E-mail : contact@librairie-du-cardinal.com
Mobile : 06 15 37 15 37Photographies de Jean-Christophe Garcia, 1 vol. in-8 oblong, Le Festin A.R.P.A., 1995, 78 pp.
Bon exemplaire en très bon état
Photographies d'Anne Garde, texte de Laure Vernière, 1 vol. grand in-4 cartonnage éditeur sous jaquette illustrée, Assouline, 2008
Bel exemplaire enrichi d'un bel envoi autographes des auteurs à l'écrivain bordelais Michel Suffran, avec leurs cartes de visites montés en titre, le carton d'invitation au vernissage de l'exposition inséré, et quelques documents relatifs à l'ouvrage.
[ Société Historique et Archéologique de Libourne] - GARDE, J. A.
Reference : 53587
(1998)
1 vol. in-8 br., Société Historique et Archéologique de Libourne, Tome LXVI n°248 2e trimestre 1998, 189 pp., réimpression de Imprimerie Libournaise, P. Gelix, 1946
Bon exemplaire de la réimpression en 1998 de l'édition originale de 1946
[Pleine Page Editeur] - GARNUNG, Jean-Claude ; MOULS, Christiane
Reference : 49597
(2007)
Illustrée de photographies inédites de la collection Mouls, 1 vol. in-8 br., Pleine Page Editeur, 2007, 104 pp.
Beaux envois des auteurs. Très bon état
1 vol. in-8 br., Presses Universitaires du Mirail, Toulouse, 1991, 347 pp.
Bon état (ex-libris ms.)
[Chez Musier Fils] - GATTI, M. ; [ GATTI, Angelo ; MORELLET, Abbé ]
Reference : 69363
(1764)
1 vol. in-12 reliure de l'époque plein veau moucheté brun, dos à 5 nerfs orné, triple filet doré d'encadrement en plats, filet doré en coupes, toutes tranches dorées, Chez Musier Fils, à Bruxelles, 1764, 3 ff., 239-36 pp.
Remarquable exemplaire de l'édition originale, enrichi par l'auteur d'un envoi autographe signé "a Mr l'Abbé Batanchon, de la part de son très humble serviteur". Sous l'envoi autographe adressé à l'abbé Batanchon, on peut lire cette mention manuscrite : "Donné à Gouteyron fils par son ancien instituteur en 1775, chanoine à Saint-Seurin" [ à Bordeaux]. Premier médecin inoculateur en Toscane, Angelo Gatti (1724-1798) arrive en France en 1761 où il reçoit un excellent accueil de la part des salons parisiens. L'abbé Morellet, qui lui servit de plume, fournira d'utiles précisions dans ses Mémoires : "Le docteur Gatti avait inoculé les enfans de M. Helvétius ; arrivant en France, et sachant fort peu notre langue, il avait besoin de trouver quelqu'un qui rédigeât et exprimât ses idées, neuves alors, et en même temps fines et justes. Il s'adressa à moi, et je me chargeai avec plaisir de ce travail. Je recueillais les notes qu'il me dictait en italien, ou qu'il m'envoyait en brouillons ; je les traduisais, je les développais, et surtout je les arrangeais pour en faire un tout à ma manière. Ces Réflexions furent goûtées du public et des gens de l'art ; et peut-être n'ont-elles pas peu contribué à établir et à perfectionner la pratique, même dans les mains de plus d'un médecin qui en avait dit beaucoup de mal. Gatti, né en Toscane, avait étudié sous le célèbre Cocchi ; il n'obtenait pas toujours des succès heureux, et on l'accusait de quelque légèreté dans son traitement. Il fallait le défendre dans la société, et je ne m'y épargnais pas. Mais les enfans de Me de Roucherolles ayant pris tous deux la petite vérole après avoir été inoculé par Gatti, qui avait assuré que l'inoculation avait eu tout son effet, il crut pouvoir expliquer son erreur ou la justifier ; et je rédigeai pour lui, vers de temps même, une lettre adressée au docteur Roux, notre ami commun, où il fait son apologie tellement quellement" (expression ancienne signifiant "Ni bien ni mal et plutôt mal que bien" selon la 4e édition du Dictionnaire de l'Académie) (Morellet, Mémoires, Tome I, 140 s.). Le Grand Larousse évoque de son côté l'inoculation des enfant du baron d'Holbach ; mais il est certain que Gatti fut un temps "l'inoculateur à la mode" dans le milieu des encyclopédistes. (GDU, VIII, 1073). Bel exemplaire dédicacé par l'auteur à un abbé bordelais.
[Charles Lefebvre] - GAUFRETEAU, Jean de , (DELPIT, Jules)
Reference : 30218
(1877)
Tirage à petit nombre, Introduction de Jules Delpit, 2 vol. in-8 reliure de l'époque demi-percaline verte, , coll. Archives du Château de La Brède, Charles Lefebvre, Bordeaux, 1877-1878, XV-335, 478 pp.
Rare et bon exemplaire bien complet du grand tableau généalogique dépliant (très petits frottements en dos du tome 2, bel exemplaire par ailleurs) de cet ouvrage tiré à petit nombre, sur beau papier vergé. Le texte original de cette Chronique se trouvait dans un manuscrit du Château de la Brède intitulé "Suite ou Continuation de la Chronique Bordeloise de Pierre [ Gabriel ] de Lurbe, par Jehan de Gaufreteau, cy-devant conseiller au Parlement de Bourdeaux et commissaire aux requestes du Palais". Comme l'expose Jules Delpit, "il est superflu d'insister sur l'importance et le mérite historiques de la Chronique que nous imprimons. Notre publication se recommande assez d'elle-même par le piquant et la diversité des anecdotes qu'elle renferme, et par l'utilité des faits qu'elle révèle ou qu'elle éclaire. Non seulement ce recueil continue, complète ou rectifie les chroniques de G. de Lurbe et de J. Darnal ; mais on peut dire qu'il est pour notre histoire locale quelque chose comme serait pour l'histoire de France une fusion des oeuvres de l'abbé de Brantôme, de Pierre de Lestoile et de Tallemant des Réaux." Ces comparaisons sont très exactes, et l'on prend à lire Gaufreteau le même plaisir qu'à savourer les anecdotes d’un Pierre de Lestoile. Pour exemple, en voici une terrible autant qu’édifiante, racontée par Gaufreteau, : "En cette année [ 1567 ], un jeune homme, fils de la ville de Bourdeaux et de condition assez considérable (son pere avoit esté marchant, sa mere estoit vesve), ayant esté condamné d'estre pendu et etranglé, par le Parlement ; car les crimes dont il estoit attaint et convaincu estoyent si sales, qu'il ne meritoit pas de jouir du privilège des enfants de Bourdeaux criminels ; est à noter que, comme il est au bas de l'eschelle pour monter à la potence, il demende de parler à sa mère et tesmoigner d'avoir une grande affection de la voir avant qu'il meure ; on la va quérir, mais, comme ycelle se fut présentée toute esplorée, croyant que son fils lui voulut desclairer quelque grand secret et d'importance, le criminel faisant semblant de la baiser luy arrache le nez avec les dents et luy dict : "Malheureuse mère, si vous m'eussiez plustost chastié que mignardé, ainsin que vous avez faict avec excès en mon enfance, je ne serois pas ici". Et de-là, adressant la parole aux femmes qui avoyent des enfants, leur fit sur ce sujet une sérieuse remonstrance. Ce qui fut la cause que les femmes de Bourdeaux donnerent bien des coups de fouet à leurs petits afin qu'il s'en souvinssent, et ne furent si indulgentes qu'elles avoyent esté envers leurs enfants ; mais de plus, toutes fois et quantes que ladite pauvre mere mutilée passoit par les rues, elles disoyent à leurs enfants : "Reguarde, reguarde cette mere qui a perdu le nez pour avoir trop mignarde son fils, et a esté cause qu'il a esté pendu ignominieusement". Et pour l'année 1580, cette anecdote galante :"En cette année, vivoit un certain médecin, escossois de nation, nommé Mac-Hedor, qui estoit reputé e tenu pour un grand magicien ; mais, parce qu'il avoit une fort e belle jeune femme, qu'il avoit espousée estant vieux, les jeunes gens prirent ce prétexte de son sçavoir e magie pour avoir l'entrée en sa maison, afin de caresser sa femme, qui ne demendoit pas mieux. Elle estoit issue, du costé gauche, d'une des meilleurs maisons de Bourdeaux". Ces extraits mettent en valeur la langue de Gaufreteau. Jules Delpit l'explique : "les locutions et les termes purement gascons qu'on y rencontre contribuent à lui donner une certaine valeur philologique ; car tous ces idiotismes et ces incorrections constatent ce qu'était à cette époque, dans la capitale de l'une des plus importantes provinces du royaume, la langue nationale parlée par un lettré, un magistrat d'un rang éminent, un gentilhomme dont l'éducation avait été formée par des voyages à l'étranger, et même par plusieurs séjours à la cour de France" (Cf. Vicaire, I, 536 ). Rare et recherché.
[Charles Lefebvre] - GAUFRETEAU, Jean de , (DELPIT, Jules)
Reference : 65225
(1877)
Tirage à petit nombre, Introduction de Jules Delpit, 2 vol. in-8 reliure postérieure demi-toile à coins, couvertures conservées, Publications de la Société des Bibliophiles de Guyenne, coll. Archives du Château de La Brède, Charles Lefebvre, Bordeaux, 1877-1878, XV-335, 478 pp.
Rare et bon exemplaire bien complet du grand tableau généalogique dépliant de cet ouvrage tiré à petit nombre, sur beau papier vergé (dos muet, nom du souscripteur effacé, bel exemplaire par ailleurs). Notre publication se recommande assez d'elle-même par le piquant et la diversité des anecdotes qu'elle renferme, et par l'utilité des faits qu'elle révèle ou qu'elle éclaire. Non seulement ce recueil continue, complète ou rectifie les chroniques de G. de Lurbe et de J. Darnal ; mais on peut dire qu'il est pour notre histoire locale quelque chose comme serait pour l'histoire de France une fusion des oeuvres de l'abbé de Brantôme, de Pierre de Lestoile et de Tallemant des Réaux." Ces comparaisons sont très exactes, et l'on prend à lire Gaufreteau le même plaisir qu'à savourer les anecdotes d’un Pierre de Lestoile. Pour exemple, en voici une terrible autant qu’édifiante, racontée par Gaufreteau, : "En cette année [ 1567 ], un jeune homme, fils de la ville de Bourdeaux et de condition assez considérable (son pere avoit esté marchant, sa mere estoit vesve), ayant esté condamné d'estre pendu et etranglé, par le Parlement ; car les crimes dont il estoit attaint et convaincu estoyent si sales, qu'il ne meritoit pas de jouir du privilège des enfants de Bourdeaux criminels ; est à noter que, comme il est au bas de l'eschelle pour monter à la potence, il demende de parler à sa mère et tesmoigner d'avoir une grande affection de la voir avant qu'il meure ; on la va quérir, mais, comme ycelle se fut présentée toute esplorée, croyant que son fils lui voulut desclairer quelque grand secret et d'importance, le criminel faisant semblant de la baiser luy arrache le nez avec les dents et luy dict : "Malheureuse mère, si vous m'eussiez plustost chastié que mignardé, ainsin que vous avez faict avec excès en mon enfance, je ne serois pas ici". Et de-là, adressant la parole aux femmes qui avoyent des enfants, leur fit sur ce sujet une sérieuse remonstrance. Ce qui fut la cause que les femmes de Bourdeaux donnerent bien des coups de fouet à leurs petits afin qu'il s'en souvinssent, et ne furent si indulgentes qu'elles avoyent esté envers leurs enfants ; mais de plus, toutes fois et quantes que ladite pauvre mere mutilée passoit par les rues, elles disoyent à leurs enfants : "Reguarde, reguarde cette mere qui a perdu le nez pour avoir trop mignarde son fils, et a esté cause qu'il a esté pendu ignominieusement". Et pour l'année 1580, cette anecdote galante :"En cette année, vivoit un certain médecin, escossois de nation, nommé Mac-Hedor, qui estoit reputé e tenu pour un grand magicien ; mais, parce qu'il avoit une fort e belle jeune femme, qu'il avoit espousée estant vieux, les jeunes gens prirent ce prétexte de son sçavoir e magie pour avoir l'entrée en sa maison, afin de caresser sa femme, qui ne demendoit pas mieux. Elle estoit issue, du costé gauche, d'une des meilleurs maisons de Bourdeaux". Ces extraits mettent en valeur la langue de Gaufreteau. Jules Delpit l'explique : "les locutions et les termes purement gascons qu'on y rencontre contribuent à lui donner une certaine valeur philologique ; car tous ces idiotismes et ces incorrections constatent ce qu'était à cette époque, dans la capitale de l'une des plus importantes provinces du royaume, la langue nationale parlée par un lettré, un magistrat d'un rang éminent, un gentilhomme dont l'éducation avait été formée par des voyages à l'étranger, et même par plusieurs séjours à la cour de France" (Cf. Vicaire, I, 536 ). Rare et recherché.
1 vol. fort in-8 br., Sandoz et Fischbacher, Editeurs, Paris, 1874, xxviii-576 pp.
Rare exemplaire en bon état de l'édition originale, imprimée sur beau papier vergé (infime mq. en dos, couv. lég. frottée). Fondé en 1533, le collège de Guyenne accueillera les plus grands maîtres (tel André de Gouveia) comme les élèvres les plus brillants (dont Montaigne).
1 vol. fort in-8 br., Sandoz et Fischbacher, Editeurs, Paris, 1874, xxviii-576 pp.
Rare exemplaire en bon état de l'édition originale, imprimée sur beau papier vergé (couv. lég. frottée, ex-libris ms. Henri Balaresque en couv.). Fondé en 1533, le collège de Guyenne accueillera les plus grands maîtres (tel André de Gouveia) comme les élèvres les plus brillants (dont Montaigne)
1 vol. fort in-8 reliure demi-basane bleue, Sandoz et Fischbacher, Editeurs, Paris, 1874, xxviii-576 pp.
Rare exemplaire en bon état de l'édition originale, imprimée sur beau papier vergé (coiffes frottées et haut du premier plat passé, ex-libris ms. récent, très bon état par ailleurs). Fondé en 1533, le collège de Guyenne accueillera les plus grands maîtres (tel André de Gouveia) comme les élèvres les plus brillants (dont Montaigne).
1 vol. fort in-8 br., Sandoz et Fischbacher, Editeurs, Paris, 1874, xxviii-576 pp.
Exemplaire de l'édition originale, imprimée sur beau papier vergé, et dédicacé par l'auteur en "Respectueux hommage à Monsieur Jules Perrens, professeur à la Fac. de Médecine". Fondé en 1533, le collège de Guyenne accueillera les plus grands maîtres (tel André de Gouveia) comme les élèvres les plus brillants (dont Montaigne). Etat moyen (dos refait, qq. rouss., bon état par ailleurs pour cet exemplaire méritant reliure)
[Imprimerie Centrale de Ve Lanefranque et Fils] - GAULLIEUR, Ernest
Reference : 50522
(1868)
1 brochure in-8, Imprimerie Centrale de Ve Lanefranque et Fils, Bordeaux, 1868, 30 pp.
Etat très satisfaisant (petits mq. en couv.), Envoi de l'auteur à Monsieur Rancoullet, Sr Bibliothécaire de la ville de Bordeaux".
[G. Masson, Féret et Fils] - GAYON, Ulysse ; BLAREZ, Ch. ; DUBOURG, F.
Reference : 57784
(1888)
4 brochures in-8, Analyse chimique des Vins Rouges du Département de la Gironde, Récolte de 1887, G. Masson, Féret et Fils, Bordeaux, 1888, 47 pp. [ Avec : ] Analyse chimique des Vins du Département de la Gironde, Vins rouge de la Récolte de 1888 et Vins blancs de la récolte de 1887, Imprimerie Nationale, extrait du Bulletin de l'Agriculture, 1889, 24 pp. [ Avec : ] Les Vins de Bordeaux au point de vue chimique, par le Dr. Ch. Blarez, Imprimerie G. Gounouilhou, Bordeaux, 1895, 21 pp. [ Avec : ] Analyse chimique des Vins de la Gironde, par E. Dubourg, Récolte de 1911, Extrait des Annales des Falsifications, Juin 1912, avec envoi de l'auteur, pp. 281-296
Etat très satisfaisant (plusieurs couv. frottées) pour cet ensemble réunissant 4 brochures rédigées Ulysse Gayin, Balrez et Dubourg sur le même thème de l'analyse chimique des vins de Bordeaux, en 1887, 1888, 1895 et 1911
Un des 15 exemplaires sur papier de hollande numérotés et signés par l'éditeur (n°13), avec Préface de M. Camille Jullian, 1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane à la bradel marron, couvertures et dos conservés, Marcel Mounastre-Picamilh, Bordeaux, 1912, IX-192 pp.
Rare exemplaire du beau tirage de tête sur papier de hollande. Il s'agit de la thèse publiée du chartiste François Gébelin. Il sera ensuite nommé à la bibliothèque de Bordeaux, où il publiera les deux volumes de la Correspondance de Montesquieu. Dans cet ouvrage, François Gébelin étudie successivement le conflit entre Matignon et le parlement de Bordeaux, les opérations militaires en Guyenne, les finances du gouverneur, le siège de Blaye et la pacification. Maréchal de France, Jacques II Goyon de Matignon (1525-1598) succéda à son ami Michel de Montaigne au poste de maire de Bordeaux. Nommé gouverneur de Bordeaux en 1584, il mit en oeuvre la célèbre expulsion des Jésuites de Bordeaux en 1589, et il assiégea les ligueurs retranchés dans la citadelle de Blaye en 1593, ce qui sera l'occasion de la victoire navale espagnole sur les alliés anglais du Maréchal, lors de la "Bataille de Blaye" (également connue comme "Bataille du Bec d'Ambès" ou "Bataille de Bordeaux" pour les espagnols). Bon exemplaire (infime frott. en dos, bel état par ailleurs).
[Amicale Corporative des Etudiants en Médecine de Bordeaux] - GEORGES, Marianne
Reference : 62829
(1980)
1 vol. in-8 br. dactylographié, Université de Bordeaux II, Amicale Corporative des Etudiants en Médecine de Bordeaux, Année 1980, Thèse n° 201, 71 pp.
Jean de Mingelousaulx est fameux pour avoir sauvé, en 1632, la vie du Cardinal de Richelieu, victime d'un abcès en marge de l'anus occasionnant une rétention d'urine. Le docteurs Lopès et Maurès n'osant opérer firent appel à Jean de Mingelousaulx, inventeur des bougies canulées pour les rétrécissements de l'urèthre, dont les succès étaient bien connus à Bordeaux. Bon état (rares annotations au crayon par l'un des examinateurs).
[Chez Derache, Chez Coderc, Degréteau et Poujol] - GERGERES, J.-B.
Reference : 56620
(1864)
Extrait du Congrès scientifique de France, 28e session, T. V, 1 vol. in-8 reliure demi-basane marbrée, dos à 3 nerfs, couvertures conservées, Chez Derache, Paris, Chez Coderc, Degréteau et Poujol, Bordeaux, 1864, 276 pp.
Bon exemplaire (dos lég. frottée, très bon état par ailleurs) pour cet exemplaire de belle provenance, dédicacé par l'auteur à Ferdinand Ribadieu, et enrichi d'une carte de postale ancienne de la bibliothèque et d'une article évoquant la réorganisation de la bibliothèque de la rue Mably.
1 vol. long in-8 br., collection Guides Géologiques Régionaux, Masson & Cie, Paris, 1977, 183 pp.
Bon état (cachet à froid d'ex-libris, bon exemplaire par ailleurs).
1 vol. in-8 br., Honoré Champion, Paris, 1906, IX-298 pp.
Bon état pour cet exemplaire enrichi d'un envoi de l'auteur (qq. rouss.).
4 vol. in-4 cartonnage éditeur illustré, Editions de la Cité, Le Télégramme, 1986-1990
Prix du lot, non séparable. Bon ensemble (ff. faibles dans "Lorient", bon exemplaire par ailleurs).
1 vol. in-8 reliure pleine toile éditeur sous jaquette illustrée, coll. Le Grand Bernard des Vins de France, Jacques Legrand, Nathan, Paris, 1984, 185 pp.
Bel envoi de Bernard Ginestet : "Je lève mon verre de Margaux à la bonne santé de mon "vieux" pote Xavier Lafont, avec l'espoir de ne pas trop attendre pour le retrouver à nouveau". Bon état (jaquette lég. frottée) pour cet exemplaire auquel on joint de nombreuses coupures de presse évoquant Bernard Ginestet qui fut avec son père Pierre propriétaire de Château Margaux, vendu en 1977 à André Mentzelopoulos.
Préface de O. Auriac, 1 vol. in-8 br., Editions Bière, Bordeaux, 1946, XIV-458 pp.
Bon exemplaire (ex libris ms sur couv., très bon état par ailleurs)
[Imprimerie et l'Académie et des Facultés] - GIRARD, Henri-Valentin-René
Reference : 22097
(1927)
Thèse pour le doctorat en Médecine, présentée et soutenue publiquement le vendredi 1er avril 1927, 1 vol. in-8 br., Imprimerie et l'Académie et des Facultés, Bordeaux, 1927, 69 pp. -
Bon état. Peu courant. L'auteur avait travaillé pendant une dizaine d'années au laboratoire de Zoologie et Parasitologie de l'Université de Bordeaux. Travaillant quotidiennement aux analyses microbiologiques de ce laboratoire, il avait l'eu l'occasion d'analyser les eaux destinées à l'alimentation de la ville de Bordeaux. Dans son introduction, il raconte "Le professeur Mandoul, frappé de l'odeur sulfurée qui se dégage de ces eaux, s'était demandé si quelques représentants de leur flore bactérienne n'étaient pas responsables de ce dégagement gazeux [...]. il m'indiqua des recherches dans cette voie, et c'est ainsi que, systématiquement, je fus amené à étudier la flore micro-biologique des eaux artésiennes."
1 vol. in-8 reliure demi-chagrin brun, dos à 5 nerfs dorés, Librairie Hachette et Cie, Paris, 1912, 450 pp.
Etat très satisfaisant (rel. lég. frottée, qq. rouss.)
Avec 340 dessins dans le texte groupés en 74 figures, 1 vol. in-8 reliure demic-ahrgin à coins maroquiné vert, dos à 5 nerfs, G. Doin & Cie, Paris, 1955, 932 pp.
L'auteur était Professeur à la Faculté de Médecine de Bordeaux. Bon état (dos passé, bon exemplaire bien relié par ailleurs). Peu commun