12 books for « tout est dans la fin »Edit

‎Collectif‎

Reference : 53096VPRT

ISBN : B003UAJERM

‎Tout est dans la fin.‎


‎Générique Broché D'occasion bon état 01/01/1986 150 pages‎

Phone number : 01 43 29 11 00

EUR10.00 (€10.00 )

‎PROUTEAU GILBERT.‎

Reference : R150008640

ISBN : 2226028021

‎TOUT EST DANS LA FIN.‎

‎ALBIN MICHEL. 1986.. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 280 pages. 1ère de couverture illustrée en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎Roman. Illustration de Frank Limido. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎PROUTEAU GILBERT‎

Reference : RO40131649

(1971)

‎TOUT EST DANS LA FIN‎

‎Robert Laffont. 1971. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 280 pages. Envoi manuscrit de l'auteur en page de faux-titre.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi‎


‎Roman. Couverture de Dimitri Selesneff. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎[ROMAN] - PROUTEAU (Gilbert) - ‎

Reference : 201705234

‎Tout est dans la fin. ‎

‎Paris, Albin Michel, 1986; in-8, 280 pp., br.‎


‎.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR8.00 (€8.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎FAURE-DECAMPS Veuve DENTU, Mme Léonie ; BINOT DE VILLIERS‎

Reference : 44465

(1887)

‎[ La fin d'une Dynastie de Libraire-Editeur : Importantes archives réunissant 7 dossiers manuscrits datés de 1887 à 1892 relatifs à la liquidation de la Librairie Edouard Dentu ] I : Mémoire de Madame veuve Dentu [ Mémoire manuscrit autographe de Léonie Dentu, 8 pp. in-folio, circa 1887 : ] "Madame Veuve E. Dentu, mise en cause, en vertu d'insinuations dépourvues de tout fondement lui imputant des dépenses exagérées, et une gestion imprudente de ses biens et revenus personnels, croit devoir protester avec la dernière énergie contre les calomnies dirigées contre elle dans un but intéressé. Elle met ses adversaires au défi de fournir une seule preuve de tous les faits qu'ils ont allégués. Elle n'a pas d'autre réponse à faire que d'exposer la situation désastreuse qui lui a été créée par l'incurie des liquidateurs de la succession de son mari." [Suit tout le détail de la situation, depuis le décès d'Edouard Dentu le 13 avril 1884. On relève quelques passages :] " M. Sauvaître qui avait été institué administrateur judiciaire après le décès de M. Dentu, avait présenté au notaire liquidateur, sans livre, ni écriture de commerce, des inventaires et des bilans qui n'avaient aucun caractère d'authenticité. [...] Il n'a pu ou n'a voulu fournir aucune situation relativement à ses comptes ; il s'est refusé à dresser un nouvel inventaire, à ouvrir les livres exigés par la loi, à remettre aux employés comptables les pièces leur permettant de dresser les états qu'il ne voulait ou ne pouvait faire lui-même. De plus, par son imprévoyance il accumulait de nouvelles et lourdes charges pour la maison de librairie déjà durement éprouvée par la crise commerciale ; enfin il empiétait sur les prérogatives de Mme Dentu en traitant sans mandat les auteurs. Par exemple il faisait imprimer le livre "Le Gaga" et se hâtait de le mettre en vente malgré une défense expresse de Mme Dentu. Déjà blessée par l'attitude outrageante qu'il prenait à son égard, elle ne put se dispenser de le congédier après inutiles remontrances [ ... ] C'est ainsi que la reconstitution entière de la comptabilité et les rectifications d'écriture qui en étaient la conséquence n'ont pu être essayées qu'après le départ de M. Sauvaître à dater du 1er janvier 1886. Elles ont abouti en peu de temps à la constatation de la situation désastreuse qui avait été faite à Mme Dentu. [ Celle-ci se tourne en vain de tous côtés : ] Elle fit plusieurs versements pour une somme totale de 50000 fr. à la caisse de la librairie. Elle essaya en outre de s'associer des capitalistes. Dès le mois de juin 1886 un acquéreur présenté par M. de La Batut étudiait un projet d'achat dans des conditions paraissant avantageuses [ ... mais c'est l'échec. Elle souscrit un emprunt ] Mais malgré ses efforts et en raison des manoeuvres de concurrents et des ennemis acharnés surgissant de tous côtés contre elle, elle n'eut pu suffire à conjurer le péril d'une suspension de paiement si elle n'eût conclu en février 87 un acte d'association qui consacrait presque entièrement tous les avantages et toutes les prérogatives qu'on lui avait attribués lors du partage. Malheureusement la persistance de la crise commerciale et le danger de continuer les opérations qui pouvaient créer pour l'avenir des charges qu'elle n'eût été en état de supporter même partiellement l'obligèrent à conclure de nouveaux arrangements pécuniaires pour partager la responsabilité commerciale avec ceux des associés qui étaient mieux qu'elle en mesure d'en subir les conséquences, puis à se retirer entièrement, et définitivement par acte de cession du 1er octobre 87. [...] Sans entrer dans une discussion de chiffre quelconque, il est facile d'établir quelles sont les causes directes du déficit laissé par Dentu à son décès : ce sont exclusivement les dépenses personnelles engagées depuis l'année 1879 jusqu'à la fin de 1883, notamment l'achat de divers immeubles de plaisance, d'un prix élevé, coûteux d'entretien et sans revenus avec les frais d'aménagement d'installations et d'ameublement (sans parler de l'établissement de Mme de la Batut) ; les sommes déboursées pour ces différentes affaires dépassaient pour cette période 500000 fr., prélevés sur le compte courant du comptoir d'escompte c'est-à-dire les recouvrements effectués sur les clients de la librairie, le véritable actif commercial, qui n'était alors nullement disponible". [ etc.] II : Rapport d'arbitrage par Binot de Villiers daté du 26 novembre 1892. Contestation entre Madame Veuve Dentu Demanderesse d'une part et MM. Hippeau, Curel, Gougis, Richardin d'autre part [ Rapport d'arbitrage de 39 pp. manuscrites in-folio, détaillant avec grande clarté et précision le litige complexe opposant la Veuve Dentu à ses nouveaux associés, liés par divers contrats sur la seule année 1887. Remarquable document sur l'histoire de la librairie et de l'édition à la fin du XIXe siècle. On citera notamment ce passage : ] "Pour obtenir une avance de la librairie Dentu, un auteur promet d'apporter prochainement un manuscrit, et la librairie lui fait cette avance pour qu'il n'aille pas apporter son manuscrit ailleurs et c'est-à-dire pour s'assurer la préférence. Si l'auteur ne remplit pas sa promesse la librairie subit une perte presque toujours irrecouvrable. S'il remplit sa promesse, pas de difficultés si ce n'est qu'à ce moment on lui verse généralement le complément de ses droits d'auteur. Comme la librairie n'a d'espoir d'être remboursé que sur le produit de la vente et c'est ce qu'indique très clairement la convention du 13 octobre 1887, lorsqu'elle est édicte que le remboursement des avances se fera par voie de déduction sur les sommes auxquelles ont droit les auteurs, la librairie commence par déduire des droits d'auteur les avances déjà faites et ne se libère ensuite que contre remise du manuscrit. Elle ne court plus alors que le risque de l'insuccès de l'ouvrage." ; III : Liquidation de la Société Dentu & Cie dissoute le 30 juin 1887. Deuxième Compte [ 8 feuillets in-folio. Le rapport d'arbitrage indique : " à la date du 8 février 1887, une société était formée sous la raison sociale Dentu & Cie entre Mme Veuve Dentu et M. Hippeau, associés en nom collectif et M. Curel simple commanditaire ; mais quelques mois plus tard, c'est-à-dire le 16 juillet 1887, cette société était dissoute avec effet rétroactif aux 30 juin" ] ; IV : Compte Personnel de Mme Vve Dentu du 1er octobre 1887 au 30 Juin 1888 [ 1er et 2e compte, ensemble 4 feuillets in-folio ] ; V : Librairie Dentu. Société Curel Gougis et Cie. Compte Personnel de Madame Vve Edouard Dentu, période du 1er juillet au 8 novembre 1888 [ 4 ff. in-folio] ; VI : Lot d'une cinquantaine de feuillets d'inventaire, essentiellement Inventaire des Magasins de Ségur [ Comme le précise le rapport de l'arbitre, "Le magasin de l'avenue de Ségur n'était pas un magasin de vente était uniquement un lieu de dépôt choisi par Mme dentu dans une maison montée des propriétaires et elle seule avait la clé de ce dépôt où elle avait rassemblé les ouvrages qui n'étaient plus de vente courante."] ; VII : Compte Principal de Madame Dentu chez son mandataire M. Albert Baudry depuis le 10 décembre 1889 [ 4 feuillets in-4 sous chemise, daté du 31 mars 1892 ]‎

‎Important ensemble de 7 dossiers manuscrits datés de 1887 à 1892 relatifs à la liquidation de la Librairie Edouard Dentu ] I : Mémoire de Madame veuve Dentu [ Mémoire manuscrit autographe de Léonie Dentu, 8 pp. in-folio, circa 1887 : ] "Madame Veuve E. Dentu, mise en cause, en vertu d'insinuations dépourvues de tout fondement lui imputant des dépenses exagérées, et une gestion imprudente de ses biens et revenus personnels, croit devoir protester avec la dernière énergie contre les calomnies dirigées contre elle dans un but intéressé. Elle met ses adversaires au défi de fournir une seule preuve de tous les faits qu'ils ont allégués. Elle n'a pas d'autre réponse à faire que d'exposer la situation désastreuse qui lui a été créée par l'incurie des liquidateurs de la succession de son mari." [Suit tout le détail de la situation, depuis le décès d'Edouard Dentu le 13 avril 1884. On relève quelques passages :] " M. Sauvaître qui avait été institué administrateur judiciaire après le décès de M. Dentu, avait présenté au notaire liquidateur, sans livre, ni écriture de commerce, des inventaires et des bilans qui n'avaient aucun caractère d'authenticité. [...] Il n'a pu ou n'a voulu fournir aucune situation relativement à ses comptes ; il s'est refusé à dresser un nouvel inventaire, à ouvrir les livres exigés par la loi, à remettre aux employés comptables les pièces leur permettant de dresser les états qu'il ne voulait ou ne pouvait faire lui-même. De plus, par son imprévoyance il accumulait de nouvelles et lourdes charges pour la maison de librairie déjà durement éprouvée par la crise commerciale ; enfin il empiétait sur les prérogatives de Mme Dentu en traitant sans mandat les auteurs. Par exemple il faisait imprimer le livre "Le Gaga" et se hâtait de le mettre en vente malgré une défense expresse de Mme Dentu. Déjà blessée par l'attitude outrageante qu'il prenait à son égard, elle ne put se dispenser de le congédier après inutiles remontrances [ ... ] C'est ainsi que la reconstitution entière de la comptabilité et les rectifications d'écriture qui en étaient la conséquence n'ont pu être essayées qu'après le départ de M. Sauvaître à dater du 1er janvier 1886. Elles ont abouti en peu de temps à la constatation de la situation désastreuse qui avait été faite à Mme Dentu. [ Celle-ci se tourne en vain de tous côtés : ] Elle fit plusieurs versements pour une somme totale de 50000 fr. à la caisse de la librairie. Elle essaya en outre de s'associer des capitalistes. Dès le mois de juin 1886 un acquéreur présenté par M. de La Batut étudiait un projet d'achat dans des conditions paraissant avantageuses [ ... mais c'est l'échec. Elle souscrit un emprunt ] Mais malgré ses efforts et en raison des manoeuvres de concurrents et des ennemis acharnés surgissant de tous côtés contre elle, elle n'eut pu suffire à conjurer le péril d'une suspension de paiement si elle n'eût conclu en février 87 un acte d'association qui consacrait presque entièrement tous les avantages et toutes les prérogatives qu'on lui avait attribués lors du partage. Malheureusement la persistance de la crise commerciale et le danger de continuer les opérations qui pouvaient créer pour l'avenir des charges qu'elle n'eût été en état de supporter même partiellement l'obligèrent à conclure de nouveaux arrangements pécuniaires pour partager la responsabilité commerciale avec ceux des associés qui étaient mieux qu'elle en mesure d'en subir les conséquences, puis à se retirer entièrement, et définitivement par acte de cession du 1er octobre 87. [...] Sans entrer dans une discussion de chiffre quelconque, il est facile d'établir quelles sont les causes directes du déficit laissé par Dentu à son décès : ce sont exclusivement les dépenses personnelles engagées depuis l'année 1879 jusqu'à la fin de 1883, notamment l'achat de divers immeubles de plaisance, d'un prix élevé, coûteux d'entretien et sans revenus avec les frais d'aménagement d'installations et d'ameublement (sans parler de l'établissement de Mme de la Batut) ; les sommes déboursées pour ces différentes affaires dépassaient pour cette période 500000 fr., prélevés sur le compte courant du comptoir d'escompte c'est-à-dire les recouvrements effectués sur les clients de la librairie, le véritable actif commercial, qui n'était alors nullement disponible". [ etc.] II : Rapport d'arbitrage par Binot de Villiers daté du 26 novembre 1892. Contestation entre Madame Veuve Dentu Demanderesse d'une part et MM. Hippeau, Curel, Gougis, Richardin d'autre part [ Rapport d'arbitrage de 39 pp. manuscrites in-folio, détaillant avec grande clarté et précision le litige complexe opposant la Veuve Dentu à ses nouveaux associés, liés par divers contrats sur la seule année 1887. Remarquable document sur l'histoire de la librairie et de l'édition à la fin du XIXe siècle. On citera notamment ce passage : ] "Pour obtenir une avance de la librairie Dentu, un auteur promet d'apporter prochainement un manuscrit, et la librairie lui fait cette avance pour qu'il n'aille pas apporter son manuscrit ailleurs et c'est-à-dire pour s'assurer la préférence. Si l'auteur ne remplit pas sa promesse la librairie subit une perte presque toujours irrecouvrable. S'il remplit sa promesse, pas de difficultés si ce n'est qu'à ce moment on lui verse généralement le complément de ses droits d'auteur. Comme la librairie n'a d'espoir d'être remboursé que sur le produit de la vente et c'est ce qu'indique très clairement la convention du 13 octobre 1887, lorsqu'elle est édicte que le remboursement des avances se fera par voie de déduction sur les sommes auxquelles ont droit les auteurs, la librairie commence par déduire des droits d'auteur les avances déjà faites et ne se libère ensuite que contre remise du manuscrit. Elle ne court plus alors que le risque de l'insuccès de l'ouvrage." ; III : Liquidation de la Société Dentu & Cie dissoute le 30 juin 1887. Deuxième Compte [ 8 feuillets in-folio. Le rapport d'arbitrage indique : " à la date du 8 février 1887, une société était formée sous la raison sociale Dentu & Cie entre Mme Veuve Dentu et M. Hippeau, associés en nom collectif et M. Curel simple commanditaire ; mais quelques mois plus tard, c'est-à-dire le 16 juillet 1887, cette société était dissoute avec effet rétroactif aux 30 juin" ] ; IV : Compte Personnel de Mme Vve Dentu du 1er octobre 1887 au 30 Juin 1888 [ 1er et 2e compte, ensemble 4 feuillets in-folio ] ; V : Librairie Dentu. Société Curel Gougis et Cie. Compte Personnel de Madame Vve Edouard Dentu, période du 1er juillet au 8 novembre 1888 [ 4 ff. in-folio] ; VI : Lot d'une cinquantaine de feuillets d'inventaire, essentiellement Inventaire des Magasins de Ségur [ Comme le précise le rapport de l'arbitre, "Le magasin de l'avenue de Ségur n'était pas un magasin de vente était uniquement un lieu de dépôt choisi par Mme dentu dans une maison montée des propriétaires et elle seule avait la clé de ce dépôt où elle avait rassemblé les ouvrages qui n'étaient plus de vente courante."] ; VII : Compte Principal de Madame Dentu chez son mandataire M. Albert Baudry depuis le 10 décembre 1889 [ 4 feuillets in-4 sous chemise, daté du 31 mars 1892 ]‎


‎Important ensemble réunissant diverses pièces relatives au "naufrage" de la librairie Dentu, au lendemain du décès du grand éditeur Edouard Dentu. On notera un remarquable rapport d'arbitrage détaillant avec une grande clarté les litiges très complexes qui opposèrent la Veuve Dentu à ses nouveaux associés. L'arbitre plonge dans les arcanes de l'édition et de la librairie parisienne des années 1884-1890. Prix du lot, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR1,400.00 (€1,400.00 )

‎RAPIN THOYRAS, Monsieur - N. TINDAL - Thomas RYMER‎

Reference : 104147

(1733)

‎Histoire d'Angleterre. 11 VOLUMES EN TOUT sur 14 - 7 volumes sur les 10 que compte cette seconde édition. Manquent les tomes 2, 8 et 9 + Remarques historiques et critiques sur l'Histoire d'Angleterre de Mr Rapin Thoyras par Mr N. Tindal, Maître es Arts, & Vicaire du Grand Waltham dans le Comté d'Essex et Abrégé historique du Recueil des Actes Publiques d'Angleterre de Thomas Rymer par Mr. De Rapin Thoyras + 4 volumes en reliure identique à l'Histoire d'Angleterre (tomaison suivie) Tome I: Contenant ce qui s'est passé depuis l'invasion de Jules César, jusqu'à la Conquête des NormansTome III: Contenant ce qui s'est passé depuis le commencement du Règne d'Edouard I jusqu'à la fin du règne d'Henri VTome IV : Contenant ce qui s'est passé depuis le commencement du règne de Henri VI jusqu'à la fin du règne de Henri VIITome V : Contenant le règne de Henri VIIITome VI : Contenant les règnes d'Edouard VI, de Marie, et d'ElizabethTome VII : Contenant le règne de Jacques I et les quinze premières années du règne de Charles ITome X : Contenant le règne de Jacques II, et l'Avènement de Guillaume III et de Marie à la Couronne + 1 volume - Tome II de Remarques historiques et critiques sur l'histoire d'Angleterre et Abrégé historique du recueil des Actes Publics d'Angleterre‎

‎ 1733 11 VOLUMES - A La Haye, chez Chrétien van Lom, Jean van Duren, Pierre de Hondt - 1733 (seconde édition) - 11 volumes in-4 - Plein veau brun de l'époque - 5 nerfs - Caissons dorés, filets dorés sur les plats, étiquettes de titre et de tomaison, tranches marbrées - RELIURES AUX ARMES (voir photos) - Cartes, gravures et tableaux hors texte pour certains rempliés - 525 + 506 + 557 + 471 + 496 + 631 + 511 pages (+ 231 de table des matières) pour l'Histoire d'Angleterre et 380 + 325 + 383 + 348 pour les remarques historiques et critiques ( Tome I en deux parties - Tome II en deux parties mais indiqués au dos VOL XI, XII, XIII et XIV pour suivre l'Hisrtoire d'Angleterre - Reliure identique également aux armes + pour Tome II seul des Remarques historiques - A La Haye chez P. Gosse & J. Neaulme - 1733 - 1 vol in-4 - Plein veau brun de l'époque, 5 nerfs, caissons dorés, étiquettes de titre et de tomaison - 348 pages - Toutes tranches rouges - Ex libris " Bibliotheca DD"‎


‎Bel ensemble malgré quelques petits défautsTome 1: Coiffe supérieure avec petites déchirures, épidermures partielles au veau de la reliure, coins un peu écrasés, première feuille de garde un peu détachéeTome 3, 4, 5: Petites épidermures au veau de la reliure avec manque de matière ( galerie de vers ? ), coins un peu écrasésTome 6 : Coiffe supérieure érodée, petites marques de frottements, coins supérieurs un peu écrasésTome 7 : Coin inférieur du premier plat érodé avec manque de matière - petite érosion au deuxième platTome 10 : Galeries de vers sur les plats et au dos, coins un peu écrasésTomes XI - XII - XIII et XIV: Petites épidermures (galeries de vers aux reliures), coins un peu écrasés, Coiffes supérieures des tomes XII et XIV érodées avec petit manque de matière, coiffe inférieure du tome XI légèrement érodéeTome II des Remarques historiques: Marques de frottements à la reliure, coins un peu fraottés ‎

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR600.00 (€600.00 )

‎Collectif‎

Reference : 60485

(1861)

‎L'Internationale Communiste N° 6 de 1938 / Prolétaires de tous les pays unissez-vous - Numéro original - Organe mensuel du Comité Exécutif de l'Internationale Commun - Parait en français, en russe, en allemand, en anglais, en espagnol et en chinois - Bureau d'Editions, 31 boulevard de Magenta - Paris 10 - Communisme - Sommaire : Notre point de vue sur les questions du jour: La réaction hurle, elle est touchée - A l'exception d'un état - Un chapitre d'histoire falsifié - Hitler à Rome - La vérité s'égare dans l'Angriff ( E. F ) - " Butin allemand " / premier bilan - Les travailleurs autrichiens font l'expérience du IIIème Reich ( F. F ) - Comment Modigliani arrange Marx ( F. L ) - Codreanu, le garde archi-roumain de Hitler ( F. L ) - De la manière dont vont les choses ( Q. F ) - On revient toujours à son premier amourLa théorie et la pratique du mouvement ouvrier : Deux années de lutte héroïque du peuple espagnol ( Rosa Michel ) - La lutte du peuple anglais contre Chamberlain ( Page Arnot ) - Le marxisme et l'indépendance de l'Autriche ( Peter Wieden ) - La classe ouvrière allemande et la " grande Allemagne " ( Kurt Funk ) - Le marxisme est tout puissant ( F. Fürnberg ) - La lutte du peuple tchécosclovaque contre le fascisme hitlérien et la guerre ( Hruska Cenek ) - La lmneutralité n'est pas une protection pour la Suisse ( Otto Fischer ) - La décadence intellectuelle de l'Allemagne fasciste ( E. Hœrnlé ) - Les oufs de coucou que couve la presse communiste ( G. Friedrich )Dans l'union soviétique : Les députés soviétiques au travail ( W. Leitner ) - Une grande collaboration amicale ( fin ) ( N. roubistein ) - Bibliographie : Le luttre pour le front unique contre le fascisme ( F. Lang )Documents : Une déclaration du président Negrin - Déclaration du Parti Communiste espagnol sur les principes du programme républicain‎

‎ 1861 1 vol in-8 broché - N° original 6 de juin 1938 - 143 pages - Bureau d'Editions, 4, rue Saint-Germain-l'Auxerrois - Paris 1er ‎


‎ petit manque en bas du dos, assez bon état ‎

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR45.00 (€45.00 )

‎Marquet (Mary)‎

Reference : PZX-94

(1946)

En Quête du Livre - Paray-le-Monial

Phone number : 06 30 65 88 82

EUR39.00 (€39.00 )

‎BERNOULLI - DE LA HIRE - BOULDUC - LE MARQUIS DE L HOPITAL - VARIGNON - PERE DE FONTENAY - CASSINI - HOMBERG - DU VERNAY - LITTRE - CARRE - MARCHANT - DODARD - DE TSCHIRNAUSEN - SAUVEUR;‎

Reference : 110030

‎Histoire de l'Académie Royale des Sciences, Année MDCCI (1701), Avec les Mémoires de Mathématique & de Physique, pour le même année. Tirés des Registres de cette Académie. Seconde Edition, revûe, corrigée & augmentée. Table pour les Mémoires : Nouveau Phosphore, par M. BERNOULLI - Observations sur l'eau de pluye qui est tombée à l'Observatoire Royal pendant tout l'année 1700 avec quelques Remarques sur le Thermomètre & le Barometre, par M. DE LA HIRE - Observations Analytiques de la Coloquinte, par M. BOULDUC - La Quadrature absolue d'une infinité de portions moyennes, tant de la Lunule d'Hippocrate de Chio, que d'une autre nouvelle espece, par M. LE MARQUIS DE L'HÔPITAL - Autre Regle generale des Forces Centrales, avec une maniere d'en déduire & d'en trouver une infinité d'autres à la fois, dépendemment & l'année derniere 1700, par M. DE LA HIRE - Remarques sur le Rafinage de l'Argent par M. HOMBERG - Remarques sur l'Eclipse de Lune arrivée le 22 février 1701 par M. DE LA HIRE - Observation d'Aldebaram caché par la Lune, à Marseille le 26 février 1701 au soir - Remarques sur une Comete observée à Pékin le mois de février de l'année 1699, par le PERE DE FONTENAY, de la Compagnie de Jesus - Comparaison des Observations de la Comete de 1699 faites à la Chine par R.P. Fontenay, rapportées à l'Académie par le R.P. Gouye le 12 mars 1701 avec celle qui furent faites à l'Observatoire Royal de Paris, par Mrs CASSINI & MARALDI - Description des quatre Etoiles proche du Cercle Polaire, avec lesquelles on commença de voir cette Comete à Paris - Observation de la conjonction de la Lune avec l'oeil de Taureau Aldebaram, le 19 août 1699, par M. CASSINI - Observations des Passages de la Lune & de l'oeil austral du Taureau par le Meridien, le 18 & 19 aoust 1699 - Observations d'Aldebaram joint à la Lune, faites à Marseille & à Bologne, rapportées à notre figure - Observation de l'Eclipse de Lune, du 22 février 1701 - Comparaison des Phases principales de l'Eclipse de Lune du 22 fevrier de cette année 1701, observées en diverses villes d'Europe, rapportées à l'Académie le 25 juin par M. CASSINI - Eclipsis Lunae, Anno 1701, die 22 & 27, februarii vespere & mane observata Berolini, à Godsido Kirchio - Lunae Eclipsis partialis Norimbergae observata, anno 1701 die 22 februarii à J.P. Wulzerbaur - Taches dans le Soleil observées le 29 mars 1701 par Mrs CASSINI & MERALDI à Montpellier, envoyé à M. l'Abbé Bignon et rapporté à l'Académie le 9 avril - Comparaison de diverses Observations de l'Eclipse du Soleil du 23 septembre 1699 faites en diverses villes d'Europe - Différences des Longitudes de plusieurs villes de France, tirées des des Observations des Eclipses du Soleil du 12 Juillet 1684 - Observation sur un Foetus humain monstrueux, par M. LITTRE - Observations sur quelques effets des Fermentations, par M. HOMBERG - Methodes generales pour trouver la différence en Déclinaison & Ascension droite de deux Astres qui sont peu éloignés l'un de l'autre, en se servant du Micrometre oridinaire par M. DE LA HIRE - Observations analytiques du Jalap, par M. BOULDUC - Observations sur les Ovaires & les Trompes d'une femme, & sur une Foetus trouvé dans l'un de ses Ovaires, par M. LITTRE - Observations sur les Analyses des Plantes, par M. HOMBERG - Construction & Usage d'un nouveau Réticule pour les observations des Eclipses du Soleil & de la Lune, & pour servir de Micrometre, par M. DE LA HIRE - Remarques sur la nature de la Gomme-gutte, & ses différentes Analyses, par M. BOULDUC - Lettre à M. Bernouilli Professeur à Groningue, touchant son nouveau Phosphor - Observations d'Anatomie & de Chirurgie sur plusieurs especes d'Hydropisie, par M. DU VERNEY le jeun - Methode pour la rectification des lignes courbes par les Tangentes, par M. CARRE' - Rectification de la Cicloïde, par M. CARRE' - Remarques sur la mesure & sur la pesanteur de l'Eau, par M. DE LA HIRE - De la Méridienne de l'Observatoire Royal prolongée jusqu'aux Pyrénées, par M. CASSINI - Observations Anatomiques sur les Ovaires de Vaches & de Brebis, par M. DU VERNEY le jeune - Observations sur les effets de l'Ypecacuana, par M. BOULDUC - Projet d'un systême touchant les passages de la Boisson & des Urines, par M. MORIN - Dissertation sur une plante nomée dans le Bresil, Yquetaya, laquelle sert de correctif au Séné, & sur la préférence que nous devons donner au Plantes de notre Pays, par-dessus les Plantes étrangeres, par M. MARCHANT - Observations sur une Comete, faites à Pau le 28 et le 31 d'Octobre, par P. Pallu de la Compagnie de Jesus, & rapportées à l'Académie par M. DE LA HIRE - Observations sur les Sels volatils des Plantes, par M. HOMBERG - Memoire sur la circulation du sang des Poissons qui ont des ouies, & sur leur respiration, par M. DU VERNEY l'aîné - Second memoire sur la fécondité des Plantes. Conjectures sur ce sujet par M. DODART - Construction d'un Nouvel Astrolabe universel, par M. DE LA HIRE - Des taches observées dans le Soleil au mois de Novembre de l'année 1700 au mois de May, à la fin d'Octobre, & au mois de Novembre de cette année 1701 par M. CASSINI le fils - Solution du Problême proposé aux Géometres dans les Mémoires de Trévoux, des mois de septembre & octobre 1701, par M. CARRE - Observations sur les Hernies, par M. MERY - Effay d'une Methode pour trouver les Rayons des Developpées, des Tangentes, des Quadratures, & les Rectifications de plusieurs Courbes, sans y supporter aucune grandeur infiniment petite, par M. DE TSCHIRNAUSEN - Observations sur le corps d'une femme grosse de huit mois de son premier enfant, morte subitement d'une chute, par M. LITTRE - Observation de l'Eclipse de l'Etoile Adebaram ou Oeil du Taureau par la Lune, à l'Observatoire le 13 septembre au matin 1701 par M. DE LA HIRE - Systême general des Intervalles des Sons, & son application à tous les Systêmes & à tous les Instruments de Musique, par M. SAUVEUR - I. Du Rapport des Sons, & des Intervalles. II.et III. Explication de la premiere partie des Tables du Systême general des Intervalles, & des Rapports des Sons. IV. Division et Usage de l'Echometre general. V. Application du Systême & de l'Echometre general à tous les Systêmes de Musique. VI. Application du Systême & de l'Echometre general aux Voix et aux Instrumens de Musique. VII. Applicatiobn du Systême general au Plainchant. VIII. Application du Systême general à la Musique. IX. Des Sons harmoniques. X. Application du Systême general à la Trompette marine, au Cor de Chasse, & aux grands Instumens à vent. XI. Des Intervalles réciproques des Sons d'un Systême & d'un Instrument de Musique. XII. Maniere de trouver le Son fixe. Addition à la Section VI. De la Correction Gregorienne des mois lunaires Ecclésiastiques par M. CASSINI.‎

‎ A Paris, chez Gabriel Martin, Jean-Bapt. Coignard & Hippolyte-Louis Guérin, ruë S. Jacques, Avec Approbation et Privilege du Roi, 1743, 1 volume in-4 de 260-195 mm environ, 1f.blanc viij-142-384 pages 1f.blanc, reliure plein veau marbré fauve d'époque, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés sur pièce de titre maroquin bordeaux, orné de caissons à fleurons et feuillages dorés, double filet doré sur les coupes, tranches rouges, gardes marbrées. Quelques feuilles brunies, frottements et petites craquelures sur le cuir, un mors fendu sur 4 cm, petites déchirures sans manque p. 308 et 382. Contient 14 planches dépliantes et de nombreuses figures dans le texte.‎


‎ Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

Phone number : 33 04 78 42 29 41

EUR300.00 (€300.00 )

‎(Placard).‎

Reference : 19203

Librairie Ancienne du Vivarais - Saint Etienne de Boulogne

Phone number : 06 80 15 77 01

EUR130.00 (€130.00 )

‎FLEURY, Claude, Paris, 6 décembre 1640, Paris, 14 juillet 1723, Avocat et homme d'Église, historien de l'Église, Abbé de Loc-Dieu,sous précepteur du Roy d'Espagne, de Monseigneur le Duc de Bourgogne, de Monseigneur le Duc de Berry‎

Reference : 26868

‎Abrégé de l'histoire ecclésiastique de Mr l'Abbé Fleury - T. I) Contenant les I, II, III & IV SièclesT. II) Contenant les V & VI SièclesT. III) Contenant les VII, VIII & IX SièclesT. IV) Contenant les X & XI Siècles, et ce qui s'est passé dans le XII, depuis l'An 1101, juqus à l'Année 1175, inclusivementT. V) Contenant la suite du XII siècle depuis l'année 1176, jusques à l'année 1200. tout le XIII, & du IV, depuis l'année 1301 jusques à l'année 1306, sous le Pontificat de Clément V qui transporta le S. Siège à Avignon.T. VI) Contenant la suite du XIV siècle depuis l'année 1306, jusquesà l'année 1400, & du XV depuis l'année 1401, jusques à la mort d'Eugène IV en 1447.T. VII) Contenant la Fin du XV siècle depuis l'année 1447, jusques à l'année 1500, & du XVI depuis l'année 1501, jusques à l'année 1555.T. VIII) Contenant la suite du XVI siècle depuis l'année 1555, jusques à l'année 1595, où a fini le continuateur de Mr l'abbé Fleury.‎

‎ A Avignon, chez C. Delorme - 1750 - 8 volumes In-12 - Reliure plein veau de l'époque (frottée) Dos à nerfs, orné de caissons fleuronnés - Pièces de titre & de tomaison cerises - Roulettes sur les coupes - toutes tranches rouges(10)-766 + 640 + (2)-676 + (2)-795 + (2)-593 + 635 + 599 & 508 pages, pour tous les volumes y compris table des noms cités - Bon état général - Envoi rapide et soigné - Réf./ 26868‎


‎Continuation par Jean-Claude Fabre et Claude-Pierre Goujet. - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

A l's.p.rance - Brest

Phone number : 06 81 23 31 48

EUR390.00 (€390.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
Search - tout est dans la fin
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !