265 books for « louis ferdinand celine »Edit

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‎CELINE (Louis-Ferdinand)‎

Reference : 15411

‎Foudres & flèches. Ballet mythologique de Louis-Ferdinand Céline‎

‎ Paris, Les Actes des Apôtres, Charles de Jonquières, 1948. In-8 carré broché, 83 pp., non coupé, couverture à rabats (très bon état). ‎


‎Edition originale tirée à 1021 exemplaires. Ici un des 75 sur Marais Crèvecoeur, premier papier. * Voir photographie(s) / See the picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve. ‎

Phone number : 09 78 81 38 22

EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎CELINE, Louis Ferdinand (Louis Ferdinand DESTOUCHES) - BOGRATCHEW, Claude.‎

Reference : 109375

‎Oeuvres de Louis-Ferdinand CELINE. Préface de Marcel Aymé. Avant-propos, notes et commentaires de Jean A. Ducourneau. Illustrations de Claude Bogratchew (5 volumes).‎

‎ Paris, André Balland, 1966-1969, 5 volumes in-8 de 235x180 mm environ, Tome 1. Voyage au bout de la nuit - Théâtre - Thèses, XLIII-815 pages, 4 ff. (table, achevé d'imprimer), - Tome 2. Mort à crédit - Casse-pipe - Guignol's Band I, 760 pages, 3ff. (table, achevé d'imprimer), - Tome 3. Guignol's Band II - Le Pont de Londres - Féerie pour une autre fois I, 599 pages, 3ff. (table, achevé d'imprimer) - Tome 4. Féerie pour une autre fois II - Normance - D'un château à l'autre, 494 pages, 3ff. (table, achevé d'imprimer), - Tome 5. Nord - Rigodon, 511 pages, 3ff., reliure originale de l'éditeur, demi chagrin noir, et plexiglas transparent avec plats biseautés, titres blancs sur dos lisses, sous étuis individuels noirs avec intérieurs en suédine ivoire, Engel Relieur, d'après la maquette de Mercher. Exemplaire N° 350, un des 4000 exemplaires sur papier vergé, d'un tirage limité à 4180 exemplaires, illustré de 80 compositions hors texte en noir de Claude Bogratchew (16 par volume). Frottements et petites écorchures sur les étuis et début de fente sur l'ouverture des tomes 1 et 2, sinon bon état.‎


‎Louis Ferdinand Destouches, dit Louis-Ferdinand Céline, né le 27 mai 1894 à Courbevoie et mort le 1er juillet 1961 à Meudon, connu sous son nom de plume généralement abrégé en Céline, est un écrivain et médecin français. Il est notamment célèbre pour Voyage au bout de la nuit, publié en 1932. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

Phone number : 33 04 78 42 29 41

EUR450.00 (€450.00 )

‎Louis-Ferdinand Céline signé Docteur Louis Destouches.‎

Reference : 8859

(1925)

‎La Quinine en Thérapeutique. ( Dédicacé Louis-Ferdinand Céline sous son vrai nom " Docteur Louis Destouches " + papillon éditeur )‎

‎ Librairie O. Doin / Paris 1925. In-12 broché de 140 pages au format 11,5 x 15,5 cm. Dos muet carré. Infimes frottis aux coins. Plats avec infimes brunissures. Intérieur frais, malgré des traces de crayon, gommées, en page de titre. Véritable édition originale du premier ouvrage de Louis Ferdinand Céline avec achevé d'imprimer en date du 6 / 1925. Traité sur l'usage de la quinine, rédigé tout de suite après la thèse sur Semmelweiss présentée en 1924. Céline exerce lors ses activités médicales dans les banlieues populaires de Paris, loin des milieux littéraires. Magnifique état de fraicheur. Bien complet du rare papillon éditeur mentionnant que le " Bureau pour l'encouragement à l'emploi de la quinine " à Amsterdam, sollicitait des articles écrits par des médecins pour publication dans sa revue " Chininum " de 1925. Magnifique état de fraicheur. Rarissime exemplaire orné d'une dédicace autographe, signé, de son vrai nom par Louis-Ferdinand Céline : " A mon cher ami, Monsieur Riboulleau, Dr Destouches ". On joint le bordereau d'achat, faisant office de certificat, rédigé par Artus enchères pour la vente du 10/02/2009.‎


‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres‎

Phone number : 06 80 26 72 20

EUR3,500.00 (€3,500.00 )

‎CELINE Louis-Ferdinand‎

Reference : 76004

(1875)

‎Portrait photographique de jeunesse du père de Louis-Ferdinand Céline accompagné de ses trois frères‎

‎Paris circa 1875, 13,2x21,8cm, une photographie.‎


‎Photographie originale montée sur un carton rigide, représentant Fernand Destouches, père de l'écrivain Louis-Ferdinand Céline (en haut à droite) posant aux côtés de ses frères René, Georges et Charles - de haut en bas et de gauche à droite. Bords du carton rigide émoussés. Ce portrait des quatre frères Destouches en uniforme au col lauré, date de leurs heureuses années d'écolier au lycée du Havre. La photographie, véritable incarnation d'un passé insouciant et révolu, devait indiscutablement revêtir une importance aux yeux des quatre frères, qui reproduiront à l'âge adulte la pose exacte de ce portrait d'enfance pour un second portrait, familial, conservé dans la collection de François Gibault (Anton, Sonia, «?Louis-Ferdinand Céline, d'un Havre à l'autre?: entre autofiction, transposition et imaginaire?», Le Territoire littéraire du Havre dans la première moitié du XXè siècle, 2013, fig. 20, photographie prise vers 1905). Notre photographie est reproduite en page 11 de l'Album Céline (Gallimard, 1977). Né en 1865 dans cette même ville, Fernand Destouches devenu maréchal des logis puis triste employé d'assurances, en garde une passion pour la mer et ses vaisseaux. Il occupe une place de choix dans le second roman de son fils, Mort à crédit, dans lequel Céline noircit encore davantage les aspirations avortées et l'impossible caractère de son père pour le personnage d'Auguste, père de Ferdinand?: «?Mon père il était pas commode. Une fois sorti de son bureau, il mettait plus que des casquettes, des maritimes. Ç'avait été toujours son rêve d'être capitaine au long cours. Ça le rendait bien aigri comme rêve. [...] C'était un gros blond, mon père, furieux pour des riens, avec un nez comme un bébé tout rond, au-dessus de moustaches énormes. Il roulait des yeux féroces quand la colère lui montait. Il se souvenait que des contrariétés. Il en avait eu des centaines. Au bureau des Assurances, il gagnait cent dix francs par mois. En fait d'aller dans la marine, il avait tiré au sort sept années dans l'artillerie. Il aurait voulu être fort, confortable et respecté. Au bureau de la Coccinelle ils le traitaient comme de la pane. L'amour-propre le torturait et puis la monotonie. Il n'avait pour lui qu'un bachot, ses moustaches et ses scrupules. Avec ma naissance en plus, on s'enfonçait dans la mistoufle?». (Mort à crédit, Paris, Gallimard, coll. Folio, 1952, p. 53) Ses trois oncles figurant sur la photographie - René, Georges et Charles - sont immortalisés et délicieusement malmenés dans Mort à crédit?: Rodolphe (René Destouches) «?Mais le plus cloche de la famille, c'était sûrement l'oncle Rodolphe, il était tout à fait sonné. Il se marrait doucement quand on lui parlait. Il se répondait à lui-même. Ça durait des heures. Il voulait vivre seulement qu'à l'air. Il a jamais voulu tâter d'un seul magasin, ni des bureaux, même comme gardien et même de nuit. Pour croûter, il préférait rester dehors, sur un banc. Il se méfiait des intérieurs. Quand vraiment il avait trop faim, alors, il venait à la maison. Il passait le soir. C'est qu'il avait eu trop d'échecs. La "bagotte", son casuel des gares, c'était un métier d'entraînement. Il l'a fait pendant plus de vingt ans. Il tenait la ficelle des "Urbaines", il a couru comme un lapin après les fiacres et les bagages, aussi longtemps qu'il a pu. Son coup de feu c'était le retour des vacances. Ça lui donnait faim son truc, soif toujours. Il plaisait bien aux cochers. À table, il se tenait drôlement. Il se levait le verre en main, il trinquait à la santé, il entonnait une chanson... Il s'arrêtait au milieu... Il se pouffait sans rime ni raison, il en bavait plein sa serviette... [...] Il avait toujours froid aux pieds. Il a compliqué les choses il s'est mis avec une "Ribaude", une qui faisait la postiche, la Rosine, à l'autre porte, dans une caverne en papier peint. Une pauvre malheureuse, elle crachait déjà ses poumons. Ça a pas duré trois mois. Elle est morte dans sa chambre même au "Rendez-vous". Il voulait pas qu'on l'emmène. Il avait bouclé sa lourde. Il revenait chaque soir coucher à côté. C'est à l'infection qu'on s'est aperçu. Il est devenu alors furieux. Il comprenait pas que les choses périssent. C'est de force qu'on l'a enterrée. Il voulait la porter lui-même, sur "un crochet", jusqu'à Pantin. Enfin, il a repris sa faction en face l'Esplanade, ma mère était indignée. "Habillé comme un chienlit?! avec un froid comme il y en a?! c'est vraiment un crime?!" Ce qui la tracassait surtout, c'est qu'il mette pas son pardessus. Il en avait un à papa. On m'envoyait pour me rendre compte, moi qu'avais pas l'âge je pouvais passer le tourniquet franco sans payer. Il était là, derrière la grille, en troubadour. Il était redevenu tout souriant Rodolphe. "Bonjour?! qu'il me faisait. Bonjour, mon petit fi?!... Tu la vois hein ma Rosine'..." Il me désignait plus loin que la Seine, toute la plaine... un point dans la brume... "Tu la vois" Je lui disait "Oui". Je le contrariais pas. Mes parents je les rassurais. Tout esprit Rodolphe?! À la fin de 1913, il est parti dans un cirque. On a jamais pu savoir ce qu'il était devenu. On l'a jamais revu?» (Mort à crédit, Paris, Gallimard, coll. Folio, 1952, p. 62-63.) Antoine (Georges Destouches) «?Son frère, Antoine, c'était autre chose. Il avait vaincu brutalement tous les élans de la vadrouille, d'une façon vraiment héroïque. Il était né lui aussi tout près du grand Sémaphore... Quand leur père à eux était mort, un professeur de Rhétorique, il s'était précipité dans les "Poids et Mesures" une place vraiment stable. Pour être tout à fait certain il avait même épousé une demoiselle des "Statistiques". Mais ça revenait le tracasser des envies lointaines... Il gardait du vent dans la peau, il se sentait pas assez enfoui, il arrêtait pas de s'étriquer. Avec sa femme, il venait nous voir au Jour de l'An. Tellement ils faisaient d'économies, ils mangeaient si mal, ils parlaient à personne, que le jour où ils sont crounis, on se souvenait plus d'eux dans le quartier. Ce fut la surprise. Ils ont fini francsmaçons, lui d'un cancer, elle d'abstinence. On l'a retrouvée sa femme, la Blanche, aux Buttes-Chaumont. C'est là qu'ils avaient l'habitude de passer toujours leurs vacances. Ils ont mis quand même quarante ans toujours ensemble, à se suicider?» (Mort à crédit, Paris, Gallimard, coll. Folio, 1952, p. 60-61). Arthur (Charles Destouches) «?On avait encore l'oncle Arthur, c'était pas non plus un modèle?! La chair aussi l'a débordé. Mon père se sentait pour lui une sorte de penchant, une certaine faiblesse. Il a vécu en vrai bohème, en marge de la société, dans une soupente, en cheville avec une bonniche. Elle travaillait au restaurant devant l'École Militaire. Grâce à ça, il faut en convenir, il arrivait à bien bouffer. Arthur c'était un luron, avec barbiche, velours grimpant, tatanes en pointe, pipe effilée. Il s'en faisait pas. Il donnait fort dans la "conquête". Il tombait malade souvent et fort gravement à l'époque du terme. Alors il restait des huit jours couché avec ses compagnes. Quand on allait le voir le dimanche, il ne se tenait pas toujours très bien, surtout avec ma mère. Il la lutinait un peu. Ça foutait mon vieux hors de lui. En sortant il jurait cent vingt mille diables qu'on y retournerait plus jamais. "Vraiment, cet Arthur?! Il a des manières ignobles?!..." On revenait quand même.?» (Mort à crédit, Paris, Gallimard, coll. Folio, 1952, p. 60-61). Incroyable relique des jeunesses heureuses et regrettées des oncles et du père de Louis Destouches à la Belle époque, auxquelles l'écrivain consacre de poignants passages dans Mort à crédit. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR3,000.00 (€3,000.00 )

‎CELINE Louis-Ferdinand - BONNARD Abel‎

Reference : 732840

‎Lettre autographe signée de Louis-Ferdinand CELINE adressée à Abel BONNARD. - Suivi du texte d'Abel BONNARD: "Changement d'époque".‎

‎S.N. Bezons 1941 Lettre autographe signée de Louis-Ferdinand CELINE de 2 pages ( 1 feuillet recto-verso ) adressée à Abel BONNARD, datée du 13 mars 1941, écrite à l'encre noire sur une ordonnance du Dr. L.F. DESTOUCHES médecin du Dispensaire Municipal de Bezons ( Seine-et-Oise ), le félicitant de son texte "Changement d'époque" paru dans la Nouvelle Revue Française le 01/03/1941. 1 volume in-8 ( 230 X 155 mm ), cartonnage de papier marbré à la bradel, dos lisse janséniste avec pièce de titre de basane tabac. Un papillon manuscrit de Louis-Ferdinand CELINE est collé en début de volume "Changement d'époque changement de valeur" et précède la lettre autographe elle-même suivie des 5 feuillets du texte d'Abel BONNARD. Bel état.Un papillon manuscrit de 8 lignes situé à Copenhague et daté du 5 Sept. 1947, signé Louis-Ferdinand CELINE ou il demande à son interlocuteur de lui communiquer l'adresse d'Abel BONNARD est joint à l'exemplaire.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR2,500.00 (€2,500.00 )

‎[CÉLINE Louis-Ferdinand].‎

Reference : 10679

‎CAHIERS DE L'HERNE : " LOUIS-FERDINAND CÉLINE ".‎

‎Editions Pierre Belfond. " Poche-Club ". 1968. In-8° broché. Couverture photographique. 439 pages. Bon état.‎


‎Réédition en un fort volume " de poche " des deux Cahiers de L'Herne consacrés à Louis-Ferdinand Céline.‎

Phone number : 06.10.17.78.84

EUR38.00 (€38.00 )

‎CELINE Louis-Ferdinand‎

Reference : 75286

(1948)

‎Lettre à J.B. Sartre ou A l'agité du bocal. L'exemplaire de Louis-Ferdinand Céline‎

‎Pierre Lanauve de Tartas, Paris 1948, 14x20cm, en feuilles.‎


‎Édition originale, un des 150 exemplaires sur B.F.K. de Rives, seul tirage après 50 autres grands papiers. Quelques discrètes restaurations au dos et plats de couverture. Au colophon, notre exemplaire est exceptionnellement enrichi de la très rare signature manuscrite de Louis-Ferdinand Céline, alors en exil au Danemark. L'éditeur, Pierre Lanauve de Tartas, a précisé, juste au dessus de la signature de Céline, «?Exemplaire d'auteur?». Ce très rare exemplaire d'auteur porte effectivement, imprimé sur le premier plat, le titre initial de l'ouvrage?: Lettre à J.B. Sartre. Nous joignons le papillon volant portant le titre définitif «?à l'agité du bocal?» et qui a été encollé sur l'intégralité du tirage diffusé par la suite. Unique et personnel exemplaire de Louis-Ferdinand Céline de sa cinglante réponse à Jean-Paul Sartre, qui, dans Réflexions sur la question juive, l'avait accusé d'avoir été payé par les Allemands sous l'Occupation pour avoir tenu de telles et indéfendables positions antisémites. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR6,800.00 (€6,800.00 )

‎[DELHAYE DESTOUCHES Hermance] & [CELINE Louis-Ferdinand]‎

Reference : 75325

(1900)

‎Portrait photographique d'Hermance Delhaye Destouches, grand-mère paternelle de Louis-Ferdinand Céline‎

‎J. Couturier, Paris s.d. (ca 1900), 10,3x15,5cm, une photographie au format carte cabinet.‎


‎Portrait photographique d'Hermance Delhaye Destouches (1830-1869), grand-mère paternelle de Louis-Ferdinand Céline, au format carte cabinet sur papier albuminé contrecollé sur un carton du studio J. Couturier. Carton un peu rogné en marge basse. Légende manuscrite au dos. Bourgeoise d'origine flamande, la grand-mère de Céline se marie avec Auguste Destouches en 1860 et eut cinq enfants. à la mort prématurée de son mari en 1874, à l'âge de trente-neuf ans, la provinciale Hermance tente sa chance à Paris avec Amélie, la tante de Céline, où elle dilapide sa fortune et finit entretenue grâce à la vie de demi-mondaine de sa fille. Céline emprunte dans Mort à crédit son deuxième prénom, Caroline, pour le personnage de la grand-mère tenancière du magasin d'antiquités de la rue Montorgueil. Cet aspect du personnage se rattache cependant à la vie de boutiquière de sa grand-mère maternelle Céline Guillou, dont le prénom servit de nom de plume à l'écrivain. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR1,700.00 (€1,700.00 )

‎(CELINE Louis-Ferdinand) DESTOUCHES Amélie‎

Reference : 76022

(1877)

‎Portrait photographique de la tante de Louis-Ferdinand Céline, accompagnée de sa fille et son mari‎

‎Studio Louis, Bucarest 14 juin 1877, 6,7x10cm.‎


‎Rare portrait photographique d'Amélie Destouches, tante de Louis-Ferdinand Céline, au format carte cabinet sur papier albuminé contrecollé sur un carton du studio Louis. Légendes manuscrites «?Suzannica 3 ans, Bucarest ce 14 juin 1877?» et «?Zenon Zawirski?» d'une autre main, au dos. Le portrait est réalisé par les studios Louis, au 127 Calea Mosilor à Bucarest. Amélie épouse à vingt-quatre ans le riche roumain Zenon Zawirski, qui pose à ses côtés avec leur fille Zenone Zawirska, alors âgée de trois ans. Céline lui consacre un portrait peu flatteur dans Mort à crédit, et emprunte ses traits pour le personnage de la tante Hélène, dont il transpose les aventures slaves en Russie et non en Roumanie. Encore vivante à l'époque de la rédaction du roman, Céline fait pourtant mourir son personnage dans le déshonneur et la honte?: «?Elle a pris tout le vent dans les voiles. Elle a bourlingué en Russie. À Saint-Pétersbourg, elle est devenue grue. À un moment, elle a eu tout, carrosse, trois traîneaux, un village rien que pour elle, avec son nom dessus. Elle est venue nous voir au Passage, deux fois de suite, frusquée, superbe, comme une princesse et heureuse et tout. Elle a terminé très tragiquement sous les balles d'un officier. Y avait pas de résistance chez elle. C'était tout viande, désir, musique. Il rendait papa, rien que d'y penser. Ma mère a conclu en apprenant son décès?: "Voilà une fin bien horrible?! Mais c'est la fin d'une égoïste?!"?» - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎CELINE Louis-Ferdinand‎

Reference : 64327

(1947)

‎Lettre autographe signée de Louis-Ferdinand Céline au docteur Tuset et à Henri Mahé "Ces choses-là ne s'oublient pas. Tout est poésie ! "‎

‎Copenhage 10 avril [1947], 22,5x28,4cm, 6 pages sur 3 feuillets.‎


‎Très longue lettre autographe signée "Dest" au docteur Tuset et à Henri Mahé, datée du 10 avril [1947] à Copenhague, 130 lignes à l'encre bleue sur six pages pleines, corrections et soulignements de la main de l'auteur. La date indiquée par l'auteur du 10 mars est erronée, Naud n'acceptant de défendre Céline qu'en avril 1947. Pliures inhérentes à la mise sous pli ayant provoqué d'infimes déchirures sans manque de texte. Affaibli par son exil, Céline se réfugie dans sa correspondance où les multiples évocations du passé constituent des repères qui le rattachent à la vie. En 1947, Céline, poursuivi par la justice française pour son engagement collaborationniste, est reclus à Korsør, au Danemark. Epuisé par son isolement, Céline tente de maintenir un contact permanent avec son cercle d'amis français et parmi eux, le docteur Augustin Tuset, figure autour de laquelle gravite le monde des arts de Quimper, «cette petite Athènes au bord de l'Odet». La période d'exil permet à Céline de renouer avec le monde de l'avant-guerre ressurgissant à travers les abondantes listes de noms parfois non identifiés: «et Mme. Le Gallou? Et votre assistante? Et Desse? [...] Et les frères confitures, et leur grand-père divin! et Le Floche? Et Rosbras? [...] Et Troulalaire? Et notre si gentille crêpière. Je n'en aurais pas fini». Les différentes époques de la vie de Céline s'entrecroisent dans la correspondance du Danemark, donnant à la mémoire un rôle à la fois néfaste et salvateur pour l'auteur: «Je suis inépuisable aux souvenirs. L'atroce est que je n'oublie jamais rien. Il faudrait bien que j'oublie certaines choses [...] Ah Marie Bell, mes amours! [...] elle était vraiment extraordinaire dans Armide! Ces choses-là ne s'oublient pas. Tout est poésie!». L'écriture de la lettre épouse le fil de la pensée de l'auteur, n'effectuant aucune transition entre les sujets: «Maria le Bannier nous écrit souvent. Je l'aime bien. C'est un tempérament et tout un trésor de Bretagne. Et Saudemont? Vers quelles ivresses? Serre bien la main de Pipe. Affection à Stève. [...] comment va la mère de Madeleine? Nous parlons souvent de la «Puce». Leur pauvre petite chatte... » Aucune affaire n'est épargnée par la soif de Céline de retrouver les repères familiers dans sa solitude où finit par poindre la fatigue qui l'accable: «Jusqu'où vont nos souvenirs...» A l'instar de plusieurs autres missives de la correspondance danoise, cette lettre est destinée à deux interlocuteurs: le docteur Tuset, mais aussi le peintre Henri Mahé, qui présenta d'ailleurs le premier à Céline. Le ton change significativement lorsque l'écrivain, s'adressant à son ami de longue date, quitte cette bienveillance nostalgie pour laisser éclater sa colère: «[...] prévenez Henri que Karen est à rayer une fois pour toutes!». Ici s'ouvre le long et virulent récit de l'un des tournants principaux de l'épopée du Danemark. Céline avait, avant son exil, confié de l'or à la danseuse Karen Jensen (dédicataire de L'Eglise). Assistée d'Ella Johansen, cette dernière mit des appartements à la disposition des Destouches qui s'y réfugièrent à leurs sorties respectives de prison. Dépositaires de l'or de Céline dont la réserve diminue de manière suspecte, les deux femmes sont ici violement prises à partie: «Elle [Karen] et son amie se sont comportées comme des sorcières de Macbeth et en plus pillardes, canailles. Des monstres. Elles ont littéralement torturé la pauvre Lucette. Deux mégères en délire [...] Son amie Johansen, ivrogne aussi hystérique, méchante, envieuse, un monstre.». Céline va même jusqu'à les comparer à «Landru [...] plus timides, plus sournoises, mais textuelles». La colère doublée de frustration de Céline n'épargne personne, pas même sa propre fille: «La mienne d'enfant, Colette, végète à Paris, la pauvre conne» L'exil mais surtout la période de prison que Céline a endurée lui fournissent une source intarissable de fureur qui lui inspire des lignes aussi percutantes que celles qui forment ses romans : «Ce fut un cauchemar de 17 mois, méticuleux. Et avec toute la monstrueuse hypocrisie protestante! Pour notre bien! toujours de superbes alibis pour les pires crimes, les plus écurantes lâchetés. Au résultat, j'ai été dépouillé de quelques millions, le plus hypocritement du monde, sous chantage, et rien à dire, absolument rien». Les aphorismes, particulièrement présents dans cette lettre, sont le signe de la fusion permanente entre style et écriture épistolaire: «L'or rend fou, vous le savez, et folle, car tout ce monde est rastaquouère, vit bien au-dessus de ses moyens. Voyages, robes, alcools, jeu, etc... Victimes du cinéma!». L'éloignement de Céline le rend d'autant plus soucieux de l'évolution de sa situation dans la capitale, auprès de ses amis comme de ses ennemis, parmi lesquels se distinguent une fois encore toutes les relations artistiques de Céline: «Daragnès, qui me condamnait fort à la pendaison en juin 1943 [...] se rachète, il semble, en se remuant un petit peu auprès de ses amis: . du Quai d'Orsay. Il le faut.» La mention de Gen Paul, autre figure de peintre qu'il a quitté sur une dispute, est significative de son affection pour celui qui appelle «son frère» et dont il fera un personnage central de Féerie pour une autre fois, alors en travail à cette époque: «Quant à Popaul, jaloux comme trente-six tigres, maléficieux comme 40 sorcières, je l'aime bien et tout est dit. Il a au moins l'immense avantage de ne jamais être emmerdant». Cette lettre d'une grande densité constitue un témoignage quotidien des étapes de «l'affaire Céline» notamment du côté de sa défense: «[...] Maître Naud, l'avocat de Laval, qui veut bien prendre ma défense». On note aussi l'une des premières occurrences de Milton Hindus «un très affectueux défenseur [...] un juif professeur de littérature à Chicago» qui manifeste à l'auteur son admiration pour son écriture et qui lui rendra visite en 1948. Céline ne ménage pas ses opposants, armé de son sarcasme habituel: «[...] son attaché de presse Raynaud, un petit merdeux chienlit, maquisard, pénible scribouilleux de quelque Marmande, mais communiste, qui me relance dans les canards danois. Bref on s'amuse. Que de coups de pieds au cul...» Cette précieuse lettre saisit un moment clef de l'exil danois où apparaît un Céline qui ne vit qu'à travers sa correspondance: «Positivement nous ne tenons plus debout ni l'un ni l'autre. Même Bébert en fut. Il nous fait bien plaisir d'avoir de vos nouvelles qui nous rendent un peu d'espoir et d'existence.» - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR4,000.00 (€4,000.00 )

‎Daniel FRASNAY Photographe français (1928-2019) Ses clichés favoris sont les personnalités du spectacle et de la peinture. Les quartiers de Paris, les cabarets, ne sont pas oubliés. ‎

Reference : 122C27

‎Portrait de Louis Ferdinand Céline, signé en bas à gauche. (28 x 39 cm). Une note autographe signée du photographe figure également au verso : « J'ai réalisé de portrait de Louis-Ferdinand Céline dans sa maison de demeure en 1954. J'ai effectué moi-même ce tirage de collection sur papier baryté "Bergger" ». (Tirage n° 9). ‎

‎Portrait de Louis Ferdinand Céline, signé en bas à gauche. (28 x 39 cm). Une note autographe signée du photographe figure également au verso : « J'ai réalisé de portrait de Louis-Ferdinand Céline dans sa maison de demeure en 1954. J'ai effectué moi-même ce tirage de collection sur papier baryté "Bergger" ». (Tirage n° 9). ‎


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EUR780.00 (€780.00 )

‎[CELINE (Louis-Ferdinand)]‎

Reference : L8164

‎Louis-Ferdinand Céline vous parle.‎

‎ Disque Festival, 1958. Vinyle 25 cm. Photos [Philippe] Charpentier. Coll. " Leur oeuvre et leur voix ". Face 1: Louis-Ferdinand Céline vous parle. Face 2 : Le Voyage au Bout de la Nuit (extrait) lu par Pierre Brasseur. Mort a Crédit (extrait) lu par Arletty. E.O.‎


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EUR85.00 (€85.00 )

‎CELINE Louis-Ferdinand‎

Reference : 63242

(1947)

‎Lettre autographe signée de Louis-Ferdinand Céline à Henri Mahé "Le martyr, c'est le crachat des imbéciles"‎

‎s.l. [Copenhague] 23 avril [1947], 22,5x28,4cm, 6 pp. in-folio.‎


‎Lettre autographe signée de Céline à Henri Mahé, datée du 23 avril [1947], 113 lignes à l'encre noire sur trois feuillets, corrections de la main de l'expéditeur. Pliures inhérentes à la mise sous pli, quelques petites taches sur le premier feuillet sans manque de texte. Empreinte de l'emblématique style célinien, cette longue lettre à l'un de ses plus intimes amis, révèle un exilé fébrile, tiraillé entre mal du pays et rancur vis-à-vis de ses détracteurs. En 1947, Céline, poursuivi par la justice française pour son engagement collaborationniste, est reclus au Danemark. Cette période de grande solitude, pénible à l'écrivain, est marquée par une importante correspondance avec ses contacts parisiens et notamment avec «[son]cher vieux», Henri Mahé, l'un des rares fidèles qui lui rendront visite dans sa captivité. L'artiste peintre, rencontré en 1929, entretient une relation amicale privilégiée avec Céline, immortalisée par son avatar dans le Voyage, et dont on perçoit toute la portée dans la lettre que Céline lui adresse. Retenu prisonnier contre son gré, Céline fantasme une Bretagne mythifiée, berceau de son amitié avec Mahé: les filles de celui-ci, filleules des Destouches, deviennent des «fées», images de la «Bretagne en fleur». La pensée nostalgique de ce pays devient un refuge récurrent durant les années difficiles: «Mon Dieu, que vous devez être heureux». Articulée autour de «la petite musique» célinienne, la lettre, à l'image de toute la correspondance, fait partie intégrante de l'uvre de l'auteur où se côtoient grotesque et tragique: «Jojo n'a pas de veine alors. [...] La ténacité, bien agréable dans le cas, est souvent récompensée. Tuset représente admirablement le géniteur fin, philosopheet magnifiquement vivant... Je n'irai tout de même pas jusqu'à le recommander à Madame Jojo!»/«J'ai vu finalement l'attaché de presse Raynaud et sa femme, deux petites ambitions promenades d'Alger satisfaites sans aucun sacrifice ni risques, champignons poussés sur le fumier de la catastrophe et des décombres». A l'instar des romans, cette lettre met en exergue le talent d'argotiste de Céline: «Là je te dis que l'on ergote, trafouille, cafouille que c'est une joye.» Son ressentiment n'est pas seulement perceptible dans ses mots mais transparaît aussi par sa graphie, de plus en plus irrégulière, espacée et démesurée au fur et à mesure qu'il s'échauffe, certains mots étant rageusement soulignés de plusieurs traits : «Vous, vous, chère petit tête précieuse, bien habile et bien planquée, que ferez-vous, vous, pas un autre, pas le Pape, vous?». L'ennui qui ronge Céline se devine dans l'empressement avec lequel il enjoint Mahé de lui rapporter des nouvelles de la France, qu'elles soient privées ou politiques: «Comment est l'enfant Mourlet? Sont-ils bêcheurs? Et Desse?[...] Que pense-t-on de de Gaulle? Boulanger? Badinguet? Kerensky?». La plume agitée de Céline jette les informations sur le papier, multipliant les noms, sans organisation ni transitions entre les différentes affaires qui l'intéressent: «Tu ne me parles pas des Mondains? Je te recommande une jolie revue «Courrier du Continent» [...] Le cinéma français me semble bien mort...» La régularité et l'ardeur que Céline met à sa correspondance est signe de sa détermination à ne pas être oublié ni de ses amis ni de ses défenseurs potentiels: «Je lui [Naud] ai envoyé tout mon dossier, et puis une aucune nouvelle! Je voudrais bien qu'on le stimule. Qu'on lui demande ce qui se passe? [...] Tu vois comme tout ceci est critique [...] Il faudrait prouver à Naud que j'ai des amis distingués à Paris». La haine de Céline face aux hommes, déjà profondément enracinée dans le Voyage, s'intensifie durant l'exil et face aux accusations, qu'il subit: «Pas un jour de peine, tout en bénéfice. Ecurant! Tout perdre, tout souffrir pour des petits cafouilleux pareils. J'ai honte.» Mais Céline, impuissant, déplore au-delà de cette injustice présumée, la bêtise de ses accusateurs: «Il [Charbonnière] a écrit des lettres aux Danois dont la bêtise, la gafferie, la balourdise, me font pleurer, pas le crime, la sottise, les sottises ». La lettre est progressivement envahie par l'aigreur de Céline qui, accablé par ses prises de positions précédentes, choisit de rester ironiquement sur ses gardes face aux événements présents: «Moi je dis: je serai cette fois avec le plus fort et que l'on rira bien ». Belliqueux, Céline pousse la provocation jusqu'à l'image crue: «Je ne prendrai parti que lorsque tous les vainqueurs auront leurs organes coupés et enfoncés dans la bouche au plus profond, plus bas que les sophages». À travers cette agressivité, transparaît une misanthropie, plus précisément dirigée contre ses compatriotes, dont il se présente comme la victime: «Je ne reproche pas aux Français de m'avoir baisé, mais ils me font mal. Ils me butent. Tout ce qu'ils racontent pour m'accabler est idiot, m'atteint tout de travers. Ils me font mal». Cette position, dans laquelle il s'enfermera après son retour en France, causant d'ailleurs la rupture avec Mahé, entretient l'idée qu'il est seul contre tous: «Chez moi rien n'est gratuit. J'ai payé pour tout, effroyablement payé. A la guerre - et dans la paix. Les autres trichent, truquent. Je suis toujours prêt à mettre ma peau sur ma table et mes malheureux 4 sous. D'ailleurs s'il la veut, me parler, d'Honneur, homme à la disposition! au pistolet à 25 mètres, quand on veut, comme on veut, où l'on veut, tout tordu de rhumatismes que je suis. Mais on ne sait que m'envoyer en cellule, me faire pourrir en cachot ». L'isolement atteint Céline bien plus que tout autre châtiment au point qu'il en vient presque à émettre des regrets : «Quelle misère, morale, mentale! Avoir été se foutre là-dedans! Quel imbécile! Je suis éreinté par «la France du Sud-Ouest»! Voyez-vous ça! Que sait la France du Sud-Ouest! C'est atroce. Ce sont des coups de pieds de l'âne perpétuels. Le martyr, c'est le crachat des imbéciles ». Ultime trait sarcastique, la lettre se clôt sur un jugement sans appel: «Mais le peuple, ce peuple qui ne veut se battre qu'à 10.000 contre un, qu'osera-t-il?» Ces pages acerbes dévoilent l'état d'esprit de Céline, épuisé par son exil forcé, et offrent un rare aperçu de l'effondrement que représente cet épisode qu'il lui permettra de cultiver son image de vaincu. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR3,800.00 (€3,800.00 )

‎(CELINE Louis-Ferdinand) DESTOUCHES Colette‎

Reference : 76019

(1920)

‎Rare portrait enfantin inédit de Colette Destouches, fille de Louis-Ferdinand Céline‎

‎Menzil, Rennes circa 1921, 14,5x21,8 cm.‎


‎Rare et inédit portrait d'enfance de Colette Destouches, fille unique de Louis-Ferdinand Céline, née en 1920, sur papier albuminé contrecollé sur un carton du studio Menzil. Légende manuscrite «?Colette Destouches?» inscrite au recto et verso, avec la mention «?1920?». Le portrait est réalisé par la maison Menzil, 6 rue Beaumont, Rennes, ville où Céline rencontra et passa quelques années en compagnie d'Édith Follet, sa deuxième femme et mère de Colette. Cette photographie de Colette Destouches, qui n'a que quelques mois, est à notre connaissance inédite. Céline garda sa vie durant une affection pour sa fille qu'il vit régulièrement à Rennes, Genève et Paris, et qui fut «?sûrement plus possessif à sa façon avec elle qu'il ne l'avait été avec aucune de ses épouses, de ses maîtresses. Il avait rêvé pour elle un avenir glorieux, d'une carrière médicale, comme pour resserrer leur complicité?» (Frédéric Vitoux, La Vie de Céline, coll. Folio, 2005, p.636). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎[CÉLINE Louis-Ferdinand] Anonyme‎

Reference : 25783

(1983)

‎TOUT CÉLINE, 2 : répertoire des livres, manuscrits et lettres de Louis-Ferdinand Céline passés en vente au cours des années 1981 et 1982 : catalogue de librairies et ventes aux enchères. 7‎

‎Paris Bibliothèque de littérature française contemporaine de l'Université Paris 7 1983 -in-8 cartonné un volume, broché in-octavo editeur ( paperback in-8 editor) (23,8 x 18,5 cm), dos et couverture cartonnée souple crème imprimés en noir et rouge, sans illustrations (no illustration), 135 pages, 1983 Paris Bibliothèque de littérature française contemporaine de l'Université Paris 7 EDITEUR, ‎


‎Collection : Bibliothèque L.-F. Céline ; 7 .......... Note : Éd. originale tirée à 500 exemplaires numérotés, n° 179 ..... RARE .... en Parfait état (as new condition). en trés bon état ‎

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‎DENOËL Robert - CELINE Louis-Ferdinand‎

Reference : 013734

(1936)

‎Apologie de Mort à crédit. suivi de "Hommage à Emile Zola" par Louis Ferdinand-Céline.‎

‎Paris Denoël et Steele 1936 In-8 Agrafé ‎


‎EDITION ORIGINALE tirée à trois mille exemplaires. >>>Bien que MORT A CREDIT, sorti début mai 1936, ai connu un succès de librairie, le roman n'en fut pas moins très critiqué. Son éditeur dans cette plaquette en prend la défense, rangeant Céline aux cotés de Flaubert, Balzac ou Zola qui en leurs temps subirent eux-aussi les foudres des journalistes. L'écrivain pour compléter la plaquette fait paraître son discours prononcé à Médan le1er octobre 1933 à la demande de Lucien Descaves, à qui MORT A CREDIT est dédié. >Très bel exemplaire. Très bon 0‎

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EUR450.00 (€450.00 )

‎CéLINE, Louis-Ferdinand‎

Reference : 122751

(1966)

‎Oeuvres de Louis-Ferdinand Céline [5 volumes]. / Préface de Marcel Aymé. édition établie sous la direction de Jean A. Ducourneau. Illustrations de Claude Bogratchew ‎

‎Paris, André Balland, impr. Darantière, à Dijon 1966 5 volumes. In-8 23,5 x 18 cm. Reliures éditeur pleine peau havane, dos lisses, têtes dorées, auteur & titre dorés sur les dos et les premiers plats, XLIII-814-759-598-493-511 pp., notes et commentaires, tables des matières. Légers frottements.‎


‎Belle édition, limitée à 4000 exemplaires, réunissant tous les textes connus de Céline, à l'exception de “Bagatelles pour un massacre”, “ L'école des cadavres” et “Les beaux drap”, réalisée sous la direction technique de Pierre Faucheux, a été tirée sur papier vergé et relié par Engel d’après les maquettes de Mercher. Les eaux-fortes de Claude Bogratchev rendent bien l’atmosphère de l’oeuvre et restituent avec une troublante fidélité un Céline amer, dévastateur et parfois tendre. Bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

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EUR364.00 (€364.00 )

‎RABELAIS, CELINE Louis-Ferdinand, PERRET Jacques (déclarations de)‎

Reference : 1102171

‎Gargantua et Pantagruel. Transcription en orthographe moderne et présentation par Guy Bechtel. Avec deux déclarations inédites de Louis-Ferdinand Céline et Jacques Perret.‎

‎Paris: Odej Presse (Club des Trois Couronnes), 1966 in-12, 283 pages, illustrations. Cartonnage d'éd. dans le style des anciennes reliures mosaïquées. Très bon état.‎


‎Gargantua et Pantagruel. Transcription en orthographe moderne et présentation par Guy Bechtel. Avec deux déclarations inédites de Louis-Ferdinand Céline et Jacques Perret. (Paris: Odej Presse (Club des Trois Couronnes), 1966). [M.C.: littérature, Céline]‎

EUR20.00 (€20.00 )

‎[DESTOUCHES Fernand] & [CELINE Louis-Ferdinand]‎

Reference : 75323

(1900)

‎Portrait photographique de Fernand Destouches, père de Louis-Ferdinand Céline‎

‎A. Emile, Paris s.d. (ca 1900), 6x17,2cm, une photographie au format carte de visite.‎


‎Rare portrait photographique de Fernand Destouches (1865-1932), père de Louis-Ferdinand Céline, tirage d'époque au format carte de visite sur papier albuminé contrecollé sur un carton du studio A. Émile. Deux petits adhésifs en marge basse du cliché présentant également deux infimes manques aux coins supérieurs. Légende manuscrite au dos. Un des protagonistes principaux de Mort à crédit, le petit-bourgeois Fernand Destouches originaire du Havre est transformé par son fils en un formidable personnage éructant et irascible?: «?Mon père Auguste, il tripotait, sacrait, jurait, déglinguait chaque fois la douille et le manchon. C'était un gros blond, mon père, furieux pour des riens, avec un nez comme un bébé tout rond, au-dessus de moustaches énormes. Il roulait des yeux féroces quand la colère lui montait. Il se souvenait que des contrariétés. Il en avait eu des centaines. Au bureau des Assurances, il gagnait cent dix francs par mois.?» (Mort à Crédit, Denoël & Steele, 1936) Céline maintint sa vie durant une atmosphère de fiction romanesque autour de la vie de son père et prétendit qu'il était titulaire du baccalauréat et d'une licence ès lettres. Les échecs financiers de la famille ainsi que les ambitions avortées de son père, amplifiés par Céline en sordides drames prolétaires, servirent de pierre d'angle pour Mort à crédit, dont il interdit la lecture à sa mère. De toute rareté. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎(CELINE Louis-Ferdinand) DESTOUCHES René‎

Reference : 76021

(1920)

‎Portrait en pied de René Destouches, oncle de Louis-Ferdinand Céline, et sa femme‎

‎circa 1930, 8,4x13,3 cm.‎


‎Rare portrait photographique de René Destouches, oncle de Louis-Ferdinand Céline accompagné de sa femme, Pauline Dauteville. Tirage argentique d'époque. Mention «?M. et Mme Destouches?» au dos. Un petit manque angulaire et d'infimes traces de pliure. René Destouches, frère de Fernand Destouches, se marie avec Pauline Dauteville, avec qui il a deux enfants. Céline emprunte son caractère lunaire, hérité d'une chute de la falaise de Sainte-Adresse («?il était tout à fait sonné. Il se marrait doucement quand on lui parlait. Il se répondait à lui-même?») et les travaux de peine qu'il enchaîna sa vie durant pour le personnage de l'oncle Rodolphe dans Mort à crédit. Afin de noircir le tableau encore davantage, Céline a sans doute prêté à l'oncle Rodolphe des éléments de la vie d'un autre de ses oncles, Charles Destouches, dont la femme avait disparu tragiquement à l'âge de vingt-huit ans?: «?Une pauvre malheureuse, elle crachait déjà ses poumons. Ça a pas duré trois mois?» (Mort à crédit, Denoël & Steele, 1936). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎[DELHAYE DESTOUCHES Charles] & [CELINE Louis-Ferdinand]‎

Reference : 76037

(1900)

‎Portrait photographique de Charles Destouches, oncle de Louis-Ferdinand Céline et sa famille‎

‎A. Lauga, Paris s.d. (ca 1900), 14,2x10,5cm, une photographie.‎


‎Portrait photographique de Charles Destouches, oncle de Louis-Ferdinand Céline posant avec sa femme et sa jeune fille Charlotte Destouches, la cousine «?Lolotte?» de Céline, sur papier albuminé contrecollé sur un carton du studio parisien A. Lauga. Un manque dans le coin inférieur droit. Quelques traces de colle sur les bords. Légende manuscrite au dos. La vie de bohème de l'oncle Charles Destouches est contée à travers les excès du personnage de l'oncle Arthur dans Mort à crédit?: «?Il a vécu en vrai bohème, en marge de la société, dans une soupente, en cheville avec une bonniche. Elle travaillait au restaurant devant l'École Militaire. Grâce à ça, il faut en convenir, il arrivait à bien bouffer. Arthur c'était un luron, avec barbiche, velours grimpant, tatanes en pointe, pipe effilée. Il s'en faisait pas. Il donnait fort dans la "conquête".?» Mais la véritable histoire tragique de la mort de sa femme Joséphine, qui figure sur la photo, emportée par le choléra malgré les soins du docteur Proust - le frère de Marcel - se retrouve dans le personnage de l'oncle Rodolphe. Réunissant les vies de deux de ses oncles, Céline garde le caractère simplet de René et le deuil de Charles Destouches pour le personnage de Rodolphe qui perd la raison après la mort de sa femme phtisique?: "Elle est morte dans sa chambre même au 'Rendez-vous'. Il voulait pas qu'on l'emmène. Il avait bouclé sa lourde. Il revenait chaque soir coucher à côté. C'est à l'infection qu'on s'est aperçu. Il est devenu alors furieux. Il comprenait pas que les choses périssent. C'est de force qu'on l'a enterrée. Il voulait la porter lui-même, sur "un crochet", jusqu'à Pantin. [...] "Bonjour?! qu'il me faisait. Bonjour, mon petit fi?!... Tu la vois hein ma Rosine'..." Il me désignait plus loin que la Seine, toute la plaine... un point dans la brume... "Tu la vois" Je lui disait "Oui". Je le contrariais pas.?» - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎CELINE Louis-Ferdinand - Société Des Etudes Céliniennes‎

Reference : 613800

‎CELINE et l'Allemagne. Dix-neuvième Colloque International Louis-Ferdinand CELINE.‎

‎Société Des Etudes Céliniennes Paris 2012 In-8 ( 210 X 150 mm ) de 56 pages, broché sous couverture illustrée. EDITION ORIGINALE. Très bel exemplaire.Les 5 et 6 juillet 2012 à Berlin, la Fondation Singer-Polignac accueillait le Dix-neuvième colloque international Louis-Ferdinand CELINE de la Société d'études céliniennes. Plus d'une quinzaine d'intervenants ont disserté sur le thème retenu cette année: "CELINE et l'Allemagne".‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR30.00 (€30.00 )

‎CÉLINE, Louis-Ferdinand.‎

Reference : 4097

‎18 lettres autographes signées de Louis-Ferdinand Céline à lécrivaine belge Évelyne Pollet.‎

‎ 35 pages autographes signées sur divers formats de papier.Évelyne Pollet (1905-2005) est une écrivaine et journaliste belge (anversoise) de langue française qui apublié, de 1926 à 1964, huit romans et recueils de nouvelles, et collaboré à plusieurs journaux et revuesbelges ; à partir de 1955, elle est attachée à la Radiodiffusion belge. Par son mariage, elle devient la bellesoeurde lécrivaine Marie Gevers. Elle publie en 1926 à 21 ans un premier roman intitulé La Bouée. Enjanvier 1933, bouleversée par la lecture du « Voyage au bout de la nuit », elle écrit à Céline qui lui répond enlui promettant de venir à Anvers. Lauteur français sy rendra en réalité 10 fois (de 1933 à 1941). Uneliaison intime (ils deviennent très rapidement amants) sinstalle entre eux, qui durera jusquen 1939. Leslettres ici présentées couvrent cette période. Pollet racontera plus tard, sous une forme romanesque, sonaventure avec Céline dans un roman paru en 1956 et intitulé « Escaliers ». Au total, Évelyne Pollet aconservé 61 lettres de Céline, lettres qui furent intégralement publiées dans le Cahier Céline n°5 enoctobre 1979. Les 18 lettres ici proposées couvrant 35 pages, appartiennent à cet ensemble : il sagit ainside près dun tiers de toute la correspondance de Céline adressée à Evelyne Pollet. Elles proviennent enligne directe de lécrivaine anversoise. On trouve dans ces lettres la plupart des préoccupations récurrentesde Céline : la peur de l'avenir, l'obsession de la sécurité matérielle, son attachement à Brueghel, laperfection physique, les Flandres, des allusions à divers sujets d'actualité, dont certains seront développésdans les pamphlets comme les villes-tortures ou les conditions désastreuses de l'édition et de la littérature.Outre les recommandations que Céline aime prodiguer à sa correspondante, on y rencontre également denombreux conseils d'ordre littéraire. Quelles que soient ses préventions contre la littérature féminine, il necherche jamais à contrarier la vocation de sa correspondante, transmettant plusieurs manuscrits etintercédant auprès de Denoël pour que ce dernier la publie, ce quil fera finalement en 1942 avec le roman« Primevères » publié en Belgique lannée suivante sous le titre Corps à corps. Cependant, il lui conseille àplusieurs reprises la voie parallèle du journalisme qui peut améliorer sa situation matérielle précaire, conseilquelle suivra.Détails sur simple demande. ‎


Librairie L'Abac - Bruxelles
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‎LOISEL Yoann (Louis-Ferdinand CELINE)‎

Reference : 17353

(2018)

‎La bobine de Louis-Ferdinand - Louis-Ferdinand Céline, le négatif et le trait d'union ‎

‎ 2018 MJW Fédition (2018) - In-8 broché de 174 pages - En couverture une photo de Céline en noir et blanc - Biographie et Bibliographie - Exemplaire en très bon état‎


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EUR25.00 (€25.00 )

‎TCHAMY KOUAJIE Vincent (Louis-Ferdinand CELINE)‎

Reference : 17341

(2014)

‎Langage et narration dans " Voyage au bout de la nuit " et " Mort à crédit " de Louis-Ferdinand Céline‎

‎ 2014 Peter Lang édition (2014) - In-8 relié de 298 pages - Illustration de couverture : Louis-Ferdinand Céline à Meudon, Juillet 1960 - Avant-propos et remerciements - Dédicaces - Abréviations - Bibliographie - Exemplaire en très bon état‎


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