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‎PORRET Michel; BACZKO Bronislaw (préf.):‎

Reference : 12250

(1995)

‎Le Crime et ses circonstances.: De l'esprit de l'arbitraire au siècle des Lumières selon les réquisitoires des procureurs généraux de Genève.‎

‎Genève, Droz, 1995. Fort volume in-8 de XXXII-562-[2] pages, couverture imprimée en deux tons. Belle condition. ‎


‎ Exemplaire enrichi d'un bel envoi autographe signé de l'auteur à Louis Binz. ‎

Phone number : +4122 310 20 50

CHF40.00 (€40.94 )

‎Porret Robert, Courvoisier Jean, Klauser Eric, Loew Fernand, Faessler François, Haldimann Jean-A.: ‎

Reference : 20944

(1973)

‎Neuchâtel et ses six districts / Neuenburg und seine sechs Bezirke / Neuchâtel e i suoi sei distretti / Neuchâtel and its six districts. ‎

‎Lausanne, Ovaphil SA - Editions Historiques, 1973. In-4, pleine toile décorée. En très belle condition. Illustré de 7 planches en couleurs (armoiries), de fac-similés et de gravures et documents en noir. ‎


‎Tirage limité à 6000 exemplaires numérotés, le nôtre un des 250 dits "or", une petite pastille dorée au dessus du numéro (86) l'attestant. Il est en outre signé par tous les auteurs à la première page. ‎

La Bergerie - Carouge
CHF80.00 (€81.88 )

‎PORTAIL (Jean).‎

Reference : 4509

‎Fruit d'orage.‎

‎ Paris, G. Crès, "Le Beau Navire", 1929. In-12, broché, non coupé, 232 pp. ‎


‎Édition originale. Un des 300 exemplaires numérotés sur alfa bouffant. Envoi autographe de l'auteur. Photos sur demande.‎

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‎PORTAIL Pierre‎

Reference : 82154

(1947)

‎Deux aspects de la criminalité systématique dans les camps de concentration allemands : La psychose collective allemande - Terrain et facteurs de développement‎

‎Imprimeries réunies & Université de Paris - Faculté de Droit, Chambéry 1947, 14x22,5cm, broché.‎


‎Edition originale de cette thèse soutenue par Pierre Portail. Deux petits accrocs restaurés sur le dos légèrement insolé. Rare. Emouvant et précieux envoi autographe signé de Pierre Portail à Frédéric-Henry Manhès, dit le colonel Manhès, qui fut l'adjoint de Jean Moulin puis arrêté par la police française et déporté à Buchenwald : "Au colonel Manhès, Président de la F.N.D.I.P.", avec mes sentiments respectueux. P. Portail. Février 1948." Après-guerre le colonel Manhès fut président de la Fédération Nationale des Déportés et Internés Résistants et Patriotes (F.N.D.I.P.) - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎PORTALIS (Jean-Etienne-Marie)‎

Reference : 218191

‎L. S. adressée à Monseigneur l’Évêque de Nancy‎

‎Paris, 18 novembre 1806 in-4, 1 pp., Petit manque de papier à deux coins. Provenance : Archives Portalis. ‎


‎Lettre à en-tête du Ministre des Cultes.Portalis répond favorablement à la demande d’envoyer deux drapeaux et quatre canons. ‎

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‎[PORTALIS] LALLY-TOLLENDAL (Trophime-Gérard de)‎

Reference : 180657

‎L.A.S. au comte Portalis‎

‎Auteuil, 30 octobre 1821 , 1 pp. bi-feuillet in-4, intitulé au verso "M. le comte Portalis, Pair de France, sous-secrétaire d’Etat au ministère de la Justice, Place Vendôme." ‎


‎Belle lettre de recommandation en faveur de Louis Crespin de La Ruchée, avocat à la Cour royale de Paris, proche de Lally-Tollendal, pour l’une des quatre places de conseillers auditeurs vacantes à la Cour ; "(…) Fils de Mr Crespin qui a été nommé par le Roi en 1815 Conseiller à la Cour royale, après avoir été 7 ans lieutenant gal du Président de Provins, 7 ans persécuté dans sa personne et ses biens pour son royalisme, et 14 ans depuis l’an 1800, Président du Tribunal de cette même ville, Mr Crespin fils, âgé de 26 ans, a suivi plusieurs cours de droit, de jurisprudence et un cours de procédure pratique. Les personnes qui me le recommandent, m’écrivent qu’il joint à son instruction judiciaire, une moralité de principes et une délicatesse de sentimens qui le rendent sous tous les rapports digne de la protection de Monsieur le Garde des Sceaux ; et ces personnes sont les propriétaires les plus considérables et les plus considérées dans les arrondissemens de Provins et de Coulommiers (…). Je regarde en vérité cette affaire comme m’étant personnelle (…)."Le marquis de Lally-Tollendal ajoute à propos d’une autre affaire : "je remets à un autre jour à vous dire un mot sur mon vieux camarade de Collège, le Président des portes et sur le cercle vicieux dont on le rend victime. Je ne veux pas tourner la page pour être sût d’être lu. D’ailleurs, je vous écris un peu en contrebande. La Faculté me défend de m’occuper (…). "Gérard Lally-Tollendal (1751-1830) était le fils du baron Tollendal, officier français d'origine irlandaise, rendu responsable de la défaite de Pondichéry en 1761 et condamné à mort. Député en 1789, membre du Comité de Constitution à l'Assemblée nationale, il émigre dès 1790 pour revenir en 1792 pour tenter de sauver la famille royale et ses proches. Il échappe de peu aux massacres de septembre, se proposera de participer à la défense du Roi lors de son procès, avant de s'exiler à nouveau. Il ne rentrera en France que sous le Consulat. Il sera couvert d'honneur à la Restauration, nommé Académicien à la place de Sieyès, fait Pair de France et ministre d'Etat, chevalier commandeur et grand trésorier du Saint-Esprit. ‎

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‎[PORTALIS] MOUNIER (Claude-Philibert-Edouard)‎

Reference : 180706

‎2 L.A.S. au comte Portalis‎

‎Paris, (circa 1820) , 2 pp. in-8 bi-feuillet. ‎


‎Mounier adresse à Portalis, sous-secrétaire d'Etat à la Justice, l’ordonnance qui doit paraitre dans le Moniteur ; "(…) Le Roi l’a signée mais j’ignore si le contreseing du Duc de Richelieu est bien tel qu’il doit l’être (…)." Il demande de faire vérifier la forme avant impression. Joint un billet demandant à Portalis s’il a l’intention d’aller aux Tuileries ; "Soyez assez bon, mon cher Collègue, pour me dire quelles visites vous faites ce matin au Château ? Allez-vous chez le Roi ? Je serais fort aise de faire comme vous et encore plus aise de me trouver avec vous (…)."Claude-Philibert-Édouard Mounier (1784-1843) était le fils du révolutionnaire Jean-Joseph Mounier. Appelé en 1809 au poste de secrétaire du cabinet de l'Empereur, en remplacement du général Clarke, il passa les cinq années suivantes dans la confiance intime de Napoléon qui le nomma successivement maître des requêtes, baron, officier de la Légion d'honneur et le dota d'un domaine en Poméranie. A la Restauration, Mounier sera fait Pair de France, directeur général de la Police. ‎

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‎[PORTALIS] MOUNIER (Claude-Philibert-Edouard)‎

Reference : 180708

‎5 L.A.S. et 2 L.S. au comte Portalis‎

‎(Paris), juillet 1820-janvier 1821 , 9 pp. in-8 et in-4, 5 pp. in-4. ‎


‎Importante correspondance relative au complot dit du Complot du Bazar français, déjoué pendant l’été 1820.14 juillet : il annonce l’arrestation de Mazian, transmettant les détails circonstanciés de cette arrestation. 28 juillet : il demande de lui renvoyer l’interrogatoire de Chauvaisagnes et lui transmet sa note pour la commission de police, demandant une peine de prison de 2 ans ; 8 août ; "(…) Tout cela se rattache à ce que nous savons ; mais notre procureur gn me parait malheureusement bien faible. Au reste, je ne croirais pas que son voyage fut convenable. Plus l’affaire peut s’étendre, plus il me parait nécessaire d’éviter de la présenter comme fabriqué par le Gouvernement. Le procureur Gn en fait assez pour suivre tous les indices et nous verrons par la suite (…)." 20 août : billet sur une réunion chez le duc de Richelieu ; 20 août : à propos de l’intervention de Jacquinot ; "(…) J’ai écrit au Mal Marmont de mettre à sa disposition tous les officiers et sous officiers de la Garde qui ont été arrêtés (…)." Il a transmis plusieurs pièces à Jacquinot qui a envoyé un substitut à Vincennes ; il demande de publier officiellement "qu’il a été dénoncé au Gouvernement un complot dans lequel sont impliquées plusieurs personnes civils et militaires", et écrit au comte de Rochechouart pour retenir les officiers qui peuvent témoigner. 21 août : "Je ne trouve rien là qui charge notre manière d’envisager l’affaire. L’homme important, c’est Combes et Guillemin n’était qu’un misérable instrument. Maintenant Combes parlera-t-il ? Il ne s’y déterminera que si les preuves contre lui sont accablantes. Je vois indépend. des révélations de Jeanin, la déclaration de Guillemin faire celle de Bougaud. Mais plus l’instruction marchera, plus les preuves doivent s’établir (…)." Il préconise de laisser faire le procureur ; il propose de pousser le juge d’instruction à faire une enquête sur le séjour de Guillemin dans la Capitale. 26 janvier 1821 : "Vous allez vous occuper aujourd’hui du cap. Nantil ; c’est vraisemblablement alors que seront produites les grandes accusations contre la Police qui l’a laissé échapper (…). Il fut convenu le 19 août au matin que les conspirateurs appartenant au Légions du Nord et de la Meurthe seraient arrêtés à 9h du soir par les soins des chefs de leurs corps. La Police devait appuyer l’opération et tenir ses agens à portée pour recevoir les prisonniers et les conduire à la Préfecture ; elle avait en même tems, à s’occuper de la surveillance Gale de la Capitale, à se transporter au domicile des conspirateurs et à faire arrêter ceux qui ne faisaient point partie des Corps de la garnison (…). On peut dire à la vérité, que les agens de la police dû s’attacher aux cas de Nantil (…)." Suit le détail des responsabilités dans l’arrestation des comploteurs et le cas précis de l’ancien capitaine Nantil ; il ajoute de sa main que la procédure prouve la présence de Mabiau à Cambray quand il a appris la découverte du complot avant de vouloir gagner la Belgique.Engagé dans un contexte politique très tendu entre ultra et libéraux, soutenu par le carbonarisme, ce complot impliquant plusieurs anciens officiers de l’armée impériale devait soulever les garnisons des principaux régiments stationnés à Paris, et renverser le trône de Louis XVIII pour installer le Roi de Rome, l’enfant de Napoléon et de Marie-Louise. Il fait suite à d’autres conspirations comme celle de Randon et les troubles de Lyon en 1817, faisant ainsi naitre le courant bonapartiste en France.Claude-Philibert-Édouard Mounier (1784-1843) était le fils du révolutionnaire Jean-Joseph Mounier. Appelé en 1809 au poste de secrétaire du cabinet de l'Empereur, en remplacement du général Clarke, il passa les cinq années suivantes dans la confiance intime de Napoléon qui le nomma successivement maître des requêtes, baron, officier de la Légion d'honneur et le dota d'un domaine en Poméranie. A la Restauration, Mounier sera fait Pair de France, directeur général de la Police. ‎

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‎[PORTALIS] MOUNIER (Claude-Philibert-Edouard)‎

Reference : 180707

‎L.A.S. à son cher collègue (le comte Portalis)‎

‎(Paris), 19 août 1820 , 3 pp. in-4 bi-feuillet. ‎


‎Importante lettre de Mounier exposant son avis sur les instructions de police communiquées aux préfets avant les élections et dont il voulait s’entretenir en Conseil ; "(…) Jusqu’à présent, je me suis borné à répondre aux préfets sur leurs demandes particulières ou à leur parler des élections à l’occasion de la position de leurs départemens (…) Vous connaissez suffisamment le sens dans lequel ma correspondance est dirigée. Je ne perds jamais de vue que nous devons dévier des députés du centre et subsidiairement des députés de la droite ; que par conséquent, tous les efforts doivent tendre à réunir les électeurs royalistes des différentes nuances (…). Tout ce qui concerne l’organisation, la convocation des Collèges, est traité par M. Capelle sous la signature et la direction du ministre (…)." Il lui transmet copie d’un paragraphe qui est ajouté à toutes les lettres du ministre pour les préfets ; "Il est un peu long (…) et vous y reconnaitrez le style ternaire de M. Capelle ; mais tel quel, l’effet ne peut en être mauvais et il est bon que vous le connaissiez (…)."Claude-Philibert-Édouard Mounier (1784-1843) était le fils du révolutionnaire Jean-Joseph Mounier. Appelé en 1809 au poste de secrétaire du cabinet de l'Empereur, en remplacement du général Clarke, il passa les cinq années suivantes dans la confiance intime de Napoléon qui le nomma successivement maître des requêtes, baron, officier de la Légion d'honneur et le dota d'un domaine en Poméranie. A la Restauration, Mounier sera fait Pair de France, directeur général de la Police. ‎

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‎[PORTALIS] PASQUIER (Etienne-Denis)‎

Reference : 180704

‎18 L.A.S. ou B.A.S. au comte de Portalis‎

‎(Paris), s.d. , Sur bi-feuillet in-12. ‎


‎Bel ensemble de la correspondance de Pasquier à Portalis, conseiller d’Etat, relative à diverses affaires courantes, lui adressant plusieurs communications : A propos d’un ouvrage qui manque à la bibliothèque du ministre des Affaires étrangères, précisant qu’il "ne perd pas de vue l’autre affaire bien plus importante" ; il le remercie de son compte-rendu donné avant son projet d’aller voir le duc Decase ; demandant de passer chez lui pour pouvoir lui communiquer des dépêches de Rome ; il demande d’aller discuter avec un confrère sur la liberté de la presse : "il serait nécessaire qu’il marche avec nous dans cette affaire car notre majorité dans la commission n’est pas très sûre. Vous dînez demain avec nous, le Chancelier y dine." ; à propos de divisions au sein de la Chambre "qui pourraient avoir des suites fâcheuses" ; Pasquier annonce que S.M. vient de nommer « votre frère » chancelier du Consulat : il est peiné d’apprendre qu’il est souffrant ainsi que Mme Portalis ; Divers billets demandant son avis ou de le tenir informé des travaux du Conseil, ou des projets d’ordonnance, l’invitant à passer chez lui pour diner ou discuter des affaires, mentionnant les noms du duc de Richelieu, l’abbé de Montesquiou, Montlosier, l’abbé Morelet, etc. Sur une prochaine réunion : "(…) Je n’irai pas avec vous parce que j’irai à cheval avec M. de Richelieu. Vous viendrez donc avec ma calèche qui sera chez vous à cinq heures et nous reviendrons ensemble, car je ne veux pas revenir à cheval (…)."Préfet de Police sous l'Empire à la suite de Dubois, Garde des Sceaux dans le ministère Talleyrand-Fouché en 1815, Etienne-Denis Pasquier (1767-1862) fut nommé à la Restauration ministre d'Etat, membre du Conseil privé, député, reprendra le portefeuille de la Justice en janvier 1817, ministre des Affaires étrangères en 1820 dans le cabinet du duc de Richelieu, président de la Chambre des Pairs en 1821, poste qu'il garda sous la Monarchie de Juillet ; Pasquier sera nommé Chancelier de France par Louis-Philippe en 1837, membre de l'Académie en 1842 contre Vigny. Il se retira des affaires politiques en 1848.Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac. ‎

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‎[PORTALIS] PASQUIER (Etienne-Denis)‎

Reference : 180703

‎2 L.A.S. au comte de Portalis‎

‎(Paris), s.d. , 3 pp. sur bi-feuillet in-12 ‎


‎Pasquier lui demande de lui écrire un discours pour la chambre des Pairs: Le mauvais temps et la Messe de minuit ne lui pas permis de le voir; "(...) vous sçavez notre affaire terminé. Je vais avoir encore cette loi à porter aux Pairs. J’espère que vous vous sentez le courage d’achever vos bonnes œuvres, c’est à dire de me faire encore un discours en cette occasion. Il le faut fort court, et exprimant et expliquant les changements fait dans la discussion de la Chambre des députés (…)." Il compte sur son amitié.Joint une lettre à propos de la loi que le duc de Richelieu demande porter demain à la Chambre des Pairs; Pasquier voudrait que Portalis prépare une note sur ses motifs et qu’il lira à la place de Mr le Garde des Sceaux.Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac. ‎

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‎[PORTALIS] PASQUIER (Etienne-Denis)‎

Reference : 180702

‎B.A.S. au comte de Portalis‎

‎(Paris), Lundi, 5h 1/2 du soir (juin 1837) , 1 pp. bi-feuillet in-8, adresse au verso, cachets postaux. ‎


‎Billet de Pasquier, relatif à une adresse à Louis-Philippe, au moment où allait être donné la liste des promotions pour la Légion d'Honneur : "J’ai vu le Roi il y a une heure et il a été convenu que les discours s’adresseront à Monseigneur et Madame, et que je vous en donnerais avis."Pasquier venait d'être nommé Chancelier de France, dignité qui avait été rétablie lors du mariage du Prince Royal avec la princesse Hélène de Mecklembourg-Schwerin fin mai 1837.Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac. ‎

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‎[PORTALIS] PASQUIER (Etienne-Denis)‎

Reference : 180705

‎L.S. au comte de Portalis‎

‎Sassy, 22 juin , 8 pp. in-12. ‎


‎Belle et longue lettre politique de l'ancien chancelier Pasquier racontant les péripéties de son voyage pour rejoindre ses propriétés près de Mortagne, avant de livrer ses réflexions sur la première loi d’exil contre la famille d’Orléans, et à propos du gouvernement du Prince Président; "(…) Je suis arrivé ici en bon état et je pourrais dire sain et sauf après les nombreuses adversités de ma route, abandonné d’abord par le chemin de fer d’où j’étais descendu à Maintenon pour satisfaire un léger besoin, et qui ne m’a pas attendu deux minutes seulement. Il m’a fallu grâce aux bons soins de M. de Noailles poursuivre ma route de Maintenon à Chartres dans une calèche par le plus mauvais temps du monde (…)." Suit le récit de ces deux jours de voyages, regrettant de ne pouvoir rejoindre plus tôt Mde de Boigne. Pasquier poursuit avec la situation politique du moment, discutant sur les conséquences de la loi d’exil, considérant que le gouvernement n’en tirera pas gloire; "Vous pensez bien que j’ai lu avec soin le décret rendu sur le conflit dans l’affaire d’Orléans. Il n’est guère conforme aux principes que nous autres gens de petites portée avons consignés en 1806, 1807, 1808 et 1809 dans les décrets que la commission du contentieux à fait rendre à cette époque (…). Cependant, c’était le plus beau temps de l’Empire! (…)." Il pense que cette affaire menée devant les tribunaux va entrainer des complications pour la mise en œuvre des confiscations; il faudra dis-je, arriver à la vente des vastes domaines, objets de la main mise; or je ne pense pas que cette vente soit facile. Cette nouvelle sorte de biens nationaux sera pour le moins aussi peu favorable que l’ont été les premiers (…). L’accession de M. de Montalembert m’a beaucoup surpris (…) il a trop d’esprit pour qu’il soit possible de comprendre de sa part une accession sincère et réel à un système aussi absurde que celui aujourd’hui mis en lumière par quelques cerveaux mal inspirés et dont une des principales bases serait la préférence obligatoirement donnée au système de l’ogive sur celui du plein ceintres et des frontons employés dans les plus beaux temps de l’art grec et latin (…)."Préfet de Police sous l'Empire à la suite de Dubois, Garde des Sceaux dans le ministère Talleyrand-Fouché en 1815, Etienne-Denis Pasquier (1767-1862) fut nommé à la Restauration ministre d'Etat, membre du Conseil privé, député, reprendra le portefeuille de la Justice en janvier 1817, ministre des Affaires étrangères en 1820 dans le cabinet du duc de Richelieu, président de la Chambre des Pairs en 1821, poste qu'il garda sous la Monarchie de Juillet ; Pasquier sera nommé Chancelier de France par Louis-Philippe en 1837, membre de l'Académie en 1842 contre Vigny. Il se retira des affaires politiques en 1848.Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac. ‎

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‎[PORTALIS] RICHELIEU (Armand-Emmanuel du Plessis de)‎

Reference : 180694

‎2 L.A.S. au comte de Portalis‎

‎s.l.n.d., (1820) , 2 pp. bi-feuillet in-12. ‎


‎Relative à la nomination de Portalis dans le nouveau ministère formé par Richelieu en février 1820 ; Richelieu lui transmet l’ordonnance de la nomination de Portalis qu’il a contresigné avec plaisir.Joint une lettre de félicitations évoquant la mission de Portalis à Rome pour la signature du second concordat ; "Vous ne pouvez pas douter, du plaisir que j’ai eu à vous voir consentir à parcourir avec nous la carrière difficile où nous allons entrer. Votre zèle et vos efforts ont déjà été couronnés à Rome d’un succès si complet que j’espère que vous nous porterez bonheur. Tâchez seulement de vous guérir, nous avons besoin de toutes nos forces (…)."Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac. ‎

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‎[PORTALIS] RICHELIEU (Armand-Emmanuel du Plessis de)‎

Reference : 180697

‎2 L.A.S. au comte de Portalis‎

‎s.l.n.d., (1821) , 2 pp. bi-feuillet in-12, filigrane. ‎


‎Relativement à la nomination de ministre d’Etat et au traitement de Chateaubriand."Il me semble (…) que M. de Chateaubriand ayant déjà une dotation de Pairs, ce serait dans la seconde classe de ministre d’Etat que devrait être son traitement. Je vous prierais donc de faire rédiger l’ordonnance dans ce sens, en faisant ouvrir le traitement du jour où il a cessé d’être ministre à Berlin (…)." Il demande de préparer l’ordonnance pour le Conseil du jour ; "(…) il sera bon de la faire signer au Roi le plutôt possible (…)."Chateaubriand avait été nommé ambassadeur en Prusse en novembre 1820 et prit en mai 1821, le titre de ministre d’Etat qu’il avait perdu lors de la chute du premier ministère de Richelieu ; suivant l’exemple de Villèle, Chateaubriand refusera ce titre. Il sera nommé ambassadeur à Londres en décembre 1821 après la chute du second ministère Richelieu.Joint : Richelieu approuve ses réflexions sur le titre de Ministre d’Etat à donner ; "(…) comme cela se trouve d’accord avec ce que M. Lainé, je ne vous enverrai pas encore ce soir l’ordonnance que je me proposai de présenter à la signature du Roi pour être mise demain dans le Moniteur (…)."Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac. ‎

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‎[PORTALIS] RICHELIEU (Armand-Emmanuel du Plessis de)‎

Reference : 180699

‎2 L.A.S. et 3 B.A.S. au comte de Portalis‎

‎s.l.n.d., (1820) , 5 pp. bi-feuillet in-12, dont avec adresse au verso. ‎


‎Relatif à un article dans le Patriote Alsacien ; cette affaire donnera lieu à un procès retentissant contre le journal accusé de nombreuses provocations au crime et d’offenses envers la famille royale : "(…) Je l’ai montré hier à M. Jacquinot Pampelune qui m’a paru étonné qu’il n’eut pas déjà été saisi et poursuivi par le Procureur du Roi à Strasbourg. Il est impossible de voir une attaque plus directe et plus insolente." Le ministre demande d’examiner l’affaire, "car il ne faut pas qu’on nous accuse encore comme on l’a déjà fait, de ne pas même nous servir de la loi que nous avons (…)."Joint une correspondance concernant les discussions sur le projet de loi relatif à la presse : Le ministre lui envoie "les hautes conceptions de M. de Terneux touchant la répression des délits de la Presse. Comme je lui ai dit que vous étiez chargé de ce travail, il est bon qu’il sache que je vous ai remis le sien (…)."Joint 3 billets dans lesquels Richelieu demande de lui faire parvenir un exemplaire du projet de Loi sur la presse, et le priant de passer un moment chez lui avant d’aller à la Chambre des Pairs.Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac. ‎

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‎[PORTALIS] RICHELIEU (Armand-Emmanuel du Plessis de)‎

Reference : 180698

‎Correspondance au comte de Portalis‎

‎s.l.n.d., (1820) , 9 billets format in-12. ‎


‎Billets de service évoquant l’étroite collaboration entre le duc de Richelieu, chef du gouvernement de Louis XVIII après l'assassinat du duc de Berry et le comte de Portalis alors sous-secrétaire d’Etat au ministère de la Justice, sur diverses affaires ; Demande de préparer une ordonnance concernant plusieurs nominations ; dont celles de M. de Blais conseiller d’Etat en service ordinaire, M. Flangergue maître des requêtes ; répondant à un billet de Portalis concernant une ordonnance : "(…) Je crois qu’il est nécessaire de rectifier demain l’erreur qui s’est glissé à l’article des serments, comme celles qui ont dû vous être signalées par M. de Pradel (…)" ; billet du secrétaire de Richelieu prévenant Portalis d’une réunion "pour terminer la rédaction de l’ordonnance et arrêter définitivement les nominations des (huissiers ?) ainsi que l’organisation des bureaux." Richelieu demande de transmettre le dossier à Pasquier pour qu’il soit présenté à la signature au Roi lors du Conseil du jour. A propos d’une lettre détaillée du procureur général de Dijon ; sur l’envoi de circulaires aux commandants de la Marine à Brest, Toulon, Rochefort et Cherbourg, et demandant de faire rectifier une erreur publiée dans le Moniteur à propos de cette circulaire ; le remerciant de sa communication sur une séance à la chambre, Richelieu regrettant que "ces messieurs n’aient pas continué leur harangue", demandant d’en discuter avec Pasquier et le ministre de la Justice ; sollicitant quelques informations sur une affaire avec cette réflexion : "Qu’il est malheureux qu’une amnistie n’ait pas couvert tous ces faits ; au moins faudra-t-il que le Roi fasse grâce".Joint 2 billets de Richelieu demandant à Portalis de passer chez lui « pour notre réunion ministérielle »Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac. ‎

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‎[PORTALIS] RICHELIEU (Armand-Emmanuel du Plessis de)‎

Reference : 180695

‎L.A.S. et B.A.S. au comte de Portalis‎

‎s.l.n.d., (1820) , 2 pp. bi-feuillet in-12, dont avec adresse au verso. ‎


‎Importante lettre de Richelieu relative aux discussions sur le nouveau Concordat, la nomination des évêques, à propos de l’étendu des diocèses, sur la « suprématie métropolitaine » ; le Ministre était passé chez Portalis pour parler de ces affaires ecclésiastiques mais il ne l’avait pas trouvé ; "(…) Je veux vous en dire un mot. J’ai vu hier M. le Coadjuteur de Paris et il m’a dit qu’il avait une quantité de brefs nécessaires à demander à Rome, en même temps que l’institution des nouveaux évêques (…)." Richelieu demande de préparer une note sur ce qu’il faut demander auprès du Saint Siège, "pour arriver à ce que nous avons arrêté chez moi au Conseil de lundi", et de faire passer ce mémoire à Pasquier le plus tôt possible. "Vous sentez combien il serait instant que nous puissions procéder le plutôt possible à l’installation des nouveaux évêques (…). Veuillez donc vous occuper de ce petit travail que personne n’est en état de faire mieux que vous. Il importe surtout de ne rien oublier afin qu’il n’ya ai aucune cause de retard à Rome. Le coadjuteur trouve l’idée d’un évêque à Lille très bonne. Il m’a donné aussi un moyen de satisfaire l’évêque de Troïes ; ce serait de lui donner le titre d’archevêque (…)."[Il s’agit de Mgr de Boulogne, évêque concordataire mais qui avait soutenu la cause du Pape Pie VII sous l’Empire ; sa position sur Rome lui valut d’être destitué par Napoléon, enfermé et mis au secret au fort de Vincennes. Mgr de Boulogne retrouvera son siège de Troyes à la Restauration, et on songea à le faire nommer archevêque de Vienne, ce qui fut refusé].Joint un billet de Richelieu demandant à Portalis de passer un moment chez lui.Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac. ‎

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‎[PORTALIS] RICHELIEU (Armand-Emmanuel du Plessis de)‎

Reference : 180696

‎L.S. au comte de Portalis‎

‎Paris, 15 septembre 1820 , 2 pp. bi-feuillet in-12, filigrane. ‎


‎Il renvoie le placet que Portalis lui a envoyé pour le Roi de la part de M. de Miomandre, conseiller à la Cour royale d’Angers ; "(…) C’est à M. le Garde des Sceaux qu’il appartient de le présenter au Roi, si toutefois il le juge convenable (…)."Joint : note des services du chevalier Pierre-Joseph de Miomandre (4 pp. in-folio), émigré dès 1791, à l’Armée des Princes puis aux ordres du général Puyvert de Villot, avant de rentrer en France et être appelé par Bonaparte conseiller à la Cour d’Angers ; suit le Mémoire de M. de Miomandre demandant un dédommagement pour ses biens perdus, la croix de St-Louis pour ses anciens services au Roi.Après sa disgrâce en 1811, Portalis avait été nommé en 1813 Premier Président de la Cour impériale d’Angers sur les instances du comte Molé. Portalis avait gardé ce poste jusqu’à la Restauration, avant d’entrer au Conseil d’Etat et d’être appelé en 1820 à la Chambre des Pairs, nommé sous-secrétaire d’Etat à la Justice. ‎

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‎PORTEBIZE DE MAROLLETTE‎

Reference : 18930

‎2 manuels manuscrits de philosophie, métaphysique et physique du XVIIIe siècle‎

‎ [Sarthe], 1742-1748. 2 vol. in-8, partiellement paginés : environ 500 pp. chacun avec des ff. bl., parchemin vert, dos à nerfs, pièces de titre brunes, tranches rouges ( petits manques sans gravité à la reliure, taches, quelques petites rousseurs, galerie de ver sans atteinte au texte, partie inférieure dernier f. du 2e vol. manquante). ‎


‎2 manuels manuscrits en latin dont l'un est signé in fine. Ils sont rédigés dans une forme didactique assez scolaire, d'une belle écriture serrée. Le premier manuel traite de métaphysique et physique. Chaque partie s'étend sur, environ, une moitié de l'ouvrage. Il débute par un compendium de métaphysique dans lequel il définit les différentes notions auxquelles cette science s'intéresse, telles l'essence, la connaissance, la puissance et l'acte. Cette première partie se conclut sur la métaphysique divine à la date du 12 janvier 1744. La seconde partie touche, elle, à la physique, science de la nature, qui s'attelle à expliquer les phénomènes astronomiques, du mouvement, du temps, de l'optique ou encore de la chimie et des sens. Elle se conclut par un manuscrit de remèdes de quelques pages qui est signé "Portebize de Marollette" et daté de 1748. Le second volume débute sur un compendium de philosophie et de logique qui s'étend sur les deux tiers du livre et se termine à la date du 19 janvier 1743. On y aborde les principes de perception, de la substance, du jugement et des sens ou encore du syllogisme. La seconde partie s'intéresse à la morale et l'éthique en définissant des principes tels la politique, le libre arbitre, l'éducation et les diverses qualités à cultiver pour vivre sa vie en homme de bonnes moeurs. Un intéressant document compilant des notions de philosophie, métaphysique et physique telles qu'enseignées au milieu du XVIIIe siècle dans une famille aristocratique. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve. ‎

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‎PORTER William Sydney, sous le pseudonyme de O. Henry GUS BOFA Gustave Henri Émile Blanchot, dit‎

Reference : 57942

(1919)

‎Martin Burney boueux, boxeur et marchand d'oiseaux‎

‎L'Edition Française Illustrée, Paris 1919, 12x19cm, broché.‎


‎Edition originale, sur papier courant, de la traduction française établie par Maurice Beerblock, mention de mille. Envoi autographe signé de Maurice Beerblock à W.A. Bradley : "C'est presque un conte, cette rencontre du traducteur et de celui qui fut le locataire principal de O. Henry..." Ouvrage illustré de dessins de Gus Bofa. Deux manques sur le dos qui comporte également des déchirures recollées. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎PORTIER (C.)‎

Reference : 11343

‎Album-Photo : Algérie.‎

‎ (Fin XIXe). Album in-folio oblong, (48) pp. à onglets, 68 tirages photographiques et 20 gravures, contrecollées, légendées à la plume (couverture frottée). Ex-libris (doré en pied du plat supérieur) : C. Portier. ‎


‎Album de vues d'Alger, Blidah, Clemsen, Terniel-el-Haad, Bou-Saada, Biskra, campements, etc. et de portraits (Ben Galli, femme des Ouled-Naïl's, Ben-Aouda et son lion, Raïs ancien pirate, une belle série de portraits d'enfants, etc.) dont quelques européens (dont Emile Portier enfant). * Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve. ‎

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‎PORTNER Paul‎

Reference : 009962

(1958)

‎Sternbild, Traumbild, Lichtbild, Wortbild, Selbst-Bild‎

‎Wuppertal Marlis Bindschedler 1958 In-12 oblong Broché Dédicacé par l'auteur‎


‎EDITION ORIGINALE. Tirage à 500 exemplaires numérotés et signés par l'auteur. Bel exemplaire portant un ENVOI AUTOGRAPHE de Portner à André Frénaud, dont il sera le traducteur. Très bon 0‎

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‎PORTO-RICHE Georges de‎

Reference : 7324

(1920)

‎Anatomie sentimentale‎

‎Paul Ollendorff, Paris s.d. (circa 1920), 12x19cm, broché.‎


‎Edition originale sur papier courant, il n'a été tiré que 35 grands papiers, fausse mention de deuxième édition. Bel envoi autographe signé à pleine page de l'auteur à Simone. Dos insolé, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎PORTO-RICHE Georges de‎

Reference : 43025

(1920)

‎Anatomie sentimentale‎

‎Paul Ollendorff, Paris 1920, 11,5x18,5cm, relié.‎


‎Edition originale sur papier courant. Reliure en demi chagrin noisette, dos légèrement passé à cinq nerfs sertis de filets noirs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à effet moiré, couvertures conservées. Envoi autographe signé de Georges de Porto-Riche. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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