Write to the booksellersLibrairie Chrétien
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Type
Book (1720)
Engraving (1)
Object book (1)
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Century
18th (7)
19th (91)
20th (1299)
21st (152)
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Syndicate
ILAB (1722)
SLAM (1722)
"Toi ! ... un bon conseil : occupes-toi de tes fesses".
1920 1 Lithographie en noir, signée dans la planche, numérotée par l'auteur au crayon bleu en bas au centre, 7/25, légendée, (1920), 35 x 26 cm.
POULBOT (1879-1946) est un célèbre illustrateur et affichiste français, connu pour ses gosses de Montmartre, il "a été l'observateur lucide et attendri des garçons et des filles, comme du petit peuple, qui fréquentaient les rues de la Butte Montmartre" (in "Paul Iribe, Précurseur de l'Art déco", Bibliothèque Forney). Un petit garçon vient regarder d'un air curieux les amourettes d'un garçonnet et d'une fillette derrière un mur, ce qui lui vaut cette réprimande de la part des intéressés.
"Tokyo Lolitas"
2013 1 Aquarelle sur papier, signée en haut à droite, titrée et datée au verso, 2013, 28 x 21 cm., encadrée, sous Marie-Louise.
L'influence de la pop-culture se retrouvent dans cette aquarelle où deux jeunes "Lolitas" japonaises, au "look" travaillé et fantaisiste, posent. Leur accoutrement a pour principal but de se démarquer, de "Voir et être vu tout en faisant mine de ne faire que passer". Dessin figurant dans "Look at me Tokyo" Antoine Kruk est un artiste franco-japonais né à Kyoto en 1968. Fashion and costume designer, graphiste, illustrateur, peintre, auteur. Son expérience internationale au sein des plus grandes marques de mode ( Thierry Mugler ...) lui a permis de voyager et de comprendre les relations étroites entre art et sociétés. Il revient désormais à ses amours premiers, la peinture et le dessin, techniques manuelles par lesquelles il commença en étant à l'École des Beaux-Arts de Paris. Cet artiste a participé à des expositions personnelles à Paris depuis les années 1990 et à des expositions collectives en France et à l'étranger.
"Toto et sa copine".
Gouaches sur papier signées en bas à gauche, (1930), 24.5 x 18.2 cm et 26 x 16.2 cm.
Edouard HALOUZE, peintre, illustrateur, décorateur de costumes et de décors pour le théâtre... Il collabora à la Gazette du Bon ton et à l'Almanach du Masque d'or. Projets de costumes réalisés par Edouard HALOUZE et représentant, sur chacun des dessins, un écolier. Le premier original présente un petit garçon vêtu d'une blouse noire et d'un short rouge. Il est coiffé d'un béret rouge et porte dans ses mains un panier contenant son repas du midi. La seconde gouache présente une petite fille blonde, aux cheveux relevés par un élastique rouge. Elle porte une longue blouse blanche à carreaux rouges et une jupe courte noire. Dans sa main gauche elle porte un panier pour son repas du déjeuner.
"Toumba"
Lausanne Gonin & Cie 1929 1 in-4 Lithographie sur papier de Rives signée en bas à droite dans la planche, 1948, 21 x 21 cm. (format à vue).
Paul Jouve saisit une superbe panthère aux aguets, prête à bondir sur sa proie. Paul JOUVE (1878-1973) est sans conteste l'un de nos plus grand artiste animalier. Il aime dessiner d'après nature. Il fréquenta l'école vétérinaire, les abattoirs afin d'y apprendre l'anatomie animale ; il visita régulièrement le jardin des Plantes et de nombreux zoos européens. Passionné par les félins et la faune africaine, il sait rendre vie à ses sujets animaliers et n'hésite pas, bien au contraire, à partir en Afrique du Nord, en Extrème-Orient, pour travailler sur le motif. Planche reproduite in Galerie Marcilhac "Arts Décoratifs du XXème siècle Paris" page 96.
"Tour Eiffel - 14 juillet 2015".
1991 Digigraphie, signée, justifiée et numérotée 1/8, 2015, 52 x 35 cm. (format à vue), 64 x 49 cm., cadre en bois.
Photographie mettant en lumière la Tour Eiffel. Elle fut réalisée lors du feu d'artifice du 14 juillet 2015.
"Transparence".
2005 50 x 40 cm Photographie, tirage argentique datelier justifiée 2/10, 2005, 50 x 40 cm., encadrée.
Edouard de PAZZI (né en 1964) vit et travaille à Paris. Photographe depuis 1988, il collabore à divers magazines et effectue de nombreux voyages comme photographe-reporter. A partir de 2001, Edouard de PAZZI se lance dans la photo d'art. En 2007, il est exposé à la MEP (Maison Européenne de la Photographie). "Je place souvent mes modèles « en suspension », dans un non-décor, évitant ainsi les détails qui pourraient renvoyer à une époque, à une situation, à un lieu donné. Je cherche à réaliser des photos plus achroniques quanachroniques. Je pratique aussi beaucoup le portrait ou plus exactement je photographie souvent des visages car il est rare que je cherche à représenter une personne en particulier, mais plutôt une idée que je me fait delle, cherchant dans le hiératisme des poses, laura qui émane delle plutôt que le sentiment quelle voudrait exprimer".
"Transparence IX".
2003 50 x 40 cm Photographie, tirage analogique sur papier argentique datelier 1/10, signée au crayon au dos. Neuvième "tableau" de la série "Transparences", 50 x 40 cm., encadrée.
Edouard de PAZZI (né en 1964) vit et travaille à Paris. Photographe depuis 1988, il collabore à divers magazines et effectue de nombreux voyages comme photographe-reporter. A partir de 2001, Edouard de PAZZI se lance dans la photo d'art. En 2007, il est exposé à la MEP (Maison Européenne de la Photographie). "Je place souvent mes modèles « en suspension », dans un non-décor, évitant ainsi les détails qui pourraient renvoyer à une époque, à une situation, à un lieu donné. Je cherche à réaliser des photos plus achroniques quanachroniques. Je pratique aussi beaucoup le portrait ou plus exactement je photographie souvent des visages car il est rare que je cherche à représenter une personne en particulier, mais plutôt une idée que je me fait delle, cherchant dans le hiératisme des poses, laura qui émane delle plutôt que le sentiment quelle voudrait exprimer". Cette oeuvre représente un nu féminin de face en contact avec une porte vitrée permettant à l'artiste de jouer sur les contrastes et les points de contact.
"Triomphe de Bacchus".
1919 Dessin en forme de médaillon à l'aquarelle et à la mine de plomb, signé du cachet d'atelier en bas à droite, (1919), 32,5 x 47,2 cm.
Gérard COCHET (1888-1969) est un peintre et un illustrateur. Il exposa de 1922 à 1942 au Salon d'Automne et de 1927 à 1944 au Salon des Indépendants. Il illustra, entre autres, des oeuvres de Mauriac, Pagnol, Maupassant. Dans les rues d'une ville antique, un cortège s'avance. Au premier plan, à gauche de l'image, trois hommes nus avancent en dansant, et en buvant. Bacchus est majestueusement assis sur un char tiré par des princes orientaux vêtus de grandes robes aux couleurs vives, qui marchent auprès d'un lion et de deux lionnes. Au pied du char, une Bacchante joue des cymbales. Le tout forme un ensemble fort à l'énergie sauvage. Déchirure et salissures marginales qui ne gênent pas le dessin.
"Trois danseuses balinaises".
1940 1 Gouache, rehauts d'aquarelle, signée datée en bas à gauche, 1932, 65 x 50 cm., encadrée.
Oeuvre réalisée pour l'Exposition Coloniale de 1932. EDY-LEGRAND (Edouard-Léon-Louis Warchawsky 1892 Bonnieux-1970) montre trois danseuses balinaises dont l'exotisme est tempéré par le calme des attitudes, la lumière blonde, dorée et sereine qui émane des couleurs.
"Trois portes".
1940 1 Gouache sur fond noir, (1940), 32.5 x 50 cm.
Trois portes aux couleurs primaires se détachent du fond noir.
"Trois projets de fauteuils Art-Deco".
3 gouaches sur papier, 22.5 à 23 x 14.7 à 15 cm (format à vue), 38 x 30cm (format encadré), cadres argentés.
Le style Art Déco s'imposa entre 1920 et 1940, car lassé des excès de l'Art Nouveau, le grand public, après la Première Guerre Mondiale, souhaite un style innovant et fonctionnel, plus adapté à la vie moderne. Les formes de ces trois fauteuils, répondent aux codes de l'Art Déco en respectant une ligne géométrique, en étant épuré et peu décoré. Profonde, l'assise des fauteuils parait confortable, le bois est peu apparent, les pieds sont courts pour les deux fauteuils ; le troisième est d'un style plus moderniste et allie armature en métal et tissu. La décoration et l'emploi des matières renvoie à un univers luxueux et décoratif avec notamment l'usage du papier peint Art déco et la mise en scène d'une table ou d'une bibliothèque. Petits accidents à l'encadrement.
"Trois écolières".
1887 1 Mine de plomb et encre noire, dessin pour "Nos enfants" d'Anatole France, 1887, 21x26 cm, (encadrée).
Trois fillettes en robes et blouses d'écolières et coiffées d'un fichu se présentent, avec beaucoup de naturel, de face, de profil et de trois quarts.
"Trot attelé".
1932 Aquarelle et encre de Chine signée en bas à gauche, (1932), 10 x 24 cm., encadrée.
Jean-Raoul CHAURAND-NAURAC (Lyon 1878- Paris 1948), peintre, aquarelliste et affichiste, fut surnommé "le peintre du cheval" suite à sa prédilection pour le monde hippique et ses nombreuses représentations. Il suit l'école des Beaux-Arts de Lyon, puis fut l'un des premiers pensionnaires de La Ruche. Elève de Gustave Moreau, il fréquenta Matisse, Marquet, Rouault... Belle représentation sportive d'un sulky mené en course par son driver.
"Trouville 1900 - Le Petit Garçon".
Gouache sur papier, 3 novembre 1958, signée en bas à droite, cachet au dos, 25 x 21 cm, sous marie-louise.
Romain de TIRTOFF, (Saint-Pétersbourg 1892-1990 Paris) dit ERTE arriva à Paris en 1912 et se consacra, dès lors et ce pendant plus de 75 ans, à l'illustration de costumes pour la mode et le spectacle, à la création de bijoux et d'accessoires, à la conception de meubles et de décors. "Erté, inventeur de la femme moderne (...). La femme d'Erté transfère dans son costume ses sentiments et sa morale : sa pudeur dans ses voiles, sa sensualité dans ses perles, son sexe dans ses plumes (...)". (Roland Barthes "Erté", Franco Maria Ricci, 1973). Un jeune garçon est représenté de manière vive et élégante, en costume marin avec son bateau à voile. Infimes marques.
Tête pensive.
1916 Sanguine et rehauts de craie blanche, pierre noire, sur feuille teintée, signée et datée, 1916, 30 x 29 cm, collée sur carton fort.
Etude pleine de sensibilité représentant une tête de jeune fille sage aux cheveux souples et au regard rêveur, exécutée par un représentant de l'école belge, Georges M. BALTUS (Courtrai 1874 - Overijse 1967) (Bénézit, I, 412). Artiste peintre, illustrateur et traducteur, est un artiste prolixe qui s'essaye au portrait, au paysage, à la peinture à l'huile...
"ULULA".
1980 Deux planches de bande dessinée, feutre noir sur papier fort, signées et numérotées 18/88 et 18/89, (1980), 24 x 16 cm et 24,8 x 17,5 cm.
Ces planches correspondent à lune des deux bandes dessinées érotiques Ulula sévade ou Ulula et le Boa, (1980). Ulula, pulpeuse mannequin, est nue sur un lit, un ruban noir lié à son cou auquel est accroché des dents de loup. Sur son corps un gigantesque serpent ondule. A ses côtés, une femme assiste à la scène. Ulula héroïne de 36 albums est un superbe top modèle qui se transforme les soirs de pleine-lune en loup garou à la suite dune transfusion de sang de loup reçu pendant sa jeunesse. Au fil des bandes dessinées elle tente de se débarrasser de cette malédiction. Ulula appartient au genre dit Fumetti Neri. Auteur et dessinateur italien de bande dessinée, Giovanni ROMANINI né à Bologne en 1945 fait partie de l'école Italienne de bande dessinée. Il commence sa carrière artistique dans le cinéma danimation et pour une émission télévisée italienne «Carosello». A la fin des années 60, il rencontre Magnus et commence à travailler pour Kriminal puis Satanik. Les deux dessinateurs vont collaborer ensemble. Romanini a créé plusieurs personnages de B.D. dont celui de Wallestein pour Edifumetto, il conçoit également des BD noires et érotiques comme Ulula ou Lady Domina.
"Un ban pour le départ de la garnison".
1 Encre de Chine et rehauts de crayon bleu sur papier, signée en bas à droite, 22 x 15 cm.
Un homme et une femme à la fenêtre font un ban pour le départ de la garnison. Annotations manuscrites en marge. Légers frottements et brunissures.
"Un coup de vent".
Aquarelle et mine de plomb rehaussée d'argent, signée et titrée, (1925), 23 x 23 cm, encadrée.
Jean AUMOND qui a collaboré avec les plus grands théâtre, dont le Casino de Paris, le Concert Mayol, les Ambassadeurs, les Folies Bergères, Le Bataclan... est considéré comme lun des plus brillants maquettistes du music-hall parisien. Il travailla de manière intense entre 1919 et 1965. Cette fantaisie montre bien que les merveilleux costumes de music-hall ne sont pas fait pour l'extérieur. Le vent ajoute pourtant un très joli mouvement aux étoffes légères, vertes et saumon qui flottent, à la grande plume du chapeau et aux rubans rose-orangés de la canne qui menace de lui échapper des mains. Infimes taches.
"Un coup d'oeil au hasard".
1980 Encre de Chine, titrée à l'encre en haut à gauche et signée dans le dessin à la mine de plomb, (1980 ), 31.5 x 24.5 cm.
Jean GOURMELIN (Paris 1920 - Meudon 2011) s'initie au dessin dés son plus jeune âge, puis travaille avec l'artiste Charles Portel qui lui enseigne la technique du papier-peint, de la gravure sur bois et du pochoir, avec Nobilis. Il complète sa formation à l'Ecole des Arts Décoratifs et a pour maître Othon Friesz. Avec Max Ingrand, maître verrier, il se passionne pour cet art des vitraux et réalise ceux des Châteaux d'Amboise, de Blois, de la Cathédrale de Saint-Malo ... Grâce à Maximilien Vox il revient à l'édition et l'illustation. Sa rencontre avec l'écrivain de science-fiction Jacques Sternberg détermine le début d'une amitié forte avec Louis Pauwels et sa collaboration à la Revue Planète. Ils lançent le mouvement du "Réalisme fantastique" et, selon l'expression de Sternberg, "Où les compositions de Jean Gourmelin brillaient comme des soleils noirs ... Son inspiration, il la puise dans ses terreurs, ses vertiges, ses gouffres métaphysiques, ses fantasmes, son théâtre d'épouvante et ses décors de rêve". Il anime les "Chroniques" de France-Soir. Des affiches pour le cinéma et le théâtre sortent de ses crayons. De nombreuses expositions saluent son talent dans des galeries et musées ( Centre Culturel de Meudon, Musée Georges Pompidou ...). Cette illustration nous fait penser à l'aphorisme de Théophile Gautier "Un papillon blanc qui voltige, Un coup doeil au hasard jeté, Vous fait surprendre sur sa tige La fleur dans sa simplicité". Un visage, en forme de dé, à pour pupille des dés dont le total amène au chiffre 7, le "nombre parfait". Annotations manuscrites et esquisse à la mine de plomb au dos.
"Un dimanche à la mer".
1991 1 Linogravures signées en bas à droite, 1991, 12 x 29,5 cm.
Quatorze épreuves d'artiste d'un tirage limité entre 20 et 28 exemplaires, selon les planches. Ces linogravures, sur le thème du bord de mer, sont des hommages à Colette, Debussy, Maupassant, Proust, Valery Larbaud, Visconti... Ces personnages sont habillés à la mode "1900". Les tons pastels vont du gris ou du jaune-orangé au bleu dans une atmosphère baignée de lumière. Les scènes sont empreintes de tendresse et de douceur, mais sans mièvrerie, de raffinement et délicatesse. Ce style est caractéristique de l'oeuvre variée de ce grand illustrateur contemporain qu'est Jean-Charles ROUSSEAU, président de l'Association Mémoire d'Image. Une planche présente de petites taches.
"Une Amazone".
1 Pochoir en couleurs, monogrammé dans la planche en bas à droite, 1913, 15.5 x 8.9 cm.
Une cavalière, cravache à la main, attend sa monture. Pochoir paru dans la revue "Le Journal des Dames et des Modes" à laquelle Bernard BOUTET de MONVEL participa.
"Une belle endormie".
1964 1 Mine de plomb, signée et datée en bas à gauche, 1964, 13 x 23 cm., encadrée.
Une jeune femme vêtue d'un simple petite culotte, légèrement baissée, est endormie, une main derrière la nuque, elle semble rêver. Ce dessin est réalisé avec élégance et finesse, caractéristiques de l'oeuvre de l'artiste angevin. Jean-Adrien MERCIER (1899-1995) est un illustrateur et aquarelliste de premier ordre mais aussi un affichiste et un décorateur (Paquebot France). Une exposition rétrospective lui fut consacrée en 1995 à la Bibliothèque Forney, ainsi que des expositions tournantes, notamment aux Etats-Unis.
"Une belle plante!".
1960 Gouache sur papier, signée en bas à gauche, (1960), 42.5 x 30 cm, encadrée.
La gouache représente une jeune femme nue aux longs cheveux blonds et au corps musclé. La végétation s'empare d'elle et l'étreint. ASLAN (Bordeaux 1930-2014 Sainte-Adèle) débute une carrière précoce en entrant aux Beaux-arts de Bordeaux à 14 ans, et deux ans plus tard à Paris. Jean Gabriel DOMERGUE intervient pour lui produire une dispense d'âge. En 1952, il est nommé peintre et sculpteur officiel de l'armée, et travaille en parallèle pour l'édition enfantine et le théâtre. Il est célèbre pour ses pin-ups, sa collaboration avec le magazine "Lui", et pour son édition du buste de Brigitte BARDOT en Marianne. Le magazine "Bonjour Bonheur", qui publie des nouvelles illustrées et des dessins de célébrités (Rita HAYWORTH, Claudia CARDINALE, Sylvie VARTAN). Usures au papier, déchirures marginales, annotations au dos.
"Une journée à la plage".
1998 1 Linogravure signée en bas à droite, 1998, 12 x 29,5 cm, encadrée.
Epreuve d'artiste d'un tirage de 20 exemplaires qui présente une jeune mère jouant avec son fils et sa fille sur une plage. Ces personnages sont habillés à la mode "1900", les tons vont du gris au bleu dans une atmosphère baignée de lumière. La scène est empreinte de tendresse, mais sans mièvrerie, de raffinement et délicatesse. Ce style est caractéristique de l'oeuvre variée de ce grand illustrateur contemporain qu'est Jean-Charles ROUSSEAU, président de l'Association Mémoire d'Image.
"Une Porte de Fez".
1935 1 Huile sur papier fort contrecollé sur toile, signée en bas à gauche, (1935), 46 x 64 cm.
Les couleurs chatoyantes et les formes cernées de Pierre THEVENIN (1905-1950) rendent la quintessence de l'atmosphère marocaine. Peintre voyageur, il rapporte d'Afrique de subtiles études de types et de paysages qu'il note avec une surprenante aisance. Né dans une famille de musiciens, premier prix de violon, ses oeuvres sont empreintes d'une musicalité qui lui est propre. C'est un des peintres les plus attachants de l'école lyonnaise du début du siècle. (Plaquette de l'exposition Thevenin, textes de Louis Pize, Pierre Combet-Descombes, Charles Dugas, Jean Witkowski et René Jullian, Galerie Anne-Marie Moulin, Lyon, 1952).
