rédigé au recto, en tout une douzaine de lignes datées du 17.12.1955. « Cher Pierre. Voici la photo demandée. C’est tout ce dont je dispose – où je n'ai point trop l’air d'un assassin ! J'espère qu'elle fera l'affaire. (…) Très amicalement. (…) si possible, envoie-moi un exemplaire de ton article ou signale-moi le n° »‎

‎Jean-Claude Renard.‎

‎Paris Seghers, coll. "Poètes d'aujourd'hui" 1966 1 vol. broché in-16, broché, couverture illustrée d'un portrait, 190 pp., planches hors-texte. Envoi autographe "Admiratif hommage de A. A. et J. C. R.". Très bon état.‎

‎Lettre Autographe Signée à Pierre Béarn - Le 25 février 1954 -‎

‎ 2 pages et demi in8 - bon état -‎

‎Il le remercie de sa proposition et souhaite le rencontrer "étant assez ignorant de ce qu'il peut convenir de dire pour interesser les auditeurs" - Il l'invite s'il ne craint pas "la rougeole dont [ses]deux fils sont en ce moment affublés" - Il laisse son adresse rue Michel Ange à Paris et un plan-croquis - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

‎Lettre Autographe Signée à Pierre Béarn - Le 9 février 1955 -‎

‎ 1 page in8 - bon état -‎

‎Il demande le retour de coupures de presse le concernant - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

‎Billet autographe signé adressé à Willy dans lequel il le considère comme un bon critique littéraire mais surtout comme un ami‎

‎Paris 1896, 11,5x9cm, une feuille.‎

‎Billet autographe signé de Jules Renard adressé à Willy depuis son domicile parisien, 8 lignes à l'encre noire. "Le 24 Mars 1896, c'est vous, mon cher Willy, qui êtes adorable. Ne répliquez pas. Je m'y connais. Je distingue très bien un ami d'un critique littéraire et Willy de M. Doumic. Votre reconnaissant Jules Renard." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Carte autographe signée [à Tristan Bernard], sd. ‎

‎ Carte de visite, 6 X 10 cm.‎

‎“Gisant au fond du puits des paresseux, embrasse le Jao, Ramet et le [Tiennette ?] et leurs maman et leurs papa bien gentils. Il me tarde de vous revoir. Quand rentrez vous ? Nous fin septembre. Il faudra bien tous les jours de nos amis pour me remonter. Que de pièces ! Que de pièces !” Ramet est le petit nom de Raymond Bernard. Bon état d’occasion ‎

‎Carte de visite autographe adressée à son ami Camille de Sainte-Croix‎

‎Paris s.d. [ca 1900], 13x9cm, une carte de visite.‎

‎Carte de visite imprimée de Jules Renard sur laquelle il a ajouté ces quelques mots à l'attention de son ami Camille de Sainte-Croix : "Comme c'est loin déjà, l'écornifleur ! et il me semble, mon cher Camille de Sainte-Croix, que votre amitié n'a pas changé, ni la mienne. Cela tient sans doute à ce que nous sommes des maris modèles." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Coquecigrues‎

‎Paul Ollendorff, Paris 1893, 12x19,5cm, relié.‎

‎Edition originale sur papier courant. Reliure à la bradel en demi percaline amande, dos lisse très légèrement passé orné d'un fleuron typographique doré, double filet doré en queue, pièce de titre de chagrin rouge, plats de papier marbré, couvertures conservées, premier plat de couverture comportant de petites taches sans gravité en tête, reliure de l'époque. Provenance : bibliothèque Jean Ajalbert avec son ex-libris japonisant dans le style des Nabis gravé sur bois à tout petit nombre, signé d'un monogramme, probablement celui de Félicien Rops. Précieux envoi autographe signé de Jules Renard à Jean Ajalbert. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎L.A.S. de Jules renard, 1 page in-12 (165 x 123), adressée à Gustave Coquiot le 26 juin 1902.‎

‎Brève lettre dans laquelle Jules Renard répond à Gustave Coquiot qui souhaitait être introduit auprès de Sacha Guitry : « Cher Monsieur Gustave Coquiot, je serais heureux de vous être agréable ; mais s’il ne s’agit que de vous adresser à Guitry, je n’ai rien à faire. Vous risquez seulement qu’il vous prie d’attendre, car je le crois très occupé ! mais à cela, je ne pourrais rien ! »La missive est expéditive, les mots à leur juste place.Pliures.On joint :L.AS. du même, 1 page in-8 (172 x 135), à un « Cher ami » le 26 avril 1902.L’auteur de Poil de Carotte accepte une invitation : « C’est donc avec plaisir que j’accepte votre aimable invitation pour jeudi prochain. Vous voudrez seulement m’excuser si je vous quitte d’assez bonne heure car je suis au régime sévère. » ‎

‎Lettre autographe signée adressée à Charles Mendel‎

‎Paris 26 janvier 1909, 11,4x17,4cm, une page 1/2 sur un feuillet remplié.‎

‎Lettre autographe signée de Jules Renard adressée à Charles Mendel, rédigée à l'encre noire sur un papier à en-tête de la rue du rocher. Quelques pliures transversales. Amusante lettre dans laquelle l'écrivain sollicite une remise auprès d'un libraire : "Voulez-vous avoir la nouvelle allégeance de me céder le volume desComédiesmoyennantmille francsque je renverrais à votre caisse avec l'exactitude que vous me connaissez. [...] ce ne serait pas pour vous un grand sacrifice." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Lettre autographe signée adressée à Gabrielle Réval‎

‎Chaumot (Nièvre) 4 juin 1900, 13,8x21,3cm, une feuille.‎

‎Lettre autographe signée de Jules Renard adressée à Gabrielle Réval. Une page et demie rédigée à l'encre noire sur un papier à en-tête de la "Gloriette" résidence nivernaise de l'écrivain. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Belle lettre à cette consoeur écrivaine avoquantPoil de Carotte : "Je suis au moins aussi content que vous. Certes, je n'avais pas oublié le manuscrit où Poil de Carotte était si bien compris, - et aimé - j'avais oublié la signature."Il évoque le livre de Gabrielle Réval : "Et tant mieux ; car j'ai lu les Sèvriennes et non le livre d'une amie de Poil de Carotte. L'auteur seul a plu, le lecteur seul a été touché. Il y a de belles réussites, vous le voyez, madame." Jules Renard jouit déjà à cette époque d'un succès considérable : "Il me répugnerait de jour auvieux maître, sachez pourtant que j'ai déjà reçu bien des livres, écrit bien des lettres (en quelle proportion par politesse ? je ne sais plus) mais aucune ne fut plus spontanée que celle dont vous me remerciez aimablement."La lettre très élogieuse dont il est ici fait allusion est conservée à laMédiathèque Jean Jaurès de Nevers et a été écrite par Renard quelques jours avant la nôtre : "Ce n'est pas l'auteur des Sévriennes que je remercie, c'est vous. C'est grâce à vous que j'ai lu, par cette froide fin de mai, entre la première rose de mon jardin et les dernières flammes de ma cheminée, un beau Livre." Gabrielle Réval fut l'une des cofondatrices du prix de laVie heureuse qui deviendra plus tard leprix Femina. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Lettre autographe signée, sd (ca 1897)‎

‎sl. 1897 11 X 17,5 cm. 1 page.‎

‎“Mon cher auteur romanesque, l’état de mon père est presque satisfaisant, et cette réunion de famille (bien rare) ayant perdu un peu de sa nécessité, je pense rentrer dimanche soir à Paris - définitivement ou non. Et Tristan sera un misérable s’il ne vient pas me voir lundi matin. J’ai reçu votre mot mercredi. Etant donnée votre âme basse et envieuse, je considère que “vos trois “poèmes” ont produit beaucoup d’effet” est l’expression affaiblie d’un magnifique triomphe. Merci tout de même et à bientôt.” On sait l’amitié difficile, mêlée d'envie, liant Jules Renard et Edmond Rostant à qui semble s’adresser ce billet aigre-doux. Bon état d’occasion ‎

‎Le vigneron dans sa vigne‎

‎Mercure de France, Paris 1894, 9x14cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre sur vergé. Signature datée manuscrite de l'auteur. Joint une coupure de presse qui a laissé une ombre sur les pages de garde et de faux titre. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Le vigneron dans sa vigne.‎

‎ 1894 Pars, Mercure de France, (1894); in-16 broché, de 76pp.; couverture rempliée beige, titre en vert et rouge et noir au 1er plat, étui cartonné, dos de chagrin vert sombre, titre doré. Texte composé à chaque page de deux parties séparées par un filet typographique vert, occupé dans le tiers supérieur, imprimées en petits caractères de citations extraites du “Voyage d'un homme heureux" de Jules Janin, et dans la partie inférieure les textes de Jules Renard, sont de courtes histoires pleines d'esprit. Rare ouvrage tiré à petit nombre sur papier vergé.Envoi autographe signé de Jules Renard.‎

‎Dos de la couverture bruni en pied, quelques petites rousseurs à la couverture, sinon bon exemplaire.(Reu-Ch1) ‎

‎Nos frères farouches - Ragotte‎

‎Fayard, Paris 1907, 13x18cm, broché.‎

‎Edition originale, un des exemplaires numérotés sur Hollande, seuls grands papiers. Bel envoi de Jules Renard sur la page de faux-titre. Dos et plats marginalement passés comme souvent, deux petites déchirures en pied des mors, sinon bel exemplaire à toutes marges. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Poil de Carotte.‎

‎Paris, Ernest Flammarion, (1894) ; in-18 (178 x 118 mm) ; demi-maroquin rouge à coins, dos à nerfs, titre doré, couverture illustrée par Félix Vallotton conservée, tête dorée sur témoins (reliure postérieure) ; (8), 276 pp.‎

‎EDITION ORIGINALE rare avec la carte de visite de l’auteur et un ENVOI "bien amical merci de 'Jules Renard' à Paul Marieton". Cette édition originale comprend 43 chapitres et l’Album de Poil de Carotte ; cinq chapitres seront ajoutés lors de la réédition illustrée par Vallotton en 1902. Petite tache claire à l’intérieur du second plat de couverture sinon très bel exemplaire. ‎

‎Poil de Carotte‎

‎Paul Ollendorff, Paris 1900, 14x19,5cm, relié.‎

‎Edition originale, sur papier courant, de l'adaptation théâtrale du chef-d'oeuvre de l'auteur. Reliure à la bradel en plein papier à motifs moirés, dos lisse, pièce de titre de maroquin moutarde, couvertures comportant des restaurations marginales conservées, reliure signée de Thomas Boichot. Agréable exemplaire joliment établi. Envoi autographe signé de Jules Renard à Xanrof. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Ragotte (Nos frères farouches).‎

‎Paris Fayard, coll. "Les Livres Nouveaux" 1907 in-12, broché, non rogné, 305 pp. Edition originale. Un des 200 exemplaires numérotés sur Hollande, ayant appartenu à Henri Bachelin si l'on en croit le joli billet autographe signé de l'auteur joint (une page in-16 datée du 10 février 1909, avec une petite barrière gravée à l'en-tête sur laquelle figure l'adresse de l'écrivain, La Gloriette, à Chaumot par Corbigny, dans la Nièvre) : "Mon cher Bachelin, Vous voyez où je reçois votre mot. Il y a de l'eau jusqu'à la barrière. J'ai mis de côté pour vous un exemplaire de "Ragotte" sur beau papier. Vous me le réclamerez à la rentrée. Travaillez bien. Jules Renard"‎

‎Lettre autographe signée à [Paul Reboux]. Paris, 19 novembre 2022. 1 pp. in-8. ‎

‎Belle lettre. « Je vous remercie, cher Monsieur, de votre "Vient de paraître" C’est un livre de bon sens et de goût. Le chapitre sur Gyp m’a bien amusé, mais il n’est pas le seul qui m’ait plu. Je suis heureux de votre sympathie littéraire et vous prie de croire à la mienne ».‎

‎Carte autographe signée à Henry Simond, directeur de publication de « l’Echo de Paris ». 1 p. in-12. Paris, 18 février 1893. ‎

‎« Merci pour l’insertion de la note sur "Coquecigrues". Je n’ai vraiment qu’à me louer de vos procédés. Vous devez avoir reçu mon livre … ». ‎

‎L'enquête sur la marine marchande‎

‎Charles Douniol, Paris 1863, 16x25cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part du Correspondant. Envoi autographe de Léon Renard en tête du premier plat, enrichi d'une seconde signature autographe de l'auteur un peu plus bas. Plats tachés en pied, petites rousseurs intérieures, une pâle mouillure marginale sur la page de faux-titre. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Notre pain quotidien‎

‎Association des écrivains belges & Dechenne & Cie, Bruxelles 1909, 13,5x20,5cm, relié sous étui.‎

‎Edition originale illustrée de dessins in-texte de l'auteur. Reliure en demi chagrin bleu marine à coins, dosà quatre nerfs sertis de guirlandes dorées orné de motifs typographiques dorés, frises dorées en tête et en queue, encadrement de doubles filets dorés sur les plats de papier à la cuve, gardes et contreplats de papier à la cuve, premier plat de couverture conservé, ex-libris encollé sur un contreplat, étui souple en plein papier à la cuve comportant de petits frottements marginaux. Notre exemplaire est enrichi de deux dessins originaux de Marius Renard correspondant aux illustrations des pages 110 et 261, les dessins sont encollés sur des feuilles cartonnées bleu-gris. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎La jeune fille du yacht‎

‎Georges Crès & Cie, Paris 1930, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant. Envoi autographe signé de Maurice Renard à Albert-Jean et sa femme. Une petite déchirure en pied du dos, légères rousseurs aux versos des plats. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎[ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Libert grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillais de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".‎

‎4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".‎

4 Images

‎Beau poème autographe signé de Maurice Renard (1875-1939), l'écrivain à succès de nombreux romans fantastiques et de science-fiction, parmi lesquels le célèbre ouvrage "Les Mains d'Orlac". Dans le présent poème manuscrit, il évoque la mort tragique du dauphin Louis-Charles de France (1785-1795), connut comme "Louis XVII", et le poids de ce crime sur la conscience de la Nation... Bon tat (petites fentes en pliures)‎

‎Contes du Val-de-Saire [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur ]‎

‎Quinze dessins originaux de Huguette Renard, 1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane rouge, couv. cons., Hors Commerce, Imprimerie Caron, Caen, 1955, 272 pp.‎

7 Images

‎Le Val de Saire est un petit territoire normand de la péninsule du Cotentin situé à la pointe nord-est du département de la Manche. Etat satisfaisant (rel. frottée) pour cet exemplaire enrichi d'un envoi autographe de l'auteur. ‎