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‎RATISBONNE Louis - (Strasbourg 1827 - Paris 1900) - Ecrivain et critique français‎

Reference : GF16189

‎Lettre Autographe Signée à une demoiselle - le 2 aout 1869 -‎

‎ 1/2 page in4 - bon état -‎


‎Envoi de son livre:"Les Figures Mortes" - "Je ne puis mieux l'adresser qu'à la Bonté, une figure immortellement jeune" - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

Galerie Fert - Nyons

(SNCAO)

Phone number : 33 04 75 26 13 80

EUR70.00 (€70.00 )

‎RAT Maurice‎

Reference : 33420

(1955)

‎Dames et bourgeoises amoureuses ou galantes du XVIè siècle‎

‎Plon, Paris 1955, 14,5x19,5cm, broché.‎


‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Envoi de l'auteur. Piqûres sur le dos et le premier plat, agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR20.00 (€20.00 )

‎RAT, maurice.‎

Reference : c6071

‎Le Livre et le Troène.‎

‎ Poitiers, Imprimerie Marc Texier, 1938 ; plaquette in-8° brochée, couverture rempliée crème imprimée en noir, dos muet ; 23pp., (1)f.Seconde édition. 1 des 100 exemplaires sur papier Mongolfier, non mis dans le commerce, n°84.‎


‎Envoi autographe signé de Maurice Rat à Alain Gueulette "... ce petit livre écrit jadis en hommage à Tristan Derème...", daté du 11 mars 1945. (CO1) ‎

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EUR45.00 (€45.00 )

‎RATTAZZI (Marie Lætitia)).‎

Reference : AMA-473

‎Lettre autographe signée.‎

‎ s.d. 1 p. in 12, sur papier à son chiffre couroénné. ‎


‎ «Mon cher Mr Michel, Amenez votre ami, présenté par vous, vous savez qu’il sera le bienvenu. Venez jeudi soir, j’aurai quelques amis aussi…»‎

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EUR100.00 (€100.00 )

‎RATTAZZI (Marie Lætitia)).‎

Reference : AMA-474

(1866)

‎Lettre autographe signée à Edouard Fournier, ‎

‎ s.d. [1866 ?]. 1 p. in 8°, sur papier à son prénom gravé en rouge, enveloppe. ‎


‎ «Permettez-moi, monsieur, de vous offrir le nouveau volume que mon éditeur Cadot vient de faire paraître et sur lequel, mes amis, pour cmmencer par Ste Beuve fondent beaucoup d’espérances… Je reste chez moinon pas pour y donner des soirées mais simplement je recevrai mes visites et avec un jour où l’on soit sûr de me rencontrer le Lundi soir…»Née Bonaparte-Wyze, Marie Rattazzi (elle épousa en secondes noces l’homme d’État italien Urbain Rattazzi) était la cousine de Napoléon III et l’enfant turbulente et très mal vue de la famille impériale. Elle laisse une importante œuvre littéraire. ‎

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‎RAUH F.‎

Reference : 24849

(1899)

‎De la méthode dans la psychologie des sentiments‎

‎Félix Alcan, Paris 1899, 14x23cm, relié.‎


‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Reliure en demi basane rouge, dos lisse orné d'un motif floral doré, septuples filets à froid en tête et en pied du dos comportant de petites traces de frottements, pièce de titre de chagrin tête de nègre comportant un manque angulaire, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, reliure de l'époque. Envoi de F. Rauh à son confrère Mr. Rodier, professeur de philosophie à l'université de Bordeaux. Exemplaire exempt de rousseur. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎RAUH Frédéric‎

Reference : 26806

(1903)

‎L'expérience morale‎

‎Félix Alcan, Paris 1903, 14x23cm, relié.‎


‎Edition originale. Reliure en demi basane chocolat, dos lisse comportant des traces de frottements orné de quintuples filets dorés, pièce de titre de basane tête de nègre, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couverture conservée, reliure de l'époque. Envoi de Frédéric Rauh, philosophe socialiste et proche ami de Jean Jaurès, à un professeur de l'université de Bordeaux. Agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎RAVACHOL François Claudius Koënigstein, dit‎

Reference : 73438

(1892)

‎Testament politique autographe signé de Ravachol en grande partie inédit‎

‎1892, 20x29,5cm, 4 pages sur un double feuillet.‎


‎Exceptionnel manuscrit autographe complet signé du véritable testament de Ravachol - en grande partie inédit - inconnu sous cette forme, précédant sa réécriture par un tiers pour la publication dans la presse. Unique témoignage de la véritable pensée de l'icône de l'anarchie. Manuscrit de quatre pages in-4 lignées, entièrement rédigé à l'encre noire et doublement signé «Konigstein Ravachol» en pied de chaque feuillet. Corrections au crayon de papier dans le texte, peut-être de la main de son avocat. Quelques pliures transversales et très infimes déchirures marginales sans manque. Écrit en cellule durant le second procès de Montbrison qui mènera à sa condamnation à mort, ce texte, rédigé d'une écriture hâtive, sans ponctuation ni majuscules et à l'orthographe naïve, devait être prononcé par Ravachol lors de l'audience. «Ravachol avait une sacrée envie de coller son grain de sel dans la défense, non pour se défendre, mais pour s'expliquer. Y a pas eu mèche, nom de dieu ! à la quatrième parole, le chef du comptoir lui a coupé le sifflet. Sa déclaration n'est pas perdue, nom d'une pipe ! ». (Émile Pouget, in Père Peinard 3-10 juillet 1892). Le Rocambole de l'anarchisme ne sera en effet pas autorisé à déclamer son texte, mais il le remettra à son avocat Maître Lagasse et, dès le 23 juin, la déclaration interdite se retrouvera reproduite dans le journalLe Temps. Cette première parution dans un journal conservateur se veut fidèle au texte original jusqu'à reproduire l'orthographe fantaisiste de son auteur. Ce souci d'exactitude sera d'ailleurs dénoncé par Émile Pouget dans le Père Peinard du 3 juillet 1892, une semaine avant l'exécution de Ravachol: «Le Temps, le grand drap de lit opportunard l'a collée nature. En vrai jésuitard, il l'a même collée trop nature. Ravachol avait écrit le flanche pour lui; il savait comment le lire, - mais y avait pas un mot d'orthographe, vu qu'il se connait à ça, autant qu'à ramer des choux. Le Temps a publié le flambeau sans rien changer, de sorte que c'est quasiment illisible [...]. C'est ce que les jean-foutre voulaient, nom de Dieu! [...] Je colle ci-dessous, sans y changer un mot, m'étant contenté d'y mettre de l'orthographe.» Suit, dans ce même numéro du 3 juillet 1892, la reproduction exacte, mais sans les fautes, du discours initialement publié dans Le Temps. Cette double publication associée à la noble attitude de Ravachol devant la guillotine aura un impact considérable sur l'opinion publique. En effet, même les organes anarchistes avaient jusqu'à lors conservé une certaine distance avec ce criminel provocateur accusé d'utiliser la cause anarchiste à des fins crapuleuses. Mais après l'exécution, ce testament sera rapidement repris par de nombreux autres journaux et l'ultime cri de révolte de Ravachol deviendra bientôt un véritable hymne de l'anarchie pour les libertaires de toutes nations. Pourtant, la version reproduite par ces journaux, seule connue à ce jour mais dont la source manuscrite a disparu, diffère sensiblement du manuscrit en notre possession. En effet, le style a été légèrement amélioré, quelques tournures ont été arrangées, et surtout, de larges passages ont été supprimés, dont le paragraphe de conclusion qui a été entièrement remplacé. Notre manuscrit, comportant des ratures et des reprises semble ainsi être, à tout le moins, la version primitive de ce testament politique. Écrit d'une traite, d'une graphie compacte, sans ponctuation, ni paragraphe, ce manuscrit comporte deux longs passages révélant des préoccupations de santé publique totalement absentes de la version publiée. La première concerne un long passage, d'un tiers de feuillet, sur les «ingrédients dangereux» adjoints à la fabrication du pain: «n'ayant plus besoin d'argent pour vivre, plus de crainte que le boulanger introduise dans le pain des ingrédients dangereux pour la santé et dans l'intention de lui donner une belle apparence ou le rendre plus lourd puisque cela ne lui rapporterait rien et qu'il aurait comme tout le monde et par le même moyen la facilité de se procurer les choses nécessaires pour son travail et son existence. On aurait pas à contrôler si le pain a bien le poids, si l'argent n'est pas faux, si le compte est bien exact.» La seconde, bien plus longue que la première (presque une page entière), concerne l'industrie de la teinture de la soie dont Ravachol fut un modeste ouvrier: «Eh bien que l'on se rende compte attentivement de toutes les matières perdues et des forces qu'il a fallu dépenser pour les produire, on comprend qu'on a travaillé inutilement à produire toutes ces drogues et à les fixer sur la soie qui est brûlée par l'excès de toutes sortes d'ingrédients dont la manipulation est dangereuse pour les ouvriers et dont la soie sera devenue entre leurs mains une chose dangereuse à mettre en contact avec la peau et par les poussières que produisent en séchant l'excès des drogues.» La suppression de ces parties, dont la longueur témoigne de l'importance qu'elles revêtent dans l'esprit de l'auteur, n'est sans doute pas anodine et modifie profondément la réception du discours. Contrairement à la version connue, le manuscrit est ainsi centré sur le bien-être des individus et la santé publique, mais surtout il s'appuie sur l'expérience personnelle de son auteur, sa condition d'ouvrier de la soie, qui constitue une des principales sources de la réflexion de Ravachol et de sa conscience politique. L'autre manuscrit connu de Ravachol (aujourd'hui disparu mais reproduit à l'époque dans le journal républicain L'Écho de Lyon) comporte également une longue digression sur le processus de fabrication de la soie et ses conséquences sur la santé des ouvriers. Or le discours publié par la presse ne fait aucune mention de cette activité fondatrice de l'engagement de Ravachol, qui conclut son manuscrit. Au contraire, à ce long paragraphe prosaïque se substitue une superbe mais étonnante plaidoirie, dont la pensée synthétique et le style éloquent constituent une véritable rupture avec le reste du discours, auquel elle ne semble plus liée que par la fantaisie constante de l'orthographe. «Oui, je le répète: c'est la société qui fait les criminels, et vous jurés...»; «Je ne suis qu'un ouvrier sans instruction; mais parce que j'ai vécu l'existence des miséreux, je sens mieux qu'un riche bourgeois l'iniquité de vos lois répressives»; «Jugez-moi, messieurs les jurés, mais si vous m'avez compris, en me jugeant jugez tous les malheureux» Superbes effets de manche, et conclusion grandiloquente où l'on est en peine de reconnaître le style oral de notre ouvrier dont le seul autre texte publié intégralement - ses Mémoires dictées à ses gardiens dans la soirée du 30 mars 1892 - ne comportent aucune conclusion et s'arrête aussi brutalement que notre manuscrit. Cette envolée finale à la gloire de l'anarchie, dont nous ne connaissons aucune trace manuscrite et qui n'est même pas ébauchée dans notre version, se révèle donc de toute évidence apocryphe. Comme la première publication est l'uvre d'un journal conservateur, il est impossible que le journaliste en soit l'auteur. Il est donc plus vraisemblable que la version fournie à la presse ait été revue et corrigée par son dernier détenteur, l'avocat de Ravachol: Maître Louis Lagasse, juriste engagé, défenseur attitré de plusieurs journaux anarchistes et futur député du parti radical-socialiste. Ainsi, notre manuscrit semble mettre en lumière une récupération idéologique de la pensée de Ravachol non qu'elle fut réellement trahie, mais habilement reformulée dans un cadre plus intellectualisé. Cette instrumentalisation de celui qu'on accusait encore la veille de détourner la cause anarchiste, fut une réussite totale. La postérité en fit une icône de l'indépendance et de l'insoumission. Il connut un véritable culte de la personnalité, exalté par les chansons, sanctifié par les romans, héroïsé par les combattants et parfois même institutionnalisé en devenant, comme en wallon, un nom commun. Aux côtés de Proudhon et Bakounine, les grands théoriciens de l'anarchie, il manquait une figure pratique, un maître d'uvre assumant la violence sous-jacente de cette idéologie nihiliste. Ravachol, grâce à cette formidable apostrophe, deviendra ce martyr attendu. On peut douter que la version authentique du discours de Ravachol que nous révélons aujourd'hui eut eu un tel écho, alors que déjà, comme le notait Emile Pouget au sujet de la première parution, l'orthographe était un obstacle. «il faut se foutre un sacré turbin pour saisir les idées.». Mais il ajoutait malicieusement: «Ces couillons de bourgeois éduqués, se figurent qu'il faut savoir orthographier les mots pour avoir de l'idée dans la caboche.» En effet, il serait présomptueux de conclure que la réputation de Ravachol fut ainsi usurpée par la plume habile d'un idéologue. Le manuscrit original, s'il dévoile la supercherie, met aussi en lumière la profondeur réelle des idées de Ravachol et les racines de sa révolte. Toutes les idées ajoutées ou réécrites par l'avocat sont bien présentes, bien que moins lisibles, dans le manuscrit original. C'est bien la misère et les privations qui, pour Ravachol, poussent les malheureux au crime. Dès les premières lignes, il souligne la responsabilité de «la société, qui par son organisation met les hommes en lutte continuelle les uns avec les autres, [et] est seule responsable» En réponse à ce problème, la justice traite selon lui non pas les causes, mais les conséquences de la pauvreté: «On finira sans doute par comprendre que les anarchistes ont raison lorsqu'ils disent que pour avoir la tranquillité morale et physique, il faut détruire les causes qui engendrent les crimes et les criminels. [...] Eh bien, messieurs, il n'y a plus de criminels à juger, mais les causes du crime à détruire.» Cette légitimation de la violence anarchiste n'est pas gratuite et Ravachol, malgré son expression écrite limitée, propose une réforme et soumet à son auditoire l'idée d'une utopie fondée sur la justice sociale: «En créant les articles du Code, les législateurs ont oublié qu'ils n'attaquaient pas les causes mais simplement les effets, et qu'alors ils ne détruisaient aucunement le crime. [...] Il suffirait d'établir la société sur de nouvelles bases où tout serait en commun, et où chacun, produisant selon ses aptitudes et ses forces, pourrait consommer selon ses besoins.» Et lorsqu'il dénonce la misère sociale, le texte original de Ravachol ne nécessite aucune réécriture de son avocat: «Tous ceux qui ont du superflu s'occupent-ils s'il y a des gens qui manquent des choses nécessaires ? Il y en a bien quelques-uns qui donneront quelques secours, mais ils sont imperceptibles et ne peuvent soulager tous ceux qui sont dans la nécessité et qui mourront prématurément par suite des privations de toutes sortes, ou volontairement par les suicides de tous genres pour mettre fin à une existence misérable et ne pas avoir à supporter les rigueurs de la faim, les hontes et les humiliations sans nombre, et sans espoir de les voir finir.» émondé des effets de style de l'avocat, cet émouvant manuscrit laisse transparaitre l'obsession de celui qui se sait condamné à une fin imminente. La mort y est omniprésente: celle des criminels agissant par nécessité est mise en parallèle avec le trépas des «nécessiteux» travaillant jusqu'à l'épuisement. La graphie élancée, l'absence de ponctuation et l'enchaînement des phrases traduisent l'urgence de la pensée du condamné qui, dans ce dernier soupir d'encre, tente de résumer son combat et de justifier ses actions criminelles. Aucun répit n'est laissé au lecteur, les quatre pages sont abondamment rédigées jusqu'à la dernière ligne et Ravachol, comme pour assumer chacun de ses écrits ou peut-être dans l'incertitude de pouvoir achever sa pensée, signe sa déclaration sur chaque feuillet. Témoignage inédit de Ravachol, qui vola et tua pour survivre, ce testament réhabilite avec authenticité la pensée de ce Rocambole, jusqu'alors icône modelée par les théoriciens. On y découvre les dernières pensées d'un homme ordinaire, mu par un véritable combat pour la justice, tout aussi loin de l'image du Christ de l'anarchie que d'un Judas criminel ayant employé l'idéologie libertaire à des fins crapuleuses. L'homme que l'on découvre dans ce document capital, n'est certes pas le tribun que l'on pensait, mais son discours qui fut doublement censuré par les juges et par son avocat, révèle des préoccupations humanistes sans doute d'une trop grande modernité pour l'époque. En pleine révolution industrielle, il ne dénonce pas que la misère et la mauvaise répartition des richesses, mais aussi les risques de la chimie industrielle pour la santé de la population ouvrière. Derrière l'idéologue et utopiste Ravachol, nous découvrons dans ce manuscrit inédit un François Claudius Koënigstein, plus modeste dans son expression mais plus visionnaire dans sa pensée, précurseur des grands défis écologiques et sanitaires à venir. Considérable testament apologétique de la dignité humaine. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎[RAVACHOL François Claudius Koënigstein, dit] BERTILLON Alphonse‎

Reference : 72079

(1892)

‎Unique portrait photographique daté et signé par Ravachol connu à ce jour‎

‎S.n., Paris [à la prison de la Conciergerie] s.d. [6 mai 1892], Cliché : 11,7x16,9 cm / Carton : 16,1x21,9 cm, une photographie.‎


‎ «?Jugez-moi, messieurs les jurés, mais si vous m'avez compris, en me jugeant jugez tous les malheureux dont la misère, alliée à la fierté naturelle, a fait des criminels, et dont la richesse, dont l'aisance même aurait fait des honnêtes gens?!» Superbe portrait photographique original de Ravachol réalisé par Alphonse Bertillon, tirage d'époque albuminé contrecollé sur bristol.?» Rarissime légende autographe signée du plus célèbre des anarchistes français, rédigée de son écriture hésitante et naïve, au bas du cliché?: «?1er mai 1892 Koningstein [sic] Ravachol.?» La graphie Koningstein choisie par Ravachol diffère du patronyme de son père (Königstein). Cette variation attestée par le Maintron (Dictionnaire biographique du mouvement social et ouvrier) se retrouve notamment dans un écrit de sa main daté du 13 avril 1892 et conservé à la Conciergerie. «?Un certain Varinard des Cotes a tracé son portrait graphologique. Il crut pouvoir noter l'absence d'orgueil et de vanité, la droiture et la loyauté des convictions?». (Ramonet et Chao, Guide du Paris rebelle, 2008). Nous n'avons pu trouver aucun autre exemplaire de cette photographie dans les collections publiques internationales ni en vente aux enchères. Les autographes du «?Christ de l'anarchie?» sont d'une insigne rareté. Nous ne connaissons que cette unique photographie de Ravachol dédicacée à l'exception de celle mentionnée dans les rapports de surveillance de la Conciergerie?: «?Le nommé Ravachol nous a fait voir sa photographie sur le recto de laquelle il a inscrit ces mots?: «?à tous ceux que j'ai aimé. Mon cur sera toujours près de vous, ma dernière pensée sera pour vous. Tous mes baisers?». Signé Ravachol. Il a l'intention d'envoyer cette photographie à son frère, ainsi qu'une lettre dont le résumé est le suivant?: «?Comme vous le voyez, je suis souriant sur ma photographie, vous pourrez donc en déduire que mon sort n'est pas si triste que vous le pensez. Il ne me manque qu'une chose?: la liberté. Du reste je ne fais aucune différence entre ma vie en prison et celle que je menais auparavant. Toutes les deux ne sont que souffrance. Le vrai bonheur n'existera pour moi que lorsque je verrai la réalisation de mes projets, si cela ne se peut, je préfère la mort. J'envisage ces deux points le sourire aux lèvres?». (8 mai 1892) Nous n'avons pu localiser ce cliché et n'en avons trouvé aucune autre trace depuis ce rapport. Nous n'avons d'ailleurs aucune certitude que cette photographie existe encore. à l'instar de la nôtre, elle a été réalisée lors d'une séance à la prison de la Conciergerie le 6 mai 1892 durant laquelle plusieurs poses ont été tirées. Ravachol a donc antidaté sa dédicace en se servant probablement de la date symbolique du 1er mai 1892, premier anniversaire du massacre de Fourmies. Il est certainement fait mention de notre cliché dans les mémoires du photographe et père de l'anthropométrie Alphonse Bertillon?: «?Ce fut l'identification de l'anarchiste Ravachol qui consacra la sûreté de sa méthode. Ravachol avait fait sauter au moyen d'une bombe l'immeuble où habitait alors le procureur de la République ainsi que le restaurant Véry et menaçait de continuer cette besogne de destruction quand il fut arrêté au milieu d'une foule hurlante qui voulait le mettre en pièces, au point qu'il arriva au service anthropométrique avec un visage boursouflé, tuméfié, hideux. Il fallut toute la diplomatie, toute la pénétration psychologique d'Alphonse Bertillon pour le convaincre de se laisser mensurer et photographier. Ravachol exprima le désir, vu l'état effrayant de son visage, d'être photographié une seconde fois dès que ses plaies et ses ecchymoses seraient guéries. Bertillon le lui promit et tint parole, il poussa même la délicatesse vis-à-vis de ce bandit jusqu'à lui porter dans la cellule qu'il occupait au dépôt un exemplaire de son portrait collé sur bristol. Et Ravachol qui ne pouvait en croire ses yeux, de s'écrier?: - vous êtes un honnête homme, vous au moins, monsieur Bertillon.?» (Suzanne Bertillon, Vie d'Alphonse Bertillon l'inventeur de l'anthropométrie, 1941). Ce témoignage d'une grande précision nous éclaire sur l'importance de l'arrestation de Ravachol dans la carrière du célèbre criminologue et la relation particulière qui unit les deux hommes. Il faut dire que c'est Bertillon lui-même qui procéda à l'identification de l'activiste qui avait été «?bertillonné?» deux ans plus tôt, démontrant avec brio toute l'efficacité de sa méthode de classification?: cette première fiche se trouvait parmi 500000 autres, déjà réalisées depuis la création du service d'Identification judiciaire en 1889. Nous ne savons pas à qui Ravachol destinait ce portrait qu'il estimait tant, mais l'absence de dédicataire et la date hautement symbolique qu'il y appose, ultime défi à l'État policier, laisse à penser qu'il l'offrit à un partisan de sa cause. Rarissime tirage d'époque de l'icône anarchiste Ravachol, dont le nom - immortalisé dans la culture populaire - deviendra même un nom commun, de l'insulte du capitaine Haddock («?Mille millions de mille milliards de mille sabords?!... Espèce de cannibale?!... Bachi-bouzouk?!... Ravachol?!...?») à la litanie punk des Bérurier Noir?: «?Salut à toi l'Espagnol / Salut à toi le Ravachol!?». - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎RAVALEC Vincent‎

Reference : 81046

(2008)

‎15 ans et demi‎

‎Flammarion, Paris 2008, 13,5x20cm, broché.‎


‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Vincent Ravalec à une femme prénommée Eglantine: "... les aventures d'Eglantine" - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎RAVALEC (Vincent).‎

Reference : 38510

(1996)

ISBN : 9782080672391

‎Wendy. Biographie d'une sainte.‎

‎ Flammarion 1996 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée, 261 pp. Edition originale, exemplaire du service de presse enrichi d'un bel envoi de l'auteur. Petites salissures à la 4e de couverture. Sinon bon état.‎


Vignes Online - Eymoutiers
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EUR22.00 (€22.00 )

‎RAVARD (Claude).‎

Reference : 102234

(1953)

‎Mots partis du coeur.‎

‎Paris Seghers, coll. "Poésie 53" 1953 1 vol. broché plaquette in-12, agrafée, couverture à rabats en couleurs sur fond crème,38 pp. Edition originale. Envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Dos et couverture légèrement jaunis, sinon bon état.‎


Vignes Online - Eymoutiers
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‎RAVAZ Louis - professeur de viticulture à l'Ecole Nationale d'agriculture de Montpellier - Ancien directeur de la station viticole de Cognac‎

Reference : GF28134

(1900)

‎Le Pays du Cognac - avec la collaboration de M.A. Vivier pour la partie commerciale -‎

‎ 1900 Angoulème - Louis Coquemard - 1900 - 1 volume in folio broché de 307 pages + tables - nombreuses photos en noir dans le texte; vignettes et culs-de-lampe dans l'esprit art Nouveau ou signée Hérisson - Couverture abimée (déchirures sur le premier plat, manque le second plat) -très bon état intérieur - exemplaire à relier -‎


‎Envoi autographe signé de l'auteur - Edition originale - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

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‎RAVEL DE PUYCONTAL (Jean-François de)‎

Reference : 189186

‎2 L.A.S. au citoyen Michelot Directeur des subsistances militaire à Paris‎

‎Marseille, 29 ventôse - 27 prairial an 11, 20 mars-16 juin 1803 , 2 pp. in-folio, et 3 pp. in-4 avec adresse au verso, marque postale et cachet au chiffre "R" ; à chaque, en-tête avec vignette républicaine de "l'ex Général de brigade, inspecteur général d'Artillerie". ‎


‎Correspondance amicale dans laquelle le général fait état de sa santé et sollicite auprès du ministère ses arriérés de solde de général et sa pension de retraite, évoquant la publication du Code civil dont il demande un exemplaire ; 29 ventose : "(…) J'ay une santé très délabrée par une incomodité qui me fait beaucoup souffrir (…), je ne suis plus bon qu'à rester au coin du feu. Je suporte mes maux avec patience et peu de fortune. je n'ay pu rien obtenir encore de mon arriéré (…)." Le général lui adresse une note avec le détail et les preuves de ce qui lui est dû, se plaignant qu'une première demande n'ait pas aboutie ; "Si vous vouviez me procurer la grande partie les arrérages par vos connaissances dans les Bureaux, vous me rendriez un grand service. Vous pourriez avoir quelqu'un auprès du citoyen Thiébault, premier chef chargés de l'arriéré au département de la Guerre (…). Chacun pense à soi, et aux autres après s'il n'y a pas trop de difficultés (…). Je tremble tousjours que ma pension de retraite ne soit pas exactement payé (…). Il le remercie des ouvrages qu'il lui fait parvenir et poursuit ; "Quand le Code civil sera définitivement décrété et imprimés, vous me ferés plaisir de m'e, envoyer un exemplaire de l'imprimeur du Gouvernement par la messagerie. Ce sera un livre essentiel (…)."27 prairial : Lui adresseant ses condoléances, le général remercie des nouvelles de sa famille et des démarches de son correspondant pour son affaire d'arriéré ; et d'ajouter : "(…) Cette guerre me fait beaucoup de peine par la crainte qu'elle me donne qu'il n'y ait par la suite une suspension de payement des pensions ; ce qui me mettrait dans le cas d'etre à charge à mes amis." Il a appris le soir l'arrivée de Mme Bleschamp qui lui a remis ses dernières lettres "avec les deux premiers volume du Code civil et les deux volumes de Lacretelle le jeune qui est un Précis de la Révolution française (…)." Il lui donne une liste d'ouvrages qu'il souhaite se procurer ; "Croyiez à Mad Bleschamps le plaisir qu'elle a eu de vous voir ; elle m'a fait votre éloge et elle m'a assurés qui vous aviez l'air de bien vous porter (…)."Il s'agit très probablement d'Alexandrine de Bleschamp, veuve du banquier Hippolyte Jauberthou de Vambertie et qui se remaria le 26 octobre 1803, avec Lucien Bonaparte, frère du Premier Consul avec qui il se brouillera à la suite de cette union.Ancien officier artilleur, colonel et directeur de l'Artillerie à Toulon à la veille de la Révolution, Jean-François Ravel de Puycontal (1732-1810) fut nommé directeur de l'Artillerie à Strasbourg en 1792 avant de servir à l'Armée du Rhin, promu général en mars 1793 ; écarté comme noble puis maintenu dans ses fonctions par le général en chef Beauharnais, il est en 1795 inpecteur général d'Artillerie, en service à l'Armée du Rhin jusqu'en 1797 ; Il refuse les fonctions de commandant la place de Briançon en 1800, à cause de son âge avant d'être admis à la retraite avec une pension de 4000 fr. ‎

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‎RAVEL DE PUYCONTAL (Jean-François de)‎

Reference : 189187

‎P.A.S. et P.S. avec souscription aut.‎

‎Landau, 30 floreal an 2e, 19 mai 1794, Strasbourg, 15 floréal an 4e, 4 mai 1796 , 1 pp. in-4 et 2 pp. in-folio. ‎


‎Pièces signée du Général Ravel dans ses fonctions de commandant l'Artillerie de l'Armée du Rhin :- Landau, 30 floréal an 2e : Lettre de rappel accordé à un artilleur employé au grand parc d'Artillerie ; le général note de sa main : "On va faire les recherches les plus promptes pour découvrir le citoyen désignés (…) et s'il est employé à la suite du parc de l'Artillerie, on luy expédiera une route avec un congé (…)."- Strasbourg, 15 floréal an 4e : Etat sommaire de la quantité de fer en barre, fer frisé, ou en baguette, propre à fabriquer des clous pour le ferrage des chevaux, et demandée pour les besoins du 8e Régiment d'artillerie légère ; pièce signée par le chef de brigade commandant le régiment, vue par le général de brigade Ravel et divers commissaires des guerres ; au verso, l'autorisation donnée au régiment par le commissaire ordonnateur en chef de l'Armée du Rhin, "Martillière", de prendre "dans les forges du pays de Sarrebruck la quantité de 2000 livres de fer en barre et celle de 500 livres en baguette pour le ferrage des chevaux (…)."Ancien officier artilleur, colonel et directeur de l'Artillerie à Toulon à la veille de la Révolution, Jean-François Ravel de Puycontal (1732-1810) fut nommé directeur de l'Artillerie à Strasbourg en 1792 avant de servir à l'Armée du Rhin, promu général en mars 1793 ; écarté comme noble puis maintenu dans ses fonctions par le général en chef Beauharnais, il est en 1795 inpecteur général d'Artillerie, en service à l'Armée du Rhin jusqu'en 1797 ; Il refuse les fonctions de commandant la place de Briançon en 1800, à cause de son âge avant d'être admis à la retraite avec une pension de 4000 fr. ‎

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EUR80.00 (€80.00 )

‎[Quantics] - ‎ ‎RAVEL, René‎

Reference : 43835

(1983)

‎Guide de Poésie hugolienne [ Livre dédicacé par l'auteur]‎

‎1 vol. in-8 br., Quantics, Paris, 1983, 134 pp.‎


‎Bel envoi de l'auteur. Etat très satisfaisant (couv. lég. frottée)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR55.00 (€55.00 )

‎[Bécat] - ‎ ‎ RAVENEZ (L.-W.) ‎

Reference : 8552

(1857)

‎ Recherches sur les origines des églises de Reims, de Soissons et de Chalons. + Essai sur les origines religieuses de bordeaux et de quelques villes d'aquitaine ‎

‎ 1857 P., Lecoffre et Cie, 1857. / 1802/ ++In-8 br., XXXII-180 pp., 2 planches in fine. 90 pp Editions originales, deux volumes in 8 brochés, reliées en un volume en demi basane, dosorné, les couvertures sont conservées, envoi autographes‎


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Phone number : 01 43 54 04 70

EUR100.00 (€100.00 )

‎RAVENNES Jean‎

Reference : 2554

(1930)

‎Aux portes du Sud, le Maroc‎

‎Alexis Redier, Paris s.d. (circa 1930), 16,5x21cm, broché.‎


‎Edition originale sur papier courant numérotée à la presse. Ouvrage illustré de bois gravés et de très belles photographies reproduites en héliogravures, une carte en tête de volume, couverture en couleurs de Charles Fouqueray. Envoi de Jean des vallières qui se cache probablement sous le pseudonyme de Jean Ravennes. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR70.00 (€70.00 )

‎RAVIGNAN (Gustave-François-Xavier de Lacroix) célèbre jésuite et prédicateur français (né à Bayonne en 1795-1858) ‎

Reference : 93bC27

‎Lettre autographe signée au comte de la Ferronnays. 1 p. in-8. S.l.n.d.‎

‎« Vraiment, mon cher comte, votre monsieur est singulier de se heurter contre la résurrection de la chair. C’est une objection minime. Il faudrait lui conseiller de remonter au principe. Dieu a-t-il révélé ? Y a-t-il une Eglise ? Si Dieu révèle, si une Eglise infaillible enseigne, il faut croire au reste. L’objection contre la résurrection du corps, article de notre symbole, se trouve dans Bergier, traité de la Religion, ouvrage fort volumineux dont il faudrait consulter la table... ».‎


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Phone number : 33 01 45 66 48 65

EUR280.00 (€280.00 )

‎RAWICZ (Piotr).‎

Reference : 108221

(1969)

‎Bloc-notes d'un contre-révolutionnaire ou La gueule de bois.‎

‎Paris Gallimard 1969 1 vol. broché in-12, broché, 173 pp. (rousseurs à la couverture). Edition originale sans grand papier avec un envoi autographe signé de l'auteur "pour Nathalie Sarraute, avec mon admiration et un sourire complice... (si vous êtes très furieuse contre ce petit texte, ne me rayez tout de même pas de la liste de ceux qui vous aiment)". Prière d'insérer joint. En l'état.‎


Vignes Online - Eymoutiers
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‎RAY (Jean).‎

Reference : 19296

‎Entre deux pages d’Heptaméron. Poème inédit tapuscrit.‎

‎Poème inédit en vers d’une page, format 27,3 x 21,5 cm, 24 lignes. “On nous dit que les peines sont/ Passagères , et qu’elles font/ Comme rides à la surface/ De l’eau qui vient, murmure, passe.../ Il ne fallut que quelques mots,/ Venus de par delà de l’eau/ Pour changer en gaîté, ton ire/ Rendre à tes lèvres leur sourire... etc.‎


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‎RAY (Jean).‎

Reference : 19295

‎“Tout ce qu’on imagine est réel : il n’y a même que cela qui soit réel”. Tapuscrit.‎

‎3 pages 28 x 19 cm, datée au crayon de papier “Sept 51”, signé “Jean Ray Gent” au stylo bille au verso de la dernière page. “Si un vieux moine venait me dire : j’ai vu le diable; il a une queue et des cornes. Je lui répondrais : mon père, en admettant que par hasard, le diable n’existât pas, vous l’avez créé ; maintenant à coup sûr il existe. Gardez-vous en ! (...) Il faudrait en revenir aux belles légendes, à la poésie des poètes et des peuples, à tout ce qui donne le frisson du beau. Mais notre société est pleine de pharmaciens qui craignent l’imagination. Et ils ont bien tort”. Etc.‎


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‎Raymonde MOULIN - [Moulins 1924 - ?] - Sociologue française ‎

Reference : GF27182

‎Lettre Autographe Signée de Raymonde Moulin à Georges Boudaille - Levallois-Perret le 13 septembre 1961 - ‎

‎ 1 page in4 - bon état -‎


‎Elle demande s'il se souvient d'elle et de sa thése sur le marché des tableaux - Elle le remercie pour ses recommandations, trés efficaces - Elle aimerait désormais avoir son propre point de vue - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

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‎Raymond ESCHOLIER - [Paris 1882 - Nimes 1971] - Homme de lettres français‎

Reference : 35202

‎Lettre autographe signée à Paul Guth - Paris le 21 février 1967 -‎

‎ 2 pages in8 - enveloppe - bon état - ‎


‎Il lui envoie le timbre "Beaumarchais" qui lui semble très vraisemblable pour le remercier d'en avoir parlé si excellemment - "Cela vaut mieux que les deux bouquins indigestes de Loménie de Brienne" - Le père Blanchet, ébloui par son livre, va en parler dans les "Etudes", la revue des Jésuites - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

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‎Raymond ESCHOLIER - [Paris 1882 - Nimes 1971] - Journaliste, romancier et critique d'art -‎

Reference : GF32534

(1811)

‎Lettre autographe signée à Fernand Demeure - le 12 novembre 1925 - + Envoi autographe signé sur le faux titr de "La Nuit" -‎

‎ 1811 1 page in8 et 1 page in12 - trés bon état -‎


‎Il le remercie pour son article dans le Journal Littéraire ou il a retrouvé son esprit et sa verve - Il sera heureux de le revoir prochainement - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

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