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‎STURGEON Theodore‎

Reference : 11871

‎Vénus plus X (Vénus plus X)‎

‎ Collection " Chute Libre " n° 11 / Editions Champ Libre (1976) - In-8 étroit broché de 216 pages - Couverture en couleurs illustrée - Traduit de l'américain par Jean-Pierre Carasso - Bon état‎


Phone number : 06 15 22 89 43

EUR25.00 (€25.00 )

‎STURGEON Theodore‎

Reference : 2916357681

(1976)

ISBN : 2851840509

‎Venus plus X‎

‎1976, éditions Champ libre, collection Chute libre, n°11, in-8 oblong broché de 190 pages, couverture illustrée d'un dessin couleurs, Venus plus X, traduit de l'américain par Michel Pétris. | Etat : Bon état général, couverture légèrement défraîchie (Ref.: ref84994)‎


‎Champ libre‎

Les Kiosques - Toulon

Phone number : 04 94 913 130

EUR10.00 (€10.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110204907

(1989)

‎LE MODELE REDUIT DE BATEAU N° 307 - La radiocommande, Chaudière chauffée au charbon, Moteur CMB 90 15 cm3 version 1989, La photographie au service du modélisme, Encore plus fiable et plus simple : le spi, La Vénus de 1782, Le HMS Résolution‎

‎SOCIETE NOUVELLE DES PUBLICATIONS MRA. AVRIL 1989. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 54 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 386-Marine‎


‎ Classification Dewey : 386-Marine‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎Théodore Sturgeon. Traduit par Jean-Pierre Carasso‎

Reference : 11738

(1976)

‎Venus Plus X‎

‎Paris, Ed. Champ Libre.Chute Libre n°11, 1976, in-8, broché, 214 pages. Bon état. ‎


Phone number : (+33) 6 11 46 34 00

EUR15.00 (€15.00 )

‎ - Schaaf Charly - Clausier René‎

Reference : 72119

(1958)

‎Partition de la chanson : En bikini Jacqueline Bauer Miss Angora "la plus jolie Vénus de France" ‎

‎Partitions sur la Mode et accessoires Bals de France 1958‎


‎ Etat moyen Petit format Accordéon ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎STURGEON, Theodore.‎

Reference : 26893

‎Venus plus X.‎

‎Paris, Editions Champ Libre ("Chute Libre, 11"), 1976. in-8 etroit, 214 pp, broche, couverture illustree. Edition originale de la traduction française.‎


‎Excellent etat. [P-45] ‎

Phone number : 07 80 01 72 79

EUR13.50 (€13.50 )

‎STURGEON, Theodore - Traduit de l'américain par Jean-Pierre Carasso‎

Reference : 10204

(1976)

‎Venus plus X‎

‎ 1976 Editions Champ Libre, Collection "Chute Libre" - 1976 - In-8, broché - 215 pages‎


‎Bon état - Couverture très légèrement frottée ‎

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR10.00 (€10.00 )

‎STURGEON Theodore‎

Reference : R160151370

(1980)

‎VENUS PLUS X / COLLECTION : TITRES SF‎

‎JC LATTES. 1980. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 249 Pages. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine‎


‎Traduit de l'américain par J-P CARASSO Classification Dewey : 810-Littérature américaine‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Sturgeon Theodore‎

Reference : R240146504

(1976)

ISBN : 2851840509

‎"Vénus Plus X - collection ""chute libre"" N°11"‎

‎Editions champ libre. 1976. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 214 pages.. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine‎


‎Traduit de l'américain par Jean-Pierre Carasso. Classification Dewey : 810-Littérature américaine‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR10.95 (€10.95 )

‎STURGEON (Theodore) - ‎

Reference : 35854

‎Vénus plus X‎

‎ Traduction de Jean-Pierre Carasso - Paris : Editions Champ Libre (Collection "Chute libre"), 1976 - In-8 broché sous couverture illustrée en couleurs, 215 pages - bon état - édition originale de la traduction - ‎


Le Livre à Venir - Chantelle

Phone number : 06 44 78 76 58

EUR9.00 (€9.00 )

‎Bransiet (Maurice) sur Leopold von Sacher-Masoch‎

Reference : 87648

(1930)

‎La vie et les amours tourmentées de Sacher-Masoch, le père du masochisme avec les pages les plus curieuses de La Vénus aux fourrures, Les batteuses d'hommes, La czarine noire, La pantoufle de Sapho‎

‎Editions Quignon Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1930 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche avec un encadré rouge In-8 1 vol. - 319 pages‎


‎ année estimée à 1930, sine data (9eme mille) Contents, Chapitres : 1. Présentation (100 pages) : 1. L'homme : Sacher-Masoch et les femmes - Sacher-Masoch et le masochisme - 2. Oeuvres : La présentation de l'auteur est suivie de larges extraits des pages les plus curieuses de : La Vénus à la fourrure, Les batteuses d'hommes, La czarine noire, et La pantoufle de Sapho - Leopold von Sacher-Masoch, né le 27 janvier 1836 à Lemberg en royaume de Galicie et de Lodomérie et mort le 9 mars 1895 à Lindheim, est un historien et écrivain journaliste. Le mot masochisme est formé à partir de son nom. Les ascendances de Masoch sont slaves, espagnoles et bohémiennes. Son père est préfet de police à Lemberg. Son enfance est marquée par une scène primitive. Il surprend, du fond de sa cachette, sa tante Zénobie qui humilie son mari, le frappe à grands coups de fouet. Lorsque Zénobie le découvre, elle l'empoigne et à son tour il est fouetté. Par la suite, il est fasciné par des lectures où les femmes ont un rôle prédominant : les images de martyrs torturés le mettent dans un état fiévreux. Il est subjugué par l'art, médusé par l'uvre de Rubens : Hélène Fourment nue, musclée, ensauvagée de fourrure. Il est amateur de Vénus de pierre, de marbre, il admire Auguste Rodin et le lui témoigne. Masoch aime passionnément le théâtre. Il écrit deux pièces plébiscitées par le public. Des pièces très proches de la politique de l'époque. Pour l'historien Bernard Michel qui considère Sacher-Masoch comme un des plus grands écrivains d'Europe centrale, ce sont « des pièces de circonstance dont les hardiesses n'étaient compréhensibles que par les contemporains ». En dehors de son uvre, Leopold von Sacher-Masoch ouvre une revue littéraire, Auf der Höhe, à laquelle les plus grands écrivains européens de l'époque participent. À partir des années 1880, le psychiatre Richard von Krafft-Ebing utilise le mot masochisme pour nommer ce qu'il considère comme une pathologie. Il rend ainsi le nom de Leopold von Sacher-Masoch célèbre en tant que concept, mais son uvre d'écrivain tombe dans l'oubli. À la fin des années 1960, le philosophe Gilles Deleuze s'intéresse à nouveau à Sacher-Masoch. Depuis, une large majorité de ses romans et nouvelles est republiée et de nombreux chercheurs les commentent. (source : Wikipedia) la couverture est en bon état général mais il y a une trace d'étiquette au centre du plat supérieur qui est un peu frotté, tout comme le centre du dos, quelques rousseurs éparses sur les plats, intérieur sinon propre, papier un peu jauni, cela reste un bon exemplaire de cette étude de Maurice Bransiet d'une centaine de pages sur Leopold von Sacher-Masoch, agrémentée de 200 pages environs d'extraits de son oeuvre érotique‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR8.00 (€8.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎CABANEL Alexandre‎

Reference : 71369

(1868)

‎Lettre autographe signée à propos de son plus célèbre tableau : la Naissance de Vénus‎

‎9 avril 1868, 13,5x20,8cm, une carte.‎


‎Lettre autographe signée du peintre Alexandre Cabanel, une page sur un feuillet remplié.Le peintre demande le paiement pour une copie de son plus célèbre tableau, laNaissance de Vénus, commandée par le mécène américain John Wolfe et aujourd'hui présentée au Metropolitan Museum of Art de New York. "Etant obligé de m'absenter quelques jours je désirerais trouver à mon retour le 19 une somme de deux mille francs. J'ai pensé que vous voudriez bien la tenir à ma disposition à titre d'acompte sur la répétition de la vénus que j'ai terminée et signée sur votre demande et qui vous a été livrée l'été dernier. Veuillez agréer [...] A.Cabanel" - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR280.00 (€280.00 )

‎VAUDOYER, Jean-Louis‎

Reference : 63957

(1929)

‎[ Manuscrit autographe signé d'un article sur Théodore Aubanel ] Billet de Minuit : "Aubanel fêté en Avignon ou Le souvenir d'Aubanel" : "On vient de clore le cycle des fêtes données en Avignon ces dernières semaines pour commémorer le centenaire de Théodore Aubanel. Dans ce jardin du musée Calvet, où, voici peu de temps, Pol Neveux honorait le passage de Stendhal, un écrivain du nord de la Loire (le signataire de ces lignes), invité par l'Académie du Vaucluse, a apporté à la poésie méridionale l'hommage d'Oïl à Oc. Hommage d'autant plus convaincu et justifié que les chants intimes de Théodore Aubanel, par la qualité de coeur qui les dicte, par leur accent de vérité humaine et permanente, rayonnent bien au-delà de leur foyer. Les vingt-cinq petites pièces qui, dans la Grenade Entr'Ouverte, composent le "Livre de l'Amour" ont été souvent comparées, égalées à l'Intermezzo de Henri Heine. Intermezzo latin, où celui qui devait chanter plus tard en vers impérissables la vénus d'Arles élève, songeant à celle qu'il aima et qui s'est faite religieuse, sa plainte pure, brûlante et soumise. [...] [il évoque : ] "la pauvre fille de Charité, cette "Zani" au visage d'espagnole qui, pour la robe de bure des Soeurs de St Vincent de Paul, quitta la robe "couleur-de-Grenade" qu'elle portait le jour où Aubanel la vit pour la première fois. Les souvenirs terrestres de Zani et d'Aubanel, dans leur matérialité pour ainsi dire décantée, sont pieusement conservés dans la famille du poëte. Présentement, on peut les voir dans une salle du musée Calvet. Il y a là des portraits d'Aubanel, des siens, entre autres du "Corsaire grec" dont le poète descendait. Il y a là aussi un portrait de Zani, pas bien grand, tout modeste, sombre hostie offerte aux mystères cruels du sacrifice. Il y a là des manuscrits, des lettres ; ce touchant "cahier rouge" où Aubanel consigna mille détails tendres [... ] Enfin, dans sa blancheur immaculée, voici le grand exemplaire unique de La Grenade Entr'ouverte, que le poète fit imprimer spécialement "pour Zani" et que sa sainte inspiratrice, toute vouée à soigner les vieillards, à guider les enfants ne devait jamais, pour le presser sur un coeur inconsolé, toucher de ses maines mortelles".‎

‎Manuscrit autographe signé de 2 pages format 25 x21 cm, s.d. [1929 ] : Billet de Minuit : "Aubanel fêté en Avignon ou Le souvenir d'Aubanel" : "On vient de clore le cycle des fêtes données en Avignon ces dernières semaines pour commémorer le centenaire de Théodore Aubanel. Dans ce jardin du musée Calvet, où, voici peu de temps, Pol Neveux honorait le passage de Stendhal, un écrivain du nord de la Loire (le signataire de ces lignes), invité par l'Académie du Vaucluse, a apporté à la poésie méridionale l'hommage d'Oïl à Oc. Hommage d'autant plus convaincu et justifié que les chants intimes de Théodore Aubanel, par la qualité de coeur qui les dicte, par leur accent de vérité humaine et permanente, rayonnent bien au-delà de leur foyer. Les vingt-cinq petites pièces qui, dans la Grenade Entr'Ouverte, composent le "Livre de l'Amour" ont été souvent comparées, égalées à l'Intermezzo de Henri Heine. Intermezzo latin, où celui qui devait chanter plus tard en vers impérissables la vénus d'Arles élève, songeant à celle qu'il aima et qui s'est faite religieuse, sa plainte pure, brûlante et soumise. [...] [il évoque : ] "la pauvre fille de Charité, cette "Zani" au visage d'espagnole qui, pour la robe de bure des Soeurs de St Vincent de Paul, quitta la robe "couleur-de-Grenade" qu'elle portait le jour où Aubanel la vit pour la première fois. Les souvenirs terrestres de Zani et d'Aubanel, dans leur matérialité pour ainsi dire décantée, sont pieusement conservés dans la famille du poëte. Présentement, on peut les voir dans une salle du musée Calvet. Il y a là des portraits d'Aubanel, des siens, entre autres du "Corsaire grec" dont le poète descendait. Il y a là aussi un portrait de Zani, pas bien grand, tout modeste, sombre hostie offerte aux mystères cruels du sacrifice. Il y a là des manuscrits, des lettres ; ce touchant "cahier rouge" où Aubanel consigna mille détails tendres [... ] Enfin, dans sa blancheur immaculée, voici le grand exemplaire unique de La Grenade Entr'ouverte, que le poète fit imprimer spécialement "pour Zani" et que sa sainte inspiratrice, toute vouée à soigner les vieillards, à guider les enfants ne devait jamais, pour le presser sur un coeur inconsolé, toucher de ses maines mortelles".‎


‎Beau manuscrit autographe signé de Jean-Louis Vaudoyer de son bel article consacré au grand poète du Félibrige, Théodore Aubanel (1829-1886). Il y évoque notamment la figure de Jenny Manivet dite "Zani", premier amour du poète avignonnais. On joint une carte postale ancienne du monument de Théodore Aubanel à Avignon.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR250.00 (€250.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110611073

(1951)

‎Sciences et avenir n° 48 - La planète la plus proche et cependant la plus mystérieuse du système solaire : Vénus par Albert Ducrocq, L'eau et l'être vivant par le Dr Jacques Benoist, Terres désolées d'hier voici les pampas australes par J. Emperaire‎

‎Bureaux de la revue. Février 1951. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 49 à 96. Nombreuses illusrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES‎


‎Sommaire : La planète la plus proche et cependant la plus mystérieuse du système solaire : Vénus par Albert Ducrocq, L'eau et l'être vivant par le Dr Jacques Benoist, Terres désolées d'hier voici les pampas australes par J. Emperaire, Les 100 mètres carrés de surface des alvéoles pulmonaires constituent une voie d'absorbtion des médicaments grace aux aérosols par Jean Labadié Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : R110619845

(1995)

‎Newlook n° 145 - Marlene, quand la Vénus de M6 joue les sirènes, Seul contre 20 lions, Ca plane pour lui, Marco Manna, champion du monde de free style, La vallée des morts vivants, dans les catacombes de Guajuanato au Mexique, Vivons givrés, plus‎

‎Bureaux de la revue. Octobre 1995. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 114 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 306.7-La sexualité‎


‎Sommaire : Marlene, quand la Vénus de M6 joue les sirènes, Seul contre 20 lions, Ca plane pour lui, Marco Manna, champion du monde de free style, La vallée des morts vivants, dans les catacombes de Guajuanato au Mexique, Vivons givrés, plus on est fou, plus on est heureux, Armées rouges, iles Christmas, 2 000 humains, 120 millions de crabes Classification Dewey : 306.7-La sexualité‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎Académie Royale des Sciences - M. du Fay - M. Winslow - M. de Mairan - M. Pitot - P. Maraldi - M. de Réaumur - M. Delisle - M. Delisle - M. Cassini - M. Petit - M. Godin - M. Boulduc fils‎

Reference : 101182

(1732)

‎Suite des Mémoires de Mathématique et de Physique de l'Académie Royale des Sciences de l'année M. DCCXXVI (1726) , (Quelques expériences de catoptrique - Observations nouvelles sur les mouvements ordinaires de l'épaule, sur l'action des muscles qui exécutent ces mouvements - Description de l'aurore boréale du 26 septembre et celle du 19 octobre observées au chateau de Breuillepont - Examen de la force qu'il faut donner aux cintres dont on se sert dans la construction des grandes voutes des arches des ponts - Observations à Pékin et comparées à celles qui ont été faites à Paris, eclipses des satellites de Jupiter, de conjonctions de Vénus et Jupiter, comète qui parut en 1723 - Sur le son que rend le plomb et quelques circonstances - Sur la longitude de l'embouchure de la rivière Saint Louis nommée communément le fleuve Mississipi - Observations astronomiques faites à Berlin dans l'Observatoire Royal - Observations de l'éclipse de Mars par la Lune faite à l'Observatoire Royal - Mémoire dans lequel on détermine l'endroit où il faut piquer l'oeil dans l'opération de la cataracte - Que le fer est de tous les métaux celui qui se moule le plus parfaitement, et quelle en est sa cause - Sur le météore qui a paru le 19 octobre de cette année - Remarques sur plante appelée à la Chine Hia Tsao Tom Tchom ou plante-ver - Essai d'analyse en général des nouvelles eaux minérales de Passy - Observation de l'éclipse du Soleil faite à Thury près de Clermont en Beauvoisis le 25 septembre 1726 suivi Observation de l'éclipse faite à l'Observatoire Royal - Observations météorologiques de l'an 1726)‎

‎Chez Pierre Mortier à Amsterdam , Académie Royale des Sciences Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1732 Book condition, Etat : Bon relié, plein veau d'époque à 5 faux-nerfs, pièce de titre et de tomaison, caissons ornés In-8 1 vol. - 243 pages‎


‎9 planches hors-texte de gravures (sauf erreur complet) 1ere édition, édition originale, 1732 Contents, Chapitres : Paginé 237 à 479 - 1. M. du Fay : Quelques expériences de catoptrique (pages 237 à 251, 14 pages, 1 planche - 2. M. Winslow : Observations nouvelles sur les mouvements ordinaires de l'épaule, sur l'action des muscles qui exécutent ces mouvements (pages 252 à 283, 31 pages, 2 planches dépliantes totalisant 38 figures - 3. M. de Mairan : Description de l'aurore boréale du 26 septembre et celle du 19 octobre observées au chateau de Breuillepont (pages 283 à 308, 25 pages et 2 planches dépliantes - 4. M. Pitot : Examen de la force qu'il faut donner aux cintres dont on se sert dans la construction des grandes voutes des arches des ponts (pages 308 à 326, 16 pages, 2 planches dépliantes) - 5. P. Maraldi : Observations à Pékin et comparées à celles qui ont été faites à Paris, eclipses des satellites de Jupiter, de conjonctions de Vénus et Jupiter, comète qui parut en 1723 (pages 337 à 344, 7 pages) - 6. M. de Réaumur : Sur le son que rend le plomb et quelques circonstances (pages 345 à 352, 7 pages) - 7. M. Delisle : Sur la longitude de l'embouchure de la rivière Saint Louis nommée communément le fleuve Mississipi Misissipi (pages 353 à 366, 13 pages) - 8. M. Delisle : Observations astronomiques faites à Berlin dans l'Observatoire Royal (pages 366 à 367) - 9. M. Cassini : Observations de l'éclipse de Mars par la Lune faite à l'Observatoire Royal (pages 368-369) - 10. M. Petit : Mémoire dans lequel on détermine l'endroit où il faut piquer l'oeil dans l'opération de la cataracte (pages 370 à 385, 15 pages, 1 planche dépliante - 11. M. de Réaumur : Que le fer est de tous les métaux celui qui se moule le plus parfaitement, et quelle en est sa cause (pages 385 à 404) - 12. M. Godin : Sur le météore qui a paru le 19 octobre de cette année (pages 403 à 425, 22 pages) - 13. M. de Réaumur : Remarques sur plante appelée à la Chine Hia Tsao Tom Tchom ou plante-ver (pages 426 à 430, 4 pages, 1 planche dépliante - 14. M. Boulduc fils : Essai d'analyse en général des nouvelles eaux minérales de Passy (pages 431 à 461, 30 pages - 15. M. Cassini : Observation de l'éclipse du Soleil faite à Thury près de Clermont en Beauvoisis le 25 septembre 1726 suivi de M. Godin : Observation de l'éclipse faite à l'Observatoire Royal (pages 461 à 466, 5 pages) - 16. P. Maraldi : Observations météorologiques de l'an 1726 (pages 466 à 479, 13 pages) - Fin - Jean-Jacques Dortous de Mairan, né à Béziers le 26 novembre 1678 et mort à Paris le 20 février 1771, est un mathématicien, astronome et géophysicien français. - René-Antoine Ferchault de Réaumur (appelé par convenance Réaumur tout court), né le 28 février 1683 à La Rochelle et mort le 17 octobre 1757 dans son domaine de la Bermondière, à Saint-Julien-du-Terroux, en Mayenne, est un physicien et naturaliste français. - Charles François de Cisternay du Fay (ou Dufay), né à Paris le 14 septembre 1698 et mort à Paris le 16 juillet 1739, est un chimiste français, premier intendant du Jardin du Roi, qui distingua en électrostatique l'électricité positive de l'électricité négative. - Jacques Cassini, dit Cassini II, seigneur de Thury, né à Paris le 18 février 1677 et mort à Thury le 16 avril 1756 des suites d'un accident de voiture, est un astronome français. Louis Godin est un astronome français, membre de l'Académie royale des sciences, né à Paris le 28 février 1704 et mort le 11 septembre 1760 à Cadix. Giacomo Filippo Maraldi, parfois appelé Jacques Philippe Maraldi, né le 21 août 1665 à Perinaldo (alors comté de Nice des États de Savoie) et mort le 1er décembre 1729, est un mathématicien et astronome franco-italien. Joseph-Nicolas Delisle, dit Delisle le cadet ou le jeune, né le 4 avril 1688 et mort le 11 septembre 1768 à Paris, est un astronome et cartographe français. bon exemplaire, le dos est un peu frotté à la coiffe supérieure et sur le haut des mors sans gravité, reliure d'époque sinon en très bon état, intérieur frais et propre, papier un peu jauni, presque sans rousseurs, bien complet des 9 planches hors-texte‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR100.00 (€100.00 )

‎Collectif‎

Reference : RO10036800

(1879)

‎Journal des voyages et des aventures de terre et de mer n° 91 - Le pays des zoulous et des cafres - Rien n'est plus curieux que de voir le sorcier a l'oeuvre, Aventures périlleuses de deux voyageurs français au Dahomey, VIII, Les rats de Norvège, La Vénus‎

‎Librairie illustrée.. 6 avril 1879. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 193 à 208. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages‎


‎Sommaire : Le pays des zoulous et des cafres - Rien n'est plus curieux que de voir le sorcier a l'oeuvre, Aventures périlleuses de deux voyageurs français au Dahomey, VIII, Les rats de Norvège, La Vénus noire, Le robinson noir, chapitre XXI Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10086459

(1974)

‎PARIS MATCH N° 1327 - Les impressionnistes venus de New York et de Moscou : vous ne pourrez plus les voir en France, Les socialistes cherchent a définir une voie français et Mitterrand se consolide par Philippe Alexandre, Le ministe des immigrés visite‎

‎PARIS MATCH. 12 octobre 1974. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 122 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Les impressionnistes venus de New York et de Moscou : vous ne pourrez plus les voir en France, Les socialistes cherchent a définir une voie français et Mitterrand se consolide par Philippe Alexandre, Le ministe des immigrés visite les médinas, Guichard et Messmer de nouveau en selle, L'éparne française reste héroïque Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO10085798

(1962)

‎PARIS MATCH N° 666 - Sur la vitre, un reflet : les danseurs de Janine Charrat Venus lui dire : a bientot, L'adieu du plus parisien des russes : fausse sortie, Nous avons assisté a la fin de Goa, Marlon mari giflé, C'était la nuit de la Saint Sylvestre‎

‎PARIS MATCH. 13 janvier 1962. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 82 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Sur la vitre, un reflet : les danseurs de Janine Charrat Venus lui dire : a bientot, L'adieu du plus parisien des russes : fausse sortie, Nous avons assisté a la fin de Goa, Marlon mari giflé, C'était la nuit de la Saint Sylvestre, nos reporters étaient la, Decazeville : avec les entêtés de la cote moins 360 par Jacques Le Bailly et Jack Chargelègue Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : RO40016808

(2017)

‎Science & vie Découvertes N°214, octobre 2016 : Les fantômes existent-ils ?Grâce aux trucages photo, facile de créer des fantômes ! Le moustique est l'animal le plus meurtrier! En 1725, 4 indines sont venus voir Louis XV !‎

‎mondadori France. 2017. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Déchirures. 82 pages augmentées de nombreuses illustrations en couleurs dans le texte.Une page froissée et partiellement déchirée.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Grâce aux trucages photo, facile de créer des fantômes ! Le moustique est l'animal le plus meurtrier! En 1725, 4 indines sont venus voir Louis XV ! Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR10.95 (€10.95 )

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Reference : RO10085079

(1939)

‎MATCH N° 68 - 19 octobre 1939 - 7eme semaine de la guerre - la Finlande - Mannerheim, proclamé maréchal par ses hommes, lutte contre les soviets - les premiers athlètes d'Europe ne sont plus que des soldats - la Venus de Milo rejoint son abri...‎

‎MATCH. 19 octobre 1939. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. environ 46 pages augmentées de nombreuses photos en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en noir et blanc. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎7eme semaine de la guerre - la Finlande - Mannerheim, proclamé maréchal par ses hommes, lutte contre les soviets - les premiers athlètes d'Europe ne sont plus que des soldats - la Venus de Milo rejoint son abri - ici, le front - un camp de prisonniers en Allemagne... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110086518

(1885)

‎LE COSMOS - REVUE DES SCIENCES ET DE LEURS APPLICATIONS N° 45 - Le pape et la science, Tremblement de terre, Marées extraordinaires, Prédictions, Les photographies du passage de Vénus, Le plus vieux cable sous-marin, La rage inoculée, Navigation aérienne‎

‎BUREAUX DU COSMOS-LES-MONDES. 7 DECEMBRE 1885. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1 à 26. Texte en colonnes. Quelques illustrations en noir et blanc dans le texte. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎sommaire : Le pape et la science, Tremblement de terre, Marées extraordinaires, Prédictions, Les photographies du passage de Vénus, Le plus vieux cable sous-marin, La rage inoculée, Navigation aérienne, Les nouvelles routes du globe Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR24.90 (€24.90 )

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Reference : R110086935

(1893)

‎LE COSMOS - REVUE DES SCIENCES ET DE LEURS APPLICATIONS N° 462 - Plus grand éclat de Vénus, La nouvelle base pour la mesure des distances des étoiles, De l'aurore boérale, Température extraordinaire, Enregistrement de l'instant des secousses sismiques‎

‎BUREAUX DU COSMOS-LES-MONDES. 2 DECEMBRE 1893. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1 à 30. Texte en colonnes. Quelques illustrations en noir et blanc dans le texte. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Plus grand éclat de Vénus, La nouvelle base pour la mesure des distances des étoiles, De l'aurore boérale, Température extraordinaire, Enregistrement de l'instant des secousses sismiques, L'abondance de la récolte du vin Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR24.90 (€24.90 )

‎Collectif‎

Reference : R110395748

(1963)

‎Télé 7 jours n° 148 - Ici De Caunes a failli devenir fou, Yves Monstand : un mariage réussi c'est quand on ne se raconte plus de salades, Simone Signoret : vous seriez venus avant hier, on se disputait, Peter Lawford : quand les Kennedy‎

‎Télé 7 jours. 19 janvier 1963. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 78 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 791.45-Télévision‎


‎Sommaire : Ici De Caunes a failli devenir fou, Yves Monstand : un mariage réussi c'est quand on ne se raconte plus de salades, Simone Signoret : vous seriez venus avant hier, on se disputait, Peter Lawford : quand les Kennedy ont vu mes chaussettes rouges, ils m'ont adopté Classification Dewey : 791.45-Télévision‎

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