‎Portrait de Paule Thévenin. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur, s.l. 1987, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille.‎

‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Portrait de Paule Thévenin. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur, s.l. 1987, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille.‎

‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Moeurs et histoires des Indiens Peaux-Rouges. Nouvelle édition abrégée.‎

‎Paris, Payot, Bibliothèque géographique, 1952. In-8 broché, couverture photographique imprimée en deux tons. ‎

4 Images

‎Illustré de 50 photographies et de nombreux dessins en noir et en couleur, in et hors-texte. Ouvrage couronné par l'Académie Française. Infimes accrocs en tête et en queue, léger pli au coin supérieur des premiers feuillets. ‎

‎Les Singularités de la France antarctique autrement nommée Amérique et de plusieurs terres et iles découvertes de notre temps par Frére André Thevet, natif d’Angoulème, à Paris 1558.‎

‎Editions du Temps, Paris, 1982.‎

‎Un gros volume in-8°, broché, couverture souple, avec en frontispice, le vtrail offert par l’Aauteur André THEVET à la Chapelle de Jérusalem, église du grand couvent de Cordeliers de Paris en 1554, 167 pages plus une table des chapîtres, plusieurs illustrations in et hors texte. Cet ouvrage est un fac-similé de l'édition originale publiée en 1557/1556. L’intérieur est impeccable et malgré une pliure sur le 1er plat de la couverture, notre exemplaire peut être dit en état très satisfaisant.‎

‎Catalogue édité à l'occasion de l'exposition "Jacques Thévoz, Photographies" présenté au Musée d'art et d'histoire Fribourg en 1990. / Dieser Katalog erscheint anlässlich der Austellung "Jacques Thévoz, Fotografien" im Museum für Kunst und Geschichte Freiburg in 1990. (Edition bilingue français-deutsch).‎

‎Bern, Benteli, 1990, gr. in-4to, 167 p., rich. ill. de photogr. noir/blanc, brochure originale illustrée.‎

‎Fribourg. Collection Trésors de mon pays.‎

‎ Neuchâtel, Griffon 1955, 245x185mm, 16pages, 48 pages de photos en hélio, dessins de Teddy Aeby, broché, couverture à rabats. Très bel exemplaire.‎

‎Fribourg. Collection Trésors de mon pays.‎

‎ Neuchâtel, Editions du Griffon 1955, 245x185mm, 16pages, 48 pages de photos en hélio, dessins de Teddy Aeby, relié toile de l’éditeur. Exemplaire à l'état de neuf.‎

‎Fribourg. 'Trésors de mon pays' 71.‎

‎Neuchâtel, ed. du Griffon, 1955, gr. in-8vo, 16 p., avec illustrations par Teddy Aeby + 24 planches avec 46 photos de Jacques Thévoz et une détail du Plan Martini, signé ms. au stylo bille verso 1ère feuille blanche: ‘1955 Jacques Thévoz’, brochure originale illustrée. Ex. un peu usé.‎

‎Fribourg et d'autres choses vues par Jacques Thevoz. (Publié à Fribourg par Jacques Thévoz). ‎

‎Fribourg, Impr. par Jean-Joseph Renggli (texte) et Eliane Laubscher (tirage des photos), 1970, in-4to, (24 x 30 cm - photos), 2 ff. de couverture avec titre (avec qqs minuscules taches) + XXIII ff. (46 p.) (numérotées page I à page XXIII de textes autographiés ( les versos blancs) + 3 ff. non chiffr. (legendes des images + justification) + 24 photographies originales numérotées au verso de I à XXIV (n° 24 avec légèr faux-pli), Un des 200 ex. (+ 30 h.-c.) exemplaires, num. n° 100. cahier de texte de 26 ff. non reliées + 24 photos dans une boîte en bois, avec une fenêtre coulissante en plexiglas comme fermeture.‎

‎Les photographies ont été agrandies et développées, sur papier Ciba B2, dans l'atelier de l'artiste par Eliane Laubscher. Elles sont accompagnées d'un manuscrit (autographié) de la main de l'artiste, reproduit en offset sur papier Strathmore par les soins de Jean-Joseph Renggli. Le manuscrit se compose de 14 doubles-pages (titre incluse) texte recto’s seul: 1 page de titre + 23 pages de texte num. I à XXIII, avec date à la fin + 2 pages de légendes d’images + 1 p. Justification du Tirage + 3 p. blanches.Un des 200 exemplaires numérotés, n° 100. Les documents photographiques illustrant cet ouvrage sont inédits. Les négatifs de ces photos ont été détruits en présence des premiers acheteurs de cet ouvrage le 21 novembre 1970, dans une cave du Stalden (vieille ville de Fribourg). Les photographies montrent le milieu dans lequel le photographe lui-même vivait, le pays et la vie à Fribourg, plus particulièrement le quartier de l'Auge (la ‘Basseville’ de Fribourg), vue de son oeil d'artiste .Le manuscrit de l'ouvrage, qui est dédié “à ma tribu les Thevoz ainsi qu'à tous les petits maîtres involontaires de la déclinaison prénominale boldze-bilingue”, comprend les chapitres suivants: 1) Pourquoi ce livre? (juin 1970). / 2) La ville! (de Fribourg, été 1947). / 3) La Rue. (été 1951). / 4) Le Boldze. / 5) Portrait du Fribourgeois (août 1970). / 6) Portrait de la Fribourgeoise. (sept. 1970). / 7) Auto Portrait. (juin 1949). / 8) Fribourg. (Ce chapitre débute ainsi: “Un renard se regarde dans une glace! Que voit-il? Un chien! C'est ainsi que je vois la ville où je suis né”. (à 52 ans). / 9) Des artistes et d'autres choses! / 10) La société de l'avenir! / 11) Politique et sexe! (sept. 1970). THÉVOZ, Jacques. Fribourg et d'autres choses. Fribourg: le photographe, 1970. 4° (29x22cm (Slipcase). 24 orig. silver prints (30x24cm). Together in the original wooden slipcase with a sliding plexiglass panel. Image disp.‎

‎Le Fribourg de Jacques Thévoz dans les années 40-60. / Das Freiburg von Jacques Thévoz in den 40er-60er Jahren.‎

‎Editions la Sarine, Bibl. Cant. et Univ. Fribourg, 2005, in-4to, p. non num. richement ill. de photographies / reich illustriert mit photogr. cartonnage original ill.‎

‎Introd. par Henri Michaux - Ch.-H. Favrod - Roger de Diesbach et Laurent Thévoz. Avec la biographie de l’artiste / Kurzer Lebenslauf vom Künstler Image disp.‎

‎Romont et son pays de Glâne. Photographies de Jacques Thévoz. ‘Trésors de mon Pays’, 77.‎

‎Neuchâtel, Le Griffon, 1956, in-8°, 16 p. de texte + 32 photographies, brochure originale, couverture dessinée par Yoki.‎

‎Horizons blancs. ‎

‎ Bibliothèque des Arts, 1957. In-4, couverture rempliée, avec d'infimes frottements en coins. ‎

4 Images

‎70 photographies tirées du film éponyme de Roland Muller, qui obtint le 1er prix du Festival national suisse du film amateur à Sierre. L'histoire de la transhumance d'un troupeau de moutons, de la Blécherette (Lausanne), au glacier des Grands, dans le massif du Trient. Un film qui put compter sur la participation d'Hermann Geiger, qui signe un petit texte en fin de volume. ‎

‎Mémoires : album de familles, 74 rue Paul-Vaillant-Couturier à Gennevilliers.‎

‎ Comp'Act Liber Editions Comp'Act, Coll. Liber, 1987, 91 p., broché, environ 25x19cm, une déchirurure sans manque en bordure du second plat, couverture jaunie et coins légèrement cornés, intérieur très propre.‎

4 Images

‎ Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

‎LE JAPON DE A à Z , notes d'un voyageur .‎

‎ Paris, Editions Chiron, 1964, format 230x185mm, cartonnage illustré de l'éditeur, jaquette ,173 pages, illustrations photographiques hors-texte, exemplaire en bon état.‎

‎La Cuisine Du Perigord‎

‎Bordeaux Sud Ouest 1989 In Quarto Des recettes à mettre l'eau à la bouche , cuisine savoureuse arrosée de bons vins . Illustré de photographies en couleurs . - 32 p. , 250 gr.‎

‎Couverture rigide Très Bon État . 1° édition‎

‎Jean-Paul Thibeau... une rétrospective 1970-1980 - Catalogue pléthorique et lacunaire‎

‎ 1981 1 vol in-8 carré - 1981- broché - 8 pages - Illustrations en noir et blanc en et hors texte‎

‎Bon état - Tampon du Musée de Grenoble ‎

‎Paysages du Vivarais.‎

‎Paris Editions d'Histoire et d'Art, Librairie Plon 1949 1 vol. broché in-4, broché, 23 pp. et 51 photographies en noir hors-texte de Jean-Marie Marcel. 4e de couverture insolée en tête, sinon bon exemplaire.‎

‎Les monastères de France. Tome II: Sénanque.‎

‎<p>N°867/1000.</p> Paris, 1946 10 p., 63 planches photographiques N/B. hors texte, en feuillet sous chemise (légèrement déchirée). 27 x 32‎

‎Occasion‎

‎D'UN PAYS... L'AUTRE‎

‎GALERIE CASA TAIT PORTO. 1991. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 31 pages. Nombreuses photos en noir et blanc, hors texte.. . . . Classification Dewey : 770-Photographie‎

‎ Classification Dewey : 770-Photographie‎

‎Prague et ses monuments.‎

‎Prague, Impr. de Ch. Bellmann, 1900. 1 vol. in-4 de 43 pages, pleine percaline blanche d’éditeur, dos lisse muet, 1er plat orné aux armes. Bel état. ‎

6 Images

‎Augmenté de 2 photographies pleine pages, 2 au format 1/2 page et 11 petites photographies (scène de rue), en plus on a relié avec 4 phototypies en pleine page et 7 cartes postales, un portrait de Dvorak et un programme du Théâtre National. ‎

‎Lieben sie Biel? Aimez-vous Bienne? Photos de Endre Hunyadi.‎

‎Bienne, Ed. du Panorama, 1976, gr. in-8vo, 68 S., reich Ill. mit s/w Fotographien, ill. Original-Pappband.‎

‎La carte photo - Histoire d'un art populaire‎

‎ Sutton 2015 Grand In8 - broché - 159 pages - bon état ‎

‎Très bon ‎

‎L'Italie que j'aime...‎

‎État : Bon état - Année : 1967 - Format : 27 X 24 - Pages : 135pp - Editeur : Sun - Lieu d'édition : Paris - Type : Cartonnage toile éditeur, jaquette illustrée - Divers : Très légers frottements aux franges de la jaquette avec un petit accroc (1cm) en queue du mors sur le dernier plat. Légères brunissures aux franges du cartonnage toile. - Collection : Que j'aime - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/thierry-maulnier/7680-l-italie-que-j-aime?lrb‎

6 Images

‎Présentée par Thierry Maulnier de l'Académie française. Légendée par Michel Déon. Racontée par Nino Frank. Photographies de divers photographes de qualité. Le principe de la collection est de regrouper, autour de très belles photographies en couleur ou en noir et blanc, un collectif d'auteurs pour présenter le pays, le raconter et légender les photographies. Il se trouve que les auteurs choisis pour la plupart des ouvrages sont des auteurs de mouvance des ˮhussardsˮ (Déon, Fraigneau, Chardonne, Morand, Blondin, Laurent...) pour notre plus grand plaisir.‎

‎Thierry Mugler : Fashion Fetish Fantasy‎

‎ Edité par General Pub Group, 1998, relié avec jaquette illustrée ‎

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