Paris, 12 nivôse an 11 in-4, 2 pp., en-tête, vignette, adresse au dos.
Le citoyen Bouvier, graveur et fondeur logé rue du Bac au couvent des Filles Sainte-Marie, accepte de prendre « douze jeunes garçons [...] Il désire qu'ils aient de 13 à 16 ans, qu'ils soient forts et bien portans. J'exige [...] que les peres aient besoin de ce recours ; ils seront placés pour six ans », et des arrangements seront pris pour leur instruction. « Ils seront soumis à un essai d'un mois passé lequel ils seront ou définitivement admis ou déclarés inadmissibles ».
Phone number : 33 01 43 26 71 17
Paris,Michel Lévy frères,,Librairie Nouvelle,1872; in-8°,broché,couverture vert d'eau imprimée en noir;2ff.,206pp.;couverture très légèrement défraichie avec très petit manque au 2ème plat , piqûres dans la marge externe de certains feuillets (exemplaire non rogné);petite jaunissure au faux-titre,1ère garde blanche jaunie.Exemplaire très correct.
Frontispice gravé sur bois:Cascade de Powerscourt.Edition originale,1 des rares exemplaires imprimés sur beau papier de Hollande non justifié.Envoi autographe signé de l'auteur à la Comtesse de Flavigny.Livre écrit à l'occasion d'un voyage en Irlande de la députation de la Société française de Secours aux blessés des armées de terre et de mer, sous la direction du Comte de Flavigny.(CO2)
Genève, Editions de Belles Lettres, 1969. Grand in-8 broché de 31 pages, couverture imprimée.
Edition originale au tirage limité à 500 exemplaires numérotés sur vergé, le nôtre 453. Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé du poète.
Paris Editions du Seuil 1963 1 vol. broché in-12, broché, 155 pp. Édition originale enrichie d'un envoi autographe signé : "Pour vous, cher Alain Resnais, ces voix d'une "rêveuse définitive" / Avec ma cordiale admiration". Claude Durand venait de réaliser plusieurs courts métrages avec Jean Cayrol. Il se fera surtout connaître comme éditeur, chez Grasset, puis chez Fayard. Bonne condition. Exemplaire provenant de la bibliothèque d'Alain Resnais.
Tresse, Paris 1878, 11,5x18,5cm, relié.
Edition originale. Reliure à la bradel en demi percaline rouge, dos lisse éclairci orné d'un motif floral doré, double filet doré en queue, pièce de titre de chagrin bleu, plats de papier marbré, couvertures conservées, reliure de l'époque. Bel envoi autographe signé de Emile Durandeau : "Mon cher maître, veuillez je vous prie faire bon accueil à mon livre, le livre d'un peintre. Veuillez en outre accepter mes plus respectueux hommages." Ouvrage illustré de dessins de l'auteur ainsi que d'un portrait d'Emile Durandeau en frontispice. Préface de Théodore de Banville. Quelques petites rousseurs sans gravité, une petite tache de décoloration en pied du premier plat. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Aux bureaux du Réveil bourguignon, Dijon 1908, 14x22,5cm, agrafé.
Edition originale imprimée à petit nombre. Envoi de J. Durandeau à un distingué bibliophile bourguignon (Marcel Mayer) redigé sur une carte de visite. Deux coupures de presse se rapportant à la publication de cette étude exaltant l'atavisme encollée en regard de la page de titre. Dos et plats marginalement passés, sinon rare et agréable brochure. - Photos sur www.Edition-originale.com -
[La Pensée Universelle, Editions Henri Pinson, Maison Rhodanienne de Poésie] - DURAND, Jean-Louis
Reference : 55169
(1982)
6 vol. petit in-8 br., La Pensée Universelle, 1982, Editions Henri Pinson, Les Sables d'Olonnes, 1992, Editions Henri Pinson, Les Sables d'Olonnes, 1986, Maison Rhodanienne de Poésie, Collection Rencontres Artistiques et Littéraires, 2000, 2002, 2003
Bel ensemble en parfait état, réunissant 6 recueils de poésie de Jean-Louis Durand, dont 2 dédicacés par l'auteur.
S.n. [chez l' l'auteur], s.l. [Paris] s.d. (ca 1964), 14x22,5cm, broché.
Edition originale, imprimée à très petit nombre aux frais de l'auteur. Envoi de Marguerite Durand-Viel Rousseau. Dos et plats infimement et très marginalement passés, sinon bel exemplaire. Nous joignons à cet exemplaire une lettre autographe de 2 pages recto-verso de l'auteur fournissant des explications sur le contenu du livre et la démarche poétique qui lui est associée. Rare ensemble. - Photos sur www.Edition-originale.com -
NICE -"Petit Niçois"-1907- IN8 br.150p.-texte encadré d'un ornement 1900
envoi autographe auteur,bon etat
Editions Sarrazin & Jean-Jacques Pauvert, Paris 1971, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des 300 exemplaires numérotés sur bouffant, seuls grands papiers après 100 pur fil. Notre exemplaire est incomplet des deux gravures présentes dans les 400 grands papiers. Envoi autographe signé de Julien Sarrazin à Jani Brun. - Photos sur www.Edition-originale.com -
DURANTIN Armand - (Senlis 1818 - 1892) - Auteur dramatique français
Reference : GF23891
1 page in8 - bon état -
Il demande (de la part de Mr Le Tellier du Cabinet de lecture) si une collaboration dramatique lui serait agréable - Il propose un vaudeville en un acte: "le sujet est tiré d'un article que j'ai donné il y a quelques mois dans les Français de Curmer, l'Agent de la rue de Jérusalem et qui a eu quelques succès"...- Dans l'affirmative, il souhaite un rendez vous - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
DURANTIN Armand - (Senlis 1818 - 1892) - Auteur dramatique français
Reference : GF23892
1 page in8 - bon état -
Il le remercie de s'être occupé de son "petit intermède" mais il est trop tard - Il a pensé que sa proposition n'avait pas intéressé l'actrice prêvue et l'a proposé à Mlle Victorine du théatre du Panthéon - "Elle trouva la scène fort à son gout, la musique lui sembla trés jolie et depuis cette époque, elle la répéte chaque jour"...- Il ne peut lui retirer sans lui faire un affront - En attendant il lui offre deux billets pour un petit vaudeville et souhaite le rencontrer pour d'autres projets Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
Paris Gallimard 1942 1 vol. Relié in-8, bradel pleine toile verte, pièce de titre de basane fauve au dos, tête dorée, couvertures et dos conservés, non rogné (Honnelaître), XV + 351 pp. Nouvelle édition, à l'initiative de Jean Paulhan qui donne une préface en originale. Exemplaire du service de presse (il n'a pas été tiré de grand papier) enrichi d'un envoi de Paulhan daté du 11 juillet 1942 et d'un billet autographe signé du même adressé à une dame (certainement Yanette Delétang-Tardif, 2 ff. in-24 sur papier mauve où Paulhan a collé un petit portrait photographique de Duranty en tirage moderne). Très bel exemplaire.
in-16, 2 pp.Sans date, 36 rue Véron.Il remercie chaleureusement un confrère de l’intérêt qu’il a bien voulu manifester pour l’un de ses livres. En post-scriptum : “Pardonnez-moi le t; j’ai des sortes d’obsessions de mots qui me font estropier ainsi les noms de deux de mes amis assez intimes, noms que je sais très bien. 36 rue Véron. Nous sommes tous voisins”.DURANTY (Louis-Emmanuel-Edmond)Une légende – née d’un article de Ph. Burty – faisait de Duranty un bâtard de Mérimée. Mais le mystère de sa naissance est aujourd’hui éclairci. Fruit des amours secrètes d’une certaine Emilie Lacoste et d’un auditeur du Conseil d’Etat Louis Edmond Anthoine, il naquit à Paris en 1833. Duranty est un fleuron de la bohème, un pilier de la Brasserie Andler (rue Hautefeuille) où Courbet tenait ses assises depuis 1848. Après une brève carrière administrative, il prit la plume qu’il trempa dans l’encrier réaliste. Entré dans le groupe de Champfleury il fonda avec Jules Assézat et Thulié la revue Réalisme qui soutenait l’ « Ecole » de Courbet. Seuls six numéros furent publiés et la revue s’éteignit dès 1857. Malassis fit paraître en 1860 le premier roman de Duranty, mais la carrière romanesque de ce réaliste magistral tourna court. La Cause du beau Guillaume (1862) ne se vendit point et les Combats de Françoise Duquesnoy fut publié à compte d’auteur. Grâce à l’appui de Zola Duranty publia encore deux recueils de nouvelles. Parallèlement il avait dirigé le théâtre de marionnettes des Tuileries dont il mit à jour le répertoire en 1872. Mais Duranty fut surtout un remarquable critique d’art. On lui doit dans Paris Journal (1869-1872), dans la Gazette des Beaux-Arts (1872) et dans Beaux-Arts illustrés (1876) de remarquables études sur l’impressionnisme naissant qu’il rattachait au réalisme.Les romans de Duranty ont paru au mauvais moment, trop tôt après les succès de Champfleury et trop tôt aussi avant les Rougon-Macquart de Zola. « Alors que Champfleury… représente le réalisme humoristique à la Dickens, dit Claude Pichois (Lettres à Baudelaire, p. 145), Duranty représente le réalisme dur ; sa technique – la restriction du champ notamment – annonce celle du nouveau roman ».Il faudra attendre 1942 pour lire Henriette Gérard dans une nouvelle édition (préfacée par Paulhan). Duranty mourut en 1880. En 1913 Pierre Martino lui consacra une notice chaleureuse dans Le Roman Réaliste sous le Second Empire, pp. 136 à 153. C’est en 1954 seulement que paraîtra la première étude biographique et critique sérieuse, par Louis Edouard Tabary, suivie en 1964 par le travail magistral de Marcel Crouzet.
1879 ; 2 pp.2 pp. in-8°Précieuse lettre de remerciement à un romancie polonais dont, à l’instar de MM. Parturier et Crouzet qui reproduisent la présente dans leurs publications sur Duranty, nous n’avons pas découvert l’identité. Charpentier vient de rééditer Le malheur d’Henriette Gérard avec, en guise de préface, des articles de Zola. “J’ai été bien touché de tous vos éloges, et j’en ai été presque surpris, car ainsi que vous le dites, je n’ai pas l’habitude de me voir gâté par les camarades. Aussi l’acte de Zola a-t-il été très extraordinaire, et je me serais cru impardonnable, si je n’avais mis ses articles en tête de mon livre. Plus d’un me conseillaient de ne point le faire. Vous avez à merveille parlé de ce roman [...] et je n’ai qu’un regret c’est que cela n’ait pas été dit à Paris plutôt qu’à Varsovie...”.Dans ses articles consacrés aux romanciers contemporains, Zola avait réclamé pour Duranty une “justice complète” et affirmé qu’il était “un des cinq ou six romanciers dont les oeuvres devraient compter”. Relayés par le Figaro en décembre 1878, ces propos firent grand bruit dans le landerneau littéraire. D’aucuns reprochèrent même à l’auteur de Nana de se servir de Duranty comme “d’une massue vivante” pour écraser la littérature.Voir Parturier, Zola et Duranty, Giraud-Badin, 1948; Crouzet, p. 389DURANTY (Louis-Emmanuel-Edmond)Une légende – née d’un article de Ph. Burty – faisait de Duranty un bâtard de Mérimée. Mais le mystère de sa naissance est aujourd’hui éclairci. Fruit des amours secrètes d’une certaine Emilie Lacoste et d’un auditeur du Conseil d’Etat Louis Edmond Anthoine, il naquit à Paris en 1833. Duranty est un fleuron de la bohème, un pilier de la Brasserie Andler (rue Hautefeuille) où Courbet tenait ses assises depuis 1848. Après une brève carrière administrative, il prit la plume qu’il trempa dans l’encrier réaliste. Entré dans le groupe de Champfleury il fonda avec Jules Assézat et Thulié la revue Réalisme qui soutenait l’ « Ecole » de Courbet. Seuls six numéros furent publiés et la revue s’éteignit dès 1857. Malassis fit paraître en 1860 le premier roman de Duranty, mais la carrière romanesque de ce réaliste magistral tourna court. La Cause du beau Guillaume (1862) ne se vendit point et les Combats de Françoise Duquesnoy fut publié à compte d’auteur. Grâce à l’appui de Zola Duranty publia encore deux recueils de nouvelles. Parallèlement il avait dirigé le théâtre de marionnettes des Tuileries dont il mit à jour le répertoire en 1872. Mais Duranty fut surtout un remarquable critique d’art. On lui doit dans Paris Journal (1869-1872), dans la Gazette des Beaux-Arts (1872) et dans Beaux-Arts illustrés (1876) de remarquables études sur l’impressionnisme naissant qu’il rattachait au réalisme.Les romans de Duranty ont paru au mauvais moment, trop tôt après les succès de Champfleury et trop tôt aussi avant les Rougon-Macquart de Zola. « Alors que Champfleury… représente le réalisme humoristique à la Dickens, dit Claude Pichois (Lettres à Baudelaire, p. 145), Duranty représente le réalisme dur ; sa technique – la restriction du champ notamment – annonce celle du nouveau roman ».Il faudra attendre 1942 pour lire Henriette Gérard dans une nouvelle édition (préfacée par Paulhan). Duranty mourut en 1880. En 1913 Pierre Martino lui consacra une notice chaleureuse dans Le Roman Réaliste sous le Second Empire, pp. 136 à 153. C’est en 1954 seulement que paraîtra la première étude biographique et critique sérieuse, par Louis Edouard Tabary, suivie en 1964 par le travail magistral de Marcel Crouzet.
Lausanne L'Âge d'Homme 1984 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée, 173 pp. Édition originale enrichie d'un envoi autographe signé de l'autrice au cinéaste Alain Resnais, "cet essai sur notre commune amie"... Couverture très légèrement jaunie en bordure, intérieur frais. Exemplaire provenant de la bibliothèque d'Alain Resnais.
Paris Gallimard 1970 1 vol. broché in-12, broché, couverture à rabats, non coupé, 149 pp. Édition originale en service de presse avec cet envoi autographe signé de l'autrice : "Pour Alain Resnais, Amitié (Duras)". En excellente condition sous étui noir et chemise blanche doublée de daim sable. Exemplaire provenant de la bibliothèque d'Alain Resnais.
Pantheon Books, New York 1987, 13x21cm, reliure de l'éditeur.
Edition originale en anglais établie par Barbara Bray. Reliure de l'éditeur en plein cartonnage sable, exemplaire complet de sa jaquette illustrée. Bel exemplaire. Envoi autographe daté et signé de Barbara Bray à madame et monsieur Pierre Cotet. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Gallimard, Paris 1962, 12x19cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Agréable exemplaire complet de sa bande-annonce. Précieux envoi autographe signé de Marguerite Duras à Claude Simon. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Gallimard 1944 1 vol. Broché in-12, broché, 219 pp. Édition originale peu courante dont il n'a été tiré que 13 exemplaires sur beau papier. Exemplaire du service de presse avec un rare envoi autographe signé, "en témoignage de mon amitié", à Christian Mégret, ancien administrateur colonial au Togo, auteur de plusieurs romans dont le précédent était paru chez Plon en 1943, tout comme Les Impudents le premier roman de Duras. Mention fictive de deuxième édition, dos gauchi.
Les Editions de Minuit, Paris 1958, 12x19cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Dos légèrement insolé. Rare envoi autographe signé, sur ce texte, de Marguerite Duras à Philippe Bernheim. Cet ouvrage fut adapté deux ans plus tard au cinéma par Peter Brook avec, dans les rôles principaux, Jeanne Moreau et Jean-Paul Belmondo. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Pantheon Books, New York 1986, 13x21cm, reliure de l'éditeur.
Edition originale en anglais établie par Barbara Bray. Reliure de l'éditeur en plein cartonnage gris, exemplaire complet de sa jaquette illustrée. Bel exemplaire. Envoi autographe signé de Barbara Bray. - Photos sur www.Edition-originale.com -
[Kuroda] - DURAS Marguerite - FALLEN Camille - QUIGNARD Pascal - MANOEUVRE Laurent - MAEGHT Adrien & Yoyo - Kuroda Mariko [ AKI KURODA
Reference : 009486
(2002)
Paris Maeght 2002 In-4 carré Cartonnage toilé, jaquette illustrée Dédicacé par l'illustrateur
Importante étude illustrée de 222 reproductions en couleurs et 40 en noir.Hors texte, 2 LITHOGRAPHIES originales en couleurs sur double page de KURODA> En page de titre, ENVOI autographe signé avec DESSIN original de KURODA. TRES BON ETAT 0
Paris s.d. (vers 1860), 10,4x13,1cm, une feuille rempliée.
Lettre autographe signée du sculpteur Francisque Duret àAdolphe Saint Vincent Duvivier, chef du secrétariat de l'Ecole impériale des beaux-arts. "J'ai retenu Paul Armand, modèle arabe pour ma quinzaine à l'école et je prie Monsieur Duvivier de lui donner les instructions nécessaires et de prendre son adresse [...]" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 12 mai 1839, 13,1x20,1cm, une feuille rempliée.
Lettre autographe signée du sculpteur Francisque Duret à propos de l'acquistion par le musée du Louvre d'un exemplaire de sa célèbre statue, leVendangeur improvisant sur un sujet comique (souvenir de Naples), qu'il présenta au Salon de 1839. L'exemplaire du Louvre (R.F. 172), fondu d'après le modèle de 1839, a été présenté lors de l'Exposition universelle de 1855. 'Monsieur, Le fondeur de la statue en bronze que j'ai mise cette année au Salon, désire pouvoir mettre mon ouvrage à l'industrie, sourtout avant le 15 du mois; dernier jour accordé aux exposants [...] croyez cependant Monsieur, que si vous daignez lui accorder asyle dans quelque musée ou jardin royal, faveur qu'elle ambitionne par dessus tout, elle s'empressera de se rendre à vos ordres [...]". - Photos sur www.Edition-originale.com -