312 books for « toute la verite »Edit

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‎SEBEILLE Edmond‎

Reference : 549604

‎L'affaire DOMINICI par le commissaire qui à mené l'enquête toute la vérité sur le crime de Lurs.‎

‎Plon S.L. 1970 In-8 ( 240 X 150 mm ) de 306 pages, broché sous couverture illustrée. Bel exemplaire.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR30.00 (€30.00 )

‎MONTIGNY Jean‎

Reference : 235986

‎DE L'ARMISTICE A L'ASSEMBLEE NATIONALE ( 15 juin - 15 juillet 1940 ): toute la vérité sur un mois dramatique de notre histoire.‎

‎Editions Mont-Louis Clermont-Ferrand, 1940 In-12 ( 190 X 120 mm ) de 157 pages + 10 pages d'errata broché. bel état.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR10.00 (€10.00 )

‎MONTIGNY Jean‎

Reference : 845018

‎De l'Armistice à l'Assemblée Nationale 15 juin - 15 juillet 1940. Toute LA VERITE sur un mois dramatique de notre histoire.‎

‎Editions Mont-Louis Clermont-Ferrand 1940 In-12 ( 190 X 120 mm ) de 157 pages, broché. Bon exemplaire.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR15.00 (€15.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110437873

(1972)

‎Constellation n° 273 - La justice mise a nu - Une inconnue nommée justice, Les crises de la justice en France : Casamayor parle, Chacun est censé ignorer la loi, Daumier accuse, Au festival correctionnel, Toute la verité, rien que la vérité‎

‎Bureau de la revue. Janvier 1972. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 196 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : La justice mise a nu - Une inconnue nommée justice, Les crises de la justice en France : Casamayor parle, Chacun est censé ignorer la loi, Daumier accuse, Au festival correctionnel, Toute la verité, rien que la vérité, Sous la présidence du hasard, avec Me Albert Naud, Les lois valent mieux que les hommes dit Me Isorni, Accusé Philippe Bernier, taisez vous Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎Christian Chardon, Patrick Faure, Carlos Martinez‎

Reference : R110385536

(1976)

‎Détective n° 1536 - P.D.G. enlevé : toute la vérité par Christian Chardon, Le tueur de l'ombre frappe pour la 8e fois par Patrick Faure, L'atroce vengeance de l'ami intime du chef des ménestrels par Jean Yves Magrou et Carlos Martinez, Devenues nymphomane‎

‎Editions nuit et jour. 15 janvier 1976. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : P.D.G. enlevé : toute la vérité par Christian Chardon, Le tueur de l'ombre frappe pour la 8e fois par Patrick Faure, L'atroce vengeance de l'ami intime du chef des ménestrels par Jean Yves Magrou et Carlos Martinez, Devenues nymphomane pour une nuit de noces ratée par Michel Szkaradek Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : RO40048397

(2013)

‎Julie N°175 Février 2013 Démarque-toi ! Sommaire: Démarque-toi !; Ta vie chiffres dingos; Toute la vérité sur le prince charmant; Comment les marques te rendent accrocs...‎

‎Milan. 2013. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 65 pages augmentées de nombreuse sillustrations en couleurs dans texte.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants‎


‎Sommaire: Démarque-toi !; Ta vie chiffres dingos; Toute la vérité sur le prince charmant; Comment les marques te rendent accrocs... Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Collectif‎

Reference : RO40032225

(1934)

‎Je sais tout aout 1934 :Les artistes , maitres de notre destinée- Le matériel est au point, c'est l'homme qui ne l'est pas ! Pour ou contre la chirurgie esthétique- Toute la vérité sur la vie chère...‎

‎Lafitte. 1934. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 50 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎Sommaire :Les artistes , maitres de notre destinée- Le matériel est au point, c'est l'homme qui ne l'est pas ! Pour ou contre la chirurgie esthétique- Toute la vérité sur la vie chère... Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10086260

(1970)

‎PARIS MATCH N° 1128 - Album souvenir n° 5 : le dernier Grand, Ils n'éliront pas le prochain Pape, Toute la vérité sur l'Amérique par Raymond Cartier, Le pari de Kiki Caron par Yves Salgues, Les Muchachos par Roger Chateauneu, Exodus 1970, Le Tout Paris‎

‎PARIS MATCH. 19 décembre 1970. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 118 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Album souvenir n° 5 : le dernier Grand, Ils n'éliront pas le prochain Pape, Toute la vérité sur l'Amérique par Raymond Cartier, Le pari de Kiki Caron par Yves Salgues, Les Muchachos par Roger Chateauneu, Exodus 1970, Le Tout Paris aide l'enfance inadaptée sous le signe des papillons, La cravache d'or Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10086261

(1970)

‎PARIS MATCH N° 1129 - Que veut Paul VI ? par Robert Serrou, Toute la vérité sur l'Amérique par Raymond Cartier, Sinatra Beau Papa, il a marié sa fille Nancy, Le clochard millionnaire, St Laurent du Pont : après le deuil, la colère, Johnny Hallyday, c'est‎

‎PARIS MATCH. 26 décembre 1970. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 86 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Que veut Paul VI ? par Robert Serrou, Toute la vérité sur l'Amérique par Raymond Cartier, Sinatra Beau Papa, il a marié sa fille Nancy, Le clochard millionnaire, St Laurent du Pont : après le deuil, la colère, Johnny Hallyday, c'est maintenant un patron, L'appel de juin 40 restera en France par Jean Cau Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎Marcel Montarron, René Pacaut, J.B.‎

Reference : R110384402

(1954)

‎Qui ? Détective n° 402 - Toute la vérité sur les héritages de Marie Besnard par Marcel Montarron, Après avoir mis au point 121 inventions de toutes sortes, le docteur Marcel Pagès devient un révolutionnaire de la médecine par René Pacaut, Pour l'amour‎

‎Bureaux du journal. 15 mars 1954. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 23 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Toute la vérité sur les héritages de Marie Besnard par Marcel Montarron, Après avoir mis au point 121 inventions de toutes sortes, le docteur Marcel Pagès devient un révolutionnaire de la médecine par René Pacaut, Pour l'amour de sa belle, Miloud Nekrouf tombe sous les coups d'un mauvais garçon par J.B. Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Marcel Montarron, Claude Joubert, André Gerel‎

Reference : R110384887

(1963)

‎Détective n° 887 - Toute la vérité sur l'affaire Arancio par Marcel Montarron, La révolte fatale de Geneviève Riou par Claude Joubert, Pour ne plus voir souffrir sa femme, Henri Naf a tout détruit par André Gerel, Dumont n'avait jamais pardonné a sa femme‎

‎Bureaux du journal. 28 juin 1963. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 28 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Toute la vérité sur l'affaire Arancio par Marcel Montarron, La révolte fatale de Geneviève Riou par Claude Joubert, Pour ne plus voir souffrir sa femme, Henri Naf a tout détruit par André Gerel, Dumont n'avait jamais pardonné a sa femme par Claude Laval Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO30215479

(1959)

‎"BUT CLUB - LE MIROIR DES SPORTS - N° 765 - 28 septembre 1959 / spécial France - Suède / toute la vérité sur Rivière : le stéphanois reconnait user e ""reconstituants"" / XIII : Villeneuve, Perpignan, Carcassonne trio roi ..."‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 1959. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 40 pages augmentées de nombreuses photos monocrome dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎


‎"sommaire : spécial France - Suède / toute la vérité sur Rivière : le stéphanois reconnait user e ""reconstituants"" / XIII : Villeneuve, Perpignan, Carcassonne trio roi / Robert Vigier, annoncé comme successeur de Lucien Mias / Abdou Seye a puissamment contribué au succès ed la France... Classification Dewey : 796.1-Sports divers"‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO30219939

(1948)

‎MIROIR SPRINT - N° 130 - 29 novembre 1948 / France-Angleterre à XIII a duré cinq minutes de trop / je ne jouerai plus au racing par E. Vaast / l'engagement Golob et toute la vérité sur l'affaire / Cerdan-Delannoit ...‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 1948. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages augmentées de nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎


‎Sommaire : France-Angleterre à XIII a duré cinq minutes de trop / je ne jouerai plus au racing par E. Vaast / l'engagement Golob et toute la vérité sur l'affaire / Cerdan-Delannoit / des articles de Karl Rappan et André Facchinetti... Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO30220308

(1955)

‎MIROIR SPRINT - N°454 - 21 février 1955 / Dulio Loi - Famechon à Milan / toute la vérité sur la guerre des organisateurs de course / le championnat de cyclo-cross / la vie en images de Célestin Oliver par Pellos / Famechon a bien résisté à Loi...‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 1955. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 20 pages augmentées de nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎


‎Sommaire : Dulio Loi - Famechon à Milan / toute la vérité sur la guerre des organisateurs de course / le championnat de cyclo-cross / la vie en images de Célestin Oliver par Pellos / Famechon a bien résisté à Loi... Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎

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Reference : R110179518

(1991)

‎LA VIE DE L'AUTO N° 23 - Ca va mieux en le disant, deuxième volet - Retour sur les Pilain - Toute la vérité sur Veritas, Suspension des 2 CV : le rythme dans le pot (suite) - Crème de brillantage : a la brosse ou a la cuillere, Sportcars a Genève : vente‎

‎BUREAU DU JOURNAL. 6 JUIN 1991. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 48 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 629.2-Automobile‎


‎Sommaire : Ca va mieux en le disant, deuxième volet - Retour sur les Pilain - Toute la vérité sur Veritas, Suspension des 2 CV : le rythme dans le pot (suite) - Crème de brillantage : a la brosse ou a la cuillere, Sportcars a Genève : vente a l'américaine Classification Dewey : 629.2-Automobile‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110179789

(1997)

‎LA VIE DE L'AUTO N° 787 - Toute la vérité sur les DKW, Les Panhard spéciales, Sauver une Génestin, Les Ferrari au banc de puissance, Vente ADT en Angleterre, le 10 février, Le renouveau Bugatti, Salon de la compétition, Jaguar restauration day, Nuccio‎

‎BUREAU DU JOURNAL. 6 MARS 1997. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 44 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 629.2-Automobile‎


‎Sommaire : Toute la vérité sur les DKW, Les Panhard spéciales, Sauver une Génestin, Les Ferrari au banc de puissance, Vente ADT en Angleterre, le 10 février, Le renouveau Bugatti, Salon de la compétition, Jaguar restauration day, Nuccio Bertone Classification Dewey : 629.2-Automobile‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110183231

(1955)

‎L'ACTION AUTOMOBILE ET TOURISTIQUE - L'automobile au parlement, 2 chefs qui ont compris la Révolution Automobile, Voici toute la vérité sur la 403, La coupe de France des Frégates 55, Pour la première fois au monde avec une 750 cm3 Pierre Chancel boucle‎

‎L'AUTOMOBILE CLUB DE FRANCE. JANVIER 1955. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 50 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 629.2-Automobile‎


‎Sommaire : L'automobile au parlement, 2 chefs qui ont compris la Révolution Automobile, Voici toute la vérité sur la 403, La coupe de France des Frégates 55, Pour la première fois au monde avec une 750 cm3 Pierre Chancel boucle plus de 200 kms dans l'heure Classification Dewey : 629.2-Automobile‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110324261

(1949)

‎V MAGAZINE N° 261 - 1909 - Ou sont les limousines d'Antan -1949, Si vous aimez le risque, faites la cour aux calabraises, Toute la verité sur la rupture Chevalier-Noëlle, A l'hotel des hommes seuls un mignon vaut 500 francs, Les derniers eunuques chinois‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 2 OCTOBRE 1949. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire :1909 - Ou sont les limousines d'Antan -1949, Si vous aimez le risque, faites la cour aux calabraises, Toute la verité sur la rupture Chevalier-Noëlle, A l'hotel des hommes seuls un mignon vaut 500 francs, Les derniers eunuques chinois en chomage veulent faire le lit d'une nouvelle impératrice, Aux portes de Paris on baise le Fanny Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎Collectif‎

Reference : R110392869

(1961)

‎Noir et blanc n° 869 - Elizabeth consternée : Oncle David va dire a la TV toute la vérité sur son abdication par Jean Louville, Invisible, la mort atomique est 30 fois plus près de nous qu'il y a 2 mois, Elsa, la lionne au coeur fidèle, Grace a cet homme‎

‎Bureau du journal. 27 octobre 1961. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 689 à 704. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Elizabeth consternée : Oncle David va dire a la TV toute la vérité sur son abdication par Jean Louville, Invisible, la mort atomique est 30 fois plus près de nous qu'il y a 2 mois, Elsa, la lionne au coeur fidèle, Grace a cet homme sans visage, 9 orphelins ont retrouvé un père et le bonheur Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Collectif‎

Reference : R110437625

(1950)

‎Constellation n° 25 - La beauté peut être un handicap par Robert Landry, La courtoisie les protège par Janine Mestivier, Toute la vérité sur Fuchs par Michel Bert, M. et Mme Beauvais et leur micro par Gérard Plantier, Un homme oiseau français par Georges‎

‎Bureau de la revue. Mai 1950. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 174 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : La beauté peut être un handicap par Robert Landry, La courtoisie les protège par Janine Mestivier, Toute la vérité sur Fuchs par Michel Bert, M. et Mme Beauvais et leur micro par Gérard Plantier, Un homme oiseau français par Georges Duthen, Les S.O.S. de la circulation par Lucien Maynet, Pont aérien sur Tito par Stéphane Bruller, Commando des P.T.T. par J.M. Gaillard Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎Collectif‎

Reference : R110600108

(1958)

‎Ecclesia, lectures chrétiennes n° 108 - Théologien et martyr : le P. de Montcheuil par Paul Dreyfus, Opération a Tabora par Hermann Kingler, Toute la vérité sur Lourdes par l'abbé Laurentin, Question disputée : l'église peut elle et doit elle‎

‎Bureaux de la revue. Mars 1958. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 141 pages. Quelques illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : Théologien et martyr : le P. de Montcheuil par Paul Dreyfus, Opération a Tabora par Hermann Kingler, Toute la vérité sur Lourdes par l'abbé Laurentin, Question disputée : l'église peut elle et doit elle se réconcilier avec la franc-maçonnerie ?, De la loge a l'église : Old Zac par Joseph Folliet, Une petite ame sans importance, conte pour des saints inaperçus par Brigitte Dubreuil Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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‎Collectif‎

Reference : R110618606

(1973)

‎Gazette des armes - la poudre noire n° 6 - Un siècle d'armes blanches par L. Palacio, Le soldat qui devint roi par F. Pasqualini, Histoire et légende de S. Colt par J.R. Clergeau, Toute la vérité sur J.R. Clergeau par J.J. Buigné, Pour le tombeau de S.‎

‎S.E.R.A.. Juin 1973. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 58 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 355.8-Armes‎


‎Sommaire : Un siècle d'armes blanches par L. Palacio, Le soldat qui devint roi par F. Pasqualini, Histoire et légende de S. Colt par J.R. Clergeau, Toute la vérité sur J.R. Clergeau par J.J. Buigné, Pour le tombeau de S. Colt par D. Venner, Un violon d'Ingres de Colt : les mines marines par R. Marquiset, L'unique D.E.S. 69 par R. Caranta Classification Dewey : 355.8-Armes‎

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‎VAN MOE JACQUES‎

Reference : R240068429

(1962)

‎LA SELECTION DES LIBRAIRES DE FRANCE N°8 SEPTEMBRE 1962 13E ANNEE NOUVELLE SERIE - Culture et civilisation - le non de monsieur rudel par la varende - la vie rêvée par Bastide - les lentes nuits par Ligneris - toute la vérité par Morrsi L.West etc.‎

‎CHAIX. 1962. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 15 pages - illustration en noir et blanc sur le 1er plat - tampon sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 17-Catalogues divers‎


‎Supplément littéraire mensuel du bulletin des libraires l'officiel de la librairie - Sommaire : Culture et civilisation - le non de monsieur rudel par la varende - la vie rêvée par Bastide - les lentes nuits par Ligneris - toute la vérité par Morrsi L.West - de baudelaire à mauriac par Barjon - cinq années de ma vie par Dreyfus etc. Classification Dewey : 17-Catalogues divers‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO20182316

(2009)

‎CASE MATE - HORS-SERIE - N°1 - FEVRIER 2009 / Guibert casse une table au Japon, Gaza sous les bombes fait naitre un pavé BD, toute la verité sur Monsieur B, les coulisses du Petit Nicolas au cinema, histoires cachées, la bd à decouper!...‎

‎POMMES PRESSE. 2009. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 98 pages - nombreuses photos et dessins en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎CHAQUE MOIS, L'ESPRIT B.D. - Sommaire: Guibert casse une table au Japon, Gaza sous les bombes fait naitre un pavé BD, toute la verité sur Monsieur B, les coulisses du Petit Nicolas au cinema, histoires cachées, la bd à decouper!... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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