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‎BLAISE CENDRARS/ Robert DOISNEAU ‎

Reference : 12953

‎ La banlieue de Paris.‎

‎La banlieue de Paris. In 8 cartonnage de l’éditeur crème titre en noir. 240x180mm. Gardes illustrées, faux titre, titre ; 55 pages, et à la suite 130 photos de Robert DOISNEAU reproduites en hélio : gosses- amour-décors-dimanches et fêtes-travail-terminus-habitations Pierre SEGHERS éditeur15 octobre 1949.Complet de sa jaquette illustrée. Edition originale. Première édition du premier livre de Robert DOISNEAU, accompagné du texte de Blaise CENDRARS, présentent la banlieue de Paris après la seconde guerre mondiale. Célèbre édition SEGHERS qui a conservé sa jaquette illustrée. (Petits frottement en tête un petit manque triangulaire. Le livre est proche de l’état de neuf. Publiée en collaboration avec la guilde du livre de Lausanne, l’éditeur parisien disposa de 3000exemplaires sur les 7000 qui sont mis en vente le 15 octobre 1949, il les dota, pour le marché français, d’une page de titre et surtout d’une jaquette illustrée‎


Charbonnel - Bar le Duc

Phone number : 03 29 79 40 63

EUR1,100.00 (€1,100.00 )

‎BLANC & DEMILLY‎

Reference : 9724

‎MARCEL GIMOND. Portrait original. ‎

‎ Photographie originale représentant le sculpteur Marcel Gimond, l’air malicieux, pipe au bec. Tirage argentique d’époque (1950), dimensions de la photo : 166 x 116 mm, signée Blanc Demilly à la gouache blanche sur l’image. Une épreuve de la même série a été présentée au Centre Pompidou lors de l’exposition Blanc & Demilly, photographes à Lyon. Beau tirage en parfait état. ‎


Phone number : 06 79 60 18 56

EUR200.00 (€200.00 )

‎BLANC (Edmond) - (Photo de la 2e collection Félix Potin) ‎

Reference : 53673

(1900)

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Edmond Blanc, propriétaire-éleveur.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.‎

‎Photo. Né à Paris en 1856. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎


Librairie et Cætera - Belin-Beliet

Phone number : +33 (0) 5 56 88 08 45

EUR8.10 (€8.10 )

‎BLANCHARD Claude‎

Reference : 804038

‎DAMES DE COEUR.‎

‎Editions Du Pré Aux Clercs Paris 1946 In-8 carré ( 220 X 160 mm ), broché sous couverture illustrée. 17 des photographies dans le monde. D'après la documentation, les notes et avec les documents photographiques de RENE COURSAGET. Les autres documents photographiques ont été aimablement prêtés par le Musée CARNAVALET GEORGES SIROT et DIGNIMONT. Bel exemplaire.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR10.00 (€10.00 )

‎Blanchard (Claude).‎

Reference : 6599

‎DAMES DE COEUR. DIX-SEPT DES PREMIERES PHOTOGRAPHIES DU MONDE.‎

‎P., Editions du Pré aux Clercs, 1946. In-8 broché, 178 pages, illustrations in-txt. Couverture lég. us.‎


‎Présentation et scènes de la vie des " Dames de Coeur ". Le rôle de la Cocotte, Cora Pearl ou l'amour comptable, Rigolboche ou la Reine du Cancan, Marguerite Bellanger, Madame Valtesse de la Bigne...‎

Au Chercheur d'Art - Etroeungt

Phone number : 03 27 61 47 95

EUR16.00 (€16.00 )

‎BLANCHARD (Claude)‎

Reference : 7112

(1946)

‎Dames de Coeur Dix-sept des premières photographies du monde‎

‎Paris, Editions du Pré aux Clercs, 1946, In huit, 177 pp, broché, couverture rouge illustrée d'un portrait en noir,‎


‎D'après la documentation les notes et avec les documents photographiques de René Coursaget, les autres documents photographiques ont été aimablement prêtés par le Musée Carnavalet, Georges Sirot et Dignimont. ‎

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Phone number : 01 42 96 06 24

EUR18.11 (€18.11 )

‎BLANCHARD (Elise)‎

Reference : WOC-261

(2005)

‎Sur les traces des Grands Voyageurs en Chine, au Tibet et en Asie Centrale.‎

‎Texte Elise Blanchard. Photographies Louis-Marie et Thomas Blanchard. Cartographie Patrick Mérienne. Editions Ouest-France.2005. In-4 (24x30,5cm) cartonnage éditeur illustré. 190pp.‎


‎Bon état‎

Librairie Hermès - Annemasse

Phone number : +33 450 92 04 43

EUR15.00 (€15.00 )

‎Blanchar, Dominique‎

Reference : 16499

(1946)

‎Dominique Blanchar, coulisses de l'Athénée pour L'École des femmes‎

‎ 1946 1946. Tirage argentique de l’époque. GRAND TIRAGE ARGENTIQUE DE L'ÉPOQUE. Portrait de Dominique Blanchar capturé par Brassaï dans les coulisses du Théâtre de l'Athénée lors des préparatifs pour L'École des femmes. Tampon du photographe au dos : "BRASSAÏ / 61, rue du Faubrd St-Jacques / PARIS XIVe / TÉLÉPH : PORT-ROYAL 23-41" En 1936, Louis Jouvet, directeur du théâtre de l'Athénée, crée l'une des premières adaptations modernes de L'École des femmes. S'il nourrissait depuis près de 14 ans le projet de monter la pièce de Molière, Jouvet butait sur les décors : intervient Christian Bérard, qui dessine, en plus de costumes d'un style nouveau un décor mobile mécanique permettant de diviser l'espace scénique en deux lieux différents. C'est dans un premier temps Madeleine Ozeray qui interprète le rôle principal. Mais en 1946, Louis Jouvet repère Dominique dite "Minou" Blanchar, à laquelle il confie le rôle de l'Agnès. Elle l'endossera jusqu'à la mort du metteur en scène (qui lui continuera de jouer Arnolphe) en août 1951. Avec 675 représentations entre 1936 et 1951, la mise en scène accède rapidement au statut de mythe. En 2001-2003, le Théâtre de l'Athénée confiera à Jacques Lasalle la réalisation d'une mise en scène "hommage" de L'École des femmes reprenant le décor de Bérard. ‎


Phone number : 09 88 40 55 75

EUR400.00 (€400.00 )

‎Blanchar, Dominique‎

Reference : 16502

(1946)

‎Dominique Blanchar en costume dans les coulisses de l'Athénée pour L'École des femmes [2]‎

‎ 1946 1946. Tirage argentique de l’époque. Un coin frotté. GRAND TIRAGE ARGENTIQUE DE L'ÉPOQUE. Portrait de Dominique Blanchar capturé par Brassaï dans les coulisses du Théâtre de l'Athénée lors des préparatifs pour L'École des femmes. Tampon du photographe au dos : "BRASSAÏ / 61, rue du Faubrd St-Jacques / PARIS XIVe / TÉLÉPH : PORT-ROYAL 23-41" En 1936, Louis Jouvet, directeur du théâtre de l'Athénée, crée l'une des premières adaptations modernes de L'École des femmes. S'il nourrissait depuis près de 14 ans le projet de monter la pièce de Molière, Jouvet butait sur les décors : intervient Christian Bérard, qui dessine, en plus de costumes d'un style nouveau un décor mobile mécanique permettant de diviser l'espace scénique en deux lieux différents. C'est dans un premier temps Madeleine Ozeray qui interprète le rôle principal. Mais en 1946, Louis Jouvet repère Dominique dite "Minou" Blanchar, à laquelle il confie le rôle de l'Agnès. Elle l'endossera jusqu'à la mort du metteur en scène (qui lui continuera de jouer Arnolphe) en août 1951. Avec 675 représentations entre 1936 et 1951, la mise en scène accède rapidement au statut de mythe. En 2001-2003, le Théâtre de l'Athénée confiera à Jacques Lasalle la réalisation d'une mise en scène "hommage" de L'École des femmes reprenant le décor de Bérard. ‎


Phone number : 09 88 40 55 75

EUR400.00 (€400.00 )

‎Blanchar, Dominique‎

Reference : 16500

(1946)

‎Dominique Blanchar en costume dans les coulisses de l'Athénée pour L'École des femmes [1]‎

‎ 1946 Sans date [1946]. Tirage argentique de l’époque. Un coin frotté. GRAND TIRAGE ARGENTIQUE DE L'ÉPOQUE. Portrait de Dominique Blanchar capturé par Brassaï dans les coulisses du Théâtre de l'Athénée lors des préparatifs pour L'École des femmes. Tampon du photographe au dos : "BRASSAÏ / 61, rue du Faubrd St-Jacques / PARIS XIVe / TÉLÉPH : PORT-ROYAL 23-41" En 1936, Louis Jouvet, directeur du théâtre de l'Athénée, crée l'une des premières adaptations modernes de L'École des femmes. S'il nourrissait depuis près de 14 ans le projet de monter la pièce de Molière, Jouvet butait sur les décors : intervient Christian Bérard, qui dessine, en plus de costumes d'un style nouveau un décor mobile mécanique permettant de diviser l'espace scénique en deux lieux différents. C'est dans un premier temps Madeleine Ozeray qui interprète le rôle principal. Mais en 1946, Louis Jouvet repère Dominique dite "Minou" Blanchar, à laquelle il confie le rôle de l'Agnès. Elle l'endossera jusqu'à la mort du metteur en scène (qui lui continuera de jouer Arnolphe) en août 1951. Avec 675 représentations entre 1936 et 1951, la mise en scène accède rapidement au statut de mythe. En 2001-2003, le Théâtre de l'Athénée confiera à Jacques Lasalle la réalisation d'une mise en scène "hommage" de L'École des femmes reprenant le décor de Bérard. ‎


Phone number : 09 88 40 55 75

EUR400.00 (€400.00 )

‎BLANCHARD Pascal, BOËTSCH Gilles & al.‎

Reference : HISTOIRE880623

(2021)

ISBN : 9782732497501

‎Le racisme en images. Déconstruire ensemble‎

‎Paris, Editions de La Martinière, 2021, 22 x 28,5, 240 pages cousues sous couverture souple illustrée. Riche iconographie noir & blanc et couleurs.‎


‎Très bon état.‎

Phone number : 04 78 58 44 04

EUR17.00 (€17.00 )

‎BLANCHARD (Raoul) et SEIVE (Capitaine F.).-‎

Reference : 31226

(1928)

‎Les Alpes Françaises à vol d'oiseau. Ouvrage orné de 137 héliogravures.‎

‎ 1928 Grenoble, Arthaud (Collection "Les Beaux Pays"), 1928, in 8° broché, 187 pages ; couverture rempliée illustrée en couleurs (ternie, défauts au dos). ‎


‎Photographies aériennes du Capitaine Seive en collaboration avec les pilotes suivants : Commandant Girier - Capitaines Cressole, Girard, Rey, Dordilly - Lieutenants Courtieu, Bouillanne - Adjudants Majorel, Carayon, Delettre et Perrier. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR18.00 (€18.00 )

‎BLANCHET Emile Robert:‎

Reference : 17168

(1937)

‎Au bout d'un fil. Douze ascensions nouvelles dans les Alpes suisses et françaises.‎

‎Paris, Les éditions de France, 1937. In-12 de [8]-214-[4] pages, pleine toile vert pâle, pièce de titre beige, couvertures conservées. ‎


‎Abondamment illustré de photographies en noir hors-texte. Edition originale enrichie d'un envoi autographe de l'auteur. ‎

Phone number : +4122 310 20 50

CHF60.00 (€61.41 )

‎BLANCHET Emile Robert:‎

Reference : 17167

(1932)

‎Hors des chemins battus. Ascensions nouvelles dans les Alpes.‎

‎Paris, Les éditions de France, 1932. In-12 de [6]-VII-[1]-264-[4] pages, pleine toile vert pâle, pièce de titre beige, couvertures conservées. ‎


‎Abondamment illustré de photographies en noir hors-texte. Edition originale, un des 20 sur papier Alfa, premier papier, le nôtre est le numéro 3. Préface du général Bruce. Enrichi d'un bel envoi autographe de l'auteur. Premier plat de couverture défraîchie. ‎

Phone number : +4122 310 20 50

CHF140.00 (€143.29 )

‎BLANCHET Emile Robert; BRUCE Général (préface):‎

Reference : 17267

(1932)

‎Hors des chemins battus. Ascensions nouvelles dans les Alpes.‎

‎Paris, Les éditions de France, 1932. In-12 broché de 187 pages, couverture illustrée d'une photographie en noir. Couverture très fatiguée, le second plat menaçant se désolidariser. ‎


‎Augmenté de nombreuses photographies en noir hors-texte. ‎

Phone number : +4122 310 20 50

CHF30.00 (€30.70 )

‎BLANCHET E. R:‎

Reference : 17276

(1937)

‎Au bout d'un fil. Douze ascensions nouvelles dans les alpes suisses et françaises.‎

‎Paris, Les éditions de France, 1937. In-12 de 214 pages, demi-veau glacé caramel, tranche supérieure dorée. Dos passé. ‎


‎Illustré de photographies en noir hors-texte. ‎

Phone number : +4122 310 20 50

CHF20.00 (€20.47 )

‎[Arrêt sur l'Image Edition] - ‎ ‎BLANCHET, Marc ; PONS, Philippe‎

Reference : 42081

(2002)

‎Bordeaux. Photographies de Philippe Pons.‎

‎1 vol. grand in-8 carré br., Arrêt sur l'Image Edition, Bordeaux, 2002‎


‎Bon exemplaire (très bon état).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR20.00 (€20.00 )

‎(BLANCHOT Maurice)‎

Reference : 57913

(1907)

‎[Photographie] Extraordinaire réunion de photographies de Maurice Blanchot prises dans la sphère familiale‎

‎ca.1907-2003, Un album photographique de 30x32cm contenant 260 photographies.‎


‎Album de 260 photographies originales, composant le seul corpus photographique de Maurice Blanchot et de sa famille, à l'exception de quelques photographies isolées, d'identité ou tardives publiées dans le cahier de l'Herne consacré à l'écrivain. «?Blanchot mit longtemps au défi photographes et caricaturistes de la presse littéraire. Minimalistes et rarissimes, sur tant d'années, sont les esquisses d'illustrations?: en 1962 dans L'Express, une main brandit un livre, sur fond de page ; en 1979, dans Libération, un carré vierge au milieu de la page, portant pour toute légende le nom de Maurice Blanchot et une citation de l'Entretien infini («?un vide d'univers?: rien qui fut visible, rien qui fut invisible?»)?» (C. Bident, Maurice Blanchot). En 1986, à l'occasion d'une exposition de portraits d'écrivains, Maurice Blanchot demande que sa photo soit remplacée par un texte manifestant son désir d'«?apparaître le moins possible, non pas pour exalter [ses] livres, mais pour éviter la présence d'un auteur qui prétendrait à une existence propre?» . Une photo prise à son insu par un paparazzo sur un parking de supermarché, fera longtemps office de portrait de l'écrivain avant que son ami Emmanuel Levinas ne dévoile quelques rares portraits de leur jeunesse. Que Maurice Blanchot ne se soit pas opposé à cette divulgation, que celle-ci soit le fait de son plus proche ami, pourrait s'expliquer par ce que Bident nomme «?l'espacement de l'inquiétude?», l'inactualité des portraits dévoilés faisant écho aux publications reportées de L'Idylle, Le Dernier Mot, L'Arrêt de mort.... Seules quelques photographies rassemblées dans les pages centrales du numéro des Cahiers de l'Herne consacré à Maurice Blanchot paru en 2014 complètent ces clichés uniques de l'écrivain le plus secret du XXè siècle. Dans son chapitre «?L'indisposition du secret?», Christophe Bident consacre plusieurs pages à l'absence presque totale d'image de ce partenaire invisible, s'interrogeant sur les motivations intellectuelles et psychologiques de l'écrivain conscient pourtant de l'inévitable révélation à venir?: «?Tout doit devenir public. Le secret doit être brisé. L'obscur doit entrer dans le jour et se faire jour. Ce qui ne peut se dire doit pourtant s'entendre. Quidquid latet apparebit, tout ce qui est caché, c'est cela qui doit apparaître...?» Maurice Blanchot, L'Espace littéraire) Maurice Blanchot refusait généralement d'être photographié, même dans le cadre privé, comme le confirme la famille de sa belle-sur Anna qui, dans une lettre à son neveu, lui confirme n'avoir pris aucun cliché de l'écrivain, respectant ainsi ses vux. Pourtant, les photographies prises au sein de sa famille proche, nous montrent un Blanchot parfaitement consentant, et jouant même avec raffinement avec son image offerte au photographe, généralement son frère. Ainsi découvre-t-on un homme élégant posant fièrement sur un ponton de bateau ou sur les quais de Seine, ou plus mystérieux, jouant avec les effets de lumière dans le coin d'une pièce nue. On constate alors une véritable mise en scène photographique, et une réappropriation symbolique de l'image, notamment dans cet étonnant portrait assis de l'écrivain tenant dans ses bras le masque mortuaire de l'«?Inconnue de la Seine?», célèbre tête en plâtre d'une jeune femme supposée noyée et qui orna les ateliers d'artistes après 1900. Véritable légende romantique, cette sculpture au mystérieux sourire post mortem est au cur du roman d'Aragon, Aurélien, et hante les uvres des artistes du début du siècle dont Rainer Maria Rilke, Vladimir Nabokov, Claire Goll, Jules Supervielle, Louis-Ferdinand Céline, Giacometti ou Man Ray qui, à la demande d'Aragon, en fit un inquiétant portrait photographique. Maurice Blanchot décrira l'inconnue comme «?une adolescente aux yeux clos, mais vivante par un sourire si délié, si fortuné, [...] qu'on eût pu croire qu'elle s'était noyée dans un instant d'extrême bonheur.?» Cette photographie d'un Blanchot impavide berçant le masque blanc de la «?Joconde du suicide?» s'affirme comme une véritable déconstruction de la représentation et une illustration aussi parfaite qu'énigmatique de son uvre littéraire et du «?silence qui lui est propre?». De nombreuses photographies témoignent d'un même souci de détournement de la représentation au profit d'une symbolique aporétique, tel ce portrait en pied de l'écrivain vêtu de noir qui se fond dans la perspective fuyante des bâtiments mais dont le front seul est nimbé d'une lumière crue qui semble jaillir de son crâne et effacer les contours des toits. Ou cette autre sur laquelle la lumière nimbe la moitié d'une pièce vide et sépare la photographie en deux parties égales?: un espace sombre à l'exacte frontière duquel Maurice Blanchot se tient droit les mains derrière le dos et un espace lumineux et entièrement vide, à l'exception d'un pied de l'intellectuel qui s'y aventure. Ces photographies réalisées avec son frère révèlent une parfaite maîtrise de l'image et de ses codes artistiques. D'autres photographies, de composition plus classique, apportent un précieux et unique témoignage sur la vie de Maurice Blanchot et sur ses relations familiales qui constituent tout à la fois la face cachée de l'écrivain et son seul véritable ancrage dans la vie physique. Maurice Blanchot, avec lequel ses plus proches amis n'entretenaient généralement que des relations téléphoniques, a vécu la majeure partie de sa vie au sein de sa famille. D'abord dans la maison familiale de Quain, puis hébergé par son frère René et sa belle-sur Anna chez qui il demeurera même après la mort de René puis d'Anna. C'est également avec sa mère et sa sur Marguerite que Maurice aura la plus importante correspondance, (plus de 1400 lettres) tout au long de leur vie, partageant avec elles tous les aspects de sa vie intellectuelle, sociale et politique. Enfin, sa nièce Annick, belle-fille de son frère Georges, et son petit neveu Philippe furent presque les seules personnes autorisées à pénétrer dans l'appartement de René, Anna et Maurice, où l'écrivain menait une vie retranchée. On y découvre la silhouette longiligne d'un homme dont la fragile constitution contribua à sa dépendance envers sa famille au sein de laquelle l'écrivain menait une vie simple et heureuse, posant naturellement au côté de sa mère, promenant son neveu par la main, partageant un repas de famille dans le jardin, ou conversant dans le salon. Les postures de Blanchot sont alors celles d'un homme tranquille, ne fuyant pas l'objectif et posant parfois au contraire avec un certain dandysme très assumé. Sur plusieurs autres photographies, Blanchot pose au premier plan dans une même posture d'une élégance hiératique en parfait décalage avec le paysage et les autres personnages en arrière-plan. Cette répétition du même dans différents décors confère à Maurice Blanchot une présence fantomatique ou à tout le moins irréelle. Mais ces photographies nous renseignent également, autant que faire se peut, sur la vie privée de Maurice Blanchot, ses voyages, ses relations, son univers quotidien au sein de sa famille et sur les différentes périodes de sa vie. Car les photographies rassemblées ici, commencent avec des portraits de famille en bistre albuminés avant même la naissance de Maurice Blanchot et s'achèvent par des argentiques en couleur sur papier Kodak, sur lesquelles l'écrivain très sérieux sur son fauteuil de velours, toise l'objectif en contre-plongée, ou, facétieux dans un jardin verdoyant, se cache le visage derrière un chat qu'il serre amoureusement dans ses bras. Enfin, comme pour clore cet album unique du seul écrivain qui aura su se rendre invisible au monde sa vie durant, une photographie en buste nous montre, émergeant d'un pull noir profond et uniforme, le visage radieux de l'écrivain qui semble se rire du bon tour qu'il a joué à ses contemporains. A l'exception de quelques clichés d'identité et souvenirs de voyages réalisés à la fin de sa vie, ce fonds unique et complet constitue la seule source photographique de Maurice Blanchot, de ses lieux de vie et de sa famille, ce cercle intime volontairement dissimulé aux regards et à la curiosité du public et des amis et qui fut pourtant à la base du rapport conflictuel de l'écrivain au monde extérieur. Mais bien plus qu'une prosaïque documentation en marge de l'uvre de Maurice Blanchot, les photographies de cet ensemble témoignent d'une réelle maitrise de l'image, de sa mise en perspective et de son pouvoir de réflexivité. Comme un ultime présent de l'auteur de Thomas l'Obscur, ces traces uniques de son passage font soudain réapparaître celui qui sut jadis disparaitre derrière son uvre, réalisant ainsi le miracle de son «?Toma?» (jumeau)?: être et ne pas être. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR35,000.00 (€35,000.00 )

‎(BLANCHOT Maurice)‎

Reference : 71944

(1934)

‎Photographie originale de Maurice Blanchot ‎

‎S.n., Elbeuf S.d (1900), 5,5x8cm, une feuille.‎


‎Photographie originale de Maurice Blanchot. Tirage argentique d'époque. «Blanchot mit longtemps au défi photographes et caricaturistes de la presse littéraire. Minimalistes et rarissimes, sur tant d'années, sont les esquisses d'illustrations : en 1962 dans l'Express, une main brandit un livre, sur fond de page; en 1979, dans Libération, un carré vierge au milieu de la page, portant pour toute légende le nom de Maurice Blanchot et une citation de l'Entretien infini ("un vide d'univers: rien qui fut visible, rien qui fut invisible")» (C. Bident, Maurice Blanchot). En 1986, à l'occasion d'une exposition de portraits d'écrivains, il demande que sa photo soit remplacée par un texte manifestant son désir d'«apparaître le moins possible, non pas pour exalter [ses] livres, mais pour éviter la présence d'un auteur qui prétendrait à une existence propre» . Une photo prise à son insu par un paparazzo sur un parking de supermarché, fera longtemps office de portrait de l'écrivain avant que son ami Emmanuel Lévinas ne dévoile quelques rares portraits de leur jeunesse. Que Maurice Blanchot ne se soit pas opposé à cette divulgation, que celle-ci soit le fait de son plus proche ami, pourrait s'expliquer par ce que Bident nomme «l'espacement de l'inquiétude», l'inactualité des portraits dévoilés faisant écho aux publications reportées de L'Idylle, Le Dernier Mot, L'Arrêt de mort...). Seules quelques photographies rassemblées dans les pages centrales du numéro des Cahiers de l'Herne consacré à Maurice Blanchot complètent ces clichés uniques de l'écrivain le plus secret du XXème siècle. Dans son chapitre «L'indisposition du secret», Christophe Bident consacre plusieurs pages à l'absence presque totale d'image de ce partenaire invisible, s'interrogeant sur les motivations intellectuelles et psychologiques de l'écrivain conscient pourtant de l'inévitable révélation à venir, «Tout doit devenir public. Le secret doit être brisé. L'obscur doit entrer dans le jour et se faire jour. Ce qui ne peut se dire doit pourtant s' entendre. Quidquid latet apparebit, tout ce qui est caché, c'est cela qui doit apparaître ...» Maurice Blanchot, L'Espace littéraire) Provenance: Archives familiales. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR1,000.00 (€1,000.00 )

‎(BLANCHOT Maurice)‎

Reference : 52956

(1900)

‎Photographie originale de Maurice Blanchot assis à sa table de travail devant la bibliothèque‎

‎Elbeuf S.d (Circa 1900), 10,5x16,5cm, une feuille.‎


‎Photographie originale de Maurice Blanchot, souriant, assis à sa table de travail devant la bibliothèque. Tirage argentique d'époque. «Blanchot mit longtemps au défi photographes et caricaturistes de la presse littéraire. Minimalistes et rarissimes, sur tant d'années, sont les esquisses d'illustrations : en 1962 dans l'Express, une main brandit un livre, sur fond de page; en 1979, dans Libération, un carré vierge au milieu de la page, portant pour toute légende le nom de Maurice Blanchot et une citation de l'Entretien infini ("un vide d'univers: rien qui fut visible, rien qui fut invisible")» (C. Bident, Maurice Blanchot). En 1986, à l'occasion d'une exposition de portraits d'écrivains, il demande que sa photo soit remplacée par un texte manifestant son désir d'«apparaître le moins possible, non pas pour exalter [ses] livres, mais pour éviter la présence d'un auteur qui prétendrait à une existence propre» . Une photo prise à son insu par un paparazzo sur un parking de supermarché, fera longtemps office de portrait de l'écrivain avant que son ami Emmanuel Lévinas ne dévoile quelques rares portraits de leur jeunesse. Que Maurice Blanchot ne se soit pas opposé à cette divulgation, que celle-ci soit le fait de son plus proche ami, pourrait s'expliquer par ce que Bident nomme «l'espacement de l'inquiétude», l'inactualité des portraits dévoilés faisant écho aux publications reportées de L'Idylle, Le Dernier Mot, L'Arrêt de mort...). Seules quelques photographies rassemblées dans les pages centrales du numéro des Cahiers de l'Herne consacré à Maurice Blanchot complètent ces clichés uniques de l'écrivain le plus secret du XXème siècle. Dans son chapitre «L'indisposition du secret», Christophe Bident consacre plusieurs pages à l'absence presque totale d'image de ce partenaire invisible, s'interrogeant sur les motivations intellectuelles et psychologiques de l'écrivain conscient pourtant de l'inévitable révélation à venir, «Tout doit devenir public. Le secret doit être brisé. L'obscur doit entrer dans le jour et se faire jour. Ce qui ne peut se dire doit pourtant s' entendre. Quidquid latet apparebit, tout ce qui est caché, c'est cela qui doit apparaître ...» Maurice Blanchot, L'Espace littéraire) - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎(BLANCHOT Maurice)‎

Reference : 52957

(1934)

‎Photographie originale de Maurice Blanchot posant fièrement à bord d'un bateau‎

‎S.n., Elbeuf S.d (1900), 5,5x8cm, une feuille.‎


‎Photographie originale de Maurice Blanchot debout contre un mur. Tirage argentique d'époque. «Blanchot mit longtemps au défi photographes et caricaturistes de la presse littéraire. Minimalistes et rarissimes, sur tant d'années, sont les esquisses d'illustrations : en 1962 dans l'Express, une main brandit un livre, sur fond de page; en 1979, dans Libération, un carré vierge au milieu de la page, portant pour toute légende le nom de Maurice Blanchot et une citation de l'Entretien infini ("un vide d'univers: rien qui fut visible, rien qui fut invisible")» (C. Bident, Maurice Blanchot). En 1986, à l'occasion d'une exposition de portraits d'écrivains, il demande que sa photo soit remplacée par un texte manifestant son désir d'«apparaître le moins possible, non pas pour exalter [ses] livres, mais pour éviter la présence d'un auteur qui prétendrait à une existence propre» . Une photo prise à son insu par un paparazzo sur un parking de supermarché, fera longtemps office de portrait de l'écrivain avant que son ami Emmanuel Lévinas ne dévoile quelques rares portraits de leur jeunesse. Que Maurice Blanchot ne se soit pas opposé à cette divulgation, que celle-ci soit le fait de son plus proche ami, pourrait s'expliquer par ce que Bident nomme «l'espacement de l'inquiétude», l'inactualité des portraits dévoilés faisant écho aux publications reportées de L'Idylle, Le Dernier Mot, L'Arrêt de mort...). Seules quelques photographies rassemblées dans les pages centrales du numéro des Cahiers de l'Herne consacré à Maurice Blanchot complètent ces clichés uniques de l'écrivain le plus secret du XXème siècle. Dans son chapitre «L'indisposition du secret», Christophe Bident consacre plusieurs pages à l'absence presque totale d'image de ce partenaire invisible, s'interrogeant sur les motivations intellectuelles et psychologiques de l'écrivain conscient pourtant de l'inévitable révélation à venir, «Tout doit devenir public. Le secret doit être brisé. L'obscur doit entrer dans le jour et se faire jour. Ce qui ne peut se dire doit pourtant s' entendre. Quidquid latet apparebit, tout ce qui est caché, c'est cela qui doit apparaître ...» Maurice Blanchot, L'Espace littéraire) - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR1,200.00 (€1,200.00 )

‎(BLANCHOT Maurice)‎

Reference : 52955

(1900)

‎Photographie originale de Maurice Blanchot âgé d'environ 1 an, assis sur un piédestal, entouré de ses frères et soeurs‎

‎A. MARTIN, Elbeuf S.d (Circa 1900), 10,5x16,5cm, une feuille.‎


‎Photographie originale de Maurice Blanchot agé d'environ 1 an, assis sur un piédestal, entouré de ses frères et soeurs. Tirage argentique d'époque. «Blanchot mit longtemps au défi photographes et caricaturistes de la presse littéraire. Minimalistes et rarissimes, sur tant d'années, sont les esquisses d'illustrations : en 1962 dans l'Express, une main brandit un livre, sur fond de page; en 1979, dans Libération, un carré vierge au milieu de la page, portant pour toute légende le nom de Maurice Blanchot et une citation de l'Entretien infini ("un vide d'univers: rien qui fut visible, rien qui fut invisible")» (C. Bident, Maurice Blanchot). En 1986, à l'occasion d'une exposition de portraits d'écrivains, il demande que sa photo soit remplacée par un texte manifestant son désir d'«apparaître le moins possible, non pas pour exalter [ses] livres, mais pour éviter la présence d'un auteur qui prétendrait à une existence propre» . Une photo prise à son insu par un paparazzo sur un parking de supermarché, fera longtemps office de portrait de l'écrivain avant que son ami Emmanuel Lévinas ne dévoile quelques rares portraits de leur jeunesse. Que Maurice Blanchot ne se soit pas opposé à cette divulgation, que celle-ci soit le fait de son plus proche ami, pourrait s'expliquer par ce que Bident nomme «l'espacement de l'inquiétude», l'inactualité des portraits dévoilés faisant écho aux publications reportées de L'Idylle, Le Dernier Mot, L'Arrêt de mort...). Seules quelques photographies rassemblées dans les pages centrales du numéro des Cahiers de l'Herne consacré à Maurice Blanchot complètent ces clichés uniques de l'écrivain le plus secret du XXème siècle. Dans son chapitre «L'indisposition du secret», Christophe Bident consacre plusieurs pages à l'absence presque totale d'image de ce partenaire invisible, s'interrogeant sur les motivations intellectuelles et psychologiques de l'écrivain conscient pourtant de l'inévitable révélation à venir, «Tout doit devenir public. Le secret doit être brisé. L'obscur doit entrer dans le jour et se faire jour. Ce qui ne peut se dire doit pourtant s' entendre. Quidquid latet apparebit, tout ce qui est caché, c'est cela qui doit apparaître ...» Maurice Blanchot, L'Espace littéraire) - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎BLANCKART, Olivier‎

Reference : 88151

(2000)

‎BLANCKART. ‎

‎ 2000 Editions Confluences. 2000 : 1 vol in-8 broché, couverture illustrée - 87 pages - Illustrations photographiques en couleur hors texte‎


‎Bon état ‎

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR12.00 (€12.00 )

‎Blanc Maurice (photographies), Hellens Franz: ‎

Reference : 5362

(1956)

‎Belgique, pays de plusieurs mondes. ‎

‎Lausanne, La Guilde du livre, 1956. In-4, cartonnage et papier pergamine d'éditeur. En belle condition. ‎


‎Photographies en noir de Maurice Blanc, accompagnées de textes de Chateaubriand, Charles de Coster, Jules Destrée, André Dhôtel, Victor Hugo, Marie Delcourt, Max Elskamp, Vincent van Gogh, J.-K. Huysmans, Camille Lemonnier, Gérard de Nerval, Georges Rodenbach, Emile Verhaeren et Paul Verlaine. Edition originale au tirage limité à 10'030 exemplaires numérotés, celui-ci numéro 7148. ‎

La Bergerie - Carouge
CHF40.00 (€40.94 )

‎Blanc Maurice (photographies), Hellens Franz: ‎

Reference : 11350

(1956)

‎Belgique, pays de plusieurs mondes. ‎

‎Lausanne La Guilde du livre, 1956. In-4, cartonnage souple d'éditeur. Un peu frotté en bords. Photographies en noir de Maurice Blanc, accompagnées de textes de Chateaubriand, Charles de Coster, Jules Destrée, André Dhôtel, Victor Hugo, Marie Delcourt, Max Elskamp, Vincent van Gogh, J.-K. Huysmans, Camille Lemonnier, Gérard de Nerval, Georges Rodenbach, Emile Verhaeren et Paul Verlaine. ‎


‎Edition originale au tirage limité à 10'030 exemplaires numérotés. Le nôtre fait partie de la première tranche de tirage, soit 30 exemplaires réservés aux animateurs de la Guilde et numérotés en romain. C'est l'exemplaire des superstitieux puisqu'il porte le numéro XIII ! ‎

La Bergerie - Carouge
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