Reference : 2159.1aaf
Phone number : 41 (0)26 3223808
S. n. | Elbeuf S.d (1900) | 5.50 x 8 cm | une feuille
Photographie originale de Maurice Blanchot. Tirage argentique d'époque. «Blanchot mit longtemps au défi photographes et caricaturistes de la presse littéraire. Minimalistes et rarissimes, sur tant d'années, sont les esquisses d'illustrations : en 1962 dans l'Express, une main brandit un livre, sur fond de page; en 1979, dans Libération, un carré vierge au milieu de la page, portant pour toute légende le nom de Maurice Blanchot et une citation de l'Entretien infini ("un vide d'univers: rien qui fut visible, rien qui fut invisible")» (C. Bident, Maurice Blanchot). En 1986, à l'occasion d'une exposition de portraits d'écrivains, il demande que sa photo soit remplacée par un texte manifestant son désir d'«apparaître le moins possible, non pas pour exalter [ses] livres, mais pour éviter la présence d'un auteur qui prétendrait à une existence propre» . Une photo prise à son insu par un paparazzo sur un parking de supermarché, fera longtemps office de portrait de l'écrivain avant que son ami Emmanuel Lévinas ne dévoile quelques rares portraits de leur jeunesse. Que Maurice Blanchot ne se soit pas opposé à cette divulgation, que celle-ci soit le fait de son plus proche ami, pourrait s'expliquer par ce que Bident nomme «l'espacement de l'inquiétude», l'inactualité des portraits dévoilés faisant écho aux publications reportées de L'Idylle, Le Dernier Mot, L'Arrêt de mort...). Seules quelques photographies rassemblées dans les pages centrales du numéro des Cahiers de l'Herne consacré à Maurice Blanchot complètent ces clichés uniques de l'écrivain le plus secret du XXème siècle. Dans son chapitre «L'indisposition du secret», Christophe Bident consacre plusieurs pages à l'absence presque totale d'image de ce partenaire invisible, s'interrogeant sur les motivations intellectuelles et psychologiques de l'écrivain conscient pourtant de l'inévitable révélation à venir, «Tout doit devenir public. Le secret doit être brisé. L'obscur doit entrer dans le jour et se faire jour. Ce qui ne peut se dire doit pourtant s' entendre. Quidquid latet apparebit, tout ce qui est caché, c'est cela qui doit apparaître ...» Maurice Blanchot, L'Espace littéraire) Provenance: Archives familiales. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Elbeuf S.d (Circa 1900) | 10.50 x 16.50 cm | une feuille
Photographie originale de Maurice Blanchot, souriant, assis à sa table de travail devant la bibliothèque. Tirage argentique d'époque. «Blanchot mit longtemps au défi photographes et caricaturistes de la presse littéraire. Minimalistes et rarissimes, sur tant d'années, sont les esquisses d'illustrations : en 1962 dans l'Express, une main brandit un livre, sur fond de page; en 1979, dans Libération, un carré vierge au milieu de la page, portant pour toute légende le nom de Maurice Blanchot et une citation de l'Entretien infini ("un vide d'univers: rien qui fut visible, rien qui fut invisible")» (C. Bident, Maurice Blanchot). En 1986, à l'occasion d'une exposition de portraits d'écrivains, il demande que sa photo soit remplacée par un texte manifestant son désir d'«apparaître le moins possible, non pas pour exalter [ses] livres, mais pour éviter la présence d'un auteur qui prétendrait à une existence propre» . Une photo prise à son insu par un paparazzo sur un parking de supermarché, fera longtemps office de portrait de l'écrivain avant que son ami Emmanuel Lévinas ne dévoile quelques rares portraits de leur jeunesse. Que Maurice Blanchot ne se soit pas opposé à cette divulgation, que celle-ci soit le fait de son plus proche ami, pourrait s'expliquer par ce que Bident nomme «l'espacement de l'inquiétude», l'inactualité des portraits dévoilés faisant écho aux publications reportées de L'Idylle, Le Dernier Mot, L'Arrêt de mort...). Seules quelques photographies rassemblées dans les pages centrales du numéro des Cahiers de l'Herne consacré à Maurice Blanchot complètent ces clichés uniques de l'écrivain le plus secret du XXème siècle. Dans son chapitre «L'indisposition du secret», Christophe Bident consacre plusieurs pages à l'absence presque totale d'image de ce partenaire invisible, s'interrogeant sur les motivations intellectuelles et psychologiques de l'écrivain conscient pourtant de l'inévitable révélation à venir, «Tout doit devenir public. Le secret doit être brisé. L'obscur doit entrer dans le jour et se faire jour. Ce qui ne peut se dire doit pourtant s' entendre. Quidquid latet apparebit, tout ce qui est caché, c'est cela qui doit apparaître ...» Maurice Blanchot, L'Espace littéraire) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
S. n. | Elbeuf S.d (1900) | 5.50 x 8 cm | une feuille
Photographie originale de Maurice Blanchot debout contre un mur. Tirage argentique d'époque. «Blanchot mit longtemps au défi photographes et caricaturistes de la presse littéraire. Minimalistes et rarissimes, sur tant d'années, sont les esquisses d'illustrations : en 1962 dans l'Express, une main brandit un livre, sur fond de page; en 1979, dans Libération, un carré vierge au milieu de la page, portant pour toute légende le nom de Maurice Blanchot et une citation de l'Entretien infini ("un vide d'univers: rien qui fut visible, rien qui fut invisible")» (C. Bident, Maurice Blanchot). En 1986, à l'occasion d'une exposition de portraits d'écrivains, il demande que sa photo soit remplacée par un texte manifestant son désir d'«apparaître le moins possible, non pas pour exalter [ses] livres, mais pour éviter la présence d'un auteur qui prétendrait à une existence propre» . Une photo prise à son insu par un paparazzo sur un parking de supermarché, fera longtemps office de portrait de l'écrivain avant que son ami Emmanuel Lévinas ne dévoile quelques rares portraits de leur jeunesse. Que Maurice Blanchot ne se soit pas opposé à cette divulgation, que celle-ci soit le fait de son plus proche ami, pourrait s'expliquer par ce que Bident nomme «l'espacement de l'inquiétude», l'inactualité des portraits dévoilés faisant écho aux publications reportées de L'Idylle, Le Dernier Mot, L'Arrêt de mort...). Seules quelques photographies rassemblées dans les pages centrales du numéro des Cahiers de l'Herne consacré à Maurice Blanchot complètent ces clichés uniques de l'écrivain le plus secret du XXème siècle. Dans son chapitre «L'indisposition du secret», Christophe Bident consacre plusieurs pages à l'absence presque totale d'image de ce partenaire invisible, s'interrogeant sur les motivations intellectuelles et psychologiques de l'écrivain conscient pourtant de l'inévitable révélation à venir, «Tout doit devenir public. Le secret doit être brisé. L'obscur doit entrer dans le jour et se faire jour. Ce qui ne peut se dire doit pourtant s' entendre. Quidquid latet apparebit, tout ce qui est caché, c'est cela qui doit apparaître ...» Maurice Blanchot, L'Espace littéraire) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
A. MARTIN | Elbeuf S.d (Circa 1900) | 10.50 x 16.50 cm | une feuille
Photographie originale de Maurice Blanchot agé d'environ 1 an, assis sur un piédestal, entouré de ses frères et soeurs. Tirage argentique d'époque. «Blanchot mit longtemps au défi photographes et caricaturistes de la presse littéraire. Minimalistes et rarissimes, sur tant d'années, sont les esquisses d'illustrations : en 1962 dans l'Express, une main brandit un livre, sur fond de page; en 1979, dans Libération, un carré vierge au milieu de la page, portant pour toute légende le nom de Maurice Blanchot et une citation de l'Entretien infini ("un vide d'univers: rien qui fut visible, rien qui fut invisible")» (C. Bident, Maurice Blanchot). En 1986, à l'occasion d'une exposition de portraits d'écrivains, il demande que sa photo soit remplacée par un texte manifestant son désir d'«apparaître le moins possible, non pas pour exalter [ses] livres, mais pour éviter la présence d'un auteur qui prétendrait à une existence propre» . Une photo prise à son insu par un paparazzo sur un parking de supermarché, fera longtemps office de portrait de l'écrivain avant que son ami Emmanuel Lévinas ne dévoile quelques rares portraits de leur jeunesse. Que Maurice Blanchot ne se soit pas opposé à cette divulgation, que celle-ci soit le fait de son plus proche ami, pourrait s'expliquer par ce que Bident nomme «l'espacement de l'inquiétude», l'inactualité des portraits dévoilés faisant écho aux publications reportées de L'Idylle, Le Dernier Mot, L'Arrêt de mort...). Seules quelques photographies rassemblées dans les pages centrales du numéro des Cahiers de l'Herne consacré à Maurice Blanchot complètent ces clichés uniques de l'écrivain le plus secret du XXème siècle. Dans son chapitre «L'indisposition du secret», Christophe Bident consacre plusieurs pages à l'absence presque totale d'image de ce partenaire invisible, s'interrogeant sur les motivations intellectuelles et psychologiques de l'écrivain conscient pourtant de l'inévitable révélation à venir, «Tout doit devenir public. Le secret doit être brisé. L'obscur doit entrer dans le jour et se faire jour. Ce qui ne peut se dire doit pourtant s' entendre. Quidquid latet apparebit, tout ce qui est caché, c'est cela qui doit apparaître ...» Maurice Blanchot, L'Espace littéraire) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Cannes 1943 | 6 x 9 cm | une photographie
Photographie originale réalisée probablement par Carlo Rim et représentant Tristan Bernard barbu, en pardessus, posant légèrement de profil devant un palmier, tirage argentique d'époque. Précisions manuscrites au verso, de Carlo Rim (qui a certainement pris en photo Tristan Bernard) : "Tristan Bernard Cannes", au stylo bleu, puis reprenant au crayon de papier son stylo lui faisant défaut: "Cannes 1943". Provenance :de la bibliothèque del'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rimqui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. Pendant l'Occupation, Tristan Bernard se réfugie à Cannes et réside à l'hôtel Windsor alors que son ami Carlo Rim lui propose en vain de séjourner chez lui afin qu'il soit à l'abri d'une dénonciation ou d'une arrestation ; ce à quoi Tristan Bernard, jamais avare de bons mots, lui répond :«À mon âge, on ne découche plus!» en ajoutant : «Savez-vous que je figure dans lePetit Larousse? On n'arrête pas quelqu'un qui figure dans lePetit Larousse» Il sera tout de même arrêté en septembre 1943 en tant que Juif et interné avec sa femme à Drancy puis libéré sur intervention de Sacha Guitry et Arletty le mois suivant. Son petit-fils François-René sera aussi arrêté commerésistantetdéportéàMauthausenoù il mourra. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Reference : 103647aaf
1935, 17 x 23 cm
image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
1952 23x17cm, Tirage argentique contre-collé sur carton. Médecin, pasteur et théologien protestant, philosophe et musicien alsacien. Prix Nobel de la Paix en 1952.
NB. Les commandes sont traitées dans les 24h, les expéditions se feront à partir du 21 octobre. Merci.
Reference : 103469aaf
1881, 11.5x26 cm, avec les noms comme e.a. Challand - Raemy - Dreyer - Galley - Meyer et Weitzel, indiquent une provenance fribourgeoise, 1 feuille, bords fragiles avec pts manques.
image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Reference : 20366
bon etat
Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
S. n. | s. l. s. d. [circa 1920] | 5 x 8 cm | une photographie
Photographie originale en noir et blanc représentant André Breton de profil ainsi que d'autres personnes à ses côtés dont Max Morise. Tirage d'époque probablement unique. Provenance : collection Destribats. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Reference : 103467aaf
s.d. vers 1870-80, 13.5x21.5 cm, collée sur carton, (au verso une 2ème photogr. Berges de la Sarine avec qqs bâtimens remarquables), 1 Feuille.
image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Paul Nadar | Paris 1891 | 6.10 x 10.20 cm | une photographie
Photographie originale, rare, sur papier albuminé contrecollée sur carton réalisée par Gaspard-Félix Tournachon dit Nadar et représentant Alphonse Daudet en plan poitrine, au lorgnon. Photographie montée sur carton bordé de rouge, en bas à droite, la lettre N. Au dos : Nadar. Rue d'Anjou St Honoré. Paris. Au crayon gris : Alphonse Daudet. Selon une notice d'une vente réalisée par Sotheby's, au 31 mai 2016, la séance de photographie eut lieu en 1891 et donna lieu à plusieurs clichés dont celui vendu par la maison Sotheby's, l'écrivain toujours en plan poitrine, mais de face et regardant le photographe, et celui-ci, l'écrivain de profil, au lorgnon. La photographie de Sotheby's fut vendue dans le cadre d'une vente dédiée à Marcel Proust ; ce dernier resta un fervent admirateur de Daudet dont l'oeuvre évoquait pour lui les charmes de l'enfance. Il fut en outre très amoureux du fils cadet d'Alphonose Daudet, Lucien Daudet, auquel il demanda de lui trouver une photographie de son père. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
John & Charles Watkins | Londres s. d. [circa 1860] | 6.40 x 9.60 cm | une photographie
Photographie originale sur papier albuminé, au format carte de visite, contrecollée sur un carton. Annotations manuscrites au dos du cliché, notamment "Romi".Robert Miquel journaliste et "historien de l'insolite" français tenait une boutique au 15 rue de Seine qui fut immortalisée par Robert Doisneau dans sa série intitulée La Vitrine de Romi. Nous n'avons pu trouver qu'un seul autre exemplaire de ce cliché au Museum of London. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Nadar | Paris s. d. [1867] | 6.60 x 10.40 cm | une photographie
Photographie originale sur papier albuminé, au format carte de visite, contrecollée sur carton de Nadar au bord rouge et à l'initiale. Gustave Doré y pose le bras reposé sur une chaise à frange, la même que celle des portraits de Théophile Gautier, Edouard Manet ou encore Alexandre Dumas. Annotation manuscrite au dos. Nous n'avons trouvé aucun autre exemplaire de cette photographie dans les collections publiques internationales. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Carjat | Paris s. d. [circa 1860] | 6.30 x 9.10 cm | une photographie
Rare photographie originale sur papier albuminé, au format carte de visite, contrecollée sur carton. Résidus de colle et papier un peu frotté au dos, sans gravité. Gustave Courbet fait la connaissance d'Etienne Carjat en 1859 en Allemagne et les deux hommes lieront une amitié très forte. "Mon cher Carjat, je t'aime comme tu sais, tu es mon confident d'amour, tu es mon biographe, tu es mon ami" (Lettre de Courbet, février 1863) Nous n'avons pu trouver aucun exemplaire de cette photographie dans les collection publiques. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Bingham | Paris s. d. [circa 1875] | 6.20 x 10.20 cm | une photographie
Rarissime photographie originale en médaillon sur papier albuminé, au format carte de visite, contrecollée sur un carton du studio Bingham à Paris. Annotations manuscrites au dos du cliché, dont la mention "Collection Romi".Robert Miquel journaliste et "historien de l'insolite" français tenait une boutique au 15 rue de Seine qui fut immortalisée par Robert Doisneau dans sa série intitulée La Vitrine de Romi. Nous n'avons trouvé aucun autre exemplaire de cette photographie dans les collections publiques internationales. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
s. d. [1952] | 20.80 x 25.50 cm | une photographie
Portrait photographique en noir et blanc de l'écrivain américain John Steinbeck devant une bibliothèque, tirage argentique d'époque. Ce très beau cliché a été pris sur le tournage du film La Sarabande des pantins(O. Henry's Full House)en 1952 dans lequel Steinbeck était en charge d'annoncer chacun des cinq sketches. Ce rôle de narrateur est le seul que l'auteur desRaisins de la colèreaccepta au cinéma. Quelques très discrètes pliures marginales. Annotations manuscrites au crayon de papier au verso du cliché. Rare. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Vezenberg | Saint-Pétersbourg s. d. [circa 1880] | 6.40 x 10.70 cm | une photographie au format carte de visite
Rarissime photographie originale sur papier albuminé, au format carte de visite, contrecollée sur un carton du studio Vezenberg à Saint Petersbourg. Cachet en russe en bas du cliché indiquant en cyrillique "L. Tolstoï". Nous n'avons pu trouver aucun exemplaire de cette photographie dans les collections publiques. Les photographies de ce géant de la littérature russe sont rares et recherchées. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Henri Manuel | Paris 1900 | 11 x 14.90 cm | une photographie
Photographie originale, rare, argentique. Parmi les portraits connus de l'écrivain, et notamment par Henri Manuel, nous n'avons pas trouvé trace de celui-ci. La date est naturellement approximative en l'absence de données plus précises. Au dos de papier, tampon : "La mention Photo Henri Manuel est obligatoire". Second tampon avec numéro 761. Au crayon gris manuscrit : Maurice Leblanc. Minces rayures au-dessus du bras posé sur le coude. Superbe état. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Ch. Reutlinger | Paris s. d. [circa 1864] | 10.80 x 16.50 cm | une photographie
Photographie originale de Pierre-Marie-Joseph Proudhon tirée grâce au procédé gélatino-argentiquecontrecollée sur un carton du studio Reutlinger à Paris. Cette photographie fut exécutée dans le studio de Charles Reutlinger à la demande du peintre Gustave Courbet, qui réalisait alors un portrait du philosophe aujourd'hui conservé au musée du Petit Palais à Paris. Proudhon mourut le 20 janvier 1865 avant de poser pour Courbet, faisant de cette image une des seules inspirations du peintre pour son portrait posthume: «allez chez Reutlinger lui demander de ma part [...] le grand portrait qu'il a fait du philosophe selon ma pose. Je veux le faire au 146 rue Notre-Dame-des-Champs, avec ses enfants, sa femme, comme il convient au sage de ce temps et à l'homme de génie» (Lettre à Jules Castagnary, 20 janvier 1865, citée dans Chakè Matossian, Saturne et le Sphinx : Proudhon, Courbet et l'art justicier). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Carjat et Cie | Paris s. d. [circa 1875] | 6 x 10 cm | une photographie
Rarissime photographie originale sur papier albuminé, au format carte de visite, contrecollée sur un carton. Nous n'avons trouvé aucun autre exemplaire de cette photographie dans les collections publiques internationales. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Anatole Pougnet | Paris s. d. [circa 1860] | 6.30 x 10.50 cm | une photographie
Rarissime photographie originale en médaillon sur papier albuminé, au format carte de visite, contrecollée sur un carton du studio d'Anatole Pougnet à Paris. Annotations manuscrites au dos du cliché. Nous n'avons trouvé aucun autre exemplaire de cette photographie dans les collections publiques internationales. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
A. Thierry | Paris s. [12 juin 1869] | 6.30 x 10.50 cm | une photographie
Rarissime photographie originale sur papier albuminé, au format carte de visite et en médaillon, contrecollée sur un carton jaune au bord rouge. Nous n'avons trouvé aucun autre exemplaire de cette photographie dans les collections publiques internationales. Bien que sans date, cette photographie sortirait de l'atelier de J. Thierry le 12 juin 1869, comme l'indique la Bibliographie de la France : "12 juin 1869, no. 779 -- Hervé. -- Michel Masson. -- Florian Pharaon. -- Jules Vallès. -- H. Daumier. -- Mme Montaubry. Paris, phot. {J. Thierry}. PORTRAITS -- CARTES". J. Thierry et A. Thierry désignant en réalité la même personne ou, du moins, le même atelier. Nous remercions M. Eric Bertin, chercheur en histoire de l'art et de la littérature du XIXe,pour ces aimables et très précieuses informations. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Pierre Petit | Paris s. d. [circa 1875] | 6.20 x 10.50 cm | une photographie
Rarissime photographie originale sur papier albuminé, au format carte de visite et en médaillon, contrecollée sur un carton. Nosu n'avons pu trouver aucun exemplaire de cette photographie dans les collections publiques internationales. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85